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Découverte d'un étudiant

Chapitre 4

Colocation à risques

Avec plusieurs femmes
Nous avions réussi, nous avions eu ce concours exigeant et nous avons été reçus tous les deux pour cette prestigieuse école, à Paris, ce qui nous obligea à changer de ville, au grand dam de nos parents qui devraient consentir à des efforts financiers conséquents. Nous souhaitions habiter tous les deux, mais il nous était impossible de trouver quelque chose dans des prix corrects pour nous deux seulement. Nous avons écumé les petites annonces, appelé les agences, pour finir par nous tourner vers la colocation.
Ce n’était pas ce que nous préférions, mais, nécessité faisant loi, nous avons été visiter plusieurs appartements. Celui qui a attiré notre attention était un quatre pièces bien placé par rapport à notre école, au deuxième étage, déjà loué par une fille et un garçon, étudiants eux aussi. Le contact est bien passé avec le propriétaire, et, au final, qu’un couple s’installe dans une chambre lui allait très bien, surtout financièrement. Notre chambre était plutôt petite, nous obligeant à voyager léger et à compter la place disponible. Point de bureau gigantesque, nous aurions ce qui rentrera dans la chambre, et le lit double s’est transformé en clic-clac pour gagner de la place.
Après d’interminables adieux, des pleurs des mamans laissant leurs petits prendre leur envol, nous avons fêté notre emménagement tous les deux par une pizza livrée à la maison. La petite montagne de cartons s’est vite retrouvée rangée, et nous avons pris nos marques dans l’appartement en attendant le retour des deux autres colocataires. Nous avons fait l’amour dans toutes les pièces de la maison, profitant de notre solitude. Trois jours avant la rentrée, une femme est entrée dans l’appartement alors que nous étions presque en plein ébat. Nous n’avons eu que le temps de nous rhabiller pendant que la clef tournait dans la serrure.
Une fille entra, étudiante comme nous, ployant sous le poids de ses bagages, transpirante, essoufflée d’avoir grimpé les deux étages, et soulagée d’être arrivée.
— Marine, se présenta-t-elle, enchantée, je ne vous fais pas la bise, je colle de partout, souffla-t-elle en tentant de s’éventer.
Une jolie blonde, vêtue d’un petit short blanc moulant un adorable petit cul, d’un débardeur bleu marine couvrant une poitrine menue, elle nous sourit immédiatement, sourire qui ne devait jamais s’éteindre. Ses dents blanches et ses yeux bleus expressifs lui donnaient un charme fou qui me laissa deux secondes interdit.
Nous lui proposâmes de boire un jus bien frais, histoire de faire connaissance quand elle en aurait fini de s’installer. Elle accepta bien volontiers et nous parla du voyage incroyable qu’elle avait fait dans le nord de l’Italie, elle y avait rencontré des gens formidables, vu des villes sublimes, des panoramas fous. Elle pétillait de vie, et parlait avec passion, optimiste malgré les galères qu’elle avait rencontrées sur place. Étudiante en langues, elle se vouait à la carrière de chercheur, ou de traducteur, selon les opportunités qui lui seraient proposées.
Nous nous présentâmes plus sobrement, plus timidement, étant nouveaux dans la capitale, nous avions exploré le quartier, vu quelques monuments depuis notre arrivée, mais guère plus. Elle se promit alors de nous faire découvrir les coins sympas, les bars à fréquenter, les boutiques, bref, toutes les infos qui nous manquaient à nous, pauvres provinciaux. Elle venait de lointaine banlieue parisienne et semblait dans son élément, prête à croquer la vie à pleines dents.
Après une plâtrée de pâtes typique des étudiants, nous sommes allés nous coucher, épuisés par nos journées respectives. Je sentais Louise un peu timide, voire plus, et je lui demandai pourquoi.
— Elle est belle, Marine, me murmura-t-elle, plus belle que moi et j’ai peur que tu me quittes pour elle.— Mais où vas-tu chercher ça ? C’est toi la plus belle mon cœur, et c’est toi que j’aime. Et puis, tu as vu mes talents de séducteur ? Tu as vu mon physique ? Quand bien même je voudrais, jamais elle ne serait partante !— N’importe quoi, tu as plus de charme que tu penses, et les femmes ne regardent pas que le physique. Regarde-la, elle est mince et tout, moi, je suis pleine de gras et moche.— Ne dis pas de bêtises ou je te mets une fessée cul nu !— Alors, je vais être très vilaine, me répondit-elle de sa voix coquine.
Je saisis ses jolies fesses à pleine main, les pétrissant avec fermeté, tout en l’embrassant avec toute la fougue de mon amour. Je vins sur elle, et, sans autre forme de procès, la pénétrai d’un coup sec dans son antre trempé. Elle gémit de surprise et m’encouragea à la prendre fort en crispant ses doigts sur mes fesses.

Je la pris fort, faisant claquer mes bourses contre elle, déclenchant un premier orgasme chez elle. Je la tournai sur le ventre pour la prendre encore plus sauvagement et lui mordiller le cou. Elle accueillit mon jus en même temps que son second orgasme et nous nous enlaçâmes tendrement pour dormir.
Le matin, je me rendis compte que notre porte était restée entrebâillée. Marine avait dû nous entendre, je croisais les doigts pour qu’elle ait été en train d’écouter de la musique pendant notre câlin d’hier. Je m’habillai rapidement et préparai le petit-déjeuner pour tous, surtout le thé de ma dulcinée. Je croisai alors Marine, vêtue d’une nuisette simple et légère, laissant entrevoir ses jolies fesses et mettant ses belles gambettes à l’air. Elle me sourit et s’assit à la table, me remerciant pour la préparation.
Je me sentais terriblement gêné et ne savais quoi dire, je ne voulais faire allusion ni à hier soir, ni être grillé en train de mater ses jambes ou son décolleté. Je mangeais en silence alors qu’elle chantonnait et me parla de son programme de la journée. Courses, ménage, lessive, etc.
Lorsque Louise apparut avec sa belle nuisette que je lui avais offerte, moulant ses jolis seins, Marine ne stoppa pas pour autant son monologue et accueillit ma belle avec une bise appuyée qui la fit rougir. Elle m’embrassa et dégusta son petit-déjeuner. Pour nous, la journée serait efficace et administrative. Il nous fallait aller à notre école, faire les formalités d’admission, aller chercher les livres dont nous aurions besoin, prendre notre abonnement aux transports, faire des courses, et mille choses à faire avant la rentrée de lundi. Ainsi, nous aurions notre week-end à nous pour profiter.
Le soir, épuisés, après mille trajets, photocopies, remplissage de papiers, achats en tous genres, nous nous affalâmes sur le canapé du salon. Fourbus, nous nous fîmes un câlin quand Marine apparut, simplement vêtue dans l’entrebâillement de la cuisine.
— J’ai fait une salade composée, vous voulez manger avec moi ? Ça serait mieux quand même que de manger dans notre coin ?— Nous ne voudrions pas abuser, répondis-je. — Je vous le propose, d’ailleurs, j’ai mis la table pour nous trois.
Nous acceptâmes avec joie et, pendant que nous savourions les pignons de pin, les lardons frits et les tomates, la porte s’ouvrit sur un jeune homme qui entra tout aussi chargé que Marine la veille.Grand, blond, bronzé, large d’épaules, les yeux bleus très clairs, il nous salua avec enthousiasme. Thomas était vêtu comme un voyageur, short de sport, T-shirt et baskets. Il revenait d’un mois de vacances sur le Bassin d’Arcachon et ça se sentait. Il posa ses sacs dans sa chambre et se joignit à nous pour le dîner. Étudiant en histoire, il se voyait bien prof, pour les vacances et la sécurité de l’emploi, sans plus de conviction que ça.
Sportif, gentil, il devait faire des ravages dans sa fac. Marine et lui avaient déjà passé une année de colocation et envisageaient la deuxième sereinement. Peu de règles dans la coloc, on prendrait les décisions au fur et à mesure. Je surpris ma Louise lui jeter des regards appuyés, sans doute charmée par ses biceps plus gros que mes cuisses et son sourire charmeur.
Nous avons passé ainsi notre soirée à nous présenter, à apprendre à nous connaître, et nous sommes allés nous coucher.
— Tu vois, ai-je rétorqué à ma chérie, je pourrais aussi craindre que tu ne me quittes pour le beau Thomas.— Il est mignon, c’est sûr, mais c’est toi que j’aime mon cœur.— Alors, oublions ça et ne pensons qu’à nous.
Nous fîmes alors tendrement l’amour, sensuellement, et Louise, passés ses deux premiers orgasmes me demanda de lui prendre les fesses. Je m’exécutai avec grand plaisir avant de tartiner ses jolies fesses de ma crème.
Samedi, Marine nous proposa de déjeuner aux Buttes Chaumont que nous ne connaissions pas. Nous, un coup de métro et nous voilà, tous les 4 à poser notre panier à pique-nique. Nous savourions notre repas et nous détendions avant une rentrée qui s’annonçait sur les chapeaux de roues pour nous.
Les cours ont ainsi commencé, mais c’était clairement moins touffu qu’en prépa, l’ambiance y était plus détendue, moins stressante, le but n’étant pas d’accumuler les heures de cours, mais de faire de nous de futurs ingénieurs.
Avec Louise, notre vie de couple était au beau fixe, nous avions plus de temps, sortions plus, profitions plus, seul l’argent nous manquait, mais pas à un point dramatique. Nous faisions régulièrement l’amour, dès que l’appartement était calme, dès que nous le pouvions, et je remarquais régulièrement que, le matin, notre porte était entrouverte sans connaître le coupable.
Un jour alors que Louise était en train de m’offrir une de ses pipes dont elle a le secret, je vis un rai de lumière venir de la porte, pas de doute, quelqu’un nous espionnait. J’allumai alors la lumière brutalement, me montrant Marine, en nuisette, la main entre les cuisses. Surprise. Elle balbutia quelque chose puis s’en alla très vite.
Louise et moi partîmes d’un éclat de rire qui noua, coupé dans notre élan et nous a fait notre soirée. Nous nous endormîmes euphoriques, sans savoir ce que nous allions faire de cette information.Nous n’avons pas vu Marine le lendemain ni le jour d’après, mais Louise est venue me trouver le samedi en début de soirée.
— J’ai parlé à Marine, m’annonça ma bien-aimée.— Oh, et comment va notre petite voyeuse ?— Elle a quelque chose à nous dire.— Je suis désolée, balbutia-t-elle alors qu’elle entrait dans la pièce, mais je vous entends toutes les nuits et vous m’excitez beaucoup d’autant que ça fait longtemps que je n’ai pas... enfin, vous voyez.— Pas de souci Marine, en ce qui me concerne, tout au moins.— Marine aimerait nous demander quelque chose, continua Louise.— Vous voulez bien que je vous regarde à nouveau, s’il vous plaît ?
J’étais estomaqué par la demande de Marine, qui me semblait tellement irréelle. Mais, la voyant se tortiller ainsi, je sentais qu’elle en avait envie.
— C’est à Louise qu’il faut demander, Marine, pas à moi.— J’ai déjà dit oui mon cœur, fit Louise en caressant ma queue par-dessus mon short, je t’avoue qu’une voyeuse m’excite beaucoup.— En effet ! Remarquai-je en passant ma main sous la jupe de Louise.
Marine partit s’assoir sur le fauteuil du salon et nous observa alors que Louise commençait à me sucer avec une ardeur rarement rencontrée. Elle y mettait tout son cœur et prenait bien soin de pencher ses cheveux de manière à bien montrer à Marine. Elle s’employa à me faire durcir et à me donner un maximum de plaisir. Marine commençait à se caresser les seins, par-dessus son débardeur et ne perdait pas une miette du spectacle sous ses yeux.
J’entrepris de coucher Louise sur le canapé pour la lécher comme elle aime. Surprise, elle avait mis son plug, elle avait préparé son coup. Son clito qui fond sous ma langue, son jus qui perle ne me lasseront jamais. Je me délectais de cette odeur de femme qui monte dans la pièce. Je me mis à doigter Louise, un puis deux dans son minou pour la rendre encore plus chatte. Elle ronronnait de plaisir, pinçant ses seins entre ses doigts, les exposant avec envie à Marine qui avait soulevé sa jupe et quitté ses collants pour se caresser le haricot.
Je léchai Louise, je la suçai, je la titillai pour qu’elle en vienne à me supplier de la prendre, et ça fonctionna. Elle se mit à quatre pattes, bien ouverte sur le canapé pour m’appeler, son bijou intime bien en évidence. Je la pénétrai d’un seul coup, fort, déclenchant un petit cri de plaisir aigu. Elle m’encouragea à y aller plus fort, à la claquer alors que Marine se doigtait allègrement. Je la baisais, clairement, fort, vite, profond, en lui tirant les cheveux. Marine s’en léchait les babines et semblait jouir sans interruption comme Louise, déchaînée qui coulait littéralement sur le canapé.
— Marine, ma chérie, haleta Louise, ne reste pas dans ton coin, viens me retirer mon plug, demanda ma chérie contre toute attente.
Marine n’hésita pas et s’approcha de nous. Je m’écartai et lui laissai le champ libre. Elle caressa les fesses de Louise, les couvrant de baisers, elle s’aventura vers les seins de ma chérie et les prit en bouche. Ma belle se laissa faire et encouragea la nouvelle venue à poursuivre son œuvre. Les deux femmes partirent dans un ballet de baisers et de caresses tendres. Marine dévorait les seins de Louise et je me contentais de les regarder, pour le moment.
Louise déshabilla Marine et prit ses petits seins entre ses lèvres. Ils étaient joliment dessinés, fermes, dressés d’excitation, comme deux petites pommes. Marine ferma les yeux et se laissa faire, gémissant, chantonnant son plaisir. Elle posait ses mains sur ma Louise qui prenait le dessus. Elles s’embrassaient, passaient leurs mains partout jusqu’à ce que Louise arrête ses lèvres sur l’abricot de Marine. Elle le lapa, le suça, le titilla de sa langue, à croire que ça n’était pas sa première fois. La réaction de Marine ne se fit pas attendre et elle commença à se tortiller, à caresser et pincer ses seins, à haleter, à en demander plus encore.
Louise la doigta, deux, sans ménagement qui firent crier Marine. Elle branlait le clito, la doigtait dans un concert de gémissements et de bruits obscènes. J’observais la scène et je me rapprochai pour embrasser ma belle avant de rejoindre mon perchoir. Louise semblait décidée à faire jouir Marine comme une folle et s’y employait de toute sa sensualité. Je caressais ma queue dure comme l’acier en savourant ce spectacle.
— Tu aimes ce que tu vois mon cœur ? me demanda Louise entre deux coups de langue sur le clito de Marine.— C’est délicieusement érotique, j’aime beaucoup, ça se voit, lui répondis-je en montrant ma queue dressée.
Elle me fit un signe de tête et je vins près de ma dulcinée, l’embrassant, la caressant, passant ma main entre ses cuisses. Elle était trempée. Faire jouir une femme au bout de ses doigts devait l’exciter au plus haut point.
— Mon cœur, me permets-tu de t’aider à faire jouir Marine ? lui demandai-je.— Bien entendu mon chéri, tant que tu y es, fais-la taire un peu, il ne faudrait pas que les voisins portent plainte pour tapage nocturne.
J’allai alors poser mes lèvres sur celles de Marine qui cherchait de l’air tellement elle jouissait. Je m’en allai ensuite vers ses petits seins pour les sucer et les titiller à mon tour. Marine n’en fut que plus excitée et tendit sa main pour prendre mes cheveux, elle se mit à gémir de plus belle.
— Fais-la taire, me répéta Louise, avec ta queue, dans sa bouche enfin !
Je m’exécutai et présentai ma queue devant les lèvres de Marine qui n’hésita pas avant de me prendre en bouche. Elle suçait de manière désordonnée, parcourue qu’elle était par toutes sortes de frissons de plaisir. Enfin, un dernier orgasme vint la terrasser et Louise sortit ses doigts pour les faire lécher à Marine qui les avala goulûment.Marine haletait, le corps en sueur, les sens mélangés alors que Louise et moi la caressions tendrement.
— Oh mon Dieu, que m’avez-vous fait ? C’était tellement bon. — Avec plaisir ma belle, lui répondit Louise en lui caressant les cheveux avant de poser un baiser tendre sur ses lèvres.
Marine me branlait négligemment et recouvrait ses esprits petit à petit.
— Tu ne devais pas me retirer mon plug ? demanda Louise, parce que je n’ai pas eu ma dose.— Je n’ai jamais vu un truc pareil en dehors des films pornos, je ne sais pas comment ça marche, j’ai peur de te faire mal.
Louise se cambra sur le canapé, fesses bien ouvertes, et l’invita à s’en saisir. Marine tira lentement et le plug sortit naturellement de l’anus de ma chérie.
— Tu te fais souvent... demanda Marine.— J’adore ça, la sodomie, avoua Louise, c’est tellement bon quand il me prend le cul, je ne résiste pas bien longtemps avant de jouir très fort. C’est différent que par-devant, bien entendu, mais bien fait, c’est aussi fort, au moins. Mon chéri, montre-lui combien c’est bon, s’il te plaît, prends-moi le cul.
J’enduis alors ma queue de gel plus une noisette sur la rondelle de ma chérie. Marine était tout près, la joue contre les fesses de ma belle et je posai mon gland contre sa rosette. Une petite poussée, et j’étais rentré jusqu’à la garde dans un feulement de plaisir de Louise.
— C’est tellement beau, commenta Marine, et ton chéri en a une grosse je trouve. Tu n’as pas mal ?— Pas une seule fois, ahana Louise, c’est que du plaisir quand c’est bien fait. Regarde comme c’est bon.
Je commençai à la prendre doucement avant que Louise ne m’encourage à aller plus fort. J’accélérai pour la pilonner fermement, en lui mettant des fessées. Marine, les yeux écarquillés, admirait mon membre aller et venir dans le petit conduit sous les gémissements de Louise. Je lui demandai alors de lui caresser le clito pendant que je la prenais. Marine entra un puis deux doigts dans le minou de ma chérie et celle-ci se mit à gémir de plus belle. Je lui tirais les cheveux, je lui glissais des mots obscènes à l’oreille et elle semblait encore plus déchaînée qu’à l’ordinaire. Elle jouit une première fois, inondant la main de Marine, puis une deuxième fois. Ma sève commençait à monter et Marine demanda à la recevoir sur le visage. Louise se mit à côté d’elle et tira la langue en m’attrapant la queue pour me faire partir. Une large giclée de sperme vint recouvrir le beau sourire de Marine et la langue de Louise au moment où Thomas apparut dans l’encadrement de la porte du salon.
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