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La déchéance d'une prof

Chapitre 6

Factrice pour un jour

Voyeur / Exhibition
Chapitre 6
Ce matin, réveil. Premier réflexe, comme beaucoup j’imagine, je consulte mon téléphone. Encore fiévreuse de la nuit pleine de rêves torrides que j’ai passée, je suis éblouie par la luminosité de mon écran.Je constate avoir reçu un message d’un numéro inconnu. Je vérifie que mon mari dors bien à côté de moi, et l’ouvre. Un simple « Bonjour ma vieille soumise ». Simple mais efficace. Je m’empresse de lui répondre, ajoutant une question m’ayant taraudée toute la nuit.« Bonjour maître »« Dites, vous pensez que j’aurais le droit de connaitre votre identité ? Comme vous connaissez la mienne je me suis dit.... »Evidemment, je n’attends pas de réponse immédiate. Je me lève donc. Je regarde l’heure : 8h30. Visiblement je me suis levée tôt pour un week-end« Tu le sauras bien assez vite ma belle femelle »Mince, toujours pas d’indices, je vais devoir encore vivre avec ma paranoïa quelques temps. « Dans quoi vis-tu soumise ? Appartement ? Maison de quartier résidentiel ? »Etrange, pourquoi me pose-t’il cette question ?« Je vis dans une maison en quartier résidentiel pourquoi ? »« Très bien, alors va donc chercher tes culottes sales, et tu en distribue une par boite au lettres chez tes voisins. Je ne veux pas de contestations. Ca reste anonyme, personne ne saura de qui vient ces culottes sales. Et comme ca ca te débarrasse de tes culottes. Tu en garderas seulement quelques unes. Les plus provocantes pour des occasions, et celles de ton choix, pour tes règles. Execution. »
Oh. Voilà donc mon premier ordre. Je sens un truc dans mon bas ventre remuer, et mon cerveau bouillir. En effet, il a raison, c’est purement anonyme. Le moment le plus risqué, c’est le moment où je les déposes dans la boite au lettre. Le mieux c’est de m’y prendre au plus tôt quand tout le quartier fait la grasse mat’. Je me dépêche donc d’aller faire ma toilette et d’aller récupérer mes culottes sales. J’en récupère cinq. J’ai donc cinq boites aux lettres à faire. Je les sens rapidement. Mes doutes sont confirmées, ces culottes puent l’excitation... Et je repense à ce futur sans culottes qui m’attends. Jamais ô grand jamais je n’ai osé sortir sans culotte. Et voilà que ca va devenir mon quotidien. Au boulot aussi qui plus est ! Et sans que je me l’explique, cela me tente, pire encore, cela m’excite. Je vais devoir vite me faire au fait que je suis en train de changer. Pour le meilleur ou pour le pire, je me transforme en femme tournée vers le sexe...
Je m’habille donc rapidement, range ces culottes emplies de mon odeur intime de femme lubrique dans mon sac à main et sors.
Je furète rapidement autour de moi. Personne. Parfait, je vais pouvoir réaliser ma première tache de femme soumise. Je parcours mon quartier et décide d’aller un peu plus loin que mon voisin direct. Je ne souhaite quand même pas être grillée si rapidement... Après tout je ne fais qu’interpréter l’ordre de ce jeune homme qui est désormais mon maître, je m’y plie quand même.
Arrivé devant la première maison, je regarde rapidement. Personne visiblement. J’ouvre fébrilement mon sac à main, en sort la première culotte qui vient, et la glisse dans la boite aux lettre de mes voisins. Voilà ma première étape qui s’est déroulée sans accrocs. Ma deuxième étape s’est déroulée sans accrocs non plus, de la même manière.
Enhardie, je décide lors de ma troisième boite aux lettres de prendre une photo comme preuve. Je passe donc ma culotte dans la fente de la boite au lettres et la laisse pendre des deux côtés. Décidant de faire preuve de bonne volonté pour mon maitre, je prend cette photo en selfie. Prenant une expression faciale la plus lubrique possible, je tire la langue vers ma culotte quand je capture la photo. Je regarde le résultat : parfait, avec cette photo, mon maitre sera fier de moi.
Encore un rapide check avant mes deux dernières boites aux lettres, apparemment personne. Parfait, je continue.
Malheureusement, c’était sans compter le vieux Roger. A ma dernière boite aux lettres, je dépose ma dernière culotte, une belle culotte en coton, bleu marine, l’élastique assez distendue et l’entrejambe de la culotte tout aussi imprégné de mon odeur intime que les précédentes. A peine cette culotte déposée que j’entends :
« Bah alors M’dame Lefèvre ? On joue la factrice ? »
Mortifiée je me fige. Je reconnais cette voix. Mon cerveau tourne à mille à l’heure. A t’il vu ce que je postait à jouer la factrice ? Sait-il ce que je distribue si aimablement ?En effet, j’ai été prise en flagrant délit. Mais dans mon malheur j’ai de la chance. Le vieux Roger ne fait pas partie des voisins à qui j’ai fais des cadeaux. Le deuxième coup de chance, c’est que le vieux Roger, aussi peu agréable qu’il est, n’est ami et ne discute avec personne dans le quartier. Mes voisins ne risquent normalement pas de faire le lien avec moi. Enfin, le risque existe toujours tout de même.
« Eh bien oui, je dois distribuer des tracts pour une association Roger ! Et vu que je sais que vous n’etes pas le moins du monde intéressé, je vous l’ai épargné ! »
Je me surprend moi même à inventer un mensonge sur le tas, mensonge qui paraît tellement naturel en plus !
« Oh eh bien bonne distribution m’dame la factrice alors ! » dit-il en rentrant chez lui.
Ouf. Je l’ai visiblement échappée belle.
Une fois rentrée chez moi, j’envoie mon selfie de cochonne à mon jeune maitre et l’informe que son premier ordre a bien été effectué, en lui précisant ma rencontre avec le vieux Roger.
« Bravo ma belle femelle, je te félicite. Ton prochain ordre arrivera prochainement, en attendant je te laisse vaquer à ton ennuyante vie. Ravi de constater que tu as des voisins si charmants, je vais réfléchir à te faire jouer la factrice chez ce bon Roger. Bonne journée Sonia. »
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