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A la découverte d’un monde inconnu.

Chapitre 8

Avec plusieurs femmes
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Après une nuit quelque peu agitée, les deux femmes ont offert à Manu un petit déjeuner hors du commun. Manu, un peu attristé par l’inexistence de sa mère, essaie de trouver refuge auprès d’Alice qui leur propose de dormir avec elle.

Chapitre 8 : Câlin à trois

La séance d’initiation est terminée ; avec Jean-Mi, ils attendent Alice. La voici qui gare la voiture.
— Bonjour, Jean-Mi, comment vas-tu ? Et cette initiation, comment cela s’est-il passé ? questionne Alice en lui faisant la bise.— Bien, tes enfants ont bien aimé la séance !
Alice a entendu le « tes » mais ne dit rien. Il poursuit :
— Je t’ai préparé les documents si tu veux les inscrire. Je t’appellerai, je t’expliquerai tout. Je vous laisse, j’ai un rendez-vous.
Alice prend les documents et propose d’aller manger dans un snack. Une fois installés, la conversation s’articule autour des différentes disciplines ; ils voudraient faire tous les deux du jiu-jitsu : c’est un très bon sport de défense, et l’entraîneur n’est autre que Jean-Mi. Julie prend la parole :
— Maman, Jean-Mi nous a dit que si on bosse bien, on pourrait aller en compète ; d’après lui, on a des aptitudes. Au fait, tu as entendu ? Jean-Mi a dit « tes enfants » !— Oui, j’ai entendu ; et alors ?
Manu, la voix étranglée et les yeux humides, intervient :
— Eh bien moi, si j’avais une maman comme toi, je serais le plus heureux du monde.
Alice détecte l’émotion de Manu, lui prend la main ; son regard tendre. « Il n’est pas bien, ce gamin... » pense-t-elle.
— Allez, Manu, ne t’inquiète pas, ça va s’arranger. Je suis sûre que cela va s’arranger ; un peu de patience... lui répond-elle sur un ton compatissant.
La seule réponse qu’elle obtient, c’est un haussement d’épaules. Alice et sa fille échangent un regard impuissant. « Il t’arrive d’éviter de dire de conneries ? Il faut que je trouve une solution. Je ne sais pas quoi, mais il faut que je trouve. Il ne peut pas rester comme cela, ce petit ! » pense-t-elle.Le repas terminé, ils rentrent à la maison, occupent l’après-midi à ranger, préparer le matériel scolaire. Julie prépare le « cahier d’histoires » et interroge sa mère :
— Dis, maman, t’as eu une super idée avec le « cahier d’histoires » : rien à voir avec les dissertes de philo ; comment fait-on ?— Je vois que dès qu’on parle de cul, il y a de la motivation ! — Maman, ce que tu m’as déjà fait, c’est tellement chouette que j’ai envie de vite découvrir d’autres choses, et je suis sûre qu’avec une prof comme toi ça va être super.— Merci du compliment. Eh bien, d’un côté on écrit l’histoire. Le principal acteur décrit ce qu’il subit ou qu’il doit faire, avec les ressentis physique et moral, les dialogues, etc. On y mettra des notes pour savoir si le « TP », réalisé a plu ou pas. Par exemple : 0 = nul, a déplu à tous, on ne refera pas ; de 1 à 4 = un peu ou pas beaucoup plu ; et 5 = a plu et à refaire. Moi, je corrigerai l’écriture. De l’autre côté du cahier on marquera les idées : ce qu’on a envie de subir ou d’accomplir, mais uniquement pour soi. Mais pas de trucs dégueulasses ; compris ?— C’est très clair. Donc si j’ai envie que tu fasses un truc, je ne marque rien et je…— Par exemple, je te dis « Va chercher le pain toute nue. » Tu accomplis et tu racontes tout ce qui c’est passé, tout. C’est simple, non ? la coupe Alice.— Pour être simple, c’est simple ; mais tu ne vas pas me faire faire ça : t’imagines, aller à poil jusqu’à la boulangerie, le stress… Et si je croise quelqu’un, tu te rends compte ?— T’inquiète pas, ce n’est pas pour demain ; mais on ne sait jamais...— Ça doit-être flippant !— Regarde-toi : tu es déjà tout excitée. Fais voir : je suis sûre que tu mouilles déjà.— Oui, maman, pas la peine de vérifier
« La vache, ça doit être terrible de faire ce truc ! » pense-t-elle, terriblement excitée.
— Tu vois que tu vas aimer. Bref. Par contre, je voulais te parler d’autre chose.
Alice prend un air grave ; l’affaire semble sérieuse. Julie écoute attentivement. Tracassée par la réaction de Manu, elle a eu une idée. Elle l’expose à Julie qui est prête à tout pour son amoureux. Réticente au début, elle finit par accepter avec joie l’idée de sa mère.
— Maman, t’es trop, trop cool ! C’est une chouette idée ; sûr qu’il va être heureux. Maman, je t’adore, t’es la meilleure des mamans ! lui dit-elle en l’embrassant.
L’après-midi se poursuit ; Julie et Manu organisent le « cahier d’histoires » et tout ce qu’il faut pour réviser. Alice et Manu se chargent des travaux ménagers ; tous participent, et en peu de temps la maison est nette.
— Allez, les enfants, nous avons bien travaillé. Détente, jus de fruit et Coca pour tout le monde ?— Oui, maman. Et piscine. Manu, piscine ?— Allez, c’est parti : tout le monde à poil ! crie Manu.— Eh bé… Au moins ça lui plaît d’être à poil, hein, maman ?— Tu vois, ma chérie, c’est encore ça, les mecs : toujours la queue à l’air ou en l’air !
Après un bon bain, les voilà installés sur les transats pour bronzer. Alice engage la conversation :
— Ça vous plairait d’être entièrement bronzés ?— Oh oui, maman. On a vu des photos de naturistes : c’est super joli, un corps bien bronzé.— Donc, si je vous propose de passer quelques jours dans un camping naturiste au bord de la mer, cela vous ferait plaisir ? Le fait d’être nus devant tout le monde ne vous dérange pas ?— Carrément non ! On est déjà nus entre nous ; tu imagines nager toute nue dans la mer, comme ça doit être agréable… De plus, j’ai lu un article où il paraît que les gens sont vachement sympas. Hein, ça te dit, Manu ? On y va ?— Oui, oui, on y va quand ?— OK… Tu veux y aller pour mater les nanas à poil, j’te connais ! reprend Julie en riant.— Eh bien d’accord ; je verrai cela demain.
Puis la conversation s’anime autour du projet : quand et où allaient-ils partir. Manu se libère, pose des questions sur son avenir : pourquoi il est dans cette situation, pourquoi sont-elles si fusionnelles, et qu’avec ses parents rien n’est facile ? Alice tente de le rassurer en lui disant qu’il faut garder espoir, que tout peu changer ; « patience » doit être son maître-mot. Mais elle sent qu’il n’est pas bien. C’est bien dommage, la soirée risque d’être gâchée. Elle décide de modifier ce qu’elle avait prévu pour ce soir.
— Manu, je vais te dire quelque chose. Ton mal-être à cause de cette séparation d’avec tes parents, à laquelle je n’y peux malheureusement rien, m’affecte beaucoup. Si le cœur t’en dit, je veux bien être ta mère adoptive ou de remplacement, si tu en as envie. J’en ai parlé avec Julie, et elle veut bien partager notre amour ; je m’occuperai de toi comme de Julie. Tu sais, je t’aime beaucoup, et tu me fais de la peine à rester ainsi.
Manu, emporté par des larmes de bonheur, ne peut que se jeter dans les bras d’Alice.
— Allez, Manu, sois un homme ; tu vas te battre, et tu y arriveras. Fais ta vie avec ou sans tes parents, on va t’aider.— Maman, il va t’appeler « maman » alors ?— Comme il veut, à moins que tu ne sois pas d’accord.— Si, si, ça va être bien. En fait, on est jumeaux alors ! s’exclame Julie.— Si tu veux, sauf que les jumeaux ne couchent pas ensemble… répond Alice en riant.— OK, maman, alors on sera des faux jumeaux, voilà tout.
Cette plaisanterie a détendu Manu.
— Ça va, Manu ?— Oui Mam… susurre-t-il, la gorge nouée.
Manu renaît ; la perspective d’une nouvelle vie se présente à lui. Il vient de trouver une épaule sur laquelle il va pouvoir s’appuyer, un guide pour sa vie future. En son for intérieur, il se dit « Plus heureux, je ne peux pas l’être. Quelle chance… D’abord Julie, mon amour : il faut que je la cajole pour qu’un jour on s’aime vraiment ; mais ça… Et maintenant Alice qui va m’aider. Je ne sais pas si je vais réussir à l’appeler « maman », mais ce n’est pas le plus important. Putain, qu’est ce que je suis content ! » Il vient de réaliser ce qui est en train de se passer ; il est le plus heureux des garçons. Il dévisage Alice et Julie avec gourmandise. Il a envie de les embrasser, de les serrer contre lui, de leur faire tout un tas de trucs, même leur faire l’amour à toutes les deux.
La journée touche à sa fin. Comme promis, Alice les invite à venir avec elle.
— Venez : une douche, et au lit !
Ils montent tous les trois, prennent place dans la grande cabine de douche.
— Manu au milieu ; on commence par toi, tu te laisses faire ! ordonne Alice.
Manu est aux anges : se faire laver par deux femmes – une devant, l’autre derrière –, que demander de mieux ? Ajouté à ce qu’il vient de se passer, il est au comble du bonheur. Avec minutie, toutes les parties de son corps sont lavées, nettoyées, astiquées, même l’intérieur de ses intestins par Julie. Il est prêt à tout accepter, tellement sa joie est grande. Elle a même tenté d’y introduire sa main, mais sans succès ; il l’a senti mais n’a rien dit. Julie est lavée elle aussi. Alice apporte un soin particulier à l’intimité de sa fille, Manu s’occupe du dos et de l’arrière de son amoureuse, la couvre plus de baisers que de savon ; il est doux, attentionné. Au tour d’Alice. Sa fille s’occupe du dos de sa mère, prenant un malin plaisir à lui introduire deux doigts enduits de savon dans l’anus et le vagin, lui faisant pousser un gémissement. Manu passe timidement ses mains sur sa taille.
— Allez, mon chéri, n’aie pas peur ; tu dois me laver partout devant.— Mais, c’est que je ne t’ai jamais fait cela...— Vas-y franchement, n’aie pas peur, fait-elle avec un clin d’œil d’encouragement en prenant ses mains et les appliquant sur ses seins.
Pour le motiver, elle lui prend la verge en pleine érection, lave le gland avec soin. Manu s’enhardit et finalement prend un soin attentif du minou d’Alice, joue avec son bouton ; elle émet des gémissements de plaisir. Sa fille, accroupie derrière elle, est tout naturellement en train de lui introduire malicieusement deux doigts et trois dans l’anus ; sa fine main enduite de gel douche entre progressivement dans son vagin. Alice est envahie par le plaisir, la tête lui tourne. Elle s’appuie contre la paroi de la cabine, un pied posé sur un siège, laissant ainsi libre accès à sa fille.
Manu a empoigné un sein joue avec le téton ; l’autre est sucé, mordillé, pincé par la bouche. Sa seconde main joue avec le clito. Alice ondule, elle est au bord de l’orgasme. Les deux amoureux intensifient leurs caresses. « On va la faire arriver à l’orgasme… » pense Julie, déterminée à faire jouir sa mère. Elle force sa main à entrer, l’affine au maximum, pousse ; elle entre d’un coup. L’orgasme explose. La main est prisonnière de l’étau qui s’est refermé sur elle. Alice crie de bonheur, prend Manu par la tête et lui roule une pelle d’une force telle qu’il n’avait jamais vécu pareille embrassade. « Ah, la vache ! Ça, si c’est pas un patin… Faut que je retienne. Julie tu vas voir ! Merci, Alice. » pense-t-il.
Petit à petit, le calme revient. Alice est toute chamboulée. Pour conclure, Julie l’embrasse avec fougue. Remise de ses émotions, Alice leur dit :
— Eh bien, mes enfants, bravo ! C’était terriblement bon… Vous êtes des champions !
Elle les embrasse encore. Ayant terminé leur toilette, ils s’installent dans le lit d’Alice. Un grand lit en 180 qu’elle s’est offert il y a quelque temps déjà.

À suivre
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