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Découverte avec Claudine et Michel

Chapitre 3

Le retour de Michel

Erotique
En pénétrant de nouveau dans le camping-car, Michel nous surprit, Claudine et moi.Tous deux, dans le feu de l’action, avions complètement oublié son retour.Voir sa femme, baisée par mes doigts, les seins ballottant sous le rythme du pompage qu’elle me prodiguait, aurait chez toute personne normalement constituée créé un choc, mais Michel ne sembla pas dérangé le moins du monde.
— On perd pas de temps par ici à ce que je vois !
Il s’approcha de nous, laissant tomber sa serviette. Un grand sourire au visage, il se mit à genoux devant le lit, caressa les cuisses ouvertes de Claudine et commença à lui lécher la chatte. Mes doigts encore à l’intérieur pouvaient sentir sa langue, passant de temps à autre sur le clito gonflé de son épouse. Claudine n’en pouvait plus, et les halètements s’étaient changés en couinements, puis en cris de plaisir.
— Deux langues, c’est ce qu’il me faut ! intima-t-elle alors.
Obéissant toujours, je me dirigeai, ma queue encore dans sa bouche, et me dirigeai vers son abricot.Michel était déjà bien occupé à la tâche, il me fallait le rejoindre. Glissant ma langue à l’intérieur de la cuisse de Claudine, je remontai jusqu’à trouver la langue de Michel et la chatte ouverte de Claudine, que nous léchâmes de concert.
Reprenant un peu d’air, elle relevait la tête, pour mieux admirer le spectacle de nos langues s’activant tout autour et à l’intérieur de son sexe, largement ouvert et dégoulinant. La barbe naissante de Michel sous la langue et la douceur des lèvres rasées de Claudine produisait un contraste absolument divin. Délaissant l’abricot ruisselant, Michel passa sa main contre ma joue, et m’attirant à lui, m’embrassa lui aussi, faisant aller sa langue au goût salé de sa femme contre la mienne, et laissant sa main libre batifoler, d’abord sur ma cuisse, puis autour de ma queue, qu’il branla, m’invitant à faire de même sur la sienne, qui avait atteint une impressionnante taille. Prélevant la mouille qui suintait de la chatte de Claudine, j’en enduisis ma main qui glissait de plus belle sur le chibre gigantesque du mari.
Claudine attrapa son cul, l’écarta, ondulant du bassin, et révélant la rondelle de son anus qui palpitait à tout rompre, appelant de ses vœux quelques baisers.
Michel saisit les cuisses de sa femme, puis la retourna.
— A toi l’honneur, me dit-il, tu vas voir, c’est ce qu’elle préfère.
Ne résistant pas longtemps, j’agrippai donc les deux lobes de son cul, et les écartant, plongeai ma bouche contre son trou, léchant, suçant, aspirant à tout rompre la rondelle qui, s’ouvrant et s’écartant, n’attendait qu’un peu d’attention. Soulevant le bassin, elle en voulait plus, je glissai donc dans son intimité un premier doigt, suivi d’un deuxième, qui sans difficulté, aidés par l’abondante mouille que je prélevai de son abricot béant, coulissaient.Je l’enculai de mes doigts, dans un bruit de succion crapoteux, quand elle se contracta soudain, prise d’un violent orgasme.Raidie, puis recroquevillée, elle avait besoin d’une pause.Le visage ruisselant de sueur, elle se retourna, béate, et souffla un grand coup, plongeant son regard dans le mien et signe de contentement.
Michel était assis sur le lit, se branlant activement en nous regardant.
Claudine allait s’occuper de son mari, mais je voulais être premier, je sautais donc sur l’engin, et ayant passé mes mains le long de ses jambes, je pressai les couilles pleines de Monsieur, sentant se raidir la peau imberbe sous mes doigts. Longeant de mes doigts tout le long du chibre, j’entourai le prépuce et tirant légèrement dessus, mis à jour un gland rougi par la tension, que je léchai aussitôt.
A plat ventre sur le lit, glissant ma langue le long de son frein et tout autour de son gland, je vis déjà perler quelques gouttes que je m’empressai de goûter, c’était ma première fois, j’allais en prendre soin. Je branlai doucement sa queue et la glissai dans ma bouche. Je n’étais pas capable de le prendre entièrement, mais j’y mettais tout mon cœur, aspirant en moi quelques portions de sa belle queue.
Claudine devait être dépourvue, elle avisa mon cul, souhaita me rendre la pareille, et enfouit son visage entre mes fesses, commençant à me lécher la rondelle, alternant sa langue et ses doigts, passant sur mes couilles sa langue chaude.
Se relevant, et tout en continuant ses caresses tactiles, elle roula à Michel une pelle magistrale. Les bruits de succion que j’entendais autour de moi décuplèrent mes ardeurs et je m’activai comme un diable sur le chibre géant de mon amant.
— Il a bon goût le cul du petit hein Michel ! Ca fait trop longtemps que je n’ai pas joué à la salope, prenez-moi tous les deux, je veux vos queues en moi ! Fourrez-moi !!
Reprenant mon souffle après cette première fellation, je n’eus même pas le loisir d’évoquer le fait que je n’avais pas sur moi de préservatif. D’une force soudainement décuplée, Claudine me retourna et en déroula un sur mon sexe, puis se retourna dos à moi et entreprit de s’asseoir sur moi et me chevaucher.J’étais adossé contre Michel, sentant au milieu de mon dos sa queue qui tressaillait. Il agrippa ma queue et la fit pointer directement dans la chatte de sa femme. C’est ainsi que je me retrouvai, avec la bénédiction du mari, en train de baiser sa femme.Ou plutôt c’est elle qui me baisait, montant et descendant sur moi comme un diable sorti de la boîte. Ondulant du bassin, elle frottait son pubis d’avant en arrière, s’agrippant à mon torse, et glissant de temps à autre une main entre ses jambes, branlant son clitoris, attrapant mes couilles et furetant mon anus.
Son cul humide montant et descendant claquait contre mes hanches dans un bruit terrible. Elle s’allongea dos contre mon torse, ses seins ballottant d’avant en arrière, cherchant de la langue quelques doigts ou une bite à sucer. Il m’allait être difficile de résister bien longtemps à ce rythme, elle sembla le comprendre et se retira soudain pour sucer ma queue encapuchonnée, largement enduite de sa mouille. Il allait falloir changer les draps, et une seconde douche serait à ce rythme vite nécessaire.
Michel se plaça, jambes écartées au-dessus de moi, releva sa femme, et commença à lui baiser la bouche, ne la laissant que peu reprendre son souffle entre deux assauts.De mon point de vue, le mélange que je voyais impliquait les deux gros seins de Claudine, luisant de mouille et de salive, ses tétons roses maintenant durs comme la pierre, les couilles de Michel ballottant au gré de ses mouvements de bassin, et un court morceau de sa queue, le reste étant englouti dans la bouche de sa femme.
Me dégageant, je fis le tour de Claudine, me retrouvant plaqué contre son dos, au garde-à-vous contre elle, décidé à la prendre en levrette.Alors que je commençai à glisser dans son vagin, ma bite dressée, elle dégagea sa bouche, et le temps de dire "Pas par là, je veux te sentir dans mon cul", retourna à sa besogne, suçant son mari, comme possédée.
Soumis à son désir, je fouillai donc entre ses fesses que j’écartai d’une main, à la recherche de son trou du cul. C’est lui qui me trouva, elle était déjà bien préparée, et positionnant mon gland contre sa rondelle, je n’eus même pas le loisir de pousser. D’un mouvement de bassin en arrière, elle me fit glisser en elle entièrement, du gland à la base de ma queue.
J’étais passé de simple partenaire de tarot à sodomiseur de la femme d’un autre et mes couilles claquaient contre sa chatte béante. Mon sexe enserré dans son cul, je commençais à la limer d’avant en arrière.Excité par la situation, Michel s’était retiré de la bouche de Claudine, et passant son bras sous le ventre de sa femme, il commença à doigter sa chatte, qu’elle branlait déjà largement. Nous partagions tous les trois les quelques centimètres carrés de Claudine, entremêlant nos doigts, ma queue, nos langues et gémissant de bon cœur.Je ne tenais plus, Claudine le sentit, avança ses fesses pour dégager ma queue, et se retournant retira la capote. Elle me fit venir à califourchon sur elle, pressant ses gros seins autour de ma queue, léchant mon gland au bord de l’explosion et me branlant de plus belle.Elle ouvrait grand la bouche, bien décidée à goûter ce qu’il en adviendrait.
— Jouis sur moi, viens dans ma bouche Jérôme, j’ai faim de ton foutre !
Je ne me fis pas attendre et à peine avait-elle terminé sa phrase que j’envoyai sur le visage de Claudine plus de sperme que je n’en avais jamais éjaculé. Je ne suis pas bon viseur, et elle se retrouva rapidement couverte de foutre, du menton jusqu’au front. Sa langue furetait tout autour de ses lèvres, ses mains continuaient de s’activer sur ma queue, rendue hyper-sensible. Comme attiré, aimanté vers sa bouche, je me penchai et l’embrassai à pleine bouche, léchant ses joues, ses lèvres, mêlant ma salive à sa transpiration, sa cyprine à mon sperme. Nos langues se tournaient autour, dansaient l’une contre l’autre, nous nous aspirions mutuellement, si bien que lorsque Michel, se branlant à côté de nos visages éjacula lui aussi, ce fût tout naturellement que nous nous partageâmes tous trois son foutre chaud.
Roulant sur le dos, nous éclatâmes de rire tous les trois, restant un moment silencieux, essoufflés, épuisés.Claudine, toute barbouillée de sperme, luisante de sueur, en nage, rompit le silence :— Un tarot, ça vous dit ?
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