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A la découverte d’un monde inconnu.

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Chapitre 3 : La punition

Alice se ravise. « Non, pas ça. Elle a raison : plutôt une fessée et au coin, comme les gosses ! » pense-t-elle. Julie foudroie Manu du regard en pensant « C’est de sa faute, c’est lui qui n’a pas éteint le PC ! » Manu pense au profond de lui-même « Et si elle avait fermé la porte quand elle est allée aux toilettes ! »
— Je vais vous flanquer une bonne fessée, et au coin, comme on me faisait quand j’étais petite lorsque j’avais fait une grosse bêtise.
Julie regarde sa mère et se dirige vers elle en pensant « J’y vais ; quelle conne je fais… J’ai tout foutu en l’air. J’avais qu’à faire gaffe ! »
— Oui, maman, on le mérite, je n’aurais pas dû faire ça… pleurniche Julie, la tête basse, en se tordant les doigts.— Oui, Alice, reprend Manu ; pardon, on le mérite, mais je…— Tais-toi ! Je ne veux pas t’entendre ! Tu vas faire ta valise, et direction Paris, chez ta mère. Déshabillez-vous, leur ordonne-t-elle, en furie.— Tout ?— Oui, tout. De toute façon, vous avez l’habitude de vous voir à poil, me semble-t-il ; et moi, ça ne me dérange pas. Alors, exécution ! — Mais, maman, Manu, lui tu… (Manu ne s’est jamais mis nu devant Alice).— Et alors ? rétorque-t-elle en le foudroyant du regard, il ne va pas en mourir ; et puis il ne m’a pas l’air si pudique que ça…
Julie lève son tee-shirt et enlève son boxer ultra moulant, dévoilant d’adorables petites fesses bien rondes ; elle continue à avancer vers sa mère, lève timidement son tee-shirt.
— J’ai dit « tout » ! Allez, dépêche-toi ! lui ordonne Alice, tout en la regardant se dévêtir et en pensant « C’est vrai qu’elle est belle, ma fille… »
Manu, au bord des larmes, met sa timidité de côté et se déshabille entièrement sans rien dire. Couvrant maladroitement son sexe avec ses mains, à la vue de Julie nue, il tente de cacher maladroitement une érection incontrôlée.
— Manu ! Tes mains, dans le dos !
Le regard posé sur le sexe rebelle, elle ajoute :
— C’est Julie qui te fait cet effet, mon cochon ?— Euh… pardon, je n’y peux rien. Désolé… répond-il, rouge de honte, évitant croiser son regard.— Ça, c’est bien les mecs : dès qu’ils voient une fille à poil, il faut qu’ils bandent ! Julie, tu peux être fière de toi : tu as réussi à le faire bander sans le toucher. Chapeau, ma fille !
Preuve en est que le sport et une bonne alimentation ont pour effet de lui avoir sculpté un corps magnifique. Elle a de belles jambes fines et musclées, de petites fesses rondes et fermes, un joli minois toujours souriant ; ses cheveux blonds mi-longs, en complet désordre, sont le reflet de ce qui se passe dans sa tête : elle est en panique totale.Julie met également ses mains dans son dos et découvre ainsi son pubis recouvert de poils dorés coupés court formant un petit triangle joliment dessiné. Sur son ventre bien plat apparaît le délicat quadrillage de ses abdos. Ses seins bien ronds viennent agrémenter son buste.
Manu est un peu rond ; de même taille que Julie, gourmand et peu sportif, il a quelques petits bourrelets qui lui valent quelques boutades de la part de la belle Julie, mais rien n’y fait : il préfère les jeux vidéo au sport. Son visage d’ange parsemé de picoupanes, ses cheveux roux et bouclés attendrissent facilement les plus implacables; mais pour le moment son visage d’ange a disparu, il est en panique totale. Il se maudit intérieurement. Les idées se bousculent dans sa tête. « Quel âne je suis de n’avoir pas éteint ce PC ! Et maintenant, que va-t-il se passer ? » Il doit passer les vacances ici, il y a le bac à la fin de l’année scolaire prochaine. Il va falloir s’expliquer avec sa mère, avec qui les relations ne sont franchement pas bonnes pour des raisons très compliquées. Son père, quand il va rentrer de déplacement, va le mettre en pièces, c’est sûr. Il est mal, il commence à déprimer mais la voix d’Alice le sort de ses sombres pensées ; c’est presque un soulagement.
— Débarrassez-moi cette table, je ne veux rien voir dessus. Et vite ! leur ordonne-t-elle d’une voie autoritaire, celle qu’elle prend au lycée pour stopper un chahut.
Sans dire un mot ils s’exécutent. Au fond d’elle-même, Alice s’amuse de la situation en les voyant tous les deux nus comme des vers s’agitant autour de la table ; elle repense aux sites qu’ils on explorés qui montraient tout un tas de pratiques sexuelles. « Vous voulez vous amuser ? Alors on va s’amuser ! » se dit-elle.
L’érection de Manu a disparu ; il est un peu mieux. Nu, mais mieux. Il aurait préféré que ce soit pour aller se baigner dans la piscine. Ils voulaient tous deux demander l’autorisation, trouvant que des corps nus et bronzés (vus sur le net) de naturistes sont jolis et veulent aussi le faire ; mais là, tout est foutu. « Et maintenant, que va-t-il se passer ? » se demandent-ils.
— Je commence par qui ? s’exclame Alice. Au fait, l’idée des sites de cul, c’est qui ? — C’est moi, répondit Manu tout penaud alors qu’en réalité ils sont tous les deux coupables.
« Il faut que j’assume ! » pense-t-il, espérant ainsi obtenir l’appui de Julie pour négocier une annulation de son départ.
— Commence par moi, maman, dit Julie en s’avançant vers sa mère et pressée d’en finir.— OK, comme tu veux. Plie-toi sur la table.
Julie s’exécute.
— Mieux que cela ; fais reposer ton ventre sur la table, écarte les jambes et pose-toi correctement. Voilà : comme cela, tu es bien installée ! lui dit-elle en lui appuyant sur le bas du dos.
Julie trouve la posture plutôt agréable ; ses seins pointus sont aplatis, et son ventre au frais sur le plateau de la table. Mais elle se rend compte qu’elle est en train d’offrir son intimité à la vue tout le monde. La honte monte en elle. La punition est plus terrible que ce qu’elle imaginait.Alice prend Manu par le bras et le place de façon à ce qu’il ait la meilleure vue possible sur le postérieur de sa fille.
— Tu es prête ? Un conseil : plus tu te crisperas, plus ça fera mal. Détends-toi, lui conseille-t-elle en lui tapotant les fesses pour vérifier la mollesse des muscles fessiers.
Julie, la gorge serrée, arrive tout juste à sortir un petit « oui… » Son front repose sur ses poings crispés, elle a les dents serrées. « Je vais l’assumer, ma connerie ; il ne faut pas que je crie. » À ce moment même la main d’Alice s’abat sur sa fesse droite. Elle sursaute, serre les dents et les poings encore plus fort ; les larmes montent en même temps que la seconde claque s’abat sur sa fesse gauche. Les claques se succèdent ; une, deux, trois… elle a l’impression que cela dure une éternité. Elle a chaud. Les yeux hermétiquement clos, elle supporte, mais les larmes montent, elle pleure. Alice fait une pause et regarde Manu qui baisse la tête. Il a de nouveau une énorme érection, elle lui fait mal tellement elle est puissante.
À la vue de ce spectacle, Alice n’en croit pas ses yeux : pendant que sa fille pleure sous les coups, lui bande comme un Turc. « Tu ne vas pas bander longtemps quand ça va être ton tour, je te le dis ! » pense-t-elle.
Julie ne bouge plus ; elle sanglote. Sa mère lui passe la main sur les fesses : elles sont brûlantes. Elle assène alors un violant aller-retour sur le côté des fesses. Julie, surprise, crie. Elle se crispe, ne se contrôle plus et éclate en sanglots. Alice arrête là ; quatre claques par fesse, cela suffit, elle ne veut pas que sa fille ait mal pendant huit jours, ce n’est pas le but. Elle va à la cuisine chercher un verre d’eau.
Julie comprend que sa mère est partie. Elle a les fesses en feu, mais elle sent que son entrejambe est humide ; son bas-ventre la brûle presque, elle est au bord de l’orgasme. « Oh non, je ne vais quand même pas avoir un orgasme, ce n’est pas possible ! »se dit-elle.C’est la voix de sa mère qui la fait revenir à elle et éteint le feu qui règne en elle.
— Julie, c’est fini pour toi. Relève-toi et bois un peu d’eau, ça te fera du bien, lui dit-elle en lui tendant le verre d’eau fraîche.
Julie se relève ; elle a mal. Humiliée et en colère, elle regarde sa mère dans les yeux avec un regard noir, « le regard des mauvais jours » lui disait sa grand-mère. Elle ne sait plus après qui ou quoi elle est en colère.
— Tu es en colère après moi, Julie ? lui demande sa mère.— Non, après moi : je suis une gourde ! lui répond Julie entre deux sanglots.— Manu, tu as vu comment te mettre ? Alors vas-y. Je pense que tu vas arrêter de bander après ce que tu vas prendre...
Julie se retourne et regarde Manu en érection, puis se tourne, interrogative, vers sa mère qui lui répond par un haussement d’épaules.
— Que veux-tu ; c’est ça, les mecs : ils bandent pour n’importe quoi. Mais ne t’inquiète pas, ça va lui passer !
Manu est en position ; il est mal à l’aise avec ce qu’il vient d’entendre. Rouge de honte, il offre son anatomie dans une position impudique forcée. N’ayant jamais été dans une telle posture, son érection a complètement disparu. Julie, placée derrière Manu, a droit au spectacle dont elle profite, comme pour se venger de lui.
— Manu, tu sais que tu es complètement ridicule avec le trou du cul en l’air ? Et en plus, t’as tout qui pend ; tu veux que je te fasse bander, mon salaud ?
Alice reconnait là sa fille, agressive quand elle est en colère ; alors elle en rajoute :
— Julie, j’espère que cela va te faire de l’effet à toi aussi…
Alice, comme pour Julie, claque les fesses ; une, deux… et de cinq. Il encaisse les coups sans rien dire ; il a lui aussi décidé d’assumer. Pan, et pan ! Les deux dernières, Alice ne sait pas pourquoi, mais elle les a appliquées avec une telle force qu’elles ont résonné dans toute la maison. Manu crie et éclate en sanglots à son tour.
Comme pour Julie, Alice va lui chercher un verre d’eau et lui dit de se relever. Les deux ados se retrouvent face à face, les joues inondées de larmes ; ils s’enlacent et pleurent. Alice est retournée à la cuisine. Elle leur laisse un peu de temps pour récupérer.Après quelques minutes, ils sont calmés ; ils relâchent leur étreinte, essuient leurs larmes et se retournent en interrogeant Alice du regard ; ils ne savent pas quoi faire ni quoi dire. Ils sont là, nus, les fesses en feu. Ils voudraient s’enfuir de cette pièce, se cacher, mais Alice les regarde et leur ordonne :
— Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, je vais vous punir comme des petits enfants qui ont fait de grosses bêtises. Vous allez aller au coin là-bas (elle désigne la porte fenêtre qui donne sur le jardin sans vis-à-vis), chacun dans un coin, à genoux et les mains sur la tête.
Julie sent entre ses cuisses l’humidité suinter de son vagin ; elle est terriblement excitée. Elle a envie de se caresser pour atteindre l’orgasme, mais ce n’est ni l’endroit ni le moment. Elle essaie alors de penser comment arriver à amadouer sa mère pour Manu.Alice s’affaire dans la cuisine. Le temps a passé très vite, et il faut préparer le repas ; cet exercice lui a donné faim. Elle surveille les deux punis, et prend discrètement une photo « Pour mon album perso ! » se dit-elle.
Ils tournent et retournent toujours la même question dans leur tête : « Comment se sortir du bourbier dans lequel nous nous sommes mis ? » Mais aucune réponse ne se fait. Voilà une demi-heure qu’ils sont là ; ils se trouvent ridicules, à genoux, à poil, les fesses rouges. Les genoux leur font mal et leur tête est vide. Ils ne savent pas combien de temps cela va durer ; ça devient long… Ils voudraient supplier Alice de mettre fin à leur supplice, mais ni l’un ni l’autre n’ose ouvrir la bouche.
— Allez, levez vous et venez me voir… dit Alice d’une voix douce.
Ils se lèvent ; leurs genoux les font souffrir, et ils boitent pour se rendre dans la cuisine.
— Allez vous doucher, cela va vous faire du bien. Allez dans ma salle de bain : vous aurez plus de place à deux dans la douche pour soulager vos ardeurs !
Julie reprend son souffle et interroge sa mère :
— Ensemble ?— Oui, puisque c’est la dernière fois que vous allez vous faire plaisir. Vous voyez, je suis aussi sympa… leur dit-elle en fixant tour à tour l’entrecuisse de sa fille et le sexe de Manu.
Sans demander leur reste, ils attrapent leurs vêtements laissés par terre et grimpent les marches de l’escalier quatre à quatre.
— Et pas de bêtises ! — Oui, maman promis ! crie Julie.

À suivre
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