Je m’appelle Jérôme. Je vous ai déjà raconté mon histoire avec ma cousine, celle où j’ai couché pour la toute première fois avec elle. Au début, je pensais que ce petit écart serait purement exceptionnel, surtout qu’elle n’est pas célibataire. Et puis finalement, ces écarts se répétèrent quelques fois, jamais régulièrement, mais juste par impulsion, sous l’envie. Ce n’est pas le sujet principal de l’histoire que je veux vous raconté, mais voici un petit extrait de nos escapades privées : Nous étions au mariage d’une cousine que nous avions en commun. Ma cousine était toute en beauté cet après midi là. Elle portait une robe de type asiatique, ramené par son copain d’un voyage, bien maquillée, mais sans avoir l’air d’un tas de mascara ambulant. Bref, je la trouvai particulièrement appétissante, mais toute la famille étant présente, je n’allais pas m’amuser à tenter quoi que ce soit. Le mariage se déroula sans embûche, une jolie petite cérémonie qui se termina par le baiser des mariés rituel, et une salve d’applaudissement. Bref, il était temps que l’apéritif arrive pour me distraire. Là, ce fut un peu plus intéressant, même si je ne me sentais vraiment pas à l’aise du tout. Ma cousine était venue me voir et m’avais décris dans un murmure à l’oreille, ses sous vêtements. Un ensemble rouge sombre, d’après elle, avec soutiens gorge en dentelle, et string en tissu léger, presque transparent. Rien que l’idée de la voir dans cette tenue, avec ses fesses qui dissimulent la ficelle de son string et sa fente suggérée par la transparence me donna une trique du tonnerre que j’eus un peu de mal à dissimuler. Juste après ce petit interlude, elle m’abandonna et partie faire le tour des autres personnes présente et profiter des mariés. Pour ma part, je m’étais dit que ce message n’avais d’autre but que de m’exciter afin de me mettre sous tension pour la soirée. Comme un petit jeu sensuel et érotique. Par conséquent, j’ai laissé passer. Au repas, je me suis fait plaisir, le menu était franchement délicieux, mais il me tardait que la soirée se passe, c’était tout de même un peu ennuyeux. Alors que le repas tirait à sa fin, le groupe se mit à jouer, puis les mariés et de nombreuses personnes investirent la piste de danse. N’aimant pas danser, je sortis et me rendis jusqu’à la voiture, sur le parking. Tout le monde étant occupé, j’étais seul. Enfin, c’est ce que je pensais. Je fus rapidement rejoins par ma cousine, qui me signala sa présence en me posant la main sur l’épaule, déclenchant un sursaut de surprise. Elle fit un petit rire discret et pris la parole. -Eh bien, je te fais peur désormais? -Non, non, je ne m’attendais pas à ce que tu arrive derrière moi comme ça, c’est tout… Elle me fit un de ces sourires un peu mystérieux, et me plaqua contre la voiture d’une main, tout en mettant l’autre sur mon entrejambe. Un peu hésitant, je la saisi par les bras et l’écarta légèrement de moi tout en demandant. -Euh… T’as vraiment pas peur que quelqu’un nous surprenne? Et puis Jean peut venir voir ce que tu fabrique à tout moment… J’avais vraiment pas envie qu’il nous trouve en train de faire des choses tout les deux. -Ne t’inquiète pas, me rassura-t-elle, il est en train de discuté avec des amis, il n’est pas près de sortir, crois moi. Et laisse-moi faire… Sur ces mots, elle s’accroupie et déballa mon sexe, et commença à me sucer. Je me laissai aller contre la voiture en savourant. La tension de la journée, un peu d’alcool et un peu de fatigue firent que je ne mis guère de temps à venir dans sa bouche. Elle avala rapidement et se redressa, pris ma main, et remonta sa robe jusqu’à la taille pour venir coller ma paume sur le tissu de son string. Avec un sourire, je fis quelques caresses, avant de passer les doigts dessous et me perdre dans les méandres de ses chaires humides. Au bout de quelques gémissement et baisers dans le cou, je m’accroupis à mon tour et me glissai entre ses jambes. Comme elle l’avait dit, le dessous rouge sombre était plutôt transparent, malgré l’obscurité de la nuit. D’un doigt en crochet, je le saisis et l’écarta de mon chemin. Puis ma langue se fraya un chemin vers l’antre du bonheur. Je n’en reviens pas du plaisir que j’ai à lui dévorer l’entrejambe. J’aime tellement son goût, j’aime tellement aspirer son clito tendu entre mes lèvres, joué avec. J’aime tant l’entendre gémir, murmuré mon prénom avec douceur et amour. Je pense que je pourrai passer des journées entières au lit avec elle pour la faire jouir. Je sentis sa main emmêlée à mes cheveux exercer une traction vers le haut, et sous le commandement, je me redressai. En me regardant dans les yeux, elle me dit: -Prend moi… Ni une, ni deux, je ne me fis pas attendre et saisissant mon pénis, je le guidai vers l’entrée de son sexe et la pénétrai. Elle fit passer ses bras autour de mon cou et m’enlaça pour m’embrasser. Je la saisis en haut des cuisses et la soulevai. Ses jambes s’enroulèrent autour de mes hanches. Je lui fis l’amour doucement, par des coups lents mais profond et puissant. Étrangement, je me sentais vraiment proche d’elle. Cette histoire était en train de prendre une tournure plus intense qu’une simple partie de jambe en l’air, ou de partenaires purement sexuels. Ahanant, haletant, gémissant, je finis par jouir dans son vagin, la remplissant de mes jets de sperme brûlant. Elle fut alors saisit d’une vague de jouissance à son tour qui contracta ses muscles intensément. Au bout de quelques secondes, je la sentis se relâché, et elle reposa de tout son corps dans mes bras. Le câlin s’éternisa quelques minutes, durant lesquelles chacun reprenais ses esprits tout en savourant le contact de l’autre. Elle fini par mettre fin à l’embrassade en remuant légèrement, je la laissai se remettre sur ses pieds, arranger sa tenue et sa coiffure pour cacher les traces d’excitation et je fis de même. Avant de nous séparé pour retourner à la salle, elle me fit un baiser passionné. Et j’y répondis avec autant de passion. Ce fut fini pour ce soir là, mais c’était le début d’autre chose, plus prenant. Mais ceci n’est qu’un épisode parmi tant d’autre, celui qui mérite vraiment d’être raconté, c’est quelques temps plus tard, la fois où nous avons été surpris par l’ami de ma cousine…
