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13 déclics pour une nouvelle vie

Chapitre 2

Travesti / Trans
CHAPITRE 2 : déclic n° 5
Le lendemain, à l’issue de ma journée de stage et à peine arrivé à l’hôtel, je décide d’appeler Christian. Après plusieurs sonneries, cela ne répond pas et je tombe sur sa messagerie. Je décide donc de lui envoyer un texto, très soft et assez passe-partout pour un médecin, car on ne sait jamais qui pourrait tomber dessus :
« Cher Christian, quand pouvons-nous nous voir, j’ai besoin d’être soignéE. »
En insistant bien sur la majuscule finale. Je pense qu’il saura où je veux en venir. Sa réponse, dix minutes plus tard :
« Occupé par nombreuses consultations ce jour. Vous pouvez passer à mon cabinet médical ce soir, vers 20h30, à l’adresse suivante : … rue …, à Rueil-Malmaison. »
Ne connaissant pas vraiment Paris à l’époque, je regarde rapidement où cela se trouve. Génial ! C’est à moins de 30 minutes, porte à porte. Ma réponse sans plus attendre.
« Merci Docteur, je serai là à l’heure dite. »
Et à 20h30, je sonne à l’entrée et m’installe en salle d’attente. Je ne suis pas seul. Une mère de famille, avec son enfant qui semble souffrant, attend également.
« Madame Leroy, c’est à vous, bonsoir, déclare alors Christian, en blouse blanche, qui vient d’entrer dans la salle d’attente. Par ici je vous prie. »
Et laissant passer Madame Leroy, il me jette un regard et j’aperçois furtivement le sourire d’un homme satisfait de me voir ici présent.J’attends donc patiemment mon tout, et un quart d’heure plus tard, Christian revient et me fait passer dans sa salle de consultation.
« Heureux de te revoir si vite ma Princesse. En quoi puis-je t’aider ? me demande-t-il, tout en baissant le store de la salle, de sorte que personne ne puisse nous voir à l’extérieur.
— Eh bien voilà. Vous m’avez ouvert les yeux hier soir. Et aussi absurde que cela puisse paraître, je me suis senti bien dans ma peau durant nos ébats. Mal dans ma peau d’homme, mais bien dans une nouvelle peau. Une peau de femme… et le simple fait de m’appeler ‘Princesse’ me fait du bien. J’ai l’impression de renaître.
— Ecoute-moi bien, ma Princesse. J’ai pensé chaque mot que j’ai prononcé avant de quitter la pièce hier soir. En refermant la porte derrière moi, j’espérais vraiment te revoir un jour. Mais j’avoue que je suis vivement étonné de te revoir si vite. Cela montre que tu n’as que très peu hésité, et que ce désir d’être femme est vraiment très profondément ancré en toi.
— Que pouvez-vous faire ?
— Je peux faire de toi une femme ! Jusqu’au bout des seins ! Littéralement…
— Vous voulez me travestir ?
— Non. Je doute que cela te suffise. Ton besoin est vraiment très profond. Tu ne veux pas te déguiser en femme. Tu souhaites être une femme… Je veux parler d’un traitement hormonal !
— Mais attendez, qu’est-ce que je vais devenir ? Jamais ma famille ne m’accepterait, et je ne trouverais pas de boulot après mon stage, m’inquiété-je alors.
— Je te rassure. Il existe certains traitements totalement réversibles. Alors voilà ce que je te propose : tu es en stage pour combien de temps ?
— Jusque mi-septembre.
— Trois mois donc. Ce week-end, tu annonces à tes parents que tu as trouvé un appartement à Rueil, et que tu ne rentreras pas avant la fin de ton stage. Pour cause de distance, ou autre, à toi de trouver une excuse valable. Et cet appartement, ce sera le mien. Tu vas vivre chez moi. Je te garantis que tu vas prendre ton pied pendant ces trois mois avec moi…
— L’idée est alléchante, en effet, mais qu’en est-il de mon désir de devenir femme ?
— Je te traiterai comme une femme, et tu suivras un traitement hormonal réversible. Totalement réversible, à base d’oestrogène de synthèse et d’antiandrogènes. Les effets ne sont pas aussi visibles que pour les traitements irréversibles, notamment au niveau du développement de la poitrine, mais tu te sentiras totalement femme, je te le garantis. Puis au bout de deux mois et demi, nous arrêtons le traitement, et les deux dernières semaines seront largement suffisantes pour que tu retrouves ta morphologie actuelle. »
Tu parles, j’ai gobé toutes ses paroles. L’effet blouse blanche, peut-être. Qui mettrait en doute un médecin sur des questions médicales ? Il n’existe aucun traitement hormonal de féminisation qi soit réversible. Ils sont tous irréversibles. Et le traitement dont m’a parlé Christian était particulièrement lourd. Mais ça, au moment des faits, je l’ignore totalement…
« Alors dans ce cas, j’accepte ! Ce traitement m’a l’air génial !
— Minute Princesse !… On est en France, et tout traitement de changement de sexe, même temporaire, est très suivi par la loi, et nécessite un suivi psychiatrique en amont, afin de s’assurer que c’est vraiment ce que tu souhaites. Mais assez perdu de temps, j’appelle immédiatement Rémy, un ami et excellent psychiatre dans le 16è arrondissement. Nous allons voir quand tu pourrais le rencontrer. »
Christian s’absente alors un court instant, le temps de passer son appel. Puis à son retour, il m’annonce fièrement :
« Je lui ai parlé de ton cas. Il arrive et sera là dans une heure.— Cela va peut-être un peu vite, non ? l’interrogé-je, un peu dubitatif.
— Ne réponds pas cela devant Rémy, à la moindre marque d’hésitation, il n’approuvera pas ta transformation et ne signera pas les papiers qui te donneront accès à ta médication.
— Mais je me pose vraiment des questions !…
— Ecoute, tu ne risques rien. Tout est réversible, et sous tes vêtements, tes collègues de stage ne remarqueront rien.
— Mais dans ce cas, pourquoi m’empêcher de voir mes parents, si cela ne se voit pas sous mes vêtements ?
— Tu te poses trop de questions Princesse. Tu ferais mieux de te demander comment tu vas me payer ton loyer. »
C’est alors qu’il commence à déboutonner sa blouse, puis son pantalon. Il ne m’en faut pas davantage pour qu’un premier frisson parcoure mon corps. Je ne sais pas où je vais, mais s’il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que je suis affamé de bite ! Et je me jette sur sa queue déjà au garde à vous.
C’est déjà une fellation d’assoiffé de sexe que je lui prodigue. Je vais directement au plus profond.
«  Plus tard, je t’apprendrai la patience, me lance-t-il alors. Mais en attendant, continue comme ça sale pute ! C’est trop bon. »
Les « Princesse » laissent déjà place aux « Sale Pute », pour mon plus grand plaisir, tout au long de cette longue, très longue et très sportive fellation.
Il finit tout de même par me redresser, me baisser le pantalon, et me pencher contre sa table de consultation. Je suis à sa merci, et j’attends ma sentence…Je sens son gland à l’entrée de mon anus, cet échauffement au fur et à mesure qu’il pousse sur ma rondelle encore serrée de quasi-puceau, puis sa lente progression en mon intérieur, jusqu’à sentir son pubis contre mes fesses. Je sais que c’est le signal amorçant le début de quelque chose de plus bestial…
« Alors grosse pute ! On se pose toujours autant de questions lorsqu’on se fait marteler par un vrai mâle ?!?
— Non… oooh…ooh… non, plus de questions, aaah ouiii ! Encore !
— Voilà ce à quoi tu es bonne. A couiner comme une truie ! Je vais faire de toi une vraie cochonne dans un corps de cochonne !! »
Je suis au summum de l’excitation. Je commence à ressentir la même sensation que la veille, avec ses flashs et ces décharges électriques dans mon ventre…
Les minutes passent, sans que j’aie réellement la notion de temps, et je sens que je vais exploser, comme hier.
« Oui ! Oui ! Oh oui ! Je sens que je vais jouir !! »
C’est alors qu’il se retire expressément. Je suis au paroxysme de l’excitation, je sens que je vais exploser au moindre coup de reins de Christian, mais celui-ci s’arrête net.
«  Je vous en supplie, finissez-moi ! Je suis à vous, votre petite pute !… »
Quand soudain, on sonne. C’est Rémy qui arrive. Tout juste le temps pour Christian et moi de remonter nos pantalons, que notre cher psychiatre entre.
« Salut Christian, alors comme ça, un cas urgent à me présenter ? Que me voulez-vous, mon garçon ?
— Ce jeune homme souhaite ardemment devenir femme, répond Christian à ma place, je lui ai déjà expliqué les différents traitements réversibles, et…
— Réversibles, je vois… reprend Rémy, en m’observant. Mais à quel point souhaitez-vous être femme ? C’est vrai que vous avez l’air d’une jolie princesse. Que vous faut-il de plus ?
— Je ne sais p…
— Si je vous dis ‘petite coquine’, m’interrompt-il, quel effet cela vous fait-il ?
— Cela me plaît beaucoup, lui réponds-je, encore tout excité par ce que Christian me faisait quelques secondes auparavant.
— Et si je vous dis ‘à genoux, sale chienne, et suce-moi !’, qu’en pensez-vous ? »
Alors, n’en pouvant plus de la frustration qu’avait fait naître en moi Christian en s’arrêtant juste avant ma jouissance, je m’agenouille, et je commence à déboutonner le pantalon de Rémy, avant que celui-ci réagisse :
« Eh ! Doucement, petite pute en chaleur ! Je suis marié et fidèle, moi. »
Puis s’adressant à Christian :
« Vas-y Christian, finis-la. Je te fais le papier. Tout était déjà prêt. Signe ici petite chienne. C’est un papier stipulant que tu as bénéficié d’un suivi psychiatrique d’une durée d’un an et que tu es jugée prête à recevoir un traitement hormonal de changement de sexe. »
Sous les coups de boutoir de Christian, sans aucune lucidité, je signe les trois exemplaires sans réfléchir. C’est mon cinquième déclic…
Rémy y ajoute un tampon et sa signature, et nous quitte avec un exemplaire.
Et dans un énième hurlement, je jouis, intensément, tout en sentant la semence de Christian se déverser en moi.
« Allez petite pute ! Retourne à l’hôtel. Demain soir, tu rentres chez tes parents. Profites-en bien, tu ne les reverras que dans trois mois. Et pas de questions ! Allez pense bien à moi ce soir lorsque mon sperme coulera entre tes cuisses ! »

Le lendemain, effectivement, j’allais voir mes parents pour la dernière fois avant trois mois. Trois mois, ce n’est pas un drame, je suis grand maintenant. L’ennui, c’est que j’ignorais que je ne les reverrais pas avant plusieurs années…
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