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De découverte en découverte 3, partie 2

Chapitre unique

Gay
— Jérôme...
Je gémis pendant que je me donne entièrement dans ce baiser. Une fois encore, Jérôme me met dans tous mes états. Je plie... et je romps. Je suis une poupée de chiffon entre ses mains. Et pourtant... Il est tellement prévénant, délicat. Et si fougueux il peut être, il l’est avec parcimonie. Jérome vient de me déclarer son amour. C’est... Pour être honnête, oui, ça m’avait traversé l’esprit que ça puisse arriver un jour. Mais je ne pensais que ce serait pour de vrai. J’ai eu tort. CE jour est arrivé. Et ça arrive aujourd’hui. Moi! Un homme vient de me dire qu’il a des sentiments pour moi! Qu’il m’aime, même! Je reste bouche bée.
— Petit chat... Je sais... Moi aussi, quand j’ai réalisé... Je me suis dit: "Non... C’est... pas possible! C’est... pas possible! La vie est une salope... Je peux pas tomber amoureux de Maxime! Et puis la vérité m’a giflé en plein dans la gueule, Max’. J’ai compris... C’est plus que du sexe et du cocooning entre nous deux. Ton innocence... Ta douceur... Ta beauté... Ton intelligence, Petit chat... Tu es irrésistible. Ouais. J’ai pas pu te résister. Je t’aime, Maxime.
Je ne sais pas quoi dire. Je sais... J’ai l’air d’un idiot. Mais c’est... inattendu, quoi!
— Jérôme...
Jérôme me caresse la joue. Il presse ses lèvres sur les miennes. Je bande. Jérôme doit me sentir... J’ai la tête qui tourne. Jérôme est mon alcool. Jérôme me rend ivre. Ivre de lui. Je fonds. "L’homme est faible..."
— Petit chat... Tu es beau. Jeune. Tu me plais. Non! Tu m’excites...
Let’s Get It On de Marvin Gaye résonne dans le salon. Je ne sais comment.
— Petit chat... MON Petit chat... Rien qu’à moi. Je sais que je te prends au dépourvu là. Je n’attends pas de toi une réponse, qu’elle soit binaire, qu’elle soit dans le temps. Simplement... Voilà. Je peux plus me voiler la face. J’en ai plus envie. Je veux profiter... jouir de chaque moment que je passe avec toi, Maxime. Car j’aime ta présence. Je t’aime;
Je le regarde. Je suis et je reste bouche bée. Alors, je me contente de le regarder, les yeux dans les yeux. Ce qu’il se passe aujourd’hui, effectivement, ça me prend au dépourvu. Oui. Mais c’est tout sauf désagréable. Bien au contraire. Un... HOMME vient de me dire "Je t’aime". C’est une première. Une de plus. Quelle vie on mène, quand même, quand on a trente ans... En un an, beaucoup de choses ont changé. Bérénice la bretonne est désormais loin, très loin. Dans ma tête, il n’y a plus de doute possible: les hommes me plaisent autant que les femmes, désormais. Quand Jérôme m’embrasse, je ne réponds plus de rien. Le sang coule, bout dans mes veines, mon coeur bat comme ce n’est pas permis. Je suis un homme vaincu, une petite chose perdue. On se regarde les yeux dans les yeux. Je retiens mon souffle. Je suis fébrile, en fait. Pantelant. Tout se bouscule dans ma tête, là.Je ne sais pas dans quel ordre claser les idées, les pensées, les désirs que j’ai dans ma tête à l’instant-t. Ce que je sais en revanche, c’est que j’ai chaud... et que je suis excité. Les minutes sont torrides, déjà. Poupée de chiffon entre ses mains, je n’en pense pas moins. Jérôme commence à me connaître à force, sur ce plan-là.
— Jérôme...
Ma voix ne se fait pas entendre contrairement à d’habitude où elle est davantage gouailleuse. Là... Je... Je réalise, petit à petit. Et puis... Force est de constater que Jérôme est fougueux, habité par la passion. Il pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse comme si sa vie en dépendait. J’aime. Et en même temps, ça me coupe le souffle... et ça me fait bander. Et ça, si Jérôme ne le sent pas alors que notre étreinte est ferme, alors je n’y comprends plus rien. Lui qui veille à ce que je me sente bien... et à ce que nous faisons me donne du plaisir...
— Petit chat... Tu crois que je m’en rends pas compte? Tu... bandes. Et quand tu bandes, t’es excité. Et si t’es excité, Maxime, ça veut dire que ça te plaît d’être avec moi. Je te fais de l’effet...
Il l’a remarquée, mon érection. Je suis grillé. De toute façon, je ne veux pas la cacher, cette érection. J’en suis fier. Elle témoigne de l’effet que mon amant me fait. J’ai envie de lui. Ni plus, ni moins. Jérôme est d’ordinaire à l’affût des détails qui lui montrent que je vais bien, que je SUIS bien et que je prends du plaisir en sa compagnie.
— Petit chat... Aaah...
Jérôme soupire. Il ne le fait pas souvent, j’ai remarqué. Mais quand ça arrive... J’ai compris avec le temps ce que ça signifie. Lui aussi lâche du lest quand je suis là, quand nous nous retrouvons. Moi aussi, je veux qu’il ait le sourire aux èvres, qu’il s’abandonne dès que nous nous donnons rendz-vous. Et pour ça, ma méthode est infaillible: je mets des vêtements... et des sous-vêtements jolis, je sens bon. Je souris, je m’abandonne à lui.
— Petit chat...
Ses mains se posent sur mes fesses et s’en emparent. Ses mains me pétrissent les fesses et les malaxent. Ca me donne la chair de poule. Je halète. Je regarde Jérôme dans les yeux. Sans dire un mot, je lui fais comprendre que je suis bien mais que j’en veux plus.
— Petit chat... La salle de bains... Le kimono blanc...
(...)Je contemple mon reflet dans la glace. L’homme qui me fait face a les yeux brillants. Ils sont dilatés. L’homme a les joues rouges. Il a chaud. L’homme sourit. C’est parce qu’il est tout simplement heureux. Sur ce regard, je me déshabille. Je prends mon temps. Je savoure la vue de chaque vêtement que j’enlève, je savoure chaque sensation que ça me procure. La papillon qui sommeillait en moi est né et il déploie ses ailes. Il vole. Il est feu follet Mmais à présent qu’il est arrivé à maturation, plus rien ne peut l’arrêter. Plus rien ne sera comme avant. Mes vêtements forment un tas sur le carrelage de la salle de bains. Je me regarde de nouveau dans le miroir. Je souris. Là. Je suis nu... et je me sens on-ne-peut-mieux. Le miroir me renvoie le reflet de ma tête et de mon buste. De la sueur descend le long de mon visage avant de s’écraser au sol. Je souris à mon reflet. La vie ne peut pas meilleure à l’instant-t.(...)J’adresse un dernier regard à mon reflet. Je souris. J’ai hâte de retrouver Jérôme. Je n’ai pas arrêté de penser à lui. C’est curieux mais... je l’ai imaginé à mes côtés. Je l’imaginais, lui aussi, regarder notre reflet dans la glace au-dessus du lavabo. Je l’ai imaginé passer ses bras autour de mon ventre, m’enlacer par-derrière. Je l’ai imaginé poser ses lèvres sur moi et déposer des baisers sur mon corps au fur et à mesure que mes vêtements tombaient sur le sol et que j’étais nu. Quand je pense à tout ça, un frisson s’empare de moi et se diffuse dans tout mon corps. Ma peau se couvre de chair de poule. Les frissons qui prennent possession de moi me font sursauter. Je ne tiens plus en place. Je n’arrive pas à me calmer. Il faut que Jérôme fasse quelque chose pour mettre fin à ça. En parlant de Jérôme... A... mon avis... Même s’il est de nature calme, pas pressé habituellement... Là... Il doit trépigner d’impatience. C’est normal et je le comprends. Je suis l’homme qui lui plaît, l’homme avec qui il aime faire l’amour. Je suis l’homme à qui il vient de dire "Je t’aime", l’homme qui est nu dans sa salle de bains et qui va le rejoindre dans un instant. Là. Je rassemble mes vêtements sur la corbeille à linge située à côté de la machine à laver.
— Maxime? Ca va?
Je prends un coup de chaud. C’est donc bien ce que je pensais: mine de rien, il s’impatiente, Jérôme.
— Oui, mon coeur! J’a... J’arrive!
Je m’interromps. Est-ce que je viens d’appeler Jérôme "mon coeur", moi???
Oui... Je viens bien de dire "mon cœur". C’est fait. Mon compte est bon. Ce n’est plus la peine de me cacher derrière des excuses. Je tiens à Jérôme et je l’aime. Je suis bien avec lui et je suis motivé pour que notre liaison prenne une autre tournure, une nouvelle dimension. Sur ces mots, je tends la main vers la clenche de la porte et je m’emparer de celle-ci. J’abaisse la clenche et la porte s’ouvre. Le sol est froid sous mes pieds mais je m’en fiche. Je vais rejoindre mon amant... mon amoureux. C’est la seule chose qui compte pour moi, là. La soie du kimono caresse ma peau nue. C’est exquis. Je m’imprégne et m’enivre de cette sensation et pendant que je parcoure la maison à la recherche de mon homme, j’essaie d’imaginer ce qu’il va se passer. Les scénarii naissent dans mon esprit et se développent. Mon cerveau sature tellement les scénarii sont nombreux. Divers et variés. Soudain, j’arrive dans le salon. Je vois le canapé en cuir. Mais Jérôme n’est pas assis dessus...
— Jérôme ?
Personne ne me répond. Je parcoure, j’explore la maison. Jérôme n’était-il pas dans le salon il y a peu de temps, quand je l’ai laissé pour me rendre dans la salle de bains ? Je marche et il n’y a de Jérôme à l’horizon. Il n’y a plus qu’une pièce où je ne suis pas allé et là, ça me paraît évident...La... chambre. La porte est fermée. Je tends la main vers la clenche et j’ouvre la porte. Et là, je le vois... Il est beau. Jérôme est entièrement nu sur le lit. Il est allongé sur le dos. Il me sourit. Son sexe est en érection. Je reste immobile, comme pétrifié. Non. En fait, je suis subjugué. La beauté du tableau qui s’offre à moi me cloue sur place. Tel un pacha, il est allongé. Sa main tapote la couette blanche immaculée, sur sa gauche. Je sais ce que ça signifie... Il m’invite à le rejoindre. Il a envie de moi...J’ai envie de lui. Alors, je ne vais pas le faire languir. Je m’avance et je le rejoins. Là. À mon tour de m’installer sur le lit et de m’y allonger.
— Petit chat...
Il se penche et son visage s’approche du mien. Nos lèvres se touchent. Nous nous embrassons. Sa main, elle, se pose sur le tissu de mon kimono. Jérôme me caresse à travers...Une fois n’est pas coutume, quand Jérôme me touche et me caresse, ça ne me laisse pas indifférent. Mon corps réagit instantanément et me trahit. Je halète. Ça me fait du bien quand mon mec s’occupe de moi. Je dois avoir déjà des petits yeux... J’ai les lèvres entrouvertes. J’ai déjà du mal à respirer convenablement. Je ronronne. Je regarde Jérôme et je ne le quitte plus des yeux. Je me mords la lèvre supérieure. En me comportant comme ça, je le supplie. Je le supplie de s’occuper de moi. Je le supplie de m’offrir CE plaisir que LUI seul sait me donner. C’est ce dont j’ai envie à l’instant-t. C’est même la seule chose que je désire, là, ici. Maintenant. Jérôme me fait me sentir bien. En échange, je veux qu’il le soit, lui aussi. Et pour ça, je me laisse aller, je lui souris. Je lui fais confiance, je me détends. Je le touche, je le caresse. Je le regarde, je l’embrasse. Je lui parle, mes synapses entrent en communication avec les siennes. Il n’y a plus rien que je puisse faire. Voilà. C’est ça. Je m’abandonne, je me laisse aller. Et quand nous nous regardons, la tension est palpable. Quand on ne se quitte pas des yeux, je ne réponds plus de rien.
— Petit chat... Viens. J’ai envie de toi. J’ai toujours envie de toi...
Il n’est plus question pour moi de me faire désirer. Je suis ville ouverte de toute façon. Sur ce, je me rapproche de lui et je le contourne. Là. Je vais m’allonger sur le lit et aller à la rencontre de l’homme qui prend une tout autre dimension dans ma vie. Là. Je m’allonge. Le kimono me caresse. Sa douceur est plus qu’agréable. D’ailleurs... Noooon ! Il n’y a même pas de qualificatifs pour décrire ce que je ressens. Ce que je sais en revanche, c’est que j’ai chaud. JE SUIS chaud. Moi aussi, j’ai envie de Jérôme...Aussitôt que je suis allongé, Jérôme change de position et se place au-dessus de moi. J’aime quand il fait ça. D’autant plus qu’avec lui, je peux m’attendre... et à n’importe quoi. Ça aussi, j’aime. Jérôme est délicat, attentionné. Patient, tendre. Sensuel, passionné. Peu importent ses desseins, peu importe ce qu’il a en tête, je sais que ça ne peut être qu’agréable. Là me vient en tête mon amie colombienne Veronica. Vivre le moment présent... Elle en fait un principe majeur de sa vie. Limite, une mantra. Je repense à ce que Jérôme lui-même disait dans nos premiers échanges. "La vie est parfois une salope..."
— Petit chat...
Là. Jérôme s’allonge sur moi, pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse. Nos bouches s’unissent. Nos langues se touchent et se caressent. Tout en m’embrassant, Jérôme frotte son corps contre le mien. Je ne sens que trop bien sa belle érection qui va et qui vient. Je ne réponds définitivement plus de rien. Par contre... J’ai hâte... de la... redécouvrir...Jérôme presse ses lèvres sur les miennes. De base, ce sont des baisers langoureux. Ils deviennent confiants, inspirés. Passionnés. Jérôme m’embrasse et prend possession de ma bouche comme si sa vie en dépendait. Allongé sur moi, je sens le poids de son corps. Il me cloue contre le matelas et je n’ai aucun moyen de lui échapper. À vrai dire... Je n’en ai pas la moindre envie. Tout simplement parce que j’aime ces moments. Au plus haut point. Tout en m’embrassant, sa main s’immisce entre nos deux corps. Jérôme desserre un tout petit peu son étreinte et sa main se pose sur le kimono que je porte. Elle s’y installe, elle s’y plaît. Elle se balade sur le tissu, elle me caresse par-dessus. Je frissonne. Je ne suis plus en mesure de lutter contre le désir et les plaisirs qui s’emparent définitivement, inexorablement de moi. Évidemment, mon homme sait que je raffole de CETTE caresse. Silencieusement, juste en nous regardant, on se désire. Je regarde cependant Jérôme. Je le fixe. Ma bouche est entrouverte. J’en veux... plus. Bien plus. Encore plus...Jérôme, lui aussi, me regarde et ne me quitte pas des yeux. Et tout en m’embrassant et en enchainant les baisers, sa main me touche et me caresse par-dessus le vêtement léger que je porte. Je ne m’appartiens plus. Je ne suis plus moi. Enfin... C’est mon corps mais l’âme qui occupe ce corps est en perdition. J’ai faim et j’ai soif de l’homme qui est allongé sur moi.Les lèvres de Jérôme de décollent des miennes. Ça me permet de reprendre mon souffle. Tout du moins, c’est ce que j’essaie de faire. Ce n’est pas si facile que ça quand on vous touche et que ça vous excite. Ça l’est encore moins quand c’est la personne qui vous aime et qu’elle vous fait perdre la raison. Je dis ça parce que c’est précisément le cas, là. Même si la soie du kimono me couvre, et ce pour je ne sais combien de temps encore, ce serait mentir si je disais que ça ne me fait pas le moindre effet. C’est tout le contraire... Nous nous regardons et mes lèvres sont entrouvertes. J’éprouve de plus en plus de difficultés à respirer. Je suis une cocotte minute qui bout à très haute température. Je suis une bombe qui va exploser incessamment sous peu. Mes tétons sont durs, ils pointent. Mon sexe se gorge de sang, il est en érection. Mon corps transpire, il fait chaud dans la chambre.
— Petit chat... Tu es dans tous tes états... Ça se voit. Tu es... sexy, quand tu te laisses aller. Laisse-toi faire... Pour moi.
Sur ces mots, Jérôme me dépose un doux mais franc bisou sur les lèvres. C’est sûr : je ne réponds de rien...
— Je sais ce que tu veux, Maxime. Je vais te le donner. T’inquiètes pas.
Sur ces mots, mon homme pose l’un de ses doigts sur mes lèvres, comme pour me demander de ne rien dire. Aussitôt son doigt posé sur ma bouche, je ne réponds de rien et par conséquent, je laisse mes désirs coquins éclater au grand jour. J’entrouvre les lèvres et je dépose un tout petit baiser sur le doigt. De suite, je bats le fer tant qu’il est chaud et je lui donne un petit coup de langue.
— Patience, Petit chat... Patience...— Jérôme... Je t’en... supplie! Ne me...
Jérôme pose sa bouche sur la mienne et me fait ainsi taire par le biais de cet énième nouveau baiser qu’il me donne. Ses lèvres se collent sur les miennes et s’y pressent. Je gémis. Oh oui! J’aime ces choses-là. Ces belles choses qui font le sexe. Et moi, j’en jouis autant que je le peux en compagnie du premier homme de ma vie.
(...)
Jérôme est à califourchon sur moi. Je suis toujours dans la même position, à savoir allongé sur le dos et la tête qui repose sur l’oreiller. Le kimono entrouvert, mon torse et mon ventre sont mis à nu. Mes tétons sont parfaitement visibles et ils sont dans la ligne de mire de mon compagnon. Ah mes tétons... Mes deux tétons percés... C’est une histoire d’amour qui est née et qui dure dans le temps entre eux et lui. À chaque fois que Jérôme les voit, ces deux-là, c’est aussi simple que ça : il est incapable de résister à l’envie de les toucher et de les caresser. De les pincer doucement et d’être attentif à ce que ça me plaise. De les prendre entre ses lèvres et de leur donner des coups de langue. Oh... oui. Il est fou d’eux dès qu’il les voit.Jérôme a le dessus sur moi. Jérôme me chevauche. Son sexe est long et surtout... épais. Il bande pour moi. Je ne pense à rien. Juste... Je vis et je savoure le moment présent. Je suis pantelant et je ne me remets pas de mes émotions. À... mon avis... Je ne suis pas près de m’en remettre avant un moment. Moi aussi, je bande. La queue de mon nouveau compagnon est au garde à vous. Elle est dirigée vers moi. Et je suis prêt à la recevoir. C’est toujours un plaisir pour moi. À la différence que là, c’est quelque chose de nouveau, que ce soit pour lui, que ce soit pour moi. Le creux de mes mamelons est tout humide, glissant. Mes tétons, eux, sont tendus. Ils sont très sensibles à l’instant-t. Moi qui ai un amour pour les poitrines généreuses et qui aime sentir deux gros seins prendre en tenaille mon sexe, je suis sur le point de connaître ce que ça fait d’avoir un pénis sur la peau et qu’il se masturbe dessus. J’ai hâte. Très hâte. Trop... hâte.
(...)Je sens le poids du corps de Jérôme sur le mien. Il a posé ses deux mains sur moi pour se cramponner. Moi, j’ai posé les miennes sur ses fesses et ainsi, je l’encourage à aller et à venir sur ma poitrine. Je le regarde, je lui souris. Il a les yeux fermés, il gémit. Je prends des fesses à pleines mains et je l’exhorte. Sa bouche est entrouverte et son sexe glisse à merveille entre mes mamelons. À l’entendre, ça lui plaît bien. Ça me rend fier. Je VEUX qu’il continue. Je VEUX qu’il ait du plaisir à se masturber comme il le fait, en utilisant mon corps et les possibilités que celui-ci lui offre. Car mon corps me donne du plaisir... mais il en donne à Jérôme aussi.(...)Jérôme y va de bon cœur, sur mon corps. J’aime ça. Je veux ses yeux. Je veux y voir qu’il se sent bien, qu’il est heureux. Je veux son sexe. Je veux sentir qu’il a du plaisir, qu’il va jouir. Je maintiens mes yeux ouverts. Je ne veux rien rater. Je veux le filmer du début à la fin. À tête reposée, seul, quand je penserai à Jérôme, quand je sentirai que mon sexe est tout dur, je porterai une main à mon sexe et je l’empoignerai. Je regarderai le film d’aujourd’hui, je me reverrai Jérôme se masturber entre mes tétons. Et là, Jérôme a du plaisir. Jérôme halète. Jérôme gémit, même. Jérôme va bientôt jouir. Je le sais. Je me saisis plus fermement de ses fesses et je l’encourage. Il ouvre les yeux et les braque sur moi. Ce sont des yeux brûlants, incandescents. Je veux ses yeux. Il donne des coups de rein plus prononcés. Ce n’est plus sur le même tempo que nous faisons l’amour. Nous consommons notre amour à présent. C’est instinctif, bestial. Il me baise. Je le veux. Il va jouir. Je le veux...
(...)Jérôme reprend son souffle. Il faut qu’il se relâche. Il en a besoin. Mais je le connais. Il veut continuer de vivre le moment présent. "La vie est parfois une salope", il m’avait dit quand on a commencé à se parler, il y a un peu plus d’un an. Là, le moment présent, selon lui, c’est que même s’il vient de jouir sur mon torse, il continue ses va-et-vient sur ma peau. Pour tout dire, moi, ça m’émoustille. Alors, je le laisse volontiers faire. Je sens son sperme sur ma peau. Il est épais. Son sperme a jailli du méat de son sexe et quelques jets ont atterri sur ma peau. Ses lèvres se posent doucement sur les miennes. Là. Il me dépose un tendre baiser. Je ferme les yeux. Je veux savourer ce baiser, m’en imprégner, en tirer toute la quintessence.(...)Je halète. Mon coeur bat la chamade. J’ai les doigts qui agrippent la couette. Je pousse des gémissements et même des petits cris, comme si j’étais un petit animal blessé. En réalité... c’est agréable. Jérôme me masturbe et me suce à la fois. Je suis toujours autant sous son emprise mais à présent, c’est à moi qu’il donne du plaisir. C’est de moi dont il a envie, c’est moi qu’il va faire jouir si ça continue. La bouche de Jérôme est chaude. Ses mains sur mon sexe, sous mes bourses, le sont tout autant. De découverte en découverte, voilà où nous en sommes. Lui et moi. Jérôme, moi. Un an plus tard.
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