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Découverte de la Finlande

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Dès le repas terminé, je monte dans ma chambre pour appeler mon mari au téléphone. Pas pour lui raconter ce qui vient de se passer, mais pour entendre sa voix et me rassurer. C’est la première fois que je lui téléphone, ce qui l’étonne au début, mais j’atténue ses interrogations en évoquant notre retour dans 4 jours. Nous discutons de choses et d’autres, et après presque deux heures de conversation, je l’embrasse, totalement rassurée avant de profiter d’une bonne nuit de sommeil. Je me suis réveillée plusieurs fois durant la nuit, mais dans l’ensemble, j’ai réussi à ne plus penser à cet après-midi et à me reposer. Quand je descends dans la cuisine, Olga est déjà levée et a préparé le petit-déjeuner. Je prends une chaise et m’assois en bout de table. Harry n’étant pas là, je suppose qu’il est déjà parti au travail.
— On t’a attendue hier soir, on pensait que tu viendrais nous rejoindre dans notre chambre, dit Olga.
Elle a l’art de me mettre mal à l’aise. Je me sens rougir et je ne sais pas pourquoi, mais mes tétons se mettent à durcir aussitôt.
— Ne me dis pas que tu culpabilises encore, dit-elle. Ici tu n’as rien à craindre. Regarde ton corps te trahit.
Elle s’approche de moi et vient déposer un bisou dans mon cou. Ses lèvres m’électrisent et mon corps est traversé par un frisson. Ses mains m’enlacent et se posent sur mes seins. Doucement, elle les pétrit et roule mes tétons entre ses doigts. Mon esprit voudrait que je la repousse, mais mon corps est comme tétanisé. Ses mains descendent et passent sous mon tee-shirt. Le contact de sa peau sur ma peau augmente encore la sensation de chaleur que j’éprouve. Ses mains sont douces et ses caresses m’excitent de plus en plus. Elle attrape mon tee-shirt et sans aucune résistance de ma part, me l’enlève, dévoilant ma poitrine aux tétons érigés. Elle se penche pour attraper un de mes tétons avec sa bouche. Sa langue virevolte autour, elle l’aspire, le mordille. J’adore, mais j’essaie de me concentrer pour ne rien laisser paraitre. Ses mains glissent sur mon ventre avant de disparaître dans mon pantalon de pyjama.
Lorsque ses doigts s’enfoncent dans ma toison pour se frayer un chemin jusque ma chatte, je ne peux plus retenir mes gémissements. Pire encore, j’écarte les jambes pour lui faciliter l’accès à mes lèvres déjà ruisselantes de cyprine.
Après quelques caresses sur mon sexe bouillant, elle m’attrape soudain sous les aisselles pour me forcer à me lever. Aussitôt debout, elle recule la chaise, descend mon pantalon de pyjama jusqu’aux chevilles, me demandant de l’enlever totalement. Je m’exécute machinalement comme si me retrouver nue dans la cuisine devenait une évidence. Elle me pousse vers le salon tout en continuant ses caresses. Je ferme les yeux pour m’isoler et intérioriser ce plaisir que je ne peux et ne veux ignorer. Soudain, je sens le froid sur mon corps. J’ouvre les yeux et un sentiment de panique m’envahit. Olga m’appuie sur la vitre de la baie vitrée tout en continuant de me masturber. Harry est dehors à peine à quelques mètres, discutant avec son voisin. Mes gémissements et le bruit de la main d’Olga qui cogne le carreau de temps en temps ne peuvent qu’attirer leur attention.
— Olga, on nous regarde, dis-je, la voix tremblante.— Voir une belle femme prendre du plaisir est très apprécié des hommes tu sais, ne pense qu’à ton plaisir.— Olga, je t’en supplie, je vais jouir.
Mes mots ne calment pas ses ardeurs, bien au contraire. Sa main pétrit mon sein encore plus fort, je sens ses ongles dans ma peau. Les doigts de son autre main pénètrent ma chatte frénétiquement, le clapotis de mon sexe trempé se mêle au coup sur le carreau. Je ne peux résister plus longtemps, je ferme les yeux, je crie, je bloque sa main dans ma chatte, serre les jambes pour profiter au maximum de cette plénitude qui envahit tout mon corps. Je savoure pleinement cet instant troublé uniquement par quelques soubresauts de mon corps. Le vent frais caressant mon corps me fait sortir de ma torpeur. Harry vient d’ouvrir la baie. Olga me pousse sur la terrasse et me tourne vers son voisin.
— Elle est belle notre petite française, dit-elle en s’adressant à celui-ci.
Je n’ai pas besoin qu’Olga me traduise sa réponse, ses hochements de tête et son large sourire ne laissent planer aucun doute sur sa réponse. Harry s’est saisi de mon sein libre, tout en discutant avec son voisin. Je ne comprends pas ce qu’ils se disent, mais je n’ai aucun doute sur le fait qu’ils parlent de moi. Je commence à ressentir le froid, j’ai la chair de poule. Sous des éclats de rire, nous prenons congé du voisin et rentrons.
— Pour ta gouverne, sache qu’Harry a invité nos voisins ce soir à partager notre sauna et ensuite un apéritif dînatoire, me lance Olga.— Et comme je vois que notre petite escapade dehors t’a donné froid, Harry va s’occuper de toi pour te réchauffer, ajoute-t-elle.
Harry m’attrape par les hanches et me tourne face à lui. Il a baissé son pantalon et son caleçon dévoilant son sexe bien dur pointant fièrement vers le plafond. Il appuie sur mes épaules pour que je m’accroupisse. Le sexe est vraiment le langage international par excellence. Je prends son sexe dans ma main et le dirige vers ma bouche. Je le mouille un peu avec ma langue, puis doucement, je le prends en bouche. Harry me laisse prendre mon temps. Par petite touche, il appuie sur ma tête pour que j’engloutisse son pieu toujours un peu plus loin. Je suis la première surprise de constater que je parviens à le rentrer en totalité, sans même un haut-le-cœur. Je suis fière de moi et quand il commence à bouger, je l’encourage par mes bruits de succion. Je ne sais pas si c’est le contexte, l’excitation ou ma libération, mais j’aime le sucer et surtout l’avaler en totalité.
Olga s’assoit dans le canapé et relève sa jupe me dévoilant son sexe. Harry me demande de me mettre à 4 pattes dans le canapé et de lécher Olga. Je ne me pose pas de questions, et joue habilement de ma langue sur le clito et les lèvres d’Olga. Elle semble apprécier, m’encourageant de la voix et jouant avec ses doigts dans ma chevelure. Harry écarte mes fesses et plonge sa tête au milieu. Il donne de tellement grands coups de langue que parfois il va même jusqu’à toucher mon œillet. Ca me gêne un peu, n’étant pas habituée. La première fois, je pense que sa langue est passée là par mégarde, mais comme la chose se reproduit à plusieurs reprises, je dois en conclure que c’est volontaire.
Après quelques minutes, Harry vient positionner son glaive contre mes lèvres et me pénètre lentement jusque-là garde. Il reste un instant au fond de moi sans bouger, puis sans prévenir, se met à me buriner sans ménagement. Il me secoue tellement fort que je ne parviens plus à lécher Olga. Je crie chaque fois qu’il bute dans mon vagin. Quand enfin il ralentit, j’ai du mal à reprendre mon souffle, on dirait que je viens de courir un marathon. Mon répit est de courte durée, je sens son sexe contre ma rondelle.
— Pas par là, dis-je, affolée.— Tu n’as jamais été, comment dit-on chez toi, enculée.— Non c’est tabou ça.— Ma petite Française, dit Harry, tu as vraiment toute une éducation à faire. Olga va te préparer.
Elle me pousse en arrière, me tire par les jambes, les lève et positionne un coussin sous mes fesses. Je trouve la position totalement indécente, offrant une vue et un accès direct à ma chatte et mon anus. Je suis comme hypnotisée, acceptant sans résistance que la langue d’Olga titille mon anus, essayant même par moments de la faire pénétrer. J’ai honte et pourtant je dois avouer que cette caresse est beaucoup plus douce que je ne le pensais. Pire même, lorsqu’Olga me demande d’écarter mes fesses avec mes mains, je m’exécute sans rechigner. Elle trempe son index dans ma chatte puis me l’enfonce dans l’anus. J’accompagne cette pénétration d’un gémissement de satisfaction. Il n’en faut pas plus pour indiquer à Olga que cette caresse me procure beaucoup de plaisir. Son doigt fait maintenant des va-et-vient tantôt lents tantôt rapides. Sans aucune pudeur, je gémis de plus en plus fort, la remercie, même lorsqu’elle introduit un second doigt. Harry ne tient plus en place et interrompt Olga.
Il me positionne à quatre pattes sur le canapé, demande à Olga de m’écarter les fesses, ajuste telle une mire mon anus avec son sexe et pousse lentement. Je sens mon œillet s’ouvrir et avaler son gland. Je pousse un cri sans pouvoir dire si c’est de douleur ou de satisfaction. Lentement, il poursuit sa pénétration. Lorsque ses cuisses viennent en contact avec mes fesses, je prends soudain conscience que son membre entier vient de prendre possession de mon fondement.
J’avais une profonde aversion pour cette pratique que je trouvais sale et dégradante pour une femme, et pourtant à cet instant précis, je ressens une sensation douce et agréable, et j’éprouve une certaine fierté de montrer à Olga et Harry que les femmes françaises sont loin d’être timides sexuellement. Olga a profité de cet instant pour se dévêtir et venir se glisser sous moi en position de 69. Harry commence à faire bouger sa queue et la langue d’Olga s’active déjà sur la chatte brûlante. Après quelques allers et retours tout en douceur, sans doute pour que je m’habitue à son dard, Harry me saisit par les hanches et accélère le rythme. Régulièrement, Harry sort son glaive pour mieux me perforer l’anus l’instant suivant. Chaque claquement de ses cuisses sur mes fesses fait monter en moi une sensation de plénitude qui me rapproche chaque fois un peu plus de l’orgasme. Il me prend maintenant avec une telle virilité qu’Olga et moi n’arrivons même plus à nous lécher.
Mes gloussements sont si forts que j’ai l’impression que tous les voisins doivent en profiter. Un ultime coup de langue d’Olga sur mon clito incandescent me fait chavirer dans la quatrième dimension. Je m’écroule sur la chatte d’Olga tandis qu’Harry continue sans se soucier de mon orgasme de me pilonner avec ferveur finissant après quelques secondes par lâcher toute sa semence en moi. Il se retire et je sens son sperme couler de mon anus, glisser sur ma chatte avant de finir dans la bouche grande ouverte d’Olga.
Je suis totalement épuisée, mais avec satisfaction, je constate que je ne suis pas la seule. Pas une seconde, je n’ai eu une pensée pour mon mari et mes enfants. Suis-je devenue accro au sexe ?
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