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La découverte!!!

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous, moi, c’est Clémence.
Je viens d’un petit village dans les Landes vers le bord de mer et oui, j’ai cette chance !! Je vais vous raconter aujourd’hui une petite aventure très sympathique que j’ai partagée avec un jeune homme l’année dernière durant les nombreux ponts issus des différents jours fériés. Aventure qui d’ailleurs m’a ouverte à une nouvelle pratique qui rend à mon grand étonnement les garçons relativement dingues. Mais d’abord, pour ceux qui ne me connaissent pas, bien sûr, une petite présentation s’impose.
Physiquement, je ne suis pas le top model dont tout le monde rêve, mais j’ai quand même mon succès. En effet, je suis petite, 1m58, avec de petites formes très raisonnables. Je me suis récemment coupé les cheveux qui sont à présent relativement courts et en été, c’est plutôt agréable. Mes yeux sont verts et éclatants avec ce magnifique soleil. Je suis très fière de mes seins qui arborent un joli 85B et le fait de ne pas avoir eu d’enfant à 43 ans me permet de proposer de très belles formes de ces derniers. Dans la vie, je suis traductrice d’ouvrages, notamment en anglais et espagnol. Depuis quelque temps et une rencontre très motivante, je me lâche pas mal au niveau sexuel, car avant, je ne voyais pas grand monde et je restais beaucoup chez moi.Comme je vous disais lors des différents ponts des mois derniers, plusieurs amis sont venus chez moi avec pour l’un des couples, un ami qui est également venu profiter de ce bel océan, mais je ne le connaissais pas d’avant. Il se prénommait Vincent et il était, je dois dire, fort charmant.Après nos retrouvailles, nous dînions ensemble et les éclats de rire ne se firent vraiment pas discrets, mais qu’est-ce que c’était plaisant de rire ainsi entre amis !! Sur la fin du repas, j’évoquais le programme du lendemain et toute l’assemblée se réjouissait de partager un bon moment à la plage. Quant à moi, lors d’un petit concert improvisé par un ami, j’en profitais pour discuter avec ce Vincent que je ne connaissais pas. C’était un garçon vraiment charmant légèrement grisonnant, mais des yeux d’un bleu rrrrrrr à se plonger dedans.
Sa compagnie m’était très agréable et a priori la mienne pour lui l’était tout autant. Nous partions ensuite tous dans nos chambres respectives jusqu’au lendemain. La nuit fut très bonne et tout le monde était de bonne humeur, nous nous dirigions donc vers la plage sous ce magnifique soleil. Les garçons sont allés se baigner et nous nous sommes restées à discuter de nos années respectives, mais je ne vais pas rentrer dans les détails, car sans vraiment grand intérêt, mais il y avait du très croustillant de la part de mes copines. Les garçons revenaient des vagues et Vincent qui avait mis sa serviette juste à côté de la mienne se mit à l’envers, sa tête juste à côté de mes pieds. Je fus un peu surprise, mais il prétextait qu’il ne voulait pas entendre nos potins... et je le comprenais.Malgré nos discussions, je jetais de temps en temps un œil, car même s’il avait sa tête du coup vers mes pieds, moi, je pouvais facilement mater son très joli petit cul du coup et l’envie de le tâter n’était vraiment pas loin. Mais lors d’un énième coup d’œil vers son cul, je pouvais voir que lui aussi avait les yeux grands ouverts, mais sur mes pieds. J’étais un peu surprise, mais me trompais-je ? Possible, mais plus le temps passait et plus j’en étais persuadée. D’autant plus que lorsque nous sommes partis nous baigner avec les copines, il en avait profité pour se retourner et ensuite jouer au foot avec les autres garçons. Cela me surprenait, mais j’étais également excitée de savoir que quelque chose chez moi plaisait à Vincent. En revenant de l’eau, j’en avais le cœur net, car il était également revenu au même moment que moi sur sa serviette de plage. J’ai donc avec amusement pris le temps de bien mettre de la crème sur mes doigts de pieds et malgré ses lunettes de soleil, je pouvais facilement voir qu’il n’en perdait pas une miette. Je décidais donc à ce moment-là de profiter de cette situation et de jouer les allumeuses avec mes pieds, situation cocasse, mais qui me plaisait énormément.Le soir venu, chose que je ne faisais que très peu, je décidai, avec l’une de mes amies qui est très princesse, de me faire une belle manucure au niveau de mes petits pieds et j’avais à ce moment-là la chance d’avoir la peau mate alors ma copine me conseilla un joli blanc pour faire contraste. Je chaussais ensuite de magnifiques petites tongs et mon petit short pour rejoindre tout le monde sur la terrasse. Et bimm bingo, j’ai fait tout de suite mouche sur Vincent qui ne regardait que mes pieds. Lors du repas, les discussions allaient bon train, et ce, sur de nombreux sujets, que c’est bon de se retrouver entre amis quand même. Le logement où nous étions a ce grand avantage d’être bordé par un lac magnifique et notamment lorsque le soleil se couche. Après un dernier verre, nous décidions tous ensemble de nous baigner. Forcément, l’un des amis sortit la phrase facile.
— Ho, mais il est presque minuit. — N’y pense même pas !! rétorqua Béatrice, une bonne amie.
Nous nous sommes tous assis en cercle à discuter dans l’eau pour programmer la journée de demain. Certains voulaient retourner à la plage et d’autres faire du sport. Pratiquant moi-même le squash, je proposais cette activité.
— Ouarff trop chaud...— Moi oui, pourquoi pas, répondit Vincent.
Ce fut une aubaine pour moi, l’idée de feindre une entorse était trop belle.
— OK, va pour du squash alors Vincent.

Le lendemain matin, nous nous rendions au squash le plus proche et je dois dire que dans son petit short, Vincent avait un cul très attirant. La partie avançant Vincent gagnait, mais pas si facilement quand même. Vers la fin de la partie, lorsqu’il était devant moi sans me voir, je fis donc mine de m’écrouler au sol en me tenant la cheville.
— Tu vas bien ? — Aïe, je me suis tordu la cheville, je crois bien. C’est trop bête.— Laisse-moi voir !!
Les pupilles de Vincent se sont alors dilatées d’excitation. Tel un vrai gentleman, il retira avec douceur ma chaussure puis ma chaussette. Il prit le temps de faire glisser sa main sur tout le long de mon pied, il l’examinait tel un vrai docteur sans perdre une miette de cette offrande.
— Alors ? — Je pense qu’il n’y a rien, mais il vaudrait mieux retourner à la maison que je te mette de la crème.
Ben voyons, il jouait le rôle du parfait petit médecin à la perfection, mais son désir envers mes pieds me fascinait. Pour m’aider à me relever, je pris bien appui avec ma main sur le haut de sa cuisse, histoire d’effleurer ses fesses. J’avais moi aussi le droit à quelque chose quand même...Durant le trajet retour, c’était bizarre, nous ne discutions presque pas, mais je pouvais lire facilement dans les pensées de Vincent en observant cette légère bosse dans son short. Avant même que je ne puisse dire ouf, Vincent était revenu avec le tube de pommade.
— Alors, tu me fais voir !!— C’est bon, tu sais, je pense que c’était plus la peur sur l’instant. — On va mettre de la crème, ça ne mange pas de pain.
Il enduisait ses mains de crème et me frottait tendrement la cheville à de nombreuses reprises et cette fois-ci, j’en avais le cœur vraiment net, il aimait mes pieds. Son short ne laissait aucun doute sur ce qu’il contenait, à savoir une verge en pleine érection. Se laissant aller, il ne se rendait pas compte qu’il caressait également mes orteils.
— Vincent, c’est à la cheville que j’ai eu mal. — Oui pardon !!! me répondit-il d’un air gêné.
Je voulais vraiment rigoler de cette situation relativement insolite. Surtout qu’il me plaisait beaucoup alors quoi de mal à en profiter. Durant tout le reste de la journée, je m’amusais à frotter mes pieds l’un contre l’autre et à les badigeonner de crème dès qu’il portait le regard sur moi. Le plus dingue était lorsque j’écartais les doigts de pieds, il était comme figé devant moi. Mais que diable, il avait un beau cul et je n’avais jamais autant prêté attention à un match de Beach volley que durant cette journée. Durant la journée, nous avions fait avec les copines ces fameux tests des magazines et je décidais de le faire à Vincent juste parce qu’il y avait la question « ta couleur préférée ». Il me répondit le bleu. Du coup, l’occasion était trop belle. En effet, le soir même, nous décidions d’aller au restaurant et avec ma copine de nous refaire une manucure. Devinez quoi ?? J’ai choisi le bleu pour mes orteils ainsi qu’une magnifique petite bague.
— Tu es magnifique.— Merci, tu es pas mal non plus dans ton genre.
Je pense que l’attention lui a vraiment plu. Ils devaient tous repartir demain et mon petit jeu de pieds avec Vincent allait se terminer, alors, durant le repas, je décidais de monter d’un cran et la physionomie de table était idéale. Nous étions l’un en face de l’autre sur le bout de la table et de l’autre côté, c’était le mur du restaurant. Jusqu’au milieu du repas, je faisais mine d’être mal assise.
— Il y a un souci, me demanda-t-il ? — Non, du tout, mais je ne suis pas très bien assise.— Ha zut.
C’est alors que je glissai mon pied juste à côté de sa cuisse et le posai sur sa chaise.
— Ha, je suis vachement mieux, je ne te dérange pas j’espère, lui disais-je en souriant.— Non non, au contraire, me disait-il en souriant également.
Il était aux anges et très souvent, je voyais son regard se porter sur mon pied et bien sûr, j’en profitais pour écarter mes doigts de pieds au même moment. Mais il était timide et n’entreprenait rien du tout. Je ne cessais de faire bouger mon pied. C’est alors qu’il me le prit en main.
— Tu as la bougeotte, dis-moi !!— Oui désolé.
Mais il n’enlevait pas sa main. C’était son moyen à lui de faire une approche tendre. Le repas se terminait et nous rentrions à la maison et il faisait une chaleur d’enfer.
— J’irai bien me baigner moi, qui me suit ??
Vincent était forcément partant ainsi qu’un autre couple d’amis. Nous marchions pas mal pour avoir de l’eau jusqu’aux genoux, car ce lac offrait une zone de baignade avec de l’eau de très faible hauteur jusqu’à perte de vue, c’est très pratique, mais pas lorsque l’on veut vraiment se baigner. Il était presque impossible de voir la maison tant nous avions marché. Surtout que la nuit était presque totale avec une toute petite lune. Nos amis retournèrent à la maison et nous étions plus que tous les deux assis dans l’eau avec les coudes au sol. L’eau était vraiment bonne. Nous parlions de nos vies sentimentales et de nos échecs, une vraie discussion de fin de soirée quoi. Plusieurs fois, j’ai senti le pied de Vincent effleurer le mien, peut-être voulait-il renouer avec les moments du restaurant. En tout cas, j’essayais de l’exciter, je basculais ma tête dans l’eau pour mettre en évidence ma poitrine sous les faibles rayons de la lune. C’était un vrai gentleman limite un peu trop, il n’entreprenait rien du tout ou trop discrètement. C’était donc à moi de faire une nouvelle fois quelque chose.
— On peut à peine voir les potes sur la terrasse, me disait-il d’un drôle d’air.— Ils nous voient encore !!!— Si Franck était là, tu sais ce qu’il dirait ??
Ha ben voilà, il se lançait, car oui, je savais très bien ce que notre ami Franck dirait « Il est bientôt minuit et... ». Afin de prendre les devants, je décidais donc de très discrètement faire glisser mon bas de maillot sur le bout de mon pied. C’était le moment ou jamais !! Est-ce que j’allais prendre un refus catégorique, peut-être, mais bon, je suivais mon instinct.
— Que c’est l’heure du bain de minuit non ?
Et en lui disant ça, je sortis mon pied de l’eau avec mon bas de maillot accroché sur un orteil.
— Non ?? Il ne dirait pas ça ?
Et je rapprochais mon pied au fur à mesure près de son visage.
— En effet, c’est ce qu’il dirait, mais tu l’as deviné plus vite que moi...
Mon pied glissait sur son torse ainsi que mon maillot, Vincent laissait les choses se faire jusqu’à ce que mon orteil atteigne sa bouche. Il l’entrouvrit et commença à mordiller mon orteil. Ses yeux se fermaient et je pouvais lire le plaisir que mon orteil lui procurait. Avec sa main, il retira mon bas de maillot et embrassa mon pied tendrement. Il le mordillait, il s’en délectait sans aucune modération de plaisir. Mon autre pied se glissait le long de sa cuisse à l’intérieur de son short. Sa queue était dure et bouillante. Je m’appliquais à ce que mes orteils frottent bien le dessous de ses couilles, mais mon mollet était à l’étroit dans son maillot. Il se releva, l’eau lui arrivait au niveau des genoux et il me donna son maillot. J’étais sur le dos devant lui. Il prit mes pieds que je lui tendais et commença à se masturber à l’aide de mes pieds. Cette sensation était nouvelle pour moi, mais le voir prendre autant de plaisir m’excitait terriblement.
— Qu’est-ce que j’aime ça !!!!— Je vois ça !!!
Je me mis à genoux devant lui et commençai à le sucer tendrement. Son cul me faisant tellement envie que je mis mes mains sur chacune de ses fesses et hummm, elles étaient fermes, j’adorais les palper. Surtout que j’en profitais pour enfoncer un peu plus sa queue dans ma bouche. Elle était bouillante, c’était si bon.
— Viens là !!
Je me relevais et Vincent m’embrassa tendrement.
— Quand as-tu compris que j’adore les pieds ? — Dès le début, tu sais.
Il m’embrassa de nouveau et saisissait l’une de mes jambes pour la faire remonter le long de ses côtes. Je m’agrippais à lui pendant qu’il me pénétrait.
— Humm !! Je laissais échapper un petit cri lorsque son sexe rentra en moi. Les va-et-vient de Vincent étaient tendres et le fait que je fléchissais ma jambe, sa queue pénétrait profondément en moi c’était vraiment bon. Mais la position était vraiment inconfortable à la longue. Vincent s’allongea alors dans l’eau avec juste son gland qui émergeait de l’eau, c’était drôle. Je décidais de venir le chevaucher, mais de m’asseoir totalement sur lui me permettant ainsi de mettre mes pieds sur son visage. — Génial !!!
Il était très excité de cela. Mais sa vigueur envers mes pieds était tel qu’il négligeait légèrement de me baiser si bien que je le privais de mes pieds pour mieux les mettre à terre et me faire rebondir sur sa queue. L’eau nous éclaboussait.
— Putain, je vais jouir, me disait-il.
Il se releva et je voulais lui tendre mes pieds, mais trop tard, l’envie était trop grande que j’ai à peine eu le temps de revenir devant lui qu’il giclait. Mais j’ai quand même essuyé le bout de sa queue encore chaude de sperme grâce à ma langue. Il me releva et m’embrassa.
— Merci pour ce moment magique Clémence.
Je sentais au même moment ses doigts se glisser dans mes parties intimes. Il me mit en levrette dans l’eau et me doigta comme jamais. Sa queue était molle et j’essayais de l’empoigner pour repartir pour un tour, mais ses doigts allaient à une telle vitesse que je succombais très rapidement à un drôle d’orgasme que je ne saurais toujours pas expliquer aujourd’hui. (A suivre)
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