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Découverte de la Finlande

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Je profite pleinement de ma nuit, mais appréhende un peu le petit-déjeuner. Avec satisfaction, personne ne fait allusion à de quelconques bruits incongrus. Notre demi-journée est consacrée à la visite guidée de la ville. La Finlande est un pays de verdure et d’eau magnifique, mais les températures sont un peu difficiles à supporter quand on n’est pas née là-bas. Le midi, nous déjeunons dans un petit restaurant de la ville où nous goutons une spécialité locale à base de poisson bien sûr, mais dont le nom imprononçable pour moi ne réussit pas à s’enregistrer dans mon cerveau. Sur le chemin du retour, alors que nous discutons de choses et d’autres, Olga me dit soudain :
— Au fait Sophie, avec mon mari, nous t’avons entendu hier soir te donner du plaisir.
Je suis tellement interloquée que je ne sais quoi répondre. Moi aussi je l’ai entendue avec son mari batifoler, mais jamais je n’aurais osé lui en parler.
— Dis-moi, c’est de voir mon mari nu qui t’excite au point de te masturber, insiste-t-elle.
Plus aucun son ne sort de ma bouche, j’ai subitement chaud et je sais que mes joues virent au rouge écarlate. Comment peut-elle parler aussi librement de sexe ? Est-ce moi qui suis trop prude ou les Finlandaises  des obsédées sexuelles ?
— Répond, ne joue pas les timides, hier soir visiblement tu l’étais beaucoup moins.
— Vous faites fausse route, dis-je pour tenter de me défendre. C’est mon mari qui me racontait des histoires par SMS. Je riais tout simplement. Votre imagination est trop féconde, je suis désolée si cela vous a perturbés.
— Allons Sophie, tu es une femme, je suis une femme, donc on se comprend. Je vais être sans détour avec toi. Tu es très jolie, tu nous plais beaucoup, Harry et moi avons très, mais très envie de faire l’amour avec toi.

— Olga, je suis mariée, j’ai deux enfants, je n’ai jamais trompé mon mari. Il faut oublier tout ça, je veux bien faire comme si cette conversation n’avait jamais eu lieu.
— Ma chérie, ne sois pas idiote. J’ai vu ton regard au sauna et avec Harry nous n’avons pas rêvé. Hier, tu t’es caressée et tu t’es donnée du plaisir parce que tu avais été troublée au sauna. Profites-en un peu, comment veux tu que ton mari ne le sache ? Jure-moi que tu ne t’es pas masturbée et je te laisserai tranquille.
Si je jure, je tue dans l’œuf toutes suspicions. Mais le couteau sous la gorge, c’est d’abord mon éducation chrétienne qui prend le dessus et je n’ose jurer. Nous entrons à peine dans la maison qu’Olga me plaque contre le mur, attrape mes mains et colle ses lèvres sur les miennes. Ma surprise est si grande que je ne résiste même pas lorsque sa langue force le passage et vient s’enrouler autour de la mienne. Cela fait si longtemps que mon mari ne m’a pas embrassée comme ça. J’en ai presque oublié la sensation. Lorsqu’Olga me tire par le bras pour m’emmener à l’étage et me faire entrer dans sa chambre, je la suis, apathique, consciente de ce qui va se passer, mais totalement incapable de réagir et fuir cette immoralité.
Sans difficulté et peut-être même avec mon aide, Olga me débarrasse de tous mes vêtements. Elle m’allonge sur son lit et je la regarde se dévêtir. Je vais tromper mon mari pour la première fois et en plus avec une femme. Moi, hétéro de la première heure, toujours mal à l’aise dès que passe un reportage sur les LGBT, me voici totalement incapable de repousser Olga. Pire, je sens une excitation grandissante m’envahir. Elle vient se coller à moi sur le lit et m’embrasse de nouveau. Ses mains s’attardent sur ma poitrine. Elle la caresse d’abord doucement, juste à fleur de peau, puis d’un coup, elle empoigne un sein, le malaxe, le pétrit, le pince, le tire. Je n’ai pas l’habitude de ce genre d’effusions avec mon mari. Même si c’est un peu brutal, je ne peux m’empêcher de glousser. Je dois admettre éprouver beaucoup de plaisir. Mes gros tétons (hé oui j’ai nourri au sein mes deux enfants) sont bien durs et pointent fièrement. Je sens irrémédiablement mon entrejambe s’humidifier.

Lorsqu’elle prend possession de mes tétons avec sa bouche et que sa main entre en contact avec mon sexe, je libère un petit cri, autant de surprise que de joie. Les yeux clos, je savoure ses attouchements et presque instinctivement, j’écarte les jambes pour lui faciliter le passage. Ses doigts se frayent un passage entre mes poils pubiens, écartent mes lèvres, s’immiscent en moi avec facilité, tant je mouille. Lorsque j’ouvre les yeux, je croise son regard. Sa masturbation est si divine que j’essaie de retarder le moment de mon explosion tant le plaisir que je ressens est intense. Ma jouissance est totale, mon corps ne m’appartient plus. Visiblement, elle n’en a pas encore assez. Elle place un oreiller sous mes fesses pour les surélever et vient boire le nectar qui s’écoule entre mes jambes. Sa langue glisse sur mes lèvres vaginales, titille mon clitoris turgescent. A peine libérée de ma première jouissance, je n’ai qu’une envie, jouir encore et encore.
J’appuie avec mes mains sur sa tête pour que sa bouche me mange la chatte. Après avoir pénétré mon sexe avec sa langue plusieurs fois, j’explose une nouvelle fois lorsqu’elle mordille mon clitoris.
Je suis totalement épuisée. Comment une femme peut-elle me faire jouir autant ? Olga me laisse savourer cet instant, mais après quelques minutes, elle m’annonce qu’elle aussi veut jouir et que je dois goûter à sa source. Je sais que je n’ai aucune expérience dans ce domaine, mais je ne comprends pas pourquoi j’ai une irrésistible envie d’essayer. Je veux téter ses seins, enfouir ma tête entre ses cuisses, voir de près ce sexe exsangue de tout poil et surtout goûter ce nectar béni des dieux qui déjà fait luire sa chatte.
Un peu gauche, je la renverse sur le lit et caresse sa poitrine si généreuse. Elle est moins ferme que la mienne, mais je comprends maintenant pourquoi les hommes aiment tant nous peloter. Timidement, je pose ma langue sur ses tétons tout durs. C’est une sensation si douce que je ne peux m’empêcher de les gober et les mordiller. Ses gémissements ne laissent planer aucun doute, elle aime mes caresses malgré mon manque d’expérience. J’abandonne sa poitrine pour doucement descendre vers son puits d’amour couvrant son corps de petits bisous. Je suis hyper-excitée à l’idée de voir de près pour la première fois un sexe de femme, d’autant plus qu’aucun poil n’est là pour le cacher.
Olga écarte largement  les jambes pour me faciliter l’accès de son temple. Je suis si subjuguée que je n’ose le toucher. Je le regarde, le hume. Ses lèvres sont charnues et brillent à la lumière tant elle mouille abondamment. Je me décide enfin à lui écarter les lèvres avec mes doigts. Je découvre sa grotte rose vif. J’ai envie d’y plonger ma langue, mais je me retiens, préférant prendre le temps de regarder chaque détail. Surtout je veux découvrir son clitoris. Je le décalotte et il m’apparaît. Il semble si petit, si frêle et pourtant, il darde fièrement. Je passe mon doigt dessus, ce qui aussitôt augmente les gémissements d’Olga. Comment une si petite chose peut être si sensible et procurer tant de sensations ? Je veux la faire languir mais ma frustration est trop grande. Je le pince entre deux doigts et commence à le faire rouler. Je croise le regard d’Olga. Tout le plaisir qu’elle éprouve se lit dans ses yeux. Il faut que je la goûte, c’est plus fort que moi.
Je plonge ma figure entre ses cuisses et telle une affamée, je lui mange littéralement la chatte. Ma langue passe partout, visite chaque recoin, essaie même de pénétrer le plus qu’elle peut son antre magique. L’odeur est un peu forte et le goût de sa mouille acidulé mais je m’en moque tellement je veux la faire jouir. Je glisse deux doigts dans son vagin sans que ma bouche et ma langue ne quittent son clitoris. Mes doigts s’activent frénétiquement, encouragés par Olga qui ne cesse de me demander d’aller plus vite et plus fort.
Soudain, Olga se redresse, m’attrape par les cheveux, plaque ma bouche sur son sexe, m’empêchant presque de respirer. Elle jouit, essayant au maximum de prolonger cet instant magique. Son jus coule dans ma bouche et je m’en délecte.
Des claquements de mains me font sursauter. Libérée par Olga, je me retourne et constate avec stupeur la présence d’Harry à l’entrée de la chambre. Par réflexe, je cache tant bien que mal mes seins et mon sexe.
— Alors les filles, dit Harry, on se donne du bon temps ? Vous êtes magnifiques. Que c’est beau et excitant de vous regarder. Sophie au cas où tu ne t’en souviens plus, hier, je t’ai vue totalement nue, ton corps n’a plus de secret pour moi.
Olga vient derrière moi et m’attrape les poignets pour que je montre mon corps à son mari.
— Elle a vraiment un beau corps, n’est-ce pas Harry ? Je suis sûre que toi aussi tu veux en profiter. Ses seins sont doux, sa chatte accueillante, viens lui montrer le bon amant que tu es.

Je reste sans voix, tétanisée par la situation. Harry s’avance, déboutonne son pantalon et le laisse tomber au sol. La bosse dans son slip trahit sans équivoque une grande excitation. Il est si près de moi qu’Olga attrape son slip et le descend jusqu’à ses chevilles. Son sexe dressé tel un glaive s’agite à quelques centimètres de mon visage. Olga s’en saisit et tout en appuyant avec son buste sur mon dos, elle dirige sa verge vers ma bouche. Il m’arrive de sucer mon mari, mais cela reste assez rare. Elle frotte son gland sur mes lèvres et accentue encore sa poussée dans mon dos.
— Goute-le, me dit-elle à l’oreille, tu as ma permission.
Ma bouche s’entrouvre et son phallus entre doucement. Mes lèvres se referment sur son sexe et il commence de lents va-et-vient. A chaque poussée, il pénètre un peu plus son sexe dans ma bouche. Son dard touche ma glotte et me donne des haut-le-cœur. La pression d’Olga ne me permet pas de reculer ma tête. Jamais mon mari ne va aussi loin dans ma bouche avec son sexe. Je bave, j’étouffe mais ça ne l’arrête pas et je finis par engloutir totalement son pieu. Satisfait d’avoir réussi, il quitte ma bouche, m’attrape par les hanches, me décolle du lit, me demande de positionner mes jambes autour de lui et m’empale sur son sexe, fier comme un conquérant. Moi qui d’ordinaire ne pratique que le missionnaire, je fais l’amour, plantée sur un homme debout. Ses mains puissantes se positionnent sur mes fesses pour me faire monter et descendre sur son mât. Je gémis et je crie chaque fois que son sexe burine mon vagin.
Je ne peux retenir ma jouissance plus longtemps et un terrible orgasme me submerge. Harry me repose sur le lit pour que je reprenne mon souffle et mon esprit. Olga vient au secours de son mari. Elle le prend en bouche et le suce avec application jusqu’à ce qu’il éjacule dans cette dernière. Olga et Harry s’allongent à mes côtés, sans dire un mot. Consciente de ce qui vient de se passer, je commence à culpabiliser. Comment ai-je pu trahir mon mari comme ça, moi si sévère envers ces femmes aux mœurs légères ?
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