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J'ai déconné

Chapitre 3

Une volonté vacillante

Trash
J’émergeai au petit matin, partagé entre la satisfaction, le remords et surtout l’indécision. Que faire maintenant ? Julie m’avait surpris, elle s’était assumée en femme aimant le sexe, et qui va chercher l’amant qu’elle désire. Mais elle restait Julie, la petite sœur de mon plus vieil ami. Et surtout à quoi jouait Lucie ? Sa séance de voyeurisme m’avait excité, utiliser Julie sans retenue sous ses yeux avait immanquablement accru mon plaisir. Était-ce un événement isolé? Ce genre de moment qui arrive quelquefois dans la vie, unique, mais qui vous marque à tout jamais ou au contraire était-ce le premier pas vers une découverte de ses désirs?

Peu importe, il était grand temps de se lever. Je rassemblai mes affaires, défis mon lit et posai les draps sur l’accoudoir du canapé. J’allai ensuite vers la salle de bain où Lucie avait laissé une serviette propre à mon intention. L’eau chaude détendit mes muscles, mais ne m’aida pas à y voir plus clair sur la suite. Je finis de m’habiller et sortis de la salle de bain sans faire de bruit, je pris mes affaires, chaussures, sac à dos, quand il me sembla avoir tout récupéré. Je claquai doucement la porte en sortant.

Je pris la direction du RER pour rentrer chez moi, heureusement à 6 h du matin, un samedi, il était aisé de trouver une place assise. Je me calais au fond de mon siège, ma tête posée contre la fenêtre et laissai les mouvements du train me bercer pour sombrer de nouveau.

Je me réveillai au terminus, l’avantage à habiter au bout d’une ligne de train, c’est qu’on ne rate pas son arrêt. Je sortis mon portable par réflexe, j’avais reçu 3 SMS, un de Thomas me demandant pourquoi je n’étais pas resté au moins pour le petit-déjeuner et me remerciant pour avoir pris le temps d’aller boire un verre avec lui. Je soupirai de malaise, j’avais honte de moi, je savais que la gratitude de mon ami était imméritée.

Le second était de Julie évidemment :

— J’espérai pouvoir te déguster encore une fois, je suis un peu déçue de ta disparition, avait-elle écrite. A cela s’ajoutait une photo de Julie bouche ouverte, langue tirée qui me renvoyait à nos exploits de la veille.

Le dernier était de Lucie qui m’informa qu’elle avait retrouvé mon portefeuille et que je pouvais passer le récupérer quand je voulais. J’ouvris mon sac en hâte puis tâtai mes poches par réflexe. Je soupirai de nouveau bruyamment , lâchant simplement un :

— Et merde...

Une fois chez moi, je posai mon sac et me fit couler un bain. 
Au moment où j’allais rentrer dedans, on sonna à la porte.
Je m’enroulai à la hâte dans une serviette en râlant et allai voir qui sonnait. A peine la porte ouverte, Julie me repoussa à l’intérieur de l’appartement me lançant simplement :

— Second round.

Puis se mit à genoux devant moi et m’arracha la serviette, mon sexe se redressa comme un diable sorti de sa boîte.

— Julie, tentai-je, on doit parler de la nuit dernière.

Elle attrapa mon vit et commença un simple aller-retour

— Je t’écoute... Ce furent ses derniers mots puis elle prit mon gland en bouche.

La garce ! Je comptai avoir un minimum de décence et clarifier la situation, mais j’ai l’impression que les intentions de Julie étaient clairement autres.

— Ecoute, nous n’avons rien fait de mal, nous sommes adultes tous les deux, maaaaaiiiissss...

La petite salope jouait avec moi, elle était descendue passer sa langue sur mes couilles et s’amusait à la faire monter sur la longueur de mon sexe pour venir me titiller le frein. Puis elle s’arrêta aussi vite qu’elle avait commencé.

— Bon Marc ça suffit, je n’ai plus 8 ans, je veux du cul OK ? Que tu me prennes comme un trou, que tu me souilles, que tu me dresses. Je ne veux pas que tout change, mais je fantasme sur toi depuis trop longtemps, fais-moi jouir comme une chienne et je te jure que nous discuterons de tout cela ensuite.
— Oh puis merde, arrête-moi si je fais un truc qui te déplait.
— Bien monsieur... Elle dit ça en passant sa langue sous mon gland.

Mon cerveau a disjoncté  à ce moment-là, j’étais simplement un animal qui avait besoin de baiser. J’attrapai Julie par les cheveux et la retira de ma queue.

— Déshabille-toi !

Sans perdre de temps et avec une précipitation presque grotesque, Julie obtempéra, son regard avait changé, la lubricité brillait ardemment dedans. Quand elle eut enlevé le dernier vestige de sa pudeur, je la positionnai à même le parquet, le visage sur le sol.

— Ecarte tes fesses !

Encore une fois, Julie obéit sans hésitation, j’avais une vue impayable sur ses lèvres, glabres, gonflées de désir, elle s’ouvrait comme une fleur suppliant qu’on la butine. Son anus était très attirant, mais semblait extrêmement serré, pas certain que quelqu’un soit déjà passé par là.

— Tu sembles trempée, une vraie chienne en manque. Dis-moi petite chienne, ton cul est encore vierge ?
— Oui.

SLAP
La claque tomba sèche sur son cul, elle en lâcha sa fesse droite de surprise.

— On dit oui monsieur quand on est bien élevée, SLAPl  et reprends ta position, dis-je en remettant une claque sur son cul.
— Pardon monsieur.

Julie repositionna sa main et écarta ses fesses de nouveau.
Je posai mes mains sur les siennes et plongeai mon visage entre ses cuisses, j’étais avide de ses lèvres, assoiffé de son plaisir, je voulais la dévorer, découvrir chaque recoin de son sexe avec ma langue.

— Moonnnsieur, je n’en peux plus, prenez-moi s’il vous plaît, je veux vous sentir en moi.

J’ignorai ses suppliques, je voulais la rendre folle, j’aspirais ses lèvres, son clitoris, jouais avec chaque cm carré de son vagin. Mais il m’en fallait encore  davantage, je remontais ma langue sur sa rosace, suivais le contour avec ma langue, tentais de passer le sphincter.

— Oh mon Dieu, on ne m’a jamais léchée comme ça... AHHHH.

Julie me gratifia de son premier orgasme aspergeant mon visage de son plaisir. Je la sentis partir, elle tenait en position plus par contraction musculaire que par volonté.
Je la laissai la sur le sol et me dirigeai vers la salle de bain, j’attrapai un ou deux préservatifs et retournai voir ma poupée de chair. Je comptais bien continuer à la faire crier sans retenue.

— Euuh bonjour ?

Les salutations venaient d’un voisin qui passaient dans le couloir, pris dans ma frénésie, j’avais complètement oublié de fermer la porte d’entrée. Le tableau était quelque peu singulier pour lui, son voisin nu, des capotes à la main et entre nous deux, Julie nue, cul offert, qui commençait doucement à se remettre de son orgasme.

— Je voulais juste vous demander de faire moins de bruit, mais là...
— Je crains d’en avoir encore pour un moment, mais je vais faire mon mieux pour la faire jouir plus discrètement, vous m’excusez, mais quand le vin est tiré, il faut le boire.

Je fermais la porte d’entrée avant de lui laisser le temps de répondre, puis me positionnai devant Julie et lui présentais mon sexe. Elle ne se fit pas prier pour l’avaler, mais j’étais beaucoup trop échauffé pour me satisfaire de ça. A l’image de la veille dans la cuisine, j’attrapai ses cheveux et baisais hardiment sa bouche.

— Avale-la bien petite pute, tu vas la prendre dans la chatte bientôt.

Mes insultes semblaient la galvaniser, elle suçait avec avidité, gémissant même entre deux mouvements. Quand je fus à bout, j’enfilai un préservatif et passai mon gland le long de ses lèvres.

— Monsieur, prenez-moi s’il vous plaît, je n’en peux plus, je vais devenir folle si on ne me baise pas.
— Tu veux peut-être que j’aille chercher le voisin, il a eu l’air intéressé par ta chatte trempée, finalement entre sa bite ou la mienne, aucune différence.
— Nan, c’est toi que je veux. Il me faut ta queue AAHAHHHH oui.

Je m’insérai en elle doucement, mais sans m’arrêter.

— Ce que tu es étroite bordel, j’ai l’impression de prendre ta virginité.
— Nan c’est toi qui es large tu me ahhhhh ahhh.

Je commençai à la besogner sévèrement à rythme soutenu, je lâchai toute ma frustration sur elle. Pour le futur, je ne sais pas, mais là tout de suite elle allait être mon vide couille.

— Tiens ma salope, tu voulais ma queue la voilà, ça te plaît d’être mon vide couille ?
— Oui OUI OUI.
— Dis-le !
— OUI J’AIME CA.
— Dis-le correctement !
— J’AIME ETRE VOTRE VIDE COUILLE MONSIEUR ! HAN HAN HAN PUTAIN CETTE QUEUE.
— Le voisin avait raison, t’es vraiment bruyante.

J’attrapai sa culotte sur le sol à côté de moi, et lui fourrai dans la bouche.

— Voilà qui sera mieux.

J’attrapai Julie par les cheveux et la redressai en la tenant par sa crinière au point de la cambrer pendant que je la pilonnai sans pitié. Dans le miroir du couloir, je la vis rouler des yeux, sa culotte dans la bouche, la bave coulant de ses lèvres. Cette vision me fit partir, lorsqu’elle jouit soudainement. Je choisis ce moment pour me retirer, enlever le préservatif et me positionner au-dessus de son cul.

— Voilà ce que tu es venue chercher salope aahhhhhhh.

Je me déchargeai sur son cul écarté, mon sperme coulant le long de ses fesses. Elle était totalement partie, je retirais la culotte de sa bouche. Ses mains étaient toujours crispées sur ses fesses, je les désengageai de leurs positions initiales. Puis je pris Julie dans mes bras et la portais dans la salle de bain où le bain que j’avais initialement prévu m’attendait encore. Je vérifiai la température et la glissai dans le bain, avant de m’assoir sur le sol à ses côtés.
— Bon ben il semblerait que la discussion doive encore attendre.
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