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Découverte de la Finlande

Chapitre 4

Avec plusieurs femmes
Après une telle dépense d’énergie, je n’ai qu’une envie, me ressourcer sur mon lit après une bonne douche. Le silence dans la maison témoigne que je ne suis pas la seule à être éreintée. Au sortir de la douche, je me glisse nue dans mon lit et ne tarde pas à m’endormir. Il est 17h quand Olga vient me réveiller. Je suis surprise de l’heure et m’excuse de ne pas être venue l’aider à préparer l’apéritif dînatoire de ce soir. Olga me rassure en m’apprenant qu’elle a tout acheté chez le traiteur. Ouvrant mon lit et me découvrant nue. Elle ne peut s’empêcher de caresser mon corps de ses mains. Je la regarde faire, n’essayant à aucun moment de la repousser. Lorsque ses doigts approchent de mon pubis, comme pour l’inviter à continuer, j’écarte les jambes. Ses doigts glissent sur mes lèvres et ne tardent pas à plonger dans mon écrin. Elle me masturbe d’abord avec douceur puis accélère le rythme. Ses doigts inquisiteurs fouillent en moi profondément.
On n’entend plus que les clapotis de ses doigts dans ma chatte et mes gémissements que je ne peux maîtriser. Ses doigts bougent maintenant avec frénésie et je jouis intensément. Olga me sourit, contente sans doute que j’accepte maintenant sans aucune réticence ses attouchements lesbiens.
— Nos invités vont bientôt arriver, tu devrais vite aller dans la salle de bain et te raser la chatte, sois moderne, les poils c’est du passé, me dit-elle.
Comment puis-je faire cela alors que j’ai toujours refusé ce plaisir à mon mari au prétexte que cela fait petite fille ou que cela est l’apanage des actrices pornos. Comment puis-je le justifier à mon mari à mon retour sans éveiller en lui quelques interrogations sur mon séjour en Finlande ? Olga a dû lire dans mes yeux mon angoisse, car elle me tire par le bras pour me faire sortir du lit et me pousse avec entrain vers la salle de bain.
— J’ai déjà tout préparé pour toi. Garde une petite touffe en haut si tu as peur d’être trop nue. A ton mari, tu lui diras qu’il te manquait tellement qu’à force de penser à lui, tu as eu envie de lui faire un petit cadeau plus personnel, ajoute-t-elle.
Visiblement, elle a réponse à toutes mes questions avant même que je ne me les pose. Ne trouvant aucune issue, je m’engouffre dans la salle de bain. Avec dextérité, je commence par raccourcir mes poils avec des ciseaux puis avec d’infinies précautions pour éviter de me couper, je fais glisser le rasoir. Lentement, mes poils disparaissent et laissent apparaître mes lèvres. Le rasage terminé, je ne peux m’empêcher de toucher mon sexe. Son contact est si doux que si j’avais eu un peu plus de temps, je me serais masturbée. De retour dans ma chambre, je trouve un peignoir sur mon lit avec un petit mot m’indiquant qu’il n’est pas nécessaire de porter autre chose, car nous allons directement nous rendre au sauna.Je viens juste d’arriver en bas de l’escalier quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Olga se précipite pour inviter les voisins à entrer et les faire passer au salon. C’est là que je les rejoins pour les présentations.
— Voici Sophie, une collègue française venue accompagner des élèves pour un échange culturel, dit-elle sobrement.— Sophie, voici Verner que tu as déjà rencontré ce matin, et Erika sa charmante épouse. Nous sommes voisins depuis trois ans. Verner travaille dans l’informatique et Erika au musée d’art moderne de la ville.
VERNER et Erika ont moins de trente ans, je pense. Il est plus petit qu’Harry, mais doit bien mesurer 1,80 mètre quand même pour à peu près quatre-vingts ou quatre-vingt-cinq kilos. Erika est beaucoup plus petite, elle ne doit pas dépasser les 1,65 mètre, mais est très jolie avec des courbes généreuses sans pour autant être dodue. Elle a de longs cheveux qui descendent jusqu’au bas de ses reins. Tous deux sont aussi blonds que les blés mûrs. Comme Harry, Olga et moi, ils ne portent qu’un peignoir blanc.
— Allons tout de suite au sauna, dit Harry, il est à bonne température.
Connaissant visiblement les lieux, Verner et Erika s’avancent les premiers et sans aucune pudeur enlèvent leur peignoir devant la porte et s’engouffrent dans le sauna. Nous faisons de même et les rejoignons. Les hommes prennent place côté droit et nous nous installons face à eux. Les hommes ayant plus de place, ils ouvrent largement leurs jambes, nous offrant une vue parfaite sur leurs attributs. Les deux sont totalement épilés et de taille respectable, même au repos. Leurs sexes sont tellement mis en évidence devant nos yeux qu’il est difficile, voire impossible de détourner le regard. Je ne cache pas ma poitrine, mais garde les jambes serrées. D’avoir rasé mon sexe, je me sens encore plus nue et intimidée. Coincée entre Olga et Erika, j’ai un peu de mal à respirer tant la chaleur est intense. Quand enfin Olga donne le signal de sortir, je suis soulagée, mais je pense déjà à cette épreuve qui nous attend à savoir descendre dans cette rivière dont l’eau est glacée.
Avec joie, je constate que nous ne faisons que tremper vite fait notre corps avant de nous emmitoufler aussitôt dans nos peignoirs.
En quelques secondes, Olga remplit la table de la salle à manger de victuailles en tous genres et Harry nous sert à chacun une vodka. En général, je ne bois que des vins cuits à l’apéritif, mais à cet instant, je n’ai pas le choix et découvre dès la première gorgée que la vodka est une boisson forte et qu’il ne faut pas en abuser. Mes toussotements font rire tout le monde. L’apéritif est très joyeux et à la troisième vodka, j’ai l’impression que ma gorge s’est habituée, car c’est à peine si ça me pique un peu. Pour le dessert, Olga nous invite à venir nous asseoir au salon. J’ai bien besoin d’un bon café, la vodka ayant quelque peu embrouillé mon esprit. Tout le monde est maintenant installé dans le salon où nous discutons de tout et de rien. Les hommes ont pris chacun un fauteuil et nous les femmes le canapé. Assise entre Olga et Erika, la discussion s’oriente petit à petit sur ma famille. Prenant la parole, Olga me laisse coite quand subitement elle déclare :

— Sophie va hélas nous quitter dans deux jours et pour son retour en France, elle a prévu un joli cadeau pour son mari.
J’avoue ne pas comprendre et me demande à quoi elle fait allusion. Elle me regarde, attrape mon peignoir et d’un coup sec l’ouvre totalement. Surprise, je veux refermer, mais Olga m’en empêche, aidée par Erika sans doute par solidarité finlandaise.
— Regardez, pour son petit mari, Sophie a décidé de se raser la chatte. N’est-ce pas une belle intention ?
Elles m’écartent les jambes pour que leurs maris puissent bien admirer. Je fulmine, mais je ne peux leur résister. Olga me chuchote à l’oreille de profiter de cette dernière soirée, qu’ils vont me faire jouir comme jamais je ne l’aurais imaginé. J’avais un peu pressenti que quelque chose se tramait dans mon dos, mais la soirée s’avançant, j’avais fini par me convaincre que je m’étais fait un film.
La réalité me rattrape et je prends soudainement conscience que la soirée va se finir en orgie sexuelle et que je suis la principale attraction. Un peu groggy, j’ai l’impression de voir le visage de mon mari et de mes enfants tristes de me voir ainsi exposée. Ma torpeur ne dure qu’un instant, Olga et Erika baladent leurs mains sur mes cuisses et frôlent déjà mon sexe. Je ferme les yeux comme pour éloigner la vision de mon mari et commence à gémir lorsqu’en même temps, elles introduisent deux doigts chacune dans ma chatte. Olga tourne ma tête et m’embrasse à pleine bouche. A peine sa langue sortit de ma bouche que c’est maintenant ERIKA qui m’embrasse langoureusement. Je dois reconnaître qu’elles embrassent très bien l’une comme l’autre. Leurs doigts me fouillent tellement que je sens déjà un premier orgasme imminent.
Lorsque j’ouvre les yeux, mon cœur battant toujours la chamade dans ma poitrine après cet orgasme, je vois que tout le monde a ôté son peignoir et se trouve nu. Erika me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé et glisse sous moi pour venir me lécher la chatte. Sa langue virevolte sur mes lèvres, mon clitoris, s’immisce partout. Je suis aux anges. Je ne peux m’empêcher de me caresser les seins en même temps. Olga qui s’est éclipsée un instant se présente devant moi. Je suis stupéfaite par la vue qu’elle me procure. Elle a recouvert son sexe d’un sexe d’homme en érection. J’ai déjà vu des godemichets, mais jamais une femme en porter un. Elle s’approche, m’attrape par les cheveux et vient positionner le phallus dans ma bouche. C’est assez étrange de sucer du silicone, mais je m’y fais assez vite. Alors que j’allais jouir pour la troisième fois sous la langue d’Erika, elles décident de changer de place.
Erika me donne sa chatte à lécher pendant qu’Olga m’enfonce son phallus artificiel dans la chatte. Erika semble beaucoup apprécier ma langue, car elle jouit rapidement, ce qui me surprend totalement. C’est presque aussi bon de se faire prendre par une femme qu’un homme et l’orgasme qu’elles viennent de me refuser, elles me le procurent l’instant suivant.
Ses jouissances successives m’ont littéralement éreintée, je m’affale sur le canapé et n’aspire qu’à une chose, me reposer. C’est sans compter sur Olga qui n’est pas de cet avis et dit :
— Alors Sophie, ce petit préambule t’a bien plu on dirait.— Vous m’avez mise K.-O., dis-je.— Tu n’en as pas fini, tu sais. Erika et moi on va aller s’amuser dans la chambre en haut pendant que toi tu t’occuperas de Verner et Harry.— Non non, ne me laissez pas, je ne suis pas comme vous, j’en suis incapable.— Ne te sous-estime pas, jouir va te donner des ailes.
La peur au ventre, je vois les deux femmes m’abandonner. Verner et Harry impatients sont déjà à côté de moi. Harry profite que je suis allongée sur le ventre sur le canapé pour me donner une grande claque sur ma fesse. Une main rouge se dessine sur celle-ci tant la claque est forte. Je crie, ce qui les fait rire. Amusé par la situation, Harry n’hésite pas à m’en donner une autre sur l’autre fesse, tout aussi forte. Ne voulant pas en subir d’autres, j’étouffe mon cri. Telle une poupée de chiffon, Harry me retourne, lève mes jambes en les écartant et introduit sa verge bien dure dans mon vagin. Je pousse un râle de bonheur tant son sexe me remplit bien. Les va-et-vient virils commencent aussitôt. Verner en profite pour m’embrasser et me pincer les tétons assez fortement. Ca me fait mal, mais je ne sais pas pourquoi j’aime beaucoup et je sens un orgasme monter très vite. Harry doit le ressentir, car il accélère encore la cadence.
C’en est trop, je ne peux me retenir plus longtemps, j’explose littéralement. Harry se retire sans avoir joui, mais je ne reste pas bien longtemps vide. Verner vient le remplacer et il recommence à me pilonner. Mes gémissements reprennent aussitôt, mais Harry vient frotter sa verge sur ma bouche. Je sais parfaitement ce qu’il veut et sans le faire attendre, j’ouvre la bouche pour l’accueillir. Son sexe au bon goût de ma cyprine glisse dans ma bouche. J’aime tellement que je ne réalise même pas que je suis en train de satisfaire deux hommes en même temps. De nouveau, je suis traversée par un orgasme. J’en ai presque des crampes tellement je jouis fortement. Les deux hommes me libèrent et s’assoient dans le canapé, le sexe toujours dur et diriger vers le ciel.
— Viens t’asseoir sur moi, me dit Harry, on a pas fini.
Je n’ai jamais fait l’amour comme ça, mais je suis tellement excitée que je ne me pose aucune question. Je passe une jambe de chaque côté de Harry, en ouvrant mon sexe avec mes mains, je viens me positionner au-dessus de son pieu et descends lentement dessus. Je suis fascinée de constater que maintenant je n’ai plus aucune difficulté à le recevoir totalement en moi. Harry pose ses mains sur mes seins et me regardant droit dans les yeux, me demande de monter et descendre sur son dard. J’ai du mal à soutenir son regard, mais chaque fois que je ferme les yeux, il me tord les seins et me demande de les rouvrir. J’ai très envie de l’embrasser, mais je n’ose pas. Verner qui nous regarde assis à côté passe sa main sur mon ventre puis descend sur mon clitoris. Il appuie dessus et comme s’il allumait une lampe me déclenche un orgasme. Harry et Verner n’ont toujours pas joui, je me demande comment ils font pour tenir.
Encore soumise à des spasmes, Harry me pousse sur le côté pour que je m’empale de nouveau sur Verner. J’essaie bien de gagner un peu de temps, mais en conjuguant leurs efforts, je me retrouve de nouveau le sexe de Verner enfoncé dans ma chatte.
— Allez bouge bien ma belle, les femmes arrivent, montre-leur comment on s’occupe bien de toi, dit Harry.— Alors Sophie, on s’amuse bien, dit Olga. Comment trouves-tu la bite de Verner ?
J’ai le souffle court, je ne parviens pas à répondre, mais mes yeux brillent tellement qu’elle n’a aucun mal à deviner tout le plaisir que me donnent mes deux amants. Je ne sais pas si être observé pendant qu’on fait l’amour est plus excitant, mais de nouveau je suis foudroyée par un nouvel orgasme, ce qui amuse beaucoup Erika et Olga. Je suis complètement éreintée et avale d’une traite le verre d’eau que me tend Olga. Je n’aspire qu’à une bonne douche apaisante pour relaxer mon corps après tant de sollicitude. Je déchante vite en entendant Olga.
— Sophie, je vois bien que tu t’es beaucoup amusée et que tu as pris un plaisir immense avec Harry et Verner, mais je dois tout de même constater qu’ils n’ont pas joui. Tu ne peux les laisser sur leur faim, sinon Erika et moi allons devoir les satisfaire et nous avons déjà bien joui toutes les deux. J’ai décidé que pendant qu’Erika va entretenir l’érection d’Harry et de Verner je vais te préparer ta rosette.— Olga je suis très fatiguée, et j’ai tellement joui que mon corps est trop sensible, je ne tiendrai pas, dis-je sans trop d’illusions.— Ne me dis pas que les petites Françaises renoncent aussi vite que ça, en plus j’ai bien vu comment tu avais apprécié la sodomie l’autre jour, dit-elle, et tu auras même droit à un petit bonus que tu n’oublieras pas de sitôt.
Erika ne se soucie pas de nos discussions et alterne avec sa bouche sur le sexe d’Harry et de Verner. Olga a l’art d’éveiller ma curiosité et cette dernière petite phrase a fait tilt dans ma tête. Je m’allonge sur la table basse du salon, attrape mes chevilles avec mes mains, tire mes jambes en arrière pour offrir à Olga mon petit trou. Les yeux brillants, Olga plonge vers ma rosette et joue de sa langue avec habileté. Après quelques minutes plus qu’agréables, c’est un puis deux doigts qui fouillent mes entrailles. Sentant que je suis prête, elle appelle Verner pour que son voisin ait la primeur de m’enculer. Il me positionne en levrette, introduit sa verge dans ma chatte, la retire et se colle directement à ma rondelle. D’une première poussée, son gland force l’entrée, m’arrachant un cri. Il reste immobile quelques secondes puis pousse de nouveau, ne s’arrêtant que lorsque ses cuisses touchent mes fesses.
La totalité de son sexe est entrée et à cet instant précis, je suis béate de satisfaction. Il me toise un instant, fier sans doute de me posséder totalement puis entame un pilonnage des plus virils sans se soucier de mes gémissements, râles et cris que je ne peux maîtriser. Alors que je pensais jouir très vite, je suis surprise lorsque Verner se retire subitement et arrose mes fesses de plusieurs jets de sperme. J’ai enfin réussi à en faire jouir un, ce qui me procure une immense fierté.
Je n’ai pourtant pas le temps de savourer, Harry venant de remplacer Verner. Contrairement à la fois précédente, il coulisse en moi en prenant son temps. J’en suis contente, car son sexe est plus long et plus épais que celui de VERNER. J’avoue apprécier beaucoup cette sodomie, n’hésitant pas à glisser une main sous moi pour caresser mon clitoris. Ça discute beaucoup à côté de nous, mais je ne comprends rien. Cela fait maintenant une bonne dizaine de minutes qu’Harry me lime l’anus. Olga s’approche et l’arrête.
— Sophie, Verner est de nouveau opérationnel donc c’est le moment de ta surprise. Harry et Verner vont te prendre ensemble.— Non ce n’est pas possible, dis-je, affolée.— Ne panique pas, Erika et moi le faisons souvent et on adore. Vu ta timidité, tu n’auras peut-être plus jamais une occasion pareille. De toute façon, tu n’as pas le choix, laisse-toi faire et profite, ajoute Olga.
Harry se positionne sur un fauteuil, Olga et Erika m’aident à introduire son sexe dans ma chatte. Celle-ci est tellement sensible que je me laisse glisser centimètre par centimètre jusqu’à m’asseoir complètement sur lui. Il me plaque sur lui pour laisser mes fesses remonter. Des mains écartent mes fesses et le sexe dur de Verner me pénètre l’anus. Je reste sans voix tellement la sensation d’être possédée par deux queues est inouïe. Ensemble, ils se mettent à bouger. J’ai l’impression que les deux sexes se touchent en moi. Verner, ayant une position plus favorable, bouge avec ardeur. Je ne suis plus moi-même, mon esprit est totalement déconnecté de mon corps au point de les encourager à me fourrager encore plus fort encore plus vite encore plus loin. Je suis prise d’un orgasme qui me fait délirer, mais ils continuent encore et encore. Lorsqu’ils me libèrent de leur emprise, Olga me fait tourner sur le côté et ouvrir la bouche.
Quasi inconsciente, telle une poupée, je me laisse manipuler et ne tarde pas à recevoir dans ma bouche une giclée de sperme, puis une autre et une autre encore. Verner et Harry viennent de se soulager dans ma bouche. J’ai envie de cracher, mais Erika me demande de tout avaler. Je suis moite de partout, je n’ai plus aucune force. Après quelques minutes de calme absolu où chacun semble revenir du fin fond de la galaxie, Erika et Verner nous quittent.
Deux jours plus tard, je reprenais l’avion, direction la France pour retrouver ma petite famille. Au moment du départ, Olga m’a donné une clé USB pour que je ne les oublie pas. J’ai peur de ce que je vais y découvrir.
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