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Découverte d'un étudiant

Chapitre 7

Marine se découvre

Lesbienne
Après cet incident, nous n’avions plus vu Marine, le soir, elle s’enfermait dans sa chambre, ou rentrait tard, alors que nous étions déjà couchés, deux jours passèrent ainsi, et j’étais soulagée qu’elle prenne ses distances, parce que je craignais toujours que Mathieu ne tombe sous son charme et me quitte pour cette belle blonde mince, et la déception de perdre une gentille coloc toujours souriante avec laquelle on s’entendait plutôt bien.
J’étais seule à la maison, Mathieu étant parti faire des courses, Thomas devant courir les filles encore une fois. Je m’affairais à mon ménage, rangement, quand j’entendis la porte s’ouvrir, furtivement. Je décidai de rester cachée, et vis Marine, posant doucement son manteau sur la patère de l’entrée, scrutant autour d’elle, et se diriger vers le salon en jetant un œil autour d’elle. Je décidai alors de la surprendre et je me cachai derrière une porte. Elle entra dans la cuisine où j’étais et je la fis sursauter en mettant mes mains sur ses épaules.
Elle poussa un cri en se retournant et m’offrit un visage empli de terreur quand elle me vit.
— Tu cherches à ce point à nous éviter ? lui assénai-je.— Eh bien, bégaya-t-elle, je ne sais pas.— Tu ne sais pas quoi dire ? Ou tu n’as pas envie d’en parler.— C’est gênant tout de même, avoua-t-elle.— C’est vrai que venant de toi, ça m’étonne quand même beaucoup, je ne te savais pas comme ça.— Tu sais, hésita-t-elle, ça fait longtemps que je n’ai pas de petit copain, et vous n’arrêtez pas de vous faire des choses devant moi, et j’ai eu un peu envie quand même.
Je la regardai, elle m’apparut encore plus belle avec ses cheveux blonds lisses qui tombaient sur ses épaules, ses yeux bleus, sa peau blanche lisse comme la soie, ses petits seins hauts, fermes et arrogants. Même en rougissant, elle était encore plus belle.
— Mais enfin, belle comme tu es, tu pourrais avoir tous les hommes à tes pieds, tu as juste à te baisser.— Ben oui, mais les garçons de notre âge sont tellement bêtes, ils n’en veulent qu’à mon cul.— Ca, oui, mais au moins, tu aurais une petite grimpée au rideau.— J’ai essayé, mais, ils sont tellement maladroits, je n’ai, pour ainsi dire...— Jamais joui ?— A part quand je me le fais moi, sinon, aucun homme n’a jamais réussi, et t’entendre jouir soir après soir, eh bien, ça m’a donné des idées, et j’ai commencé juste en vous écoutant, puis en vous regardant.
Je n’en revenais pas, cette petite coquine nous avait matés, et avait adoré ça.
— Tu sais, me confia-t-elle, j’ai déjà joui en même temps que toi.

Eh bien, elle savait se dévergonder la petite, moi qui ne la voyais que comme prude avec ses dessous en coton et son air de ne pas y toucher, c’était une petite coquine.
— Je vais quitter la coloc, décida-t-elle, c’est vrai que ce n’est pas sain pour nous tous et pour vous deux, juste le temps de trouver autre chose et je m’en irai.— Ca serait dommage que tu t’en ailles pour ça, lui répondis-je, tu ne fais pas de mal, ça nous a juste surpris, c’est tout. Tu sais, au début, j’étais jalouse de toi, de ton sourire éclatant, de ton petit cul parfait, de ton ventre plat de ton visage de poupée.— Pourtant, tu es belle toi, avec tes seins parfaits, tes cheveux qui frisent tout seuls, tes jolies jambes, et toi, tu as un mec qui te fait grimper au rideau, pas moi.
Nous partîmes dans un éclat de rire, encore une fois, nos complexes n’étaient que des futilités, et je la trouvais encore plus belle devant moi.
— Regarde-moi, avec mes kilos en trop, mes seins qui attirent les regards des hommes et qui font qu’ils ne me regardent jamais dans les yeux, je suis un petit boudin.— Quand tu jouis, tu es si belle, me dit-elle. Si tu savais comme j’aurais aimé être à ta place à chaque fois que je me suis touchée en vous regardant. Ton Mathieu, quand il te fait des... trucs avec sa bouche et ses mains, tu as l’air tellement bien. J’aurais aimé vivre ça.— Pas touche à mon Mathieu, lui dis-je, il est à moi !— C’est pas tant lui qui m’intéresse, c’est ce qu’il te fait, tu as l’air de jouir tellement fort !— Demande à Thomas alors ! Il est beau gosse et je l’ai déjà vu te mater pas mal de fois.— Pff, je n’intéresse pas un type comme lui, il est trop beau, et il a des tonnes de conquêtes.— Signe qu’il a de l’expérience, donc, il doit savoir s’y prendre un peu. Et puis, quitte ces fringues de petite fille et habille-toi en femme fatale et les hommes seront à tes pieds.— Tu crois ? minauda-t-elle.— Viens, suis-moi.
Je la pris par la main et l’entraînai dans sa chambre. Elle ouvrit son armoire et je jetai un œil à ce que j’avais déjà vu porter sur elle, classique, basique, aucune fantaisie. Des pantalons, une seule jupe, des collants de petite fille, des hauts informes, des chaussures plates, en somme des habits utilitaires, et ne la mettant pas en valeur.
— Tu as un peu de sous devant toi ?— Plein, me répondit-elle, mes parents sont bourrés de pognon, ils m’envoient trois ou quatre fois ce dont j’ai besoin pour mes études.— Alors, fais chauffer la carte bleue, on sort.
Sans autre forme de procès, je la pris par la main et l’emmenai dans mes boutiques, je lui fis essayer des jupes, des robes, des chaussures à talons. Elle essaya de mauvaise grâce au début, puis se prit au jeu, malgré des protestations. « J’ai l’air d’une prostituée là-dedans », me dit-elle alors qu’elle chaussait une jupe arrivant à mi-cuisse. « Pas si tu mets ça avec de jolis collants, allez, tu prends ». Deux cents euros et quelques tenues plus tard, je l’emmenai dans un magasin de lingerie pas trop cher.
— Ce que je porte ne va pas ? protesta-t-elle.— Dis adieu aux culottes de coton de petite fille, et bienvenue dans le monde des vrais dessous de dentelle pour vraies femmes.
Je choisis pour elle trois parures, une blanche, une rouge et une noire, coordonnées, des shortys, des strings, le tout empli de dentelle. Avec sa taille mannequin, impossible de se tromper sur les tailles.A la maison, je lui fis tout essayer, lingerie y compris. Elle sembla gênée alors que je restais dans sa chambre alors qu’elle se changeait. Le lit était constellé de paquets, de sacs, de tickets de caisse. Elle se déshabilla lentement devant moi, me tournant le dos. Je la vis fébrile quand elle dégrafa son soutien-gorge blanc sans fantaisie.Elle se saisit de la première parure, enfila le shorty, puis le soutien-gorge et se tourna vers moi. C’était la même femme, mais transfigurée, elle dégageait un sex appeal du tonnerre, elle mettait mes sens en émoi. Je la trouvais... désirable, c’est le mot. Désirable et divinement sexy.
— C’est plus confortable que ce que je pensais, avoua-t-elle.
Je lui fis chausser une jupe bleue, et un chemisier cintré blanc, tout simple, qu’elle boutonna jusqu’au cou.
— Aguiche un peu, ma chérie, ouvre-moi tout ça, fais respirer tes seins.— Mais... Mais, on va tout voir !— Juste un bouton ou deux, histoire de rendre les hommes fous. Là, tu fais envie, regarde-toi dans la glace, regarde comme tu es belle. Et si tu ne veux pas que tes dessous se voient sous du blanc, mets la parure rouge.
Elle écarquilla les yeux, comme si elle ne se reconnaissait pas. Elle lissa les pans de son chemisier, sa jupe, chaussa ses talons, elle était devenue sexy en diable. Je la voyais se regarder sous toutes les coutures, comme si elle se réappropriait son propre corps. Je ne pouvais m’empêcher d’être tactile, appréciant le galbe de ses fesses, de ses hanches, de ses cuisses, son ventre plat, ses doux cheveux.Elle essaya la robe noire, avec des dessous noirs, une vraie beauté. Je la contemplais, qu’étais-je en train de faire ? J’étais en train de transformer ma coloc en bombe sexuelle avec encore plus de risques qu’elle me pique mon homme. Pourtant, j’adorais la voir éclore comme ça, j’adorais sa petite gêne quand elle mettait des talons ou de la dentelle qui disparaissait lorsqu’elle voyait le résultat. Sans cesse, elle m’apparaissait de plus en plus sexy, de plus en plus désirable.
— Tu n’essaies pas les strings ? lui demandé-je, avec cette jupe, il ne faudrait pas qu’on voit ce que tu portes dessous.— Eh ben...— Tu n’en as jamais porté, c’est ça ?— Oui, c’est ça. J’ai peur de ne pas aimer.— Alors, essaie, et tu verras.
Elle retira le shorty rouge et je vis son petit ticket de métro soigneusement entretenu. Je commençai à avoir chaud à la voir se déshabiller de la sorte. Elle chaussa le string et le positionna entre ses jolies fesses bien galbées. Je ne pus m’empêcher de sentir du bout des doigts ce que ça donnait. Pour les yeux et pour les mains, c’était un régal, ça lui donnait un air de femme fatale. Je n’arrêtais pas de la caresser, et elle ne faisait aucun geste pour me repousser. Elle se retourna, ses seins pointaient. Vu le chauffage de la pièce et le fait que j’avais moi-même chaud, ça ne pouvait venir du froid.
— C’est pas si inconfortable, me dit-elle, juste une sensation bizarre.— Ca passera, rassure-toi.
Elle s’admirait dans la glace, prenant des poses de plus en plus sexy, regardant ce que ça donnait sur ses fesses. Je la voyais avec ses talons, se tourner et se retourner sur elle-même. Je ne savais ce qui m’arrivait, mais j’avais envie d’elle, la sensation, inconnue jusqu’alors m’apparut alors qu’elle se remettait les seins en place.
— Tu me pardonnes pour vous avoir regardés, alors, me demanda-t-elle alors que je regardais ses seins fixement.— Tant que tu ne me piques pas mon Mathieu, tu sais, ce n’est pas dérangeant, et même, c’est plutôt excitant de se savoir observée.— Tu me laisserais faire encore ? Je veux dire, si ça arrivait, tu pourrais t’arranger pour que Mathieu me laisse regarder ?— Peut-être, c’est à lui de le demander. Mais, là, j’ai autre chose en tête entre toi et moi.
Je ne lui laissai pas le temps de répondre et posai mes lèvres sur les siennes. Surprise, elle se laissa aller à mon étreinte et sa langue vint trouver la mienne. Timidement, elle trouva la mienne et nous entreprîmes de douces caresses dans nos bouches. Elle s’abandonnait progressivement, ses lèvres douces, s’ouvrant de plus en plus. Elle osa poser ses mains sur mes hanches, tout comme je ne résistai pas à l’envie de pétrir ses fesses parfaites. Notre baiser durait, sans cesse plus tendre et plus passionné. Je sentais sa poitrine se gonfler plus amplement, ses mains qui étaient de moins en moins timides, et je découvrais chaque seconde de nouvelles sensations.
La douceur de sa peau, ses courbes, la dentelle, moi qui me croyais une pure hétéro, voilà que je me laissais tenter. Des centaines d’images perverses me vinrent en tête, ce baiser était une épiphanie, j’aimais ça. J’aimais ce baiser, j’aimais ses seins, j’aimais ses formes, et, en glissant mon doigt entre ses cuisses, j’adorais sentir son string bien chaud et humide. Je trompais mon homme avec une femme et j’en redemandais.
D’un geste, je la couchai sur le lit, dans le bruit des sacs en plastique. Je la chevauchai et repris mon baiser. Je me redressai, retirai mon haut, ma jupe tomba à mes pieds. J’apparus devant elle, en pleine lumière. Elle ouvrit grand ses beaux yeux bleus.
— C’est vrai que la lingerie, c’est beau, confessa-t-elle, tu es tellement belle.
Je plongeai vers ses seins, retirai la dentelle qui les recouvrait et dévorai sans autre forme de procès ses tétons dressés, durs, comme des friandises à lécher. Je m’en délectai sous les cris d’abord de surprise, puis de plaisir. Elle prit mes cheveux entre ses doigts fins et pressa ma tête contre ses seins. Je pris ça pour un encouragement et augmentai la pression sur ses tétons. Plus je les pinçais fort, plus elle gémissait, j’en vins à les mordiller, ce qui la fit se tordre de plaisir. Elle m’en réclamait encore et encore, gémissant et implorant.
Je me délectais de son plaisir, j’adorais ça. Je voulais la rendre folle, je lui mordis le cou en pinçant ses tétons, un petit cri vint me récompenser et elle m’ouvrit son cou et s’offrit totalement à moi. Je la mordillais et pas un instant, elle ne se dérobait, elle murmurait des syllabes décousues qui me disaient qu’elle en voulait sans cesse plus. Elle se tortillait de plaisir, crispant ses mains sur mes hanches, m’indiquant qu’elle en voulait encore davantage.
Je ne tins plus et je lui retirai son string détrempé pour venir goûter son jus. Ses soupirs de plaisir devinrent des gémissements, puis des cris alors que ma langue parcourut son abricot surchauffé. Je me délectais du miel de son envie, la fouillant sans retenue. Je trouvai son petit bouton bien érigé et elle monta encore d’une octave. Elle mouillait à flots, inondant mon visage, ma langue, tantôt douce, tantôt dardée la faisait décoller vers le plaisir.
Quand mes doigts entrèrent dans son fourreau de satin, elle poussa un hurlement libératoire, sa jouissance était là. Sans cesser de lui brouter le minou, j’assistai à son orgasme, son corps tendu, sa bouche ouverte cherchant l’air, ses tétons pointés à l’extrême, ses jambes m’enserrant contre elle.
Elle gisait sur le lit, haletante alors que j’étais revenu près de son visage pour la couvrir de baisers.
— Mon Dieu, me dit-elle, il y avait bien longtemps que je n’avais pas joui de la sorte. C’était divin. Quel pied ! Merci ma belle, merci, merci encore, c’est délicieux. Encore. Encore.
Pour toute réponse, nous entendîmes le bruit de la porte d’entrée et un appel, Mathieu était là.
— Rhabille-toi en silence, lui chuchotai-je, et attends dans la cuisine, je n’en ai pas fini avec toi.
Pour ponctuer mon au revoir, je posai mes lèvres sur les siennes en un doux, mais furtif baiser, me rhabillai en silence et allai rejoindre mon chéri.
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