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Découverte du SM

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Chapitre 2 où les choses se corsent.
Résumé du chapitre 1 : Maitresse Cathy a décidé de passer à une deuxième étape dans ma soumission. Elle m’a offert une tenue de soubrette et veut que je la baise dans cette tenue.
Parvenus dans notre chambre, elle me pousse sur le lit. « Allonge toi, aujourd’hui tu vas me servir de sex-toy. »Elle se mit à genou au-dessus de ma queue, rabattit le petit tablier sur mon ventre et plaqua sa chatte sur ma bite. Elle commença un langoureux frottement de son clito sur ma tige tout en se pinçant les tétons. Le mouvement s’accéléra et elle finit par obtenir un premier orgasme. Elle redressa alors ma bite à la verticale et se la rentra dans la chatte. Commença alors une chevauchée tumultueuse dont elle faisait varier la vitesse, me présentant tout à tour son ventre ou ses fesses. Elle finit par jouir à nouveau et s’écroula sur moi haletante et trempée de sueur, ma bite toujours dans la chatte.
J’avais vraiment eu beaucoup de mal à me retenir d’éjaculer. Elle finit par reprendre son souffle et se dégagea de mon sexe. Elle s’allongea à côté de moi et me susurra à l’oreille : « Comme soubrette tu me satisfais autant qu’avant, c’est bien ! Tu vas avoir droit à un deuxième cadeau. Tu vas avoir accès à un endroit que je te refuse depuis un certain temps. Je t’autorise à me lécher la rondelle. » Elle me présenta ses fesses et les plaqua sur mon visage. Je tirai la langue et elle positionna sa rondelle au-dessus de ma bouche.« Lèche la bien, titille la, soit une bonne chienne ! »Elle se caressait le clito en même temps et au bout de longues minutes parvint à jouir une troisième fois.
« Maintenant, tu te déshabilles et tu dors. Ta journée de demain va être longue et surement éprouvante. »« Comme celle d’aujourd’hui ne l’avait pas été » pensais-je avant de sombrer dans le sommeil.
Le lendemain matin, je me réveillai de bonne heure, pris ma tenue de soubrette et descendis au rez-de-chaussée pour m’habiller sans réveiller ma femme. En passant dans le salon, je m’arrêtai dans le salon et me dirigeai vers le colis au contenu mystérieux. Que pouvait-il encore contenir ? Je me penchai pour l’ouvrir mais j’y renonçai préférant finalement avoir le plaisir de la découverte en compagnie de ma Maitresse. Je préparai donc le petit déjeuner, mangeai le mien et montai le plateau à ma femme chérie.« Bonjour Maitresse Cathy, je vous souhaite une bonne journée. »« Merci ma soubrette chérie. Dès que tu auras débarrassé mon petit déjeuner et fait la vaisselle, tu te mets en tenue de ville. Je t’ai préparé une liste de courses pour le magasin de bricolage et une autre pour les aménagements à faire dans le débarras du sous-sol. »Elle me tendit une enveloppe fermée.« Tu l’ouvriras après mon départ. Je vais aller faire un peu de shopping avec Florence. Je serai de retour en fin d’après-midi. J’espère que tout sera fait selon mes désirs. »
Une demi-heure plus tard, je me retrouvai seul à la maison. Je me dépêchai d’ouvrir l’enveloppe et son contenu ne me laissa aucun doute sur les intentions de ma femme. La liste de course comprenait tout ce qu’il fallait pour réaliser une suspension identique à celle que j’avais vu chez Bernard et Florence. La liste des aménagements indiquait où je devrais fixer les anneaux, leur écartement, la mise en place de deux fauteuils, d’une table de salon ainsi que d’une table à proximité de mon futur endroit de suspension.Ce qui m’intrigua le plus fut la demande de deux fauteuils puis, me souvenant qu’elle sortait avec Florence, j’en déduis qu’il y allait y avoir une invitée.
Il était déjà tard et je me dépêchai d’aller faire les courses. De retour, je nettoyai et j’aménageai la pièce comme il m’avait été demandé et j’eus fini vers 17 heures. J’en profitai pour aller prendre une douche, mettre ma tenue de soubrette et attendre Maitresse Cathy à genou devant la porte n’ayant pas d’autres tâches programmées.
Voilà une demi-heure que j’attendais à genou assis sur mes talons quand la porte s’ouvrit. Maitresse Cathy était seule. « Va décharger la voiture. A ton retour, nous iront vérifier tes travaux. »C’était la première fois que j’allais sortir dans cette tenue. Je fis aussi vite que possible pour ne pas être vu bien que la probabilité fut mince étant donné la configuration de la maison et du lotissement. Je posai ses paquets et précédai ma maitresse jusqu’à la pièce qui allait devenir son donjon.« Ça m’a l’air correct. Mets-toi sous les crochets et écarte les jambes et les bras que je vérifie l’écartement des anneaux. »J’obéis et me plaçai en croix à l’endroit de mon futur lieu de supplice. « Parfait ! Tu feras passer 5 mètres de corde dans les anneaux du haut et celui fixé dans le mur derrière toi, un mètre dans chaque anneau de pied et tu poseras ce qu’il restera sur la table. Je vais prendre ma douche. Quand tu auras fini, tu me serviras mon apéro et tu feras un diner léger, nous avons un peu abusé ce midi avec Florence. »
« Elle revenait sur le tapis ? Allait-elle ou non assister à la séance inaugurale ? Serais-je humilié en plus d’être torturé ? Que refermait encore le colis ? Aurais-je droit de jouir et d’avaler mon sperme ou non ? »Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête. Mon inquiétude grandissait de minute en minute et ma bite indiquait clairement que mon moral n’était pas au beau fixe alors que j’aurais dû être excité comme une puce à l’idée de connaitre de nouvelles pratiques et de faire plaisir à Maitresse Cathy.Maitresse Cathy ne porta pas attention (ou fit semblant) à ma mine abattue et nous eûmes rapidement fini le repas.
Elle se leva, moulée dans sa combinaison de lycra.« L’heure est venue mon chéri. Retire tes affaires et mets ton collier de chien. »Quand je fus nu, elle me demanda de prendre le colis et de le descendre sur la table du donjon. Elle me suivit dans l’escalier et lorsque Je l’eus déposé sur la table, elle me fit mettre à quatre pattes sous les crochets, la tête entre les bras. Je l’entendis déposer des objets sur la table. Quand elle eut fini elle me demanda de me lever et d’écarter les jambes. Elle m’attacha les chevilles aux anneaux fixés au sol puis m’attacha les poignets avec les cordes des anneaux du plafond. Elle tira dessus pour me mettre les bras en croix au-dessus de ma tête et les attacha à l’anneau du mur.Je n’en menais toujours pas large et ma bandaison avoisinait le zéro.
« Hé bien mon petit Francis, tu n’aimes pas ce que te fais ta maitresse ? »« Si, Maitresse Cathy, mais je dois avouer que j’ai peur de ce qui m’attends. »« Petite chochotte ! Il ne va t’arriver que du plaisir, tu vas voir. »Elle me prit le sexe à pleine main et commença à me masturber, doucement d’abord puis de plus en plus énergiquement en serrant ma tige de plus en plus fort au fur et à mesure que je raidissais. Le résultat ne se fit pas attendre et j’arborai bientôt une bandaison tout à fait correcte. Elle partit chercher un cockring et me le posa. « Avec ça, pas de risque que tu débandes. »« Tu te souviens de ce que faisait Florence à Bernard ? »« Oui, Maitresse Cathy. »« Alors demande-moi de te faire la même chose. »« Maitresse Cathy, s’il vous plait, torturez moi le sexe. »« Tu le veux vraiment ? »« Oui, Maitresse Cathy. »
Elle me planta ses ongles à la base de la tige et remonta petit à petit vers mon gland. La douleur grandissait et je finis par lâcher un cri.« Tu souffres en silence ou je te bâillonne ! »Elle reprit sa torture à la base de ma tige et cette fois monta jusqu’au gland. Elle y planta ses ongles en tirant dessus. La douleur fut atroce mais je réussis à ne pas hurler. Elle me lâcha et sans me laisser souffler les planta à la base de la collerette et tira de nouveau. Je ne pus m’empêcher de crier. Elle partit de nouveau fouiller dans le carton et en ramena une petite balle de mousse qu’elle me mit dans la bouche.« Je n’ai que ça pour te faire taire pour le moment. Je crois qu’il va falloir que j’investisse dans un vrai bâillon. »
Elle recommença à jouer avec ma bite mais plus gentiment. Quand ma respiration eut repris un rythme normal, elle m’attrapa la base des couilles et les tordit violemment. Un râle sortit de ma bouche bloquée par la balle. Elle les tordit dans l’autre sens. Nouveau râle. Sans arrêter la torsion, elle me les tira vers elle en donnant des petits à coup rapides. Elle me garda les couilles étirées quelques instants et commença à les serrer dans le creux de sa main. Je gémissais en continu, ballotant la tête de droite à gauche comme si ça pouvait me soulager. La pression baissa et elle lâcha mes boules.« J’ai soif. On va faire une petite pause. »Elle me retira ma boule-bâillon et monta à l’étage.
J’étais pantelant, mon sexe était affreusement douloureux mais toujours aussi raide. Je me penchai pour constater les dégâts. Ma bite était couverte de virgules, traces des ongles que ma maitresse avait enfoncés dans ma peau et mon gland. En plus, l’engorgement provoqué par le cockring faisait que ma queue avait pris une vilaine couleur bordeaux.« Putain ! Ce n’est pas fini ! Elle va remettre ça ! Que va-t-elle inventer ? Florence avait été plus cool avec Bernard ! »Je n’eus pas le temps d’approfondir mes réflexions car j’entendis ses pas dans l’escalier.
« Alors ma petite chose, on a apprécié mes caresses ? »« C’était vraiment très dur, Maitresse Cathy. J’ai eu vraiment très mal. »« J’espère bien ! C’était fait pour. »Elle prit le restant de corde, fit un nœud autour de mes couilles. Elle passa l’autre extrémité dans un anneau que j’avais fixé au sol deux mètres devant moi et tira. Je me retrouvai complètement arqué les couilles étirées et la queue à l’horizontale. Elle s’approcha de moi, me malaxa les seins, me pinça et m’étira les tétons. Je gémis mais plus de plaisir que de douleur.« Tu aimes ça on dirait ! Je vais prolonger ton plaisir. »
Elle revint avec une boite pleine de pinces à linge, m’en plaça une sur chaque téton et entreprit de poser le reste sur mes seins. La douleur était vive, surtout aux tétons, mais supportable. Quand toute la peau disponible fut occupée, elle recula pour contempler son œuvre. « Pas mal du tout ! Il faut immortaliser ça. »Elle alla chercher un polaroid dans le carton et prit quelques photos. Quand la réaction fut terminée, elle me les montra.« Tu crois que Florence va aimer ? »J’avais eu la souffrance, j’aurai l’humiliation en plus.
A suivre…
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