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Découverte de l'adultère... en famille !

Chapitre 2

Mon petit frère se joint à nous

Orgie / Partouze
Résumé du chapitre précédent :
Elisa, une jeune étudiante un peu frustrée sexuellement dans son couple, décide de rencontrer un homme qu’elle a connu sur internet pour le sucer. Le problème : le garçon en question n’est intéressé que par l’échangisme, il pose donc comme condition la participation du petit ami d’Elisa. Mais aucune chance pour qu’il accepte ! Consciente d’être sur le fil du rasoir, Elisa accepte en prétendant juste que son copain ne sera pas là la première fois. Elle se dit qu’elle n’aura qu’à tout arrêter ensuite. Ils se rencontrent donc et elle le suce comme elle en avait rêvé. Sauf qu’elle aime beaucoup, justement, et elle n’a aucune envie d’arrêter. Flairant le mensonge, il exige d’avoir une preuve de l’existence du petit ami d’Elisa. Coincée, celle-ci se résout à la seule solution qu’il lui reste : demander à son petit frère de se faire passer pour son copain…

##
— Tu veux qu’on fasse quoi ?!
Bien entendu, la réaction de mon petit frère a été assez conforme à ce dont il fallait s’attendre : un mélange de surprise et de dégoût.
Comme si ça ne me suffisait pas de me mettre dans la merde vis-à-vis de mon mec, de passer pour une menteuse nymphomane et adultérine devant mon amant, il fallait en plus que je détruise l’image que mon frère avait de moi !
— Il s’agirait juste de faire semblant ! ai-je néanmoins essayé de plaider. Je ne te demande pas de faire quoi que ce soit avec moi, juste de te faire passer pour mon mec devant des amis.
Il a réfléchi encore quelques secondes, je voyais bien que l’idée lui plaisait bien plus qu’il ne voulait l’admettre.
— Et qu’est-ce que j’y gagne, moi ? a-t-il encore demandé.— Tu pourras coucher avec une jolie fille.
Il a froncé les sourcils.
— Jolie ? C’est vrai ?
— Attends… ai-je répondu en cherchant dans mon sac.
J’ai fouillé quelques secondes, puis j’en ai sorti mon téléphone, que je lui ai tendu après avoir ouvert mes photos.
— Regarde, c’est une des photos qu’ils m’ont envoyé avant notre rencontre.
Il l’a évalué quelques instants.
— Ouais, pas mal, a-t-il concédé. Juste pas assez de poitrine, dommage.— Tu plaisantes ? Elle en a plus que Sanna !
[Sanna est la petite amie de mon frère]
— Et alors ? Quitte à tromper ma copine, j’aimerais bien le faire avec une fille qui a les seins dont je rêve !— Et c’est genre quoi, les seins dont tu rêves ? ai-je demandé.
Soudain, sans que je comprenne pourquoi, mon frère a commencé à rougir. Ça m’a étonné, parce qu’on a déjà parlé de sujets bien plus crus entre nous et jamais je ne l’avais vraiment vu gêné.
— Bah... je sais pas… un peu plus quoi. Genre comme toi.
Il a encore rougi en lâchant cela, et je suppose que je n’ai pas tardé à l’imiter.
J’avais la poitrine dont il rêvait ? Vraiment ?
Ça m’a flatté, mais ça m’a un peu dérangé aussi. C’était mon frère après tout, qu’il puisse regarder ma poitrine de cette manière avait quelque chose de… perturbant.Un silence un peu gêné a régné quelques instants, avant que je ne me décide enfin à le rompre.
— Alors, qu’est-ce que tu en dis ?
La fois suivante, c’est donc avec mon frère à mes côtés que je me suis présentée chez Mia et Maxime. Cette fois encore, c’est Mia qui nous a accueillis, mais Louis a rapidement rejoint Maxime dans la pièce à côté tandis que je discutais avec notre hôtesse dans l’entrée. Quand on est entrées dans la pièce, les deux mecs étaient déjà assis dans le canapé, une bière à la main, incarnant le machisme jusqu’à la caricature.
J’aime bien.
Soudain, Maxime s’est redressé, juste le temps de retirer son pantalon en même temps que son caleçon, puis il a fait descendre l’un et l’autre à ses pieds. Sa jolie bite est donc apparue à mon regard envieux. J’avais très envie de le sucer, même si j’étais toujours mal à l’aise vis-à-vis de la situation.
Il ne perd pas de temps !
— Tu viens me sucer Elisa ? m’a demandé Maxime, enjôleur.
J’ai acquiescé d’un signe de tête, puis je me suis approchée sans un mot.Du coin de l’œil, j’ai aperçu mon frère qui m’observait, fasciné. J’imagine que voir sa sœur accroupie devant un inconnu, dont le sexe pointe dans sa direction, cela doit faire bizarre. Mais on aurait dit qu’il y avait autre chose.
Comme s’il était… impatient.
J’ai chassé cette idée par trop étrange, puis j’ai tendu la main vers l’objet tant désiré.J’ai d’abord effleuré du bout des doigts la longue et fine tige de chair, et ce fut pour constater qu’elle était toujours aussi douce et chaude que dans mes souvenirs. J’ai parcouru ce membre viril avec délectation, en m’attardant quelques secondes sur les veines qui le parcouraient.
J’avais une furieuse envie de le prendre en bouche pour goûter à nouveau ce délicieux braquemart qui, je le savais, me remplirait bien la bouche. Je songeais à la chaleur qui s’en dégageait, à ce mélange de douceur et de dureté qui le caractérisait, à ce goût inimitable de pénis agrémenté de mouille…
Je me suis léchée les babines, ce qui a fait ricaner les garçons. Pourtant, je me contenais encore.
— Elle est sacrément gourmande ta copine ! a commenté Maxime à l’attention de Louis.
Ça se voulait bien sûr un compliment, et d’ailleurs je l’ai pris comme tel. Pourtant, comme il se trouvait qu’il ne s’agissait pas de mon copain mais de mon frère, cela a accentué mon trouble.
Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ?
Quoi qu’il en soit, j’étais bien incapable d’arrêter le train des événements, qui a donc poursuivi sa route à pleine vitesse. J’ai refermé ma main autour de la bite de Maxime, qui soupirait déjà de plaisir, puis j’ai commencé à le masturber doucement.
Je l’ai regardé droit dans les yeux, comme toujours quand je m’occupe d’un homme, surtout quand je suis accroupie devant lui. Ça les rend dingues et je le sais.Pourtant, quand mon frère a descendu à son tour son pantalon devant Mia, je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un œil dans sa direction.Et je suis restée scotchée.La bite qui s’est extirpée du caleçon fraternel était encore plus belle que celle de Maxime. Elle était toute lisse elle aussi - elle avait manifestement été rasée de près - mais surtout elle avait une forme et une taille qui correspondaient tout à fait à ce que j’aime. Il s’agissait sans doute la plus jolie queue que j’avais jamais vu, celle que j’avais toujours espérer trouver.
S’il ne s’agissait pas de mon frère, je rêverais de la sucer…
Quelle affreuse pensée ! Et pourtant, je savais que c’était vrai.
J’ai toujours rêvé de trouver une bite comme celle-là et, le jour où cela arrive, il faut que ce soit justement celle que je n’ai pas le droit de toucher. C’est trop injuste !
J’ai regardé du coin de l’œil Mia se jeter sur le sexe de mon frère et commencer à le sucer sans attendre. Comme je l’enviais ! Je la voyais aller et venir sur cette longue tige bien chaude, comme affamée.
En plus, je savais bien qu’elle n’aimait pas spécialement ça, puisque c’était la raison initiale de ma présence ici. Elle ne faisait ça qu’en guise de préliminaires, pour exciter mon petit frère.
Comme s’il avait besoin de ça !
— Ça fait bizarre, hein ? m’a lancé Maxime.— Quoi ?!
J’ai sursauté sous le coup de la surprise.
Qu’est-ce qu’il veut dire ? Qu’est-ce qu’il a compris ?
J’ai soudain réalisé que j’avais carrément arrêté de le masturber, fascinée que j’étais par le spectacle qui se jouait sous mes yeux.
— Ça fait bizarre la première fois, a-t-il précisé. Voir son mec ou sa copine avec une autre personne, c’est pas quelque chose qu’on accepte facilement.
Bien sûr, il ne s’agissait « que » de ça ! Comme nous étions censés nous adonner à de l’échangisme pour la première fois, il supposait que j’étais désarçonnée par la situation.
— On peut arrêter si vous ne vous sentez pas à l’aise, a-t-il poursuivi.
Louis m’a jeté un regard de poisson noyé : il était évident qu’il ne s’arrêterait pour rien au monde ! À vrai dire, malgré ma gêne devant l’étrangeté de la situation, je dois dire que je n’avais pas très envie d’arrêter non plus.
D’accord, c’est bizarre de faire ce genre de choses à côté de mon frère. J’ai même peur que cela casse quelque chose entre nous à tout jamais, mais… j’ai trop envie de sucer !
— Non non, ça va, ai-je enfin répondu. Comme tu dis, ça fait un peu bizarre, mais ça va.
Louis a soupiré de soulagement. C’était évident qu’il avait peur que la pipe vigoureuse qu’il « subissait » ne s’arrête prématurément.Que pensait-il, lui, de la relation étrange que cela instaurait entre nous ? Est-ce que cela le dérangeait autant que moi ? Pas assez pour lui faire souhaiter que cela s’arrête en tout cas…J’ai chassé mes pensées et j’ai repris mes mouvements masturbatoires sur le sexe de Maxime. N’y tenant plus, je me suis encore approchée pour le prendre en bouche. J’ai commencé par embrasser doucement le gland déjà luisant de mouille pour en récolter le délicieux liquide, puis je l’ai léché lentement du bout de la langue.
— Oh putain, tu sais faire durer le plaisir… soupirait-il déjà.— Tu veux que j’aille plus vite ? ai-je demandé.— Surtout pas !
Il s’est approché de moi pour me glisser la suite à l’oreille :
— Tu es la meilleure suceuse que je connaisse, a-t-il lâché, en prenant bien soin que sa copine n’entende pas.
J’ai jeté un coup d’œil sur elle, et ce fut pour constater qu’elle se donnait à fond dans sa tâche. Avec un peu trop d’ardeur peut-être : elle suçait mon frère à toute allure, comme si elle était prise dans une course de vitesse. Il ne tarderait pas à jouir, c’est certain, mais était-ce vraiment ce qu’il souhaitait ?
Plus le plaisir est attendu, plus il est grand.
Cette maxime, que je tiens de mon père (mais sans doute ne pensait-il pas au sexe quand il me la répétait), s’appliquait ici comme ailleurs. Peut-être même plus ici qu’ailleurs.
— J’adore ta bite, alors je veux faire durer, ai-je enfin répondu, m’attirant un large sourire de Maxime.— Prends ton temps, j’aime aussi quand ça dure.
J’ai alors repris mon œuvre là où je l’avais laissée, en me demandant quand même comment les choses tourneraient quand mon frère aurait éjaculé dans la bouche impatiente de Mia : me regarderaient-ils faire ? Vaqueraient-ils à d’autres occupations ? J’en avais presque la pression !Je suçotais tranquillement le gland de Maxime, en le titillant de temps à autres du bout de ma langue, puis j’ai soudain englouti son sexe jusqu’au fond de ma gorge sans crier garde. J’ai alors fait aller et venir mes lèvres sur sa hampe, en appliquant une pression aussi forte que possible (mais sans que les dents entrent en contact, bien entendu).Maxime gémissait de plaisir, si fort que je me demandais s’il n’allait pas jouir dans les secondes qui suivaient. J’ai donc ralenti l’allure, désireuse de faire durer encore ce délicieux moment.
— Oh putain Elisa, c’est trop bon ! Où est-ce que t’as appris à sucer comme ça ?
Il n’avait cette fois pas vraiment parlé à voix basse, j’avais donc peur que sa copine le prenne mal. Même si, au fond, c’était son problème à lui, je sais qu’on peut parfois être très méchantes entre filles, si on s’estime menacées !
Mia m’a d’ailleurs lancé un regard mi-figue mi-raisin, dans lequel j’ai eu du mal à lire quoi que ce soit. M’en voulait-elle pour ce commentaire de son copain ?Toujours est-il qu’elle s’est vite relancée dans sa fellation, sans doute désireuse de bien faire elle aussi. Elle suçait mon frère plus vite que jamais, à tel point que je me suis demandé si l’intérêt pour elle n’était pas là : tenait-elle à montrer qu’elle était une meilleure suceuse que moi en se disant que, si mon frère éjaculait avant son mec, c’est qu’il aurait apprécié davantage ?
Si c’est le cas, alors la malheureuse n’a décidément rien compris à l’art subtil de la pipe…
Soudain, Mia a arrêté de sucer Louis, le temps de retirer son T-shirt. Comme moi, elle n’avait pas mis de soutien-gorge, ce qui a tout de suite laissé apparaître ses seins. Cela ne semblait pas déplaire à Louis, qui s’en est emparé tout de suite pour les caresser à pleines mains. La poitrine de Mia était légèrement plus grosse que celle de la copine de mon frère, or je savais qu’il voulait justement « tester » de plus gros seins. Ce n’était sans doute pas la panacée, mais c’était déjà ça !
Ne voulant pas être en reste, j’ai retiré mon haut à mon tour. Cette fois, c’est sur moi que se sont braqués les yeux de Louis, à tel point qu’il n’arrivait plus à détourner le regard, la bouche légèrement entrouverte.
J’étais un peu gênée de me retrouver à moitié nue devant mon petit frère mais, de toute façon, Maxime me l’aurait certainement demandé. Quelle raison aurais-je pu invoquer pour ne pas le faire ?Le problème, c’est que si j’en croyais ce que m’avait dit Louis, ma poitrine était exactement son fantasme. Ce qui expliquerait son regard toujours braqué sur moi !
Regarde Mia, idiot ! Tu ne devrais pas me dévorer des yeux de cette manière, tu es censé me connaître par cœur…
Sauf qu’il avait complètement perdu le fil, c’est à peine si je ne pouvais pas voir un filet de bave s’échapper de sa bouche toujours à moitié ouverte. J’ai bientôt senti les mains de Maxime se poser sur mes seins tandis qu’il soupirait de plaisir, et j’ai donc repris ma pipe sans me soucier davantage de mon frère.
Pourtant, ce regard sur moi me gênait autant qu’il me flattait. D’accord, Louis était sans doute surpris de voir sa sœur aussi peu vêtue. D’accord, ma poitrine correspondait sans doute à ce qu’il aimait.
Mais quand même, je suis sa sœur !
On dirait qu’il était en train de fantasmer sur moi, sa sœur, ce qui serait tellement… mal.
En même temps, n’ai-je pas fantasmé sur son pénis tout à l’heure ?
Plutôt que me rassurer, cette nouvelle pensée m’a effrayée encore d’avantage.
Mais qu’est-ce qu’on est en train de faire ? À quel jeu dangereux on joue ?
J’ai essayé de penser à autre chose en me concentrant sur ma fellation, tout en constatant du coin de l’œil que Mia avait interrompu la sienne et se préparait à s’empaler sur le sexe de mon petit frère. C’était logique, puisque la raison essentielle de ma présence ici était justement qu’elle n’aimait pas les pipes (mais son copain si). Pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher de trouver ça rapide.
Ça peut sembler bête, vu la nature de nos relations, mais pour moi une fellation ce n’est "pas grand chose". Faire l’amour, c’est quand même un stade au-dessus !Louis a lâché un râle de plaisir tandis que Mia s’empalait sur sa grosse queue, et j’ai vu que Maxime appréciait également de voir sa copine se faire baiser sous ses yeux. Même si, techniquement, c’était plutôt elle qui baisait Louis que l’inverse.
J’ai donc poursuivi ma pipe, tout en le regardant droit dans les yeux (les mecs en raffolent). Maxime a reporté son attention sur moi, jusqu’à poser de nouveau ses mains sur mes seins pour me les caresser. Il a bientôt fermé les yeux, rattrapé par son plaisir, et j’ai vu à ses traits qu’il ne tarderait pas à jouir.
— Putain, Elisa… a-t-il grogné dans un début d’extase.
Une de ses mains a délaissé mes seins pour se poser sur ma tête, afin de se saisir d’une touffe de cheveux et m’insuffler un rythme plus soutenu. Son autre main s’est faite plus ferme, il alternait malaxage de mes seins et pincements de mes tétons.
— Oh ça vient, je… je vais jouir Elisa !
Je me suis contentée d’accélérer mes mouvements, ou plus exactement je me suis laissé faire pendant qu’il me faisait aller et venir sur sa tige.
— Oh oui… bouffe tout, grosse salope !!
Au même moment, un copieux jet de sperme bouillant est venu me fouetter le palais avec une puissance extraordinaire, signe d’un orgasme stupéfiant.
Tant mieux, c’est que j’ai bien fait mon boulot !
— Vide-moi bien Elisa, avale tout…
D’autres jets ont suivi le premier, presque aussi abondants, et je n’ai pas tardé à avoir la bouche pleine de la fertile semence de Maxime. Pendant ce temps, que ce soit à cause de l’excitation due aux paroles de son voisin ou à l’action de Mia, j’ai entendu Louis se vider à son tour dans la matrice de sa partenaire.
Tu vois petit frère : tu as eu raison de m’écouter !
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