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A la découverte d’un monde inconnu.

Chapitre 10

Hétéro
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Julie a besoin de sa mère pour cette première fois, mais elle a franchi le pas : amoureuse, elle s’est offerte à Manu, qui a trouvé aide et réconfort auprès d’Alice.

Chapitre 10 : Visite du prof de sport

La matinée est déjà bien entamée ; la tête d’Alice apparaît dans l’encoignure de la porte de la chambre : nos deux amoureux se réveillent. Son regard coquin et son sourire jovial ne font qu’embellir son corps nu, enduit d’huile de massage parfumée au monoï. Elle leur apporte trois plateaux de petit déjeuner au lit empilés les uns sur les autres, copieusement garnis de viennoiseries, jus d’orange, café et chocolat fumants en leur donnant un doux baiser de maman aimante et attentionnée quelle est.
— Coucou, mes petits chéris ! Bien dormi ?— Bonjour maman ! s’écrient-ils en chœur.
Elle s’assoit en tailleur au pied du lit avec son plateau posé à côté d’elle et couve d’un regard maternel, doux et attendrissant ses chers petits devenus homme et femme cette nuit. Elle détaille les corps un à un, découvre le sexe de Manu encore endormi, fatigué d’avoir tant œuvré pour transformer l’adolescente qu’était Julie en femme. Alice s’attarde sur sa fille, sur le joli minou rose et imberbe qui a accueilli Manu, preuve de son amour pour lui.
Julie détaille le corps huilé de monoï de sa mère, attirée par sa vulve. « Je suis comme maman, maintenant : moi aussi je l’ai fait. » Mais sa petite voix interne la reprend : « Non, Julie, tu n’as pas encore eu d’enfant ; donc tu n’es pas encore pareille. » Elle fixe sa mère dans les yeux, se cambre en faisant remonter sa poitrine, droite comme un I, les mains posées sur les genoux en position de yoga ; elle lui souffle un baiser qui traverse le lit et lui revient aussitôt.
Les visages de Julie et Manu rayonnent de bonheur ; la tête remplie de belles émotions, ils veulent dire plein de choses mais les mots ne viennent pas. D’ailleurs, ils n’ont pas envie qu’ils viennent. Entre deux bouchées, Manu s’appuie en arrière sur son oreiller, la tête renversée, totalement immobile ; il revit et savoure cette nuit d’amour. Doucement, son sexe se réveille pour le plus grand plaisir des filles ; le regard gourmand, le sourire coquin, elles surveillent l’érection de ce membre en l’encourageant à se dresser encore plus par des mouvements de tête motivateurs et des « Allez… allez ! » muets.
Alice sort son téléphone de dessous sa serviette ; il est allumé. Elle tend à Julie. « Qu’est-ce qu’elle me fait ? » se demande-t-elle. Elle se découvre à l’écran, allongée sur le lit avec Manu. Nus, ils sont enlacés, joue contre joue. Un cœur masque le bas de leur dos à l’intérieur duquel ils peuvent lire : « Mes petits chéris. » Julie prend l’appareil, regarde, et passe en mode photo pour immortaliser la posture de son beau Manu. L’éclair du flash le sort de ses rêves ; il se relève.
— Qu’est-ce qu’il y a ?— Rien, Manu ; ça va ?

Elle lui prend le sexe, y applique quelques mouvements de va-et-vient, et s’adresse à l’engin en plein réveil en le secouant un peu :
— Ça va, Kiki ? Bien dormi ?
Le pauvre ne pouvant répondre, son propriétaire hausse les épaules, tente de cacher cette érection, mais Julie l’en dissuade par un mouvement de la main.
— Non, non, il est très bien comme ça ! Regarde ce que maman nous a envoyé : on est mignons, tu ne trouves pas ?— Oui. Et avec un cœur, c’est mignon tout plein… Je t’aime ; je vous adore toutes les deux.— Ça ne te rappelle rien, mais sans cœur ? Hein, Manu, tu te souviens ?— Oui, surtout mes fesses ! Au fait, Alice, pour les conditions, il n’y en a que trois ? Ce n’est pas si terrible que ça. Hein, Julie, c’est vrai.
Alice reprend :
— Tu oublies juste que je n’ai jamais parlé de trois conditions ; j’ai dit « des conditions », et ensuite vous avez juré tous les deux de faire tout ce que je voudrais. Donc attendez-vous à quelques surprises… Vous croyez que vous allez vous en tirer comme ça, petits coquins ?— Tu ne pouvais pas la fermer ? Elle avait certainement oublié. Maintenant, t’as intérêt à assumer, je te le dis ! gronde Julie.
Et elle ajoute à l’intention de sa mère :
— Maman, fais-lui faire un truc de dingue ; ça lui fera les pieds !— Bon ; pour votre info, je n’ai pas oublié. Est-ce que tu m’as déjà vue oublier quelque chose ? Vous m’avez juste un peu coupé l’herbe sous le pied avec votre histoire d’amour qui me rend très fière et heureuse pour vous, vraiment.
Alice fait une pose pour réfléchir ; un peu fâchée, Julie a envie de sauter sur Manu.
— Étant donné que Julie l’a si gentiment demandé, Manu, d’après la météo demain matin il pleuvra. Comme je ne veux pas me faire mouiller en allant chercher du pain frais, c’est toi qui iras à la boulangerie, mais tout nu. Et comme il ne faut pas que le pain soit trempé, je vais être sympa : tu mettras la veste de K-Way qui est dans le garage ; ainsi tu pourras le glisser dessous. Cela te fera une belle anecdote à raconter sur le « cahier d’histoires » ! Et n’oublie pas : si Julie ou moi devons te le rappeler, tu iras sans K-Way. OK ?— Mais, Alice, ça va se voir que je suis à poil en dessous ! — Tu plaisantes ! Il te descendra largement sous les fesses. Tant que tu ne lèveras pas les bras au ciel, personne ne verra rien. Tout ira bien ; à toi de te débrouiller. Et ne l’abîme pas : il est à mon père. — Julie, tu es satisfaite. Maintenant, on finit de déjeuner ; l’heure tourne, il faut se mettre au travail ! reprend Alice en riant.— Génial, maman ! Regarde comme ça lui plaît : il bande encore plus.— Méfie-toi : il pourrait t’arriver aussi des choses bizarres ; alors ne t’excite pas trop ! reprend-elle en riant.
Alice se lève, récupère les plateaux et descend, suivie de Julie ; Manu va prendre sa douche.
— Maman, tu pourras venir avec moi dans la salle de bain ?— Pour ?— Histoire de filles. Julie a besoin d’être rassurée : elle a saigné, et elle est inquiète.— OK.
Le téléphone sonne ; Alice décroche.
— Allô ? Bonjour, Jean-Mi. Comment vas-tu ? OK, 14 heures. À tout à l’heure.
Elle raccroche.
— C’est Jean-Mi ? Qu’est-ce qu’il veut ?— Il vient pour les inscriptions ; vous êtes toujours d’accord ?— Ah oui, bien sûr ; tu vas nous inscrire ?— Oui.
Manu, tout propre, descend nu, parfumé, beau comme un dieu, rejoint les deux femmes. Il est aux anges et veut rester nu aujourd’hui.
— Pourquoi tu n’es pas venue te doucher avec moi ? demande-t-il à Julie.— C’est maman qui va venir avec moi… pour vérifier si tu n’as rien cassé !— Ah bon ! Et qu’est-ce que j’ai cassé ? s’inquiète-t-il, l’air étonné.— Mais non, rien, je plaisante. C’est juste une histoire de filles, t’inquiète pas ! lui répond-elle en lui faisant un bisou.
Elles montent régler le « problème de filles ». Julie prend sa douche ; Alice redescend. Manu la rejoint dans la cuisine. Cet événement à mis la tête de Manu en désordre, toujours en prise avec ses soucis de parents… etc. Il demande de l’aide à Alice pour mettre de l’ordre dans tout cela.
Julie revient pomponnée telle une princesse. Elle s’est jeté un déshabillé sur les épaules, aussi léger que transparent ; son déplacement le fait se soulever, découvrant la totalité de son corps nu et huilé. Elle prend Manu par la main et l’entraîne vers la piscine où ils s’installent côte à côte sur des transats.
Le clocher de l’église sonne 14 heures lorsque Jean-Mi se présente à la porte. Alice enfile un léger maxi tee-shirt et ouvre le portail pour accueillir son hôte comme il se doit. Comme ils se connaissent bien, ils se saluent en s’embrassant.
— Tu vas bien ? Tu es tout en beauté… Hum, ce parfum de monoï, j’adore ! Tes enfants sont là ?— Ils sont à la piscine, ils bronzent. Mais je te préviens : ils sont certainement tout nus. Viens, on rentre. — Tu sais, je ne le dis à personne, mais je pratique le naturisme ; alors ça ne me dérange pas du tout. Si tu veux, je me mets nu ; ce n’est pas un problème pour moi.
Elle passe devant. Jean-Mi ne peut qu’admirer par transparence du tissu la fine silhouette dénudée d’Alice. Son regard l’examine. « Elle est nue, là-dessous. Qu’est-ce qu’elle est belle ! » pense-t-il.
— Bon, on ira dehors après, on sera mieux. Mais avant, il faut que je te parle de quelque chose.
Elle attrape au passage deux bières dans le frigo. Ils s’installent au salon.
— Je vais t’expliquer quelque chose, lui dit-elle en trinquant. Voilà…
Elle raconte tout – y compris le projet de vacances naturistes – mais ne parle pas, bien évidemment, de leurs activités sexuelles qui sont leur secret. Jean-Mi écoute avec attention le récit d’Alice, mais en zappe une partie à cause de la magnifique vue qu’il a sur l’entrejambe de la belle blonde. Ses yeux pétillent ; ceux d’Alice aussi.
— Eh bé, en voilà toute une histoire !
Ses yeux ne peuvent se détacher de la minette qui lui fait des clins d’œil coquins. Alice s’aperçoit de son indiscrétion.
— Oh, pardon ! Je n’ai pas voulu…
Alice semble gênée. « Menteuse ! » Leurs regards se croisent ; des étincelles dans les yeux, Jean-Mi vient s’asseoir à côté d’elle, pose sa main sur sa cuisse.
— Alice, je voudrais te le dire : ça fait longtemps que j’attends ce moment… Je suis amoureux de toi depuis très longtemps ; tu es belle, tu es extraordinaire ! Je veux faire ma vie avec toi.
« Vas-y, mec, c’est maintenant ou jamais ! » s’encourage-t-il.Alice, sous le choc de cette déclaration pour le moins inattendue, lui fait l’effet d’une bombe ; elle aussi avait jeté son dévolu sur lui, mais ne sachant pas trop comment l’aborder (être tous deux professeurs dans le même lycée n’est pas forcément un avantage pour ce genre de démarche). Emportée par l’émotion, elle pivote sur elle-même, s’assoit à califourchon sur son collègue, laissant largement apparaître son intimité et saisit la tête de Jean-Mi à deux mains. Bouche contre bouche, ils se lancent dans un baiser passionné. Ses mains glissées sous le tee-shirt explorent ce torse puissant ; celles de Jean-Mi explorent ses cuisses, ses fesses, son dos avec douceur, puis passent devant pour caresser sa fente.
— J’ai envie de toi, Alice… — Moi aussi, j’ai envie de toi ; mais pas maintenant, pas comme ça... répond-elle avec pudeur.— Tu as raison ; plus tard. — Viens ; un bain dans la piscine nous fera du bien.— Oui, avec plaisir !
Ils sortent. Jean-Mi découvre un spectacle pour le moins inattendu : Julie et Manu sont au bord de la piscine, nus. Julie, en partie allongée sur Manu, l’embrasse avec passion, une main dans ses cheveux tandis que l’autre joue avec son sexe en érection.Jean-Mi se retourne vers Alice, le regard interrogateur ; il va pour ouvrir la bouche mais elle lui met un doigt devant en signe de silence. Jean-Mi chuchote à l’oreille d’Alice :
— Ils sont magnifiques, tous les deux ; tu peux être fière de toi ! Si tout va bien, ils vont faire un joli couple ; c’est tout le mal que je leur souhaite.
Puis il lance à la ronde :
— Bonjour, Julie ; bonjour, Manu ! Comment allez-vous ?
Julie, surprise, lâche son jouet.
— Maman, ça t’arrive de prévenir ? Et toi, Jean-Mi ? Hé, désolée… Tu vas bien ?— Moi, très bien. Et vous, ça ne peut qu’aller bien ! constate Jean-Mi.
Julie, nue, se lève le plus naturellement possible, se dirige vers eux pour saluer le nouvel arrivant, lui fait la bise.
— Julie, tu sais que tu es très belle ? D’ailleurs je vais me mettre comme vous, si cela ne vous dérange pas.
Il se déshabille, ainsi qu’Alice.
— Je lui ai expliqué pour le camping, et il en connaît un bien, déclare Alice.— Ah oui ? Tu pratiques le naturisme ? Il est comment, et où ?— J’y vais avec des amis ; je vous montrerai des photos. Il n’est pas loin, dans la montagne. Si on veut, on peut y vivre avec presque rien : un puits pour l’eau, un petit lac avec cascade, et de quoi faire de superbes balades nus.
Julie détaille d’un regard admiratif et avec un plaisir non dissimulé le corps de son futur prof de sport.
— Dis, Jean-Mi, est-ce que tu penses que Manu peut devenir comme toi ? demande Julie en balayant d’un geste de la main la silhouette de Jean-Mi.— Avec du travail, de la volonté et de l’entraînement, sans problème.—Ah oui ? On commence quand ? Avec un prof comme toi, on va tout casser, hein, ma Julie !
« Bon ; ça, c’est fait. Mon p’tit gars, au boulot ! » se dit Manu ; et, prenant la pose d’un conquérant de l’Antiquité, il ajoute :
— Maintenant que j’ai une femme à protéger, et un jour des enfants à nourrir, je veux être fort et avoir un métier qui rapporte pour protéger en choyer toute ma famille ! s’exclame-t-il.
Cette tirade digne de Shakespeare lui vaut une salve d’applaudissements et un gros baiser de sa conquête.
— Bon, Alice, devant cet engouement, tu ne peux que les inscrire.— Oui, tu as raison ; on regarde... répond-elle à Jean-Mi.
Il lui explique tout ; elle signe trois inscriptions, convaincue par Jean-Mi que cela lui ferait du bien à elle aussi.

Épilogue
Ce chapitre met fin à cette tranche de vie un peu particulière. Les prochains seront des extraits du « cahier d’histoires » sans chronologie particulière, gardant un lien avec les personnages et cette histoire. Les prochains épisodes paraîtront donc sous un titre (à peine) différent : « À la découverte d’un monde inconnu : le cahier d’histoires » et dans la catégorie correspondant le mieux au thème traité.
A très bientôt.
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