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La découverte de mon désir pour les séniors

Chapitre 1

Dans le couloir des caves avec un sénior

Divers
A cette époque, j’habitais toujours chez mes grands-parents, ce sont eux qui m’ont élevée et j’en suis heureuse. C’était une copropriété comprenant 54 logements, des appartements d’une ou deux chambres essentiellement. Construite dans les années soixante, elle ne comportait pas d’ascenseur et nous étions au quatrième étage. Mes grands-parents devenant vieux, le plus souvent, c’est moi qui allais faire les courses, qui descendais chercher le courrier et me rendais dans la cave pour y déposer les poubelles.
Tous les samedis, ils recevaient un couple de leur âge pour jouer au bridge, même si je les regardais lors des parties, je n’y ai jamais compris grand-chose. Alors bien souvent, je me calais dans le fauteuil et passais du temps sur ma tablette. PS: les amis de mes grands-parents s’appellent Francis et Juliette. Malgré mon âge, presque 19 ans, je n’étais pas attirée par les sorties entre copines, disons qu’à l’époque, j’étais assez casanière (lol). Parfois, pendant qu’ils jouaient tous les quatre, je leur servais le café et quelques biscuits, j’étais toujours complimentée pour ma gentillesse et ma serviabilité. Il arrivait alors que papy me prenne alors sur ses genoux et me donne de petits bisous accompagnés de caresses. Attention, même si ses caresses se pratiquaient sur mes jambes, il n’a jamais cherché à me toucher là où il ne fallait pas.
Mais je n’étais pas naïve quant à Francis dont je voyais souvent les yeux pétiller lorsque mes tenues dévoilaient mes cuisses, surtout lorsque j’étais dans le fauteuil, occupée à jouer sur ma tablette et qu’il m’arrivait d’avoir des positions sexy. Je pense qu’au fil du temps, c’est devenu un vrai jeu pour moi, il m’arrivait de remonter ma jupe plus fort, d’écarter légèrement les jambes et de le regarder du coin de l’œil pour voir ses réactions. Pour être honnête, je n’avais aucune idée ou intention d’en faire plus, il était juste un vieux bonhomme qui m’amusait. N’empêche qu’une fois, alors que je lui déposais sa tasse, le dos de sa main a frôlé ma jambe dans un geste qui se voulait innocent. Du moins, c’est ce que j’ai cru pendant quelques jours, jusqu’à ce jeudi où j’ai compris.
Un jeudi, alors que j’avais oublié de descendre la poubelle le matin et que nous venions de dîner avec Francis et Juliette que mes grands-parents avaient invités pour leur anniversaire de mariage, mamie m’a demandé de descendre le sac contenant les déchets. Je m’apprêtais à y aller lorsque Francis a dit qu’il m’accompagnait, car il était tard et qu’il n’était pas prudent que j’y aille seule. Bien que je lui ai dit que j’en avais l’habitude, il a insisté et papy a confirmé qu’effectivement, c’était plus prudent. J’ai pris le sac et c’est accompagnée de mon vieux chevalier que j’ai commencé à descendre les étages. Je me rappelle exactement de quand et comment tout a débuté. Nous étions dans les escaliers menant au sous-sol quand il m’a dit: - "Tu es très jolie aujourd’hui". Je l’ai remercié et la conversation a suivi en devenant de plus en plus explicite:
— Tu es vraiment une belle jeune femme, c’est bizarre que tu n’as pas de petits copains.— Peut-être préfères-tu les femmes ? Cela se fait beaucoup maintenant.— Non, d’ailleurs j’ai déjà eu des petits copains, mais ils sont trop collants.
Petite précision, mais qui a eu son importance, les lumières de la cage d’escalier et des caves sont munies de détecteurs de présence et s’allument lorsque vous passez.
— Ah, ce n’est donc par pour eux que tu t’habilles si élégamment ?
Perso, je ne trouvais pas que je m’habillais élégamment, mais je suis certaine qu’il sous-entendait "sexy", d’ailleurs la suite en fut révélatrice.
— Non, j’aime bien d’être à mon aise et de plus, je vois beaucoup de jalousie chez les filles plus grosses quand elles me regardent, j’aime bien ça.— Je te comprends, tu as un corps splendide qui doit affoler les hommes et faire râler certaines femmes, moi-même je n’y suis pas insensible.
Je ne sais pas ce qui m’a pris de lui répondre sans réfléchir: - "Je l’ai remarqué, souvent je vois votre regard sur moi".A ce moment-là, nous étions dans le local à poubelles, la porte s’était refermée derrière nous, mais la lumière fonctionnait.
— Oui, j’avoue que je prends beaucoup de plaisir à t’admirer, je suis un homme et je ne rate jamais de regarder les jambes des femmes, les tiennes sont particulièrement agréables à voir, du moins pour ce qu’il m’en est permis.

Je dois dire que j’étais un peu mal à l’aise, Francis est beaucoup beaucoup plus vieux que moi et il me draguait ! J’ai voulu ouvrir la porte pour partir, mais il a mis sa main sur la mienne pour m’en empêcher.
— Je peux te demander quelque chose ? m’a-t-il dit.— Oui, ai-je répondu.— Tu pourrais, rien qu’une fois, m’en montrer un peu plus ?— Que voulez-vous dire ?— Ben j’aimerais que tu soulèves ta jupe jusqu’à la taille, je voudrais voir tes fesses.
Je ne savais que dire et que faire, je suis restée silencieuse et immobile. Il a dû prendre ça pour de la soumission même si je ne faisais pas ce qu’il venait de me demander, alors c’est lui qui s’est chargé de tout. Il m’a appuyée face contre la porte et a soulevé ma jupe tout en s’accroupissant.
Il regardait mes fesses tout en murmurant plein d’adjectifs tels que: sublimes, belles, appétissantes, etc.Je le laissais faire, étrangement cela ne me dérangeait pas. Mais à un moment, il déposa sa main, j’ai crié "hé !", mais il m’a dit "chut" et m’a caressée. J’aurais peut-être dû lui dire d’arrêter, mais contre toute attente, je n’en avais pas envie, car c’était doux et agréable. Comme nous étions immobiles, la lumière s’était éteinte et nous étions dans le noir complet. Je pense que l’obscurité a fait que je ne me suis pas sentie mal à l’aise, je sentais seulement le contact de sa main, mais ne le voyais pas. C’est quand il m’a retournée que la lumière est revenue. J’étais maintenant le dos appuyé contre la porte et Francis tenait ma jupe relevée d’une main tandis que l’autre me caressait la chatte par-dessus ma culotte. Ce n’était pas vraiment sa main, mais plutôt un doigt avec lequel il me gratouillait, malgré moi, j’ai senti que je mouillais et il s’en est rendu compte également.
— Tes petits copains t’ont déjà fait mouiller ? a-t-il demandé.— Tu es encore vierge ?
Il y allait fort, j’avais accepté qu’il me mate, mais pas ce qui était en train de se passer, et pourtant, je n’avais aucune envie de partir ou de lui demander d’arrêter. La lumière venait de s’éteindre à nouveau quand je lui ai répondu que je n’étais plus vierge, que cela remontait à quelques semaines. Je n’avais pas terminé ma phrase quand il a écarté le tissu et m’a pénétrée d’une phalange qu’il faisait tourner. Pendant plusieurs minutes, il m’a donné du plaisir ainsi, ensuite il s’est redressé et a voulu m’embrasser. J’ai tourné la tête, je ne voulais pas de la langue d’un vieux dans ma bouche (j’ai bien changé depuis, hi hi).
Lorsqu’il a abandonné ma chatte, je l’ai senti se trémousser, ensuite il a pris ma main et l’a amenée à son sexe qu’il venait de sortir de son pantalon. J’avais déjà branlé des copains, mais ce n’était pas la même chose. De plus, la lumière fonctionnait et ça me mettait mal à l’aise. Ma main allait et venait et lui s’était remis à me masturber également. A un moment, il s’est approché de mon oreille et m’a dit: -"Suce-moi".
Je n’en avais pas envie, fallait pas exagérer ! Alors je lui ai dit que papy allait s’inquiéter de ne pas nous voir revenir.
— Suce-moi un peu puis on remonte, allez, s’il te plait.
J’avais déjà sucé des mecs dans la cité de mes parents, mais depuis que j’étais chez mes grands-parents, plus aucun. Je me suis mise à genoux et j’ai commencé à m’approcher de son sexe, il sentait très fort l’urine et j’ai eu un mouvement de recul, alors Francis a mis sa main derrière ma tête qu’il a amenée jusqu’à lui. J’ai ouvert la bouche et du bout de ma langue, ai léché le vieux gland comme pour le laver avant de l’engloutir, Francis aimait ça et me le faisait savoir par de petits gémissements accompagnés de: - "C’est bon, tu t’y prends bien, continue ma cochonne, etc". J’étais étonnée, je n’avais jamais vu ni tenu le sexe d’un si vieil homme et je m’étais imaginée que ça rétrécissait avec l’âge, mais non, il bandait fort et il aurait fait rougir pas mal de mes ex avec son calibre. Par contre, pas d’éjaculation ! Il se retira de ma bouche et me remercia par ses mots: -"Merci, c’était magnifique pour une première fois".
Je me suis relevée et lui ai demandé ce qu’il voulait dire par là, il m’a répondu qu’il m’attendrait dimanche chez lui, pendant que Juliette serait chez son fils comme tous les dimanches. Je lui ai dit que non, mais il m’a simplement répondu que je n’aurai qu’à décider, qu’il serait seul dés treize heures. Quand nous sommes revenus chez papy, celui-ci n’a rien dit, pourtant nous nous étions absentés plus d’une demi-heure, par contre, j’ai trouvé bizarre le regard souriant qu’il a adressé à Francis.
Suis-je allée chez Francis le dimanche ?
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