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J'ai déconné

Chapitre 6

Un pas de plus vers la soumission

SM / Fétichisme
Le lendemain, Julie m’envoya un message me demandant des nouvelles ou si j’avais des consignes pour elle. Je ne répondis pas, elle savait ce que j’attendais d’elle et dans mon esprit, l’ignorer jusqu’au lendemain était une petite vengeance pour son incartade de la veille, en attendant de régler ça en face à face...Je créai un groupe Whats’app et y invitai Thomas et Lucie, une fois assuré de leur présence sur la discussion, je leurs envoyai un message les informant que je passerais à 14 h récupérer mon portefeuille.
— Je serait absent à cette heure-là, j’ai un repas de famille et ils durent toujours une éternité, posta Thomas.— Tu y seras seul ou Lucie t’accompagne ? demandai-je.— Je reste à la maison, Thomas y va seul, répondit Lucie.— Dans ce cas, j’attendrai ton retour chez toi avec ta femme Thomas.— Je vais tâcher de faire au plus vite, conclut Thomas.
Je préparai mes affaires et le moment venu, je me mis en route pour l’appartement de Lucie et Thomas. En sonnant à la porte, je ne savais pas encore ce que je comptais faire, mais quand Lucie ouvrit la porte, mon instinct me cria des centaines de choses plus perverses les unes que les autres.Sa tenue n’avait rien de provocant, mais certaines fois, la simplicité dégage un charme irrésistible. Elle avait attaché ses cheveux en une queue-de-cheval haute, portait un jean qui épousait sa silhouette gracieuse et un haut à manches courtes qui mettait en valeur sa poitrine et laissait son charmant petit nombril apparent. Elle marqua un temps d’hésitation puis fit un pas en avant et me fit la bise. Elle me guida au salon et me rendit mon portefeuille, je m’assis sur le canapé où elle avait sucé son homme la veille.
— Dis-moi, tu as respecté mes consignes ?
Lucie resta muette, le regard fuyant, puis bougea sa tête de gauche à droite tandis que le rouge lui montait aux joues. Je sortis mon portable, et enclenchai un vocal sur notre groupe.
— Comment as-tu désobéi ? Tu as couché avec Thomas ?
Encore une fois, elle nia d’un mouvement de tête.
— Parle à voix Haute, lui lançai-je sèchement.
Lucie leva ses yeux vers moi et prit finalement la parole.
— Je ... je me suis caressée... sous la douche.
— Tu as joui ? — Oui, dit-elle, détournant le regard.
J’envoyai le vocal de sa confession pour que Thomas puisse l’entendre et j’y rajoutai un simple :
— Ma consigne n’a pas été respectée, tu m’autorises à la punir ?
Le symbole « en train d’écrire » apparut et disparut plusieurs fois avant de livrer un simple :
— Oui.— Carte blanche ?— Carte blanche... fais ce que tu estimes nécessaire.
Je pense que j’ai dû afficher un sourire mauvais à ce moment-là, car je vis Lucie trembler lorsque je lui fis signe de consulter son téléphone pour voir la conversation. Quand elle finit sa lecture, je me levai et lui tendis la main. Ce moment était son point de non-retour si elle devait changer d’avis et mettre fin à tout ça, ça devait être en cet instant. Mais elle ne fit pas machine arrière, elle saisit ma main et se leva.Une fois debout, je fis le tour de son corps, quand je fus dans son dos, j’approchai mes lèvres près de son oreille et dans un souffle, je lui dis :
— Déshabille-toi.
Pendant un instant, tout son être trembla, et doucement, sans se retourner, elle commença son effeuillage. Une fois Lucie nue, je me plaçai face à elle. Elle fuit mon regard, mais resta immobile. D’un doigt sous le menton, je levai son visage vers le mien. Durant un instant sans doute infime, je plongeai dans son regard, un abime de désir menaça de m’engloutir. Mon éternité éphémère de trouble prit fin quand Lucie trembla et détourna les yeux.
— Tu as froid, demandai-je ? — Non.
Lucie continuait de trembler et de fixer le sol quand elle me répondit. Je ne pus retenir un sourire, elle tremblait à cause de moi et elle le savait.D’un geste, je la fis s’agenouiller.
— Garde les mains dans le dos.— Oui Marc.
D’une main, je pris Lucie en photo et l’envoyai à Thomas accompagnée d’un simple « Je continue ? ». La réponse ne se fit pas attendre, Thomas devait devenir dingue de savoir son plus vieil ami seul avec sa femme nue à ses pieds. Un OUI accompagné de multiples points d’exclamation me conforta dans le consentement de mon ami. Très vite suivi d’un second message me demandant de continuer à lui envoyer des photos. Je tournai autour de Lucie comme un lion autour de sa proie pour finalement m’arrêter en face d’elle.
— Tu as un mot d’arrêt ?
Lucie me regardait sans comprendre, puis fit non de la tête.
— Un mot qui ne peut pas être dit par accident, si tu le prononces, j’arrête tout, je ne suis pas un violeur, je ne te ferai rien contre ton gré.
Lucie baissa la tête, le regard perdu vers le sol, puis reporta son regard vers moi.
— Tu penses que je peux prendre « Archange » ?
Je souris, je n’étais pas spécialement croyant et mêler la religion au sexe était une idée extrêmement plaisante pour moi.
— Va pour « archange » alors. Je vais te frapper et te faire mal pour te punir, quand j’aurai fini, tu me diras merci et tu reprendras la position dans laquelle tu es actuellement, j’ai été clair ?— Oui.
Le coup partit sans prévenir, une claque sèche dont le but était de surprendre plus que de blesser.
— OUI MARC, insistai-je en espaçant les mots.— Oui Marc... pardonne-moi.
Je m’installai sur le canapé, posai mon téléphone, caméra allumée contre un accoudoir, et fis signe à Lucie de s’allonger en travers de mes genoux. Une fois en place, elle était face au téléphone et fuyait l’objectif du regard. A ce moment, je savourai sa peau douce et frissonnante du bout de mes doigts, puis je levais la main avant de retomber sèchement sur ses fesses. Elle se cambra, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Je réitérai mes coups alternant entre la fesse gauche et la droite, caressant de temps en temps entre deux fessées. Au bout d’un moment, son postérieur vira au carmin et ma main glissa sur un coup maladroit. Mes doigts arrivèrent entre ses cuisses, et je constatai qu’elle était trempée. Mon index épousa le tracé de ses lèvres quand, vaincue, elle laissa échapper un soupir.

J’accentuai les coups sur ses fesses qui commençaient à se grêler d’hématomes. Quand le dernier coup tomba, je lui fis comprendre de reprendre sa position d’attente, à genoux, et tête droite.
— Merci Marc pour ma punition. Ses paroles étaient sincères, et nous savions tous les deux qu’à cet instant, nous voulions plus que ça.— Tu as admirablement bien supporté ta punition, je te félicite.
Je me retournai et coupai l’enregistrement avant de l’envoyer à Thomas. Quand je fis de nouveau face à Lucie, j’étais affamé, d’elle, de son corps, de son odeur, de ses bruits. Je pressentis un appétit similaire de son côté, mais je devais en avoir le cœur net.
— Tu te souviens de ton mot d’arrêt ?
Lucie acquiesça en lâchant un simple « archange » du bout des lèvres pour m’assurer qu’elle était pleinement consciente d’elle-même. Je fondis sur elle, l’attrapant par la gorge pour la relever avant de la faire choir vers le canapé. Son regard ne décrocha pas du mien, je mis genoux à terre avant d’ouvrir ses cuisses d’une main sur chaque genou. Elle ne dit rien, se contenta de me regarder pour savoir jusqu’où j’irai. Je voulais boire le Calice de ma trahison envers Thomas jusqu’à la lie, j’avais baisé sa sœur, j’allais savourer sa copine. Je savais que j’allais me détester après, mais je m’en moquai sur le moment.
Ma bouche s’ouvrit pour se refermer sur son clitoris, sans douceur, je voulais juste la dévorer, boire son plaisir à la source. Je l’entendis haleter, ses mains s’enfoncèrent dans mes cheveux, me plaquant contre son sexe, comme pour m’empêcher de m’échapper. Et soudain, elle trembla, convulsa sans s’arrêter. Un long gémissement marqua le retour au repos de son corps. Je laissai glisser ma langue sur le clitoris un instant avant de me relever.
— Tu devrais filer à la douche, je ne doute pas que Thomas se précipite ici après la vidéo que je lui ai envoyée.
Lucie acquiesça d’un signe de tête, mais je voyais bien qu’elle avait besoin d’encore un moment pour récupérer.Au moment où je m’éloignai d’elle, elle agrippa ma main, me lançant un simple :
— Sois mon maître.
Je la relevai et d’une tape sur les fesses, je lui répondis simplement :
— A la douche !
La belle disparut en trottinant dans la salle de bain. Je restai sur le canapé, inspectant mon téléphone. Thomas avait bien renvoyé un message informant qu’il rentrait de suite, évidemment qu’il rentrait, il avait reçu une vidéo de sa copine mouiller sous les coups de son meilleur pote, il devait être sur des charbons ardents. Lucie aimait être soumise et Thomas aimait la voir jouir, autant leur faire plaisir à tous les deux.Lorsque Lucie revint, je lui demandai un whisky sans glace, un marqueur et de quoi l’attacher, même si elle marqua un temps d’arrêt, elle s’exécuta avec, il me semble, un léger sourire aux lèvres.Lucie reparut rapidement devant moi avec tout ce que je lui avais mandé, et se mit d’elle-même à genoux devant moi.
— Tu vas me prendre ? demanda-t-elle, visiblement pleine d’espoir.— Non, je vais te préparer pour Thomas, je pense qu’il va te sauter dessus dès qu’il aura passé la porte.
Si elle fut déçue par la réponse, elle n’en montra rien. Je passai ses mains dans son dos et les attachai avec le lien qu’elle m’avait ramené. A ma grande satisfaction, je constatai qu’elle était encore trempée de désir. Une fois entravé, je décapuchonnai le marqueur et décorai son fessier à ma convenance.
— Tu as interdiction de bouger jusqu’au retour de Thomas, tu m’as compris ?
Elle leva la tête un instant pour me répondre :
— Oui Marc.
Je m’assis à côté d’elle, sirotant mon verre. Lorsque Thomas finit par rentrer, il se précipita dans le salon et fut visiblement incrédule, face à la scène devant lui. Son meilleur ami buvait un verre en regardant la télé tandis que la femme qu’il aimait était nue, à genoux, jambes écartées, dos à la porte, les mains attachées dans le dos.Les yeux de Thomas firent quelques allers-retours entre moi et Lucie.Je décidai de rompre le silence :
— Ah Thomas tu arrives enfin, Lucie penche-toi en avant s’il te plaît.— Oui Marc.
Lorsque sa femme posa le front contre le parquet, je craignis que Thomas fasse un arrêt. D’où il était, il avait une vue parfaite sur les lèvres de Lucie, ouverte et luisante d’envie, mais surtout sur le message que j’avais laissé à son intention.
SOUMISE
Le mot était écrit en majuscule, et le O était remplacé par l’œillet de Lucie palpitant à chaque respiration. Ce fut trop pour Thomas qui n’y tint plus, il ouvrit son pantalon et prit Lucie dans l’instant. Lorsqu’il la pénétra, elle leva son regard vers moi, reconnaissante de l’avoir menée à cette situation. Mon ami m’étonna davantage, je ne le pensai pas capable de se déshabiller et de prendre sa femme devant moi.Mais Thomas était perdu dans son ivresse de luxure.Il prenait ou plutôt pistonnait Lucie à un rythme régulier accompagnant chaque pénétration d’un :
— Salope, salope.
Lucie aussi sembla apprécier le changement de caractère de son homme, ils étaient beaux ensemble, mais je me sentais envieux de Thomas, c’est moi qui avais chauffé sa petite salope tout l’après-midi et c’est lui qui en profitait.Il faut croire que le destin était attentif à mes prières. Très rapidement, je vis Thomas se crisper et lâcher un « ahhhhh » significatif, je savais qu’il jouissait, mais également que Lucie en voulait plus. Il se retira, reprit son souffle en admirant son œuvre, mais lui aussi compris que sa femme était loin d’être satisfaite de sa prestation. Sans dire un mot, il se leva, se rhabilla et sortit du salon. Lucie était là, la chatte dégoulinante et agitant ses fesses pour signifier qu’elle en voulait davantage. Lorsque Thomas revint, il me lança un petit objet. Ce dernier tomba à mes pieds, juste devant les yeux de Lucie, et j’identifiai, incrédule, un préservatif.Je levai les yeux vers Marc, serein, qui ouvrit enfin la bouche :
— Marc, prends-la comme elle le souhaite et fais-la jouir s’il te plaît.
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