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Découverte d'un étudiant

Chapitre 6

Une vie à quatre

Orgie / Partouze
Après cette merveilleuse soirée riche en découvertes, notre vie avait pris un nouveau tournant. Nous faisions l’amour avec Louise toujours aussi passionnément, mais il nous arrivait assez souvent de vivre des expériences à trois avec Thomas ou Marine, ou à quatre, au moins deux fois par mois. La bonne humeur régnait, l’harmonie, oserais-je dire. Il n’était pas rare que je retrouve les deux femmes au lit en train de se dévorer le minou, ou en train de faire une pipe savoureuse à Thomas. Nous avons découvert beaucoup de choses tous les quatre, mais, malgré les expériences passées de Thomas, nous n’avions jamais songé à ajouter d’autres personnes ou à aller en club libertin par exemple.
Notre vie estudiantine se déroulait normalement, entre cours, devoirs, travaux de recherche, nos mémoires à rédiger, etc. Notre vie parisienne battait son plein, nous avions nos petites habitudes, nos bons plans, quelques soirées avec des gens de notre école. On peut dire que nous étions pleinement satisfaits.
Les femmes vivaient à la maison nues, ou en lingerie, et ce, dès les premiers beaux jours. Marine devenait plus femme, osait plus, et se révélait sexuellement. J’avais sans arrêt une belle érection en voyant ces deux belles jeunes femmes s’embrasser, se câliner, ou juste quand elles faisaient la cuisine nues sous le tablier.
Un vendredi soir après une semaine éprouvante, nous étions en train de siroter une boisson quelconque sur le canapé avec Thomas quand les deux femmes sont arrivées.
— Tadaa, fit Louise qui arborait une guêpière avec des bas et un magnifique string assorti.
Marine portait la même lingerie. Le tulle, les lacets, la dentelle et le satin donnaient un effet incroyable aux corps des deux femmes. Elles étaient femelles, séduisantes, sensuelles, de vraies femmes fatales.
— Vous êtes superbes les filles, osais-je, ça vous va à ravir ! Que vous êtes belles !
Thomas acquiesçait, il était sous le charme, et la bosse de son pantalon venait confirmer cet état. Elles vinrent s’approcher de nous d’un pas chaloupé et je ne pouvais que fondre d’envie devant tant de beauté.
— On a une surprise pour vous aussi, mais vous devrez aller la chercher, minauda Marine.
Je savourais la douceur des cuisses de ma chérie et la délicatesse de ses bas. Les caresses commencèrent entre nous quatre, mais les filles se concentrèrent sur les plaisirs saphiques nous laissant volontairement hors de leurs jeux. Ce fut un ballet de baisers tout d’abord, avec des mains baladeuses, le tout arrosé d’une sensualité omniprésente.Nous avions l’habitude de ces jeux et restâmes éloignés, savourant le plaisir de les voir se mélanger toutes les deux. Seul le bruit de leurs baisers et de leurs soupirs de désir venait troubler le silence de cathédrale qui régnait dans la pièce. Les deux femmes enlacées nous offraient un spectacle de toute beauté enchantant nos sens. Nous faisions tout pour rester de marbre, mais nos braguettes tendues ne pouvaient que nous trahir.Les deux se bécotaient les seins, le cou, passaient leurs mains dans les cheveux, sur leurs corps. Je me félicitais chaque seconde d’avoir une chérie aussi douce et sensuelle que celle que j’ai.
— Alors, les garçons, vous ne voulez pas vous joindre à nous ? nous demanda Louise avec un téton entre les dents. On ne vous fait pas envie ?— Oh que si, répondit Thomas en posant sa bouche sur le sein de Marine.
Le concert de langues continua encore et encore, quand je trouvai la surprise de Marine.
— Petite coquine, lui dis-je, tu en as envie ?
Un soupir fut sa seule réponse alors que je plongeai les doigts dans son antre surchauffé. Elle portait un plug, le même que celui de ma chérie. Je le sentais alors que je la doigtais fermement, comme elle aime. Elle jouit une première fois sous la conjonction de nos bouches et de mes doigts. Louise la laissa reprendre ses esprits et attrapa nos deux queues pour nous offrir un festival de pipes goulues comme elle aime tant les donner. Elle pompait, aspirait nos deux membres durs comme la pierre, nous branlant délicatement, léchant nos bourses, lapant les glands tumescents. J’étais aux anges lorsqu’elle voulut me prendre en entier dans sa bouche. Elle suffoqua quand je touchai le fond, mais elle persévéra.
— J’ai tellement envie de t’avaler entier, me dit-elle en reprenant son souffle, mais tu es large.
J’allais lui dire que ce n’était pas grave alors qu’elle essaya avec Thomas, elle le prit le plus qu’elle put, mais ne put tout avaler. Elle semblait aux anges d’avoir deux queues dressées pour elle et passait de l’une à l’autre avec une intense jubilation. Elle suçait avec bonheur, mais dut céder sa place à Marine qui prit celle de Thomas pour la mettre dans sa bouche. Louise me couvrait de tendresse, et n’en put plus, elle avait besoin que je la prenne.Elle se cambra sur le canapé où Marine prenait place, j’observai un instant ces deux croupes tendues décorées d’un plug, les jambes gainées de bas fins.Je ne pus résister et pris ma bien-aimée très fort. Je la pilonnai, faisant claquer ses fesses, tirant ses cheveux. Le mot sortit de ma bouche, sans crier gare.
— Tu es ma petite salope.— Oh oui, baise ta salope mon cœur, je suis ta salope qui aime la queue !
Les mots crus semblaient l’exciter et Marine en rajouta.
— Baise-moi, baisez-moi, tous les deux, je veux vos bites partout.
Thomas fit jouir Marine en lui serrant le cou. Nous vîmes ses yeux révulsés, ses fesses rougies de claques et son corps trembler de spasmes de plaisir. Thomas se retira de Marine et présenta sa queue à la bouche de ma chérie qui ne se fit pas prier pour le sucer au rythme de mes coups de reins.Marine, revenue des rivages de l’orgasme vint se joindre à nous.
— Thomas, tu veux bien t’occuper de mon cul, s’il te plaît ?
Comment résister à une telle invitation ? Louise lui rendit sa queue et nous nous sommes arrêtés pour soutenir la belle blonde dans sa découverte du plaisir anal. Nous étions chacun d’un côté, la caressant, l’embrassant, titillant ses seins alors que Thomas retirait son plug. Il posa sa langue sur la rondelle frémissante de la belle en la doigtant. Elle se tortilla, appréciant le traitement.Elle fit signe à Thomas et celui-ci enduit sa queue de gel, mit une noisette sur la rondelle et se présenta à l’entrée. D’un geste lent et régulier, il entra sans coup férir jusqu’à la garde sous les gémissements de plaisir de Marine. Louise lui caressait le clito et je lui léchais les seins.Thomas commença de lents va-et-vient lorsque Marine lui fit signe, puis accéléra gentiment. Elle soupirait, soufflait, gémissait, prononçait des mots crus par le plaisir qu’elle recevait.
— C’est trop bon dans mon cul, continue, ne t’arrête pas !
Thomas ne se fit pas redire ces mots et commença son œuvre, claquant ses fesses, tirant ses cheveux. Marine, possédée beuglait plus qu’elle ne gémissait, le plaisir, visiblement était très fort. Une belle queue plantée dans son fondement, des mains et des bouches pour la cajoler, elle était au paradis.
Il la limait bien fort, et son petit cul envoyait des ondes de jouissance à Marine qui en redemandait. Il finit par se retirer et me fit signe de prendre sa place. Ma chérie me suça une seconde, prit ma queue et la dirigea vers l’entrée du petit trou de la belle blonde. Sans aucune difficulté, j’avais tout rentré et je continuai le travail commencé par Thomas. Je la baisais comme elle aimait, lui murmurant des paroles emplies de luxure au creux de l’oreille. Elle prononçait des bribes de mots inintelligibles signe de son abandon total.
Je baisais le petit cul presque vierge de la belle Marine et à côté, Louise profitait de la queue dressée de Thomas pour se faire sodomiser elle aussi. Les deux femmes en réclamaient plus.J’offris une belle double pénétration à ma belle après que Marine fut mise hors service après un énième orgasme. Remplie comme elle aimait, ma Louise partit dans un chapelet d’orgasmes qui lui firent perdre pied et prononcer des mots crus.
— Baisez-moi, remplissez-moi, je suis une salope qui aime la bite.
Marine vint vers Louise, l’embrassant tendrement.
— J’en veux une moi aussi, lui demanda-t-elle, je veux être remplie comme toi.
Après quelques coups de boutoir bien sentis et un dernier orgasme, Louise céda sa place à Marine qui vint s’asseoir sur moi. Sa chatte, tel un fourreau de velours, m’accueillit sans difficulté. Thomas se présenta derrière elle et entra tout aussi facilement sous les gémissements de plaisir de la belle blonde. Elle jouit très rapidement sous les assauts de nos queues, puis un deuxième orgasme vint, plus fort, je sentais son corps trembler comme une feuille.
Les deux princesses de la soirée voulurent nous offrir un beau final et nous demandèrent de finir sur leurs seins. Elles nous sucèrent avec envie et nous avons repeint leurs jolis seins de notre crème. Satisfaites, elles se léchèrent entre elles, tendrement, savourant ce que nous leur avions apporté.
Malheureusement, Marine et Thomas avaient fini leur année et partirent dans des villes différentes, nous laissant avec deux autres hommes avec lesquels le contact n’est pas passé aussi bien. Ce furent nos dernières expériences de ce type jusqu’à la fin de nos études.
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