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J'ai déconné

Chapitre 4

Les règles sont posées

Voyeur / Exhibition
Julie prit le temps de récupérer de nos ébats, se savonnant avec mon aide. La voir passer ses mains sur son corps réveillait mon appétit, ses doigts effleurèrent ses avant-bras remontant sur ses épaules et terminant leur course dans ses cheveux. Dieu qu’elle était belle, il me sembla irréaliste que nous ayons couché ensemble. Il me fallut quelques secondes pour sortir de ma contemplation.
— Julie, il me semble que nous avons une discussion en suspens...
La belle tourna son regard vers moi et acquiesça d’un hochement de tête.
— Je vais faire du café, je t’attends au salon, tu peux prendre le peignoir sur la porte quand tu auras fini.
Je sortis de la salle de bains et préparai un colombien fumant avant d’en verser dans deux mugs. Julie apparut enroulée dans une serviette quelques minutes plus tard, prit son mug, but une gorgée puis alla s’asseoir sur le canapé, je fis de même. La jolie brune prit une inspiration avant de se lancer.
— Je suppose que tu dois être un peu perdu.— Disons que j’ai saisi l’essentiel de la situation, mais si tu voulais bien me faire une explication complète.
Julie acquiesça et enchaîna :
— Je fais une fixette sur toi depuis que j’ai 16 ans, tu es longtemps resté un fantasme puis petit à petit, je t’ai oublié. J’ai eu mes premiers flirts, mes premières fois et il y a 3 ans, j’ai surpris une conversation entre Thomas et toi. Tu lui détaillais ce que tu avais fait avec une fille que tu avais rencontrée dans un bar. Je t’avoue qu’au début, j’étais un peu choquée, puis j’ai été me renseigner sur Internet, regarder des vidéos, discuter sur des forums. Plus j’en apprenais, plus je voulais en savoir, et surtout plus je me sentais excitée. J’ai essayé avec différents copains, mais ça sonnait systématiquement faux. Alors j’en ai parlé à Lucie.— Tu en as parlé avec... Mais pourquoi ?— Elle avait besoin de parler de ses soucis avec Thomas, et de fil en aiguille, on a parlé de domination, c’est elle qui m’a poussée à tenter ma chance avec toi.
Ca faisait beaucoup à digérer, mais je vins directement au sujet qui m’intéressait :
— Et maintenant Julie ? C’était quoi tout ça pour toi ?
Elle ramena ses genoux contre elle dans une position infantile :
— Je voudrais que tu continues, ce que tu m’as fait dans ton entrée ne me donne absolument pas envie d’arrêter.— D’accord, mais tu vois ça comment entre nous ? Tu veux de l’exclusif ? Tu cherches un sexfriend ?— Non Marc, je veux juste que tu me gardes près de toi. Je sais que tu me respectes, que tu m’aimes même à ta manière, mais c’est précisément pour ça que je veux que tu m’utilises.
KOF KOF (j’avalai mon café de travers)
— Que je quoi ?— Je veux que tu me formes pour être ton jouet, que tu laisses libre cours à tes idées les plus perverses, je veux sentir que je t’appartiens, mais que tu arrêtes de me traiter comme une petite chose fragile.
J’observai Julie avec insistance, j’étais partagé entre la morale de mes souvenirs et mon désir.
— Très bien, mais on va faire les choses à ma manière.
Julie se redressa attentive :
— Tout d’abord framboise.
Elle haussa un sourcil interrogateur :
— Framboise ?— Si tu dis Framboise, j’arrête tout, si une situation devient insupportable physiquement ou psychologiquement, je veux que tu saches que tu auras toujours une porte de sortie.— Je comprends, c’est un mot de sécurité en somme.
Je hochai la tête avant de continuer.
— Ensuite, si tu veux ce genre de relation avec moi, il va y avoir des points non négociables, je vais te prendre la bouche, la chatte et le cul sans douceur, ton corps sera totalement à moi. — C’est ce que je veux...
Je levais un doigt pour lui faire comprendre de se taire et de me laisser finir.
— Tu seras à moi, je t’humilierai, je te baiserai, je t’insulterai, je te marquerai, je te ferai prendre par d’autres. C’est vraiment ce que tu veux ? — Oui Marc.— Très bien, alors nous all...
Je fus interrompu par mon téléphone, le nom de Thomas apparut en gros sur mon écran comme si un oracle funeste lui avait rapporté ce que venait d’accepter sa sœur.Julie sentit mon trouble, elle posa une main sur mon genou, puis le serra comme pour me dire « ça va aller ». Je repris ma contenance, mis mon index devant ma bouche pour lui demander le silence et décrochai.
— Allo ? Thom ?— Allo ? Oui Marc, désolé de te rappeler si vite, mais j’ai besoin de te parler de quelque chose, ON a besoin de te parler d’un truc. Lucie est avec moi, j’ai mis le haut-parleur.
J’enclenchai celui de mon téléphone avant de le poser à côté de moi sur le canapé.
— OK ben je vous écoute.— C’est un peu délicat, j’ai essayé d’appliquer tes conseils hier soir, et dans l’ensemble, ça démarrait plutôt pas mal, mais il y a un petit détail que je ne t’ai pas expliqué.— Je suis tout ouïe.— Disons que je viens assez vi...— Il est éjaculateur précoce !
La phrase venait manifestement de Lucie, Julie et moi échangions un regard surpris, mais nous ne réagîmes pas.
— Oui voilà... Thomas lâcha la confirmation de son état à contrecœur.— Ecoute Thom, ça arrive pour de multiples facteurs, mais je ne vois pas trop en quoi je peux vous aider, je ne suis pas sexologue.— On voudrait que tu domines Lucie !— J’ai du mal à comprendre...— Enfin plus exactement, que tu m’apprennes à la dominer.— Je ne m’attendais pas à ça.— On comprend bien que c’est une demande...— J’accepte !
Le silence tomba comme une chape de plomb, chacun devait mesurer les conséquences d’un tel projet. Thomas rompit le silence le premier.
— Bien alors, par quoi on commence ?— Lucie est habillée ?— Oui je...— Tais-toi ! Elle s’interrompit immédiatement. — Je parle à Thomas tant que je ne t’adresse pas la parole directement, je ne veux pas t’entendre. C’est compris Lucie ?— Oui.— Oui Marc !— Oui Marc !— Thomas met une fessée à ta femme pour qu’elle se souvienne bien comment s’adresser à moi.
J’attendis quelques secondes, mais rien ne semblait se passer.
— J’attends.— C’est fait Marc. — Recommence et cette fois, je veux entendre ta main claquer sur sa fesse même à travers le micro.
Tandis que je guidai Thomas, je voyais Julie se trémousser à côté de moi, dans le doute, je glissai un doigt le long de ses lèvres, elle était trempée.Slap Cette fois, la fessée fut audible :
— Bien maintenant, passe un doigt entre les lèvres de Lucie, et dis-moi si elle est excitée.— Elle est trempée Marc !
Je tendis mon doigt inquisiteur à Julie qui le lécha, un regard chargé d’envie fixé sur le mien.
— Bien, fais-lui lécher ton doigt maintenant. Julie esquissa un sourire.— Vous êtes dans votre salon ?— Oui, sur le canapé.— Déshabille Lucie et fais-la se mettre à genoux entre tes jambes.
D’un geste, je pris la serviette qui habillait Julie et lui fit signe de faire de même, libérant mon sexe par la même.
— Lucie, tu m’entends ?— Oui...
SlapVisiblement, Thomas lui avait remis une fessée avant que je ne lui demande.
— Oui, oui, Marc, pardon.— Ecoute-moi bien, je veux que tu lèches la queue de ton homme, passe sur la tige, le gland, les couilles. Peu importe s’il jouit, tu continueras jusqu’à mon ordre, tu as compris ?
Je regardais Julie dans les yeux en dictant mes consignes, elle comprit vite où je voulais en venir, léchant ma bite, partant du méat, descendant sur mes bourses, s’en délectant avec avidité.
— Oui Marc.
Julie était comme Hypnotisée par mon sexe, et d’après les gémissements de Thomas qui me parvinrent, Lucie devait être dans un état similaire.
— Thomas, place tes mains sur la tête de Lucie.
Evidemment de mon côté, j’attrapai Julie par les cheveux, positionnant mon gland sur ses lèvres, je la voyais lutter avec elle-même pour ne pas m’avaler avant mon autorisation.
— C’est fait, et ensuite ?— Lucie, tu vas ouvrir la bouche en grand et tirer la langue (Julie déroula sa langue non sans la passer sur ses lèvres), Thomas, tu vas lentement rentrer ta queue dans sa bouche jusqu’au bout et te maintenir au fond de sa gorge, ça va la mettre en apnée, tu la maintiendras une dizaine de secondes maximum dans cette position.— C’est... le fond de sa gorge est incroyable !
Tandis que mon amie découvrait la gorge profonde, je m’enfonçais de manière beaucoup moins délicate dans celle de sa sœur.
— Tu m’étonnes, c’est toujours une sensation...— AHHHHHH je jouis.
Julie voulut relever la tête en entendant son frère jouir, mais je maintins la queue au fond de sa gorge en la tirant par les cheveux.
— Lucie a toujours ta queue en bouche ?— Non, elle l’a recrachée quand j’ai joui.— Dans ce cas, je vais vous laisser pour aujourd’hui, mais Lucie m’a désobéi, elle a donc interdiction de jouir ou de se masturber jusqu’à nouvel ordre, c’est clair ?— Mais... bien Marc.— Je vous enverrai un message demain pour se voir et continuer notre petite formation ensemble. — Ca marche, merci Marc.— Merci Marc...
Une fois raccroché, je pris la tête de Julie à deux mains et accélérais mes mouvements de va-et-vient, baisant sa bouche de plus belle.
— Je serais curieux de savoir laquelle de vous deux sera la meilleure suceuse lorsque j’aurais terminé votre dressage.
GAG GAG GAG GAGLes bruits de gorges me firent redoubler d’ardeur. Puis je retirai Julie de ma bite. Entre deux respirations, elle réussit à parler.
— Ce sera moi ! C’est moi ta chienne ! C’est moi qui serai la soumise la plus obéissante.
J’ouvris sa bouche avec mes doigts et crachai ma salive dedans.
— Mets-toi à quatre pattes sur le sol.
Elle obéit dans la seconde, comme moi, elle était chauffée à blanc et avait besoin de libérer toute cette frustration accumulée. Cependant, je la fis patienter, je fis un détour par la salle de bain récupérer un préservatif, j’attrapai ensuite mon téléphone et appelai Lucie.
— Allo ? Marc ?— Lucie ? Thomas est avec toi ?— Non, il est sous la douche et j’ai mes écouteurs.— Accepte l’appel visio !
La caméra de son téléphone démarra et je pus constater de visu que Thomas lui avait joui dans la bouche, mais aussi sur le visage, il était maculé de sperme.
— Tu voulais me donner une autre consigne ? Je me suis dit que tu voudrais une photo de mon visage dans cet état.— Non, je voulais simplement te montrer comment sont récompensées les chiennes obéissantes, mais bonne idée, envoie-moi des photos de toi comme ça.
Je changeai la caméra de mon téléphone de manière qu’elle puisse voir Julie en levrette, offerte, la chatte trempée. Je passai mon gland le long de ses lèvres avant de m’enfoncer dans sa matrice bouillante.
— OOhh enfin, gémit Julie.
J’attrapais ses cheveux en queue-de-cheval et commençai à la pilonner sans douceur. Pendant que je défonçai cette petite chienne, je m’adressai à Lucie.
— Une salope obéissante a le droit de recevoir du plaisir de son maître.— OUI ! OH OUI ? J’AI ETE UNE BONNE CHIENNE MARC C’EST VRAI ?— Oui ma petite pute, des chiennes pareilles, j’en ai rarement vu.
Sur le retour d’écran, je voyais le visage de Lucie déformé par le désir de jouir et l’envie d’être traitée de la même façon.Je posai le téléphone de manière à filmer le visage de Julie.
— Dis-lui ce qu’il se passe.— Je prends un pied monstre OHH BORDEL (j’accélérai la cadence). C’est tellement bon d’être son vide-couilles. Il me baise vraiment comme personne, OHHHHH cette queue putain Lucie tu avais raison de me dire de tenter ma chance, c’est une sacrée perte de passer à côté de ça. AHHHHHHHHH.
J’étais en rut, un animal qui veut juste saillir sa femelle, je voulais donner envie à Lucie d’être à la place de Julie, mais surtout, je voulais que le moment où elle pourra enfin jouir lui provoque un plaisir insoupçonné. Julie fut prise de convulsion et encore une fois, s’écroula sur le sol, repue, heureuse. Je me retirai de sa chatte, enlevai mon préservatif et vins jouir sur son visage toujours posé au sol. Une fois vidé, je repris le téléphone.
— Marc... laisse-moi me toucher, s’il te plaît.— Bonne journée Lucie.
Je raccrochai, et me tournai vers Julie.
— Tu n’oublies rien ?
Julie se redressa et vint reprendre mon sexe en bouche.
— Quand tu auras fini, on retournera prendre une douche. Ensuite, je te propose de se commander à manger et de se poser devant un film.
Elle joua avec le sperme encore sur ma queue du bout de sa langue avant de l’avaler. Puis elle se releva et partit en direction de la salle de bain en me lançant un simple :— Pizza pour moi !!!
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