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J'ai déconné

Chapitre 5

La base de la politesse

SM / Fétichisme
J’attendis quelques secondes d’entendre l’eau couler, puis me mis sur mon ordinateur pour faire quelques courses, du genre de celles qui vous frustrent, qui vous contraignent, et qui finalement vous libèrent. Une fois mes emplettes terminées, je basculai sur mon téléphone pour commander les pizzas, c’est à ce moment que Julie sortit de la salle de bain. Enroulée dans une autre serviette que celle gisant sur le canapé. Elle approcha de moi d’une démarche féline, son regard fixé sur moi. Elle hésita un instant puis s’installa sur le canapé avec moi. Je passai un bras autour de ses épaules pour la blottir contre moi. Si elle se tendit au contact de mes doigts, toute sa nervosité s’évanouit quand sa tête trouva sa place au creux de mon épaule. Elle fut soudainement prise de tremblement.
— Tout va bien ? m’enquis-je.— Oui, c’est juste que, tout ça, cette situation, toi, ça me plaît plus que ce que j’aurais pensé et... ça m’impressionne aussi. Tu m’impressionnes.
Elle ne me regarda pas dans les yeux en lâchant cette confession, elle serra mon bras plus fort contre elle comme pour éviter que je m’échappe, non plutôt comme si elle ne voulait pas que la laisse s’échapper. Je la fis se relever et de deux doigts sur le menton, je tournai son visage face au mien. Je plongeai dans son regard, j’y lus de la crainte, de l’affection aussi, mais surtout de l’envie, l’envie d’être là et d’y rester. La prédatrice avide de plaisir charnel de la veille s’était envolée, remplacée par une jeune femme qui craignait de perdre ce qu’elle avait désiré si longtemps et enfin obtenu.D’un baiser, un simple baiser, sincère et sans arrière-pensées, je clos cette discussion et en entamai une autre sans paroles. Quand nos lèvres se séparèrent, rien n’avait changé, mais le monde était quand même plus beau. Je voulais cette femme dans ma vie pour toujours, mais pas n’importe comment, pas trop vite.
— Julie, tu veux bien devenir ma soumise ? Selon mes règles ?— Je pensais t’avoir fait comprendre que oui, tu penses à quoi ?— Je vais te dire clairement ce à quoi je pense, tu ne dormiras pas ici ce soir.
Je vis ses yeux se remplir d’incompréhension, mais je la serrai contre moi plus fort.
— Il est trop tôt pour que tu vives ici, tu es à moi, mais tu vas continuer à vivre comme avant à quelques différences près. Tout d’abord si tu veux te caresser ou coucher avec quelqu’un d’autre, tu pourras le faire uniquement si tu me demandes ma permission avant et que tu as mon aval. Ensuite, tu dois comprendre que j’aurai des rapports sexuels avec d’autres partenaires que toi et que ça n’a absolument aucun rapport avec notre relation.
Je marquais un temps d’arrêt avant de continuer pour jauger sa réaction, Julie ne sembla ni inquiète ni pensive, mais simplement attentive, je lui expliquai ce qu’allait être son future dans les semaines, peut-être mois ou même année à venir, et elle accueillit tout cela sans ciller.
— Certains jours, tu recevras des consignes de ma part par message, j’attends de toi que non seulement tu y obéisses, mais également que tu m’envoies des photos prouvant que tu m’as obéi. Je veux aussi que tu fasses un dépistage complet, il est hors de question que je continue de baiser ma soumise avec une capote plus longtemps.
Je crus voir un sourire se former au coin de sa bouche, mais sans en être certain. J’allais continuer au moment où l’on sonna à la porte. J’avais complètement oublié les pizzas.
— Tu vas chercher les pizzas ?— Avec plaisir, je meurs de faim. Julie se leva pour aller ouvrir la porte, mais juste avant qu’elle quitte le salon, je la fis s’arrêter.
— Enlève la serviette.
Un large sourire se dessina sur son visage
— Les pizzas vont refroidir, mais si tu insistes. — Tu m’as mal compris, tu vas aller chercher les pizzas, mais sans la serviette.
Il lui fallut une seconde pour comprendre ce que cela impliqua, le rouge aux joues, elle fit tomber sa serviette et prit la direction de la porte d’entrée. Elle revint quelques secondes après, penaude.
— Il faut payer les pizzas...
Je me levai, pris mon portefeuille et passai devant Julie sans dire un mot pour finalement arriver devant le livreur qui affichait une mine hébétée. Je lui demandai combien je lui devais et payai par CB. Durant tout notre échange, ses yeux cherchaient Julie, toujours nue derrière moi, mais revenaient sur moi dès que je le regardais. Etonnement, il excella à effectuer cette navette oculaire.Une fois le règlement effectué, je pris les pizzas et remerciai le livreur avant de marquer un temps d’arrêt. Je me tournai vers Julie qui resta coite. Au moment où le livreur nous saluait pour prendre congé, je le retins par un :
— Un instant s’il vous plaît !
Julie et lui me jetèrent un regard de surprise, je posais les pizzas et revins vers eux et me tournai vers ma nouvelle soumise.
— Je ne t’ai pas entendue remercier ce monsieur.— Oh pardon, merci mo... J’interrompis ses remerciements et me tournais vers le livreur.— Monsieur, je vous présente mes excuses pour le comportement de ma soumise, elle commence à peine son dressage. Je vous saurais gré de bien vouloir la punir comme elle le mérite.
Quand j’eus terminé ma phrase, le livreur me regarda incrédule et je vis Julie du coin de l’œil relever subitement la tête. Je pris l’initiative, profitant de la surprise, j’attrapai la main de Julie de façon à la positionner dans l’encadrement de la porte, dos au livreur. Je lançai ensuite au livreur :
— Dix fessées devraient être suffisantes.
Abasourdi, le livreur me regarda en alternance avec le fessier de Julie.
— Vous êtes sûr ? Enfin, je veux dire, mademoiselle ne veut peut-être pas...
Julie interrompit le livreur en regardant ses pieds :
— Mettez-moi ces fessées s’il vous plaît, je vous ai manqué de respect et j’ai fait honte à mon maître... punissez-moi s’il vous plaît.
Elle trembla, mal à l’aise, et relevant les yeux vers moi. J’y lus de la gêne, mais également de la détermination et de l’excitation. Le livreur tendit la main pour toucher ses fesses, le contact de sa peau sur la sienne la fit frémir. Un silence d’appréhension régnait dans ce couloir d’immeuble, je me penchai à l’oreille de Julie avant de lui susurrer :
— Imagine que le voisin de ce matin repasse maintenant dans le couloir, il t’aura vue nue et en train de te faire fesser, il va te prendre pour une sacrée salope.
Si précédemment, elle rougissait de gêne, elle devint écarlate après cette phrase, il me sembla la voir serrer les cuisses pour dissimuler son excitation.Slap La première fessée tomba sèche et raisonnant bruyamment dans le couloir, le livreur marqua un temps d’arrêt comme pour s’assurer que la jeune femme qu’il venait de frapper allait bien et n’avait pas changé d’avis. Une fois rassuré, il reprit son œuvre, la deuxième fessée puis la troisième s’enchaînèrent rapidement. Julie tenta tant bien que mal de dissimuler le feu qui grandissait entre ses cuisses. Lorsque le quatrième coup tomba, je crus que ses genoux allaient flancher, mais elle tint bon, à partir du cinquième, elle laissa échapper un soupir. Elle leva ses yeux débordants d’envie vers moi, j’attrapai un de ses mamelons pour le faire rouler entre mes doigts, lorsque le sixième coup tomba, je pinçai le téton. Julie gémit de manière audible et ses jambes la trahirent, et s’écroula à genoux, tremblante.
Le livreur me jeta un regard interrogatif, d’un mouvement de tête, je lui fis signe de finir. Lorsque le dernier coup tomba, Julie tremblait comme une feuille, je la saisis par les cheveux et la tournai, toujours à genoux vers le livreur. Son visage était couvert de larmes, sa salive coulait encore le long de son menton, son excitation atteint un tel point qu’elle devait en être douloureuse.
— Tu n’as rien à dire à monsieur ?
Julie leva les yeux vers son bourreau, cependant, ils marquèrent un arrêt sur sa braguette qui n’échappa ni à lui ni à moi.
— Merci de m’avoir punie, monsieur.
Je fis signe à Julie de rentrer, elle avança tant bien que mal à quatre pattes. Puis je fis un dernier signe de tête envers le livreur en guise de salut avant de refermer la porte. Lorsque je me retournai, Julie était toujours au sol, se tenant les fesses écartées.
— Je vous en supplie maître, baisez-moi, j’ai besoin de jouir, j’ai besoin de me sentir prise.
A ce moment-là, ma seule envie fut de céder, de la souiller comme jamais, de la faire jouir au point de lui faire perdre connaissance. Mais j’étais guidé par mes vices, et ce, depuis toujours, à ce moment, je voulais vraiment voir quelles étaient ses limites, alors je tins bon.
— Non.
Julie se tourna vers moi, surprise, craintive même, elle ne comprit pas.
— Mais pourquoi ?— Tu as reçu ta punition de la part du livreur pour ton manque d’éducation, mais pas la mienne, nous allons manger et après, tu rentreras chez toi, je t’interdis de coucher avec qui que ce soit d’ici lundi, interdiction de te toucher également. Lundi soir, tu viendras ici et si tu as respecté ta punition et fait tes dépistages, nous pourrons continuer ce que nous avons commencé.— Je... bien maître, dans ce cas, m’autorisez-vous à partir immédiatement pour remplir ces tâches ? Je souhaiterais m’y atteler le plus vite possible.
Je restai sur le cul... non seulement elle ne se démontait pas, mais elle prenait les devants pour satisfaire ce que je lui imposais.
— Je t’en prie.
Julie rassembla vite ses affaires, se rhabilla et sortit de l’appartement après m’avoir dit au revoir.Je me retrouvai seul avec une trique d’enfer et deux pizzas.Je fis un sort à la mienne et mis la seconde au congélateur. Je pris 5 mn pour réfléchir à la suite, beaucoup de choses étaient arrivées en 24h, je devais m’organiser efficacement pour répondre à tous les impératifs que j’avais acceptés.
Je fus tiré de mes pensées par un SMS :
— Bonjour, c’est votre livreur, j’ai récupéré votre numéro sur votre commande. Merci pour cet accueil, c’était inhabituel.
Avant que je puisse répondre, je reçus un second message.
— Merci également pour le pourboire.
Là par contre, il m’avait perdue, je lui renvoyai un message :
— Le pourboire ?
Le message suivant du livreur contenait trois photos, sur la première, on voyait Julie en train de sucer un sexe que je devinais être le sien, yeux fermés, dans ce qui semblait être un petit local.Sur la seconde, elle était en levrette et se faisait besogner par le photographe.La dernière photo était tout simplement ma petite salope, le visage en extase recouvert de sperme, les photos étaient accompagnées d’un message :
— Une chienne pareille, j’en ai jamais vu, elle m’a vidé les couilles comme un aspirateur. Je voulais vous donner mon numéro si jamais elle souhaite remettre ça.
Si je fus en colère de cette trahison quelques minutes, je revins vite sur de la joie.Julie voulait sincèrement être ma soumise et était particulièrement excitée par les châtiments corporels, mais elle avait également beaucoup de mal à contrôler sa libido, cette situation me promettait des scénarios que je n’avais pas envisagés de prime abord.Je me mis sur mon PC pour modifier la commande que j’avais effectuée plus tôt. Je souris à l’idée de ce qui attendait Julie lundi soir.
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