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Découverte avec mon ami

Chapitre 1

Gay
Je n’avais jamais vraiment réfléchi à ma sexualité, je trouvais les filles belles et attirantes. Depuis quelques mois, je faisais du sport coopératif, du hand, et avait peu à peu pris l’habitude de voir des garçons nus, sans gêne à dévoiler leurs pénis. A leur décontraction, je me suis vite rendu compte que dévoiler mon sexe n’était pas plus gênant que ça. La première fois la sensation était un peu bizarre, car beaucoup de leurs regards s’arrêtaient sur mes attributs. Une réaction normale, la curiosité d’un nouveau venu.
Je découvrais l’incroyable palette de pénis différents. Des longs, des courts, des fins, des épais, des veineux, des circoncis, des épilés, des couronnés de poils de toutes les couleurs, du roux au brun. Il m’arrivait d’en trouver certains beaux. Certains avaient les testicules pendants, d’autres en avaient des entièrement cachés par leur membre. Oui, certains étaient très beaux.
Je n’avais alors aucune expérience sexuelle, si ce n’était la masturbation. Je n’avais, lors de mes sessions torrides, jamais placé de garçon dans mon esprit.
Ce soir-là, où tout avait commencé, était pendant les vacances suivant notre bac. Louis était venu me rejoindre à la maison de vacances de mes parents en prévoyance d’un évènement festif le lendemain. C’était la première fois que tous les deux avions conduit sur une longue distance, et nous étions allés nous coucher tôt.
Nous avions éteint la lumière, il commençait à être tard et nous dormions tous deux dans le seul lit de cette petite maison de campagne. Nous étions encore loin de nous endormir et nous discutions encore. Nous parlions, comme souvent, de sexe.
Il venait de me demander si je m’étais déjà rasé le sexe. Je lui avais répondu que non.
— Je le fais assez régulièrement...— Pourquoi, ça te sert à quoi ? — C’est assez personnel, il paraît plus long comme ça.
Je repensais rapidement à mes coéquipiers nus et à leur pubis rasé.
— Oui, c’est vrai.— Regarde.
Il s’était mis à genoux et avait baissé son boxer. Il pointait le flash de son téléphone sur son entrejambe. J’ai alors vu ce qu’il me montrait. Son pubis rasé, sous lequel son pénis droit et dur pointait vers moi. Son gland était sorti de son écrin, et me faisait face. Il était magnifique.
— Alors ?
— Oui... En effet il paraît gros.
Il paraissait gros. Je ne savais pas si c’était parce que c’était la première fois que je voyais un autre pénis d’aussi près, si c’était parce qu’il était en érection, si c’était parce qu’il était complètement rasé ou si parce qu’en effet, il avait un membre avec de belles dimensions. Quoi qu’il en fût, je ne m’attendais pas à ça. J’étais très troublé.
— J’espère que je ne te choque pas trop, tu as l’habitude d’en voir au hand.— Oui, oui, mais... pas dans cet état...— Oh, excuse-moi, tu veux que je le range ?
Mon regard était planté sur son membre, et il l’avait bien vu.
— Non... Non c’est bon.
Il s’assit alors en tailleur devant moi, et sa verge n’avait pas perdu de sa vigueur. Son gland pointait maintenant plus haut que moi, et ses testicules étaient bien visibles. Ils semblaient eux aussi lourds et gros. Louis alluma alors la lampe de chevet, et la lumière de la chambre se fit plus diffuse, les ombres étaient atténuées. Je pouvais maintenant le voir en entier, et son regard était dirigé vers son sexe fièrement dressé, et cette vue semblait lui plaire. De sa main, il s’était mis à caresser très délicatement son pubis.
— Tu me montres le tien ?
Je reprenais alors conscience de mon propre sexe. Je le sentais dur, gonflé, chaud. Cette vision m’avait excité, plus que ce que j’aurais pu imaginer. Je regardais son sexe et sentais mon gland appuyé contre le tissu de mon boxer.
— Alors ?
Je fus alors pris d’hésitation. Beaucoup de garçons avaient déjà vu mon sexe, mais parce qu’au sport, il était en vue. Là, il fallait le montrer, et c’était très différent. L’ambiance et la tension étaient très sexuelles, et je n’étais pas à l’aise de dévoiler mon membre comme lui. En plus, et j’en étais certain, le mien n’était pas d’une si belle taille...
— Je sais pas trop...
Il ne lui en fallut pas plus.
— Bon OK, bonne nuit !
Il avait éteint la lumière, remonté son boxer et remis ses attributs dedans.Je sentais instantanément ma verge se vider de son sang, rétrécir, et mon gland rentrer dans son écrin.
— Attends !— Quoi ?— Je peux le revoir ?— Si t’en as tant envie que ça, montre.
Je n’avais pas le choix, je voulais revoir son sexe.
— OK... Allume...
Il n’avait pas rallumé la lampe de chevet, mais son flash. Il le pointait sur mon boxer. Il ne disait rien.Je sentais son regard dans le noir pointant au même endroit que la lumière. J’étais à genoux. Mes mains descendaient mon boxer petit à petit.
Mes poils apparurent en premier, entretenus, bruns et bouclés. Mon pénis suivit, au repos, reposant sur mes testicules.De mon point de vue, mon sexe paraissait vraiment petit comparé au sien. Il ralluma alors la lumière et je vis que son sexe était à nouveau sorti et pointait vers le mien. Très vite, je sentis le sang affluer à nouveau vers ma verge, et celle-ci s’allongeait. Il avait son sexe en main et se caressait doucement. Les veines de mon sexe apparurent, il se redressa et mon gland, jusqu’alors timide, sortit de son écrin, s’exhibant à son semblable. J’étais maintenant dur, mon sexe était droit et pointait vers le sien. De ce point de vue, mon sexe restait plus court, moins épais, mais c’était moins flagrant. Il continuait à se caresser et sa main était allée se poser sur ses bourses.
Son autre main vint entourer ma verge pour finir de sortir mon gland à sa vue. Ce contact m’électrifia. Je fis un mouvement de bassin en arrière et le regardai. Je n’arrivais pas à comprendre ni ce qui venait de se passer ni les informations que me renvoyait mon corps. Devais-je être choqué ? Horrifié ? Excité ? Je restais interdit, le regard fixé sur sa main entourant mon pénis. Puis il commença à me caresser.
Il faisait des va-et-vient très lents, en serrant plus ou moins fort son étreinte. Je sentais une masturbation que je n’avais jamais connue, et une sensation incroyable. Je souhaitais que ça continue, pour toujours. J’avais peur d’éjaculer, de mettre fin à ça. Après quelques minutes, je voyais son sexe, face au mien, qui n’était plus stimulé depuis cet instant crucial, mais qui était toujours droit et fier. Je ne voulais pas le voir redescendre. Je ne voulais pas voir son gland rentrer dans son écrin de chair.
Je tendais alors ma main vers son sexe, et guettais sa réaction. La seule qu’il eut a été de se cambrer pour rendre son sexe encore plus disponible. Je le saisissais alors dans ma main.
Il était chaud et avait une certaine souplesse qui quelques secondes après l’avoir touché était partie. Il était devenu dur comme la pierre. Cette sensation nouvelle ne me donnait que plus de plaisir, et je sentais sa main me masturber avec encore plus d’envie. Je me cambrais à mon tour et commençai à l’imiter, à faire courir ma main sur sa hampe. Je regardais avec un immense plaisir son gland disparaître et reparaître de son prépuce. Je laissais ma main glisser vers ses testicules et les caressais. Soudain, j’eus une vive sensation à mes propres testicules. Louis les avait attrapées et les serrait entre ses doigts. Le plaisir que me donnait son sexe rien que dans ma main m’avait peu à peu fait perdre conscience du plaisir que le mien m’offrait.
— J’ai envie d’essayer des choses.
Il m’avait envoyé cette phrase alors que j’avais perdu tout bon sens et toute réflexion. Mon esprit entier était tourné vers mon plaisir et les attributs de mon amant.
— Tu veux essayer de me prendre ?
Je ne m’attendais pas à cette question, mais elle ne m’avait alors pas choqué. Je n’en étais plus au point de la prudence et souhaitais juste profiter de mon plaisir et du sien le plus longtemps possible.
La proposition ne m’engageait pas autant que lui, et je voulais découvrir cette nouvelle sensation que pouvait me procurer une pénétration. J’acceptais étonnamment assez vite sa proposition, guidé par ma libido, et il se mit en position. Il choisit celle de la levrette. Je n’avais pas réfléchi à la position, et celle-ci était certainement la plus appropriée, mais passer à la pratique me mettait un peu mal à l’aise. A genoux derrière lui, la vision de ses fesses ne me faisait pas le même effet, et la vue de ses testicules pendants me raccrochait à mon désir. Son sexe m’était invisible, il ne pendait pas, et son érection devait le tendre contre son bas-ventre.
Je pris ses fesses entre mes mains et les écartais. Son anus m’apparut alors, et j’eus la soudaine pensée, autant troublante que ridicule, que je n’avais jamais vu un anus. Je me rapprochais à genoux de son orifice, ce qui le fit écarter les jambes, et je posais mon gland sur son trou.
J’essayais une première poussée, et bien qu’à l’époque nous n’avions aucune expérience en la matière, il était parfaitement évident que je ne pouvais pas rentrer. Mon sexe était sec, son anus l’était tout autant et n’avait jamais été pénétré d’aucune manière. J’essayais à plusieurs reprises de le pénétrer sans trop forcer, mais rien n’était possible. Louis semblait s’impatienter, et, pour ne pas aider, l’exercice ne m’excitait pas spécialement et ma verge dégonflait peu à peu. Je ne pouvais plus mettre autant de pression sur son trou. Ce n’était pas du tout une réussite. Je devais arrêter alors que mon pénis était plutôt mou, et je m’excusais auprès de Louis. Il me dit que ce n’était pas grave et que ça ne pouvait pas être magique dès le premier essai. Il se retourna et je vis que l’ardeur de son sexe aussi s’était calmée, et il n’était plus droit. Il restait épais et veineux, beau.
— Je peux essayer moi de te prendre ?
La proposition était bien différente, et ma libido était un peu retombée. J’ai eu d’un seul coup très peur, mais je n’avais pas envie de perdre ce moment d’une intensité lourde, je n’avais pas envie de mettre fin à cette découverte de mes sens. Et puis, il y était passé, il aurait mal pris que je ne le fasse pas. Il méritait son essai.
Je me mis alors dans la même position que lui lorsque ce fut son tour, et il passa derrière moi pour se mettre en position. Il ne se passait rien, et je compris qu’il était en train de se masturber pour que son membre soit à nouveau prêt à la pénétration. Je me rendais compte alors de la vue qu’il avait, celle de mes fesses en l’air, mes testicules dessous et certainement une partie de ma verge pendante. Il était très étrange et presque honteux qu’un ami me voit dans une telle situation, mais j’avais maintenant une certaine confiance en lui, et je me rendais compte que je prenais plutôt bien l’idée qu’il se masturbe devant cette vision.
Je le sentis se rapprocher et ses mains saisir mes fesses pour les écarter. Mon anus était offert à sa vue, et il ne perdit pas de temps à y poser son gland à son tour dans une scène identique où seuls les rôles avaient étés échangés. La sensation d’avoir ce qu’il avait de plus personnel de son intimité à l’entrée de mon orifice me fit à nouveau comme une décharge et mon sexe, assez vite, se redressa.
Alors je le sentis se propulser en avant. Je sentis une pression très forte pile sur mon anus, douloureuse. Il recommença encore, puis encore, plus fort et plus douloureux à chaque fois. La douleur était vive, mais je ne lui dis pas d’arrêter. Il me prit par les hanches pour me tirer vers lui, ce qui me fit perdre pied. Ces mouvements étaient francs et envieux, et la douleur de mon trou toujours fermé était un plaisir étrange. J’avais maintenant une envie folle que mon anus lâche, je voulais sentir son membre trouver son chemin en moi, je voulais le sentir profondément. Je voulais sentir ses testicules frapper mon périnée. Mais mon trou restait clos. Je n’arrivais pas à retenir quelques cris étouffés de douleur et de plaisir. Lui semblait aussi aimer ça, il prenait un rythme et du plaisir, c’était évident. Le seul contact de mon trou sur le bout de son gland semblait le tenir en haleine. Je passais la main sous mon ventre et sentis mon sexe dur comme le bois et mes testicules serrés.
Il ralentit le rythme et s’arrêta. Ses assauts répétés avaient rendu mon anus douloureux, mais je goûtais encore quelques instants au plaisir de sentir son gland contre ma porte demeurée fermée. C’était la première fois que ce que mon corps prenait pour de la douleur était interprété par mon esprit et mon cœur comme du plaisir. Il lâcha mes hanches et je basculais en avant. Allongé sur le ventre, je me remettais un peu de ce qu’il venait de se passer.
— Viens, mets-toi à genoux.
Il m’avait pris la main et m’invitait à me mettre face à lui. Je le rejoignais alors dans cette même position qu’il venait d’adopter. Nous nous faisions à nouveau face, mais la situation avait bien changé. Je le regardais parfois dans les yeux, je regardais parfois son membre, comme lui le faisait. Son sexe pointait vers le mien. Mon sexe pointait en l’air. J’aurais pu me sentir honteux, mal à l’aise d’avoir une telle érection après ce qu’il m’avait fait, mais face à lui, je montrais fièrement mon sexe dressé, mon sexe qui lui disait « regarde, regarde comme j’ai aimé ce que tu m’as fait ».
A genoux, il se rapprocha de moi. Il s’avança, me prit par les hanches et me plaqua à lui. Entre nos bas-ventres, no sexes étaient collés, pris en sandwich entre nos pubis. Nous faisions des mouvements de bassins, et le plaisir continuait à monter, son souffle se faisait court et le mien se calait sur son rythme. A vrai dire, je ne comprenais plus vraiment mon propre corps, mes propres sensations. Mon état d’euphorie n’avait jamais été à ce niveau-là lors de mes masturbations, et il me semblait insensé que je n’aie pas encore joui. Le plaisir que m’offrait mon sexe à ce moment précis était au-delà de ce que je connaissais, mais il semblait lui aussi profiter, ne pas vouloir s’arrêter.
Nous nous éloignâmes alors un peu l’un de l’autre, et nos sexes apparurent de nouveau. Je fus d’abord impressionné par leurs aspects. Je n’avais jamais vu mon propre sexe dans un tel état de stimulation. Mon gland me semblait vraiment gros et violacé, et ma hampe était parcourue de veines qui me semblaient bien gonflées. La deuxième chose dont je me rendis compte c’est qu’en effet son pénis, sans être plus large, était plus long que le mien. Nous faisions la même taille et nos verges étaient à la même hauteur, mais son gland surplombait le mien. Le sien commençait là où le mien finissait.
Mes yeux bloqués sur nos membres, il posa sa main sur mon épaule. Surpris de cette nouveauté, je le regardais alors, et vis alors que son regard aussi plongeait entre nos jambes. Avant que je ne pus regarder à nouveau nos membres qui m’excitaient d’un simple regard, je sentis ses doigts se refermer sur mon sexe. Je regardais alors et vis nos verges collées dans sa main. Il était parti de la base de nos sexes et remontait nos hampes les doigts serrés. De nos glands sortit du liquide transparent.
Il commença alors à monter et descendre sa main le long de nos pénis et il devint évident que je ne pourrais plus tenir très longtemps. Il y allait avec vigueur, mais pas trop vite, et sans trop d’amplitude, si bien que nos glands ne rentraient jamais sous nos prépuces.
L’emprise de sa main sur mon épaule se faisait plus forte et je sentais sa main avoir des mouvements un peu plus brusques, son souffle se faisait de plus en plus court et je remarquais que le mien aussi. Je ne voulais pas finir, je voulais continuer encore des heures, mais je savais qu’on y était, que c’était terminé. Le premier signal fut un petit gémissement de sa part. Sa main accéléra tout de suite et son mouvement devint frénétique. Alors que je sentais mes testicules se resserrer, la main jusqu’alors juchée sur mon épaule descendit et serra nos quatre testicules. Il gémissait et je l’accompagnais dans son plaisir, dans ses bruits.
Il tirait la peau de nos sexes de plus en plus bas, et c’est là que son jet de sperme sortit. Il l’accompagna d’une exclamation de plaisir. Il n’y eut qu’un jet, et le reste de sa semence se déversa sans discontinuer. Je n’avais jamais vu le sperme d’un autre garçon et celui-ci, sortant de son gland, venait recouvrir le mien. La vue de mon gland couvert de son sperme me fit jouir instantanément. Ce furent plusieurs jets d’une puissance rarement ressentie qui sortirent de mon membre. La peau tirée vers la base de mon sexe, mon frein tirait mon gland vers le bas et mon sperme gicla directement sur son gland et le mince filet blanc qui sortaient encore de sa fente.
Nous nous faisions toujours face, nos respirations se faisaient plus longues. Il remonta une dernière fois la main le long de nos sexes pour en faire sortir les dernières gouttes de sperme et m’arracher un dernier soubresaut. Puis il lâcha prise.
Nos sexes restèrent droits quelque temps, puis commencèrent à s’affaisser. Mon prépuce vint recouvrir mon gland couvert d’une fine pellicule blanche. Louis se redressa, portant quelques instants son sexe dégonflé à mes yeux, et prit à la hâte le paquet de mouchoirs trônant sur mon bureau. Il donna un bref coup de nettoyage à son membre, bien que la majorité de sa semence eût fini sur le mien.
— Tu veux un mouchoir ?— J’en prendrais un après.
Il jeta son mouchoir à la poubelle, et entreprit de remettre son boxer.
— A demain, dors bien.
Il passa de son côté du lit, et se coucha. Je restais nu sur mon lit et assailli par la fatigue de l’effort et par les sentiments improbables et paradoxaux qui me traversaient, je m’endormis avant même qu’il n’ait ajusté la couette sur lui.
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