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A la découverte d’un monde inconnu : le cahier d’histoires

Chapitre 4

Lesbienne
L’anniversaire de Julie

Aujourd’hui c’est mon anniversaire ; dans un an, je pourrai chanter la chanson que fredonnait mon arrière-grand-mère : « On n’a pas tous les jours vingt ans, ça n’arrive qu’une fois seulement… » Pour cette occasion, nous allons manger au restaurant, et après nous irons en boîte de nuit. Nous sommes tous les quatre : Jean-Mi, maman, Manu et moi. Les garçons se sont mis sur leur trente-et-un ; maman – toujours aussi élégante – a préféré une robe, mais sexy.
Je me suis faite belle, « belle comme un cœur » me dit souvent Manu. Maman m’offert un jolie robe noire, courte, dos nu ; une lanière transparente relie les épaules entre elles, évitant ainsi à la robe de m’arriver en bas des pieds au moindre mouvement. Un profond décolleté souligne ma poitrine en pleine croissance. Le bas, léger comme une plume, vole facilement, risquant de découvrir mes rondeurs non masquées par un petit string en dentelle noire. Un châle tricoté avec amour par mamie, jeté sur les épaules, me protège de la fraîcheur. Aux dires de Jean-Mi, le seul restaurant du notre village n’étant pas à la hauteur de l’évènement, nous roulons en direction de la ville.
Nous pénétrons dans un restaurant décoré avec goût. L’ambiance y est douce et tranquille ; le sol moquetté incitant à la relaxation, nous parlons à voix basse. La serveuse souriante, belle et bien habillée (minijupe noire et chemisier blanc à peine transparent) nous demande de sa voix douce de la suivre ; elle nous installe à une grande table ronde ornée de fleurs. Dessus, une étiquette marquée « réservé » ; quatre couverts dressés avec élégance attendent notre arrivée. Nous nous installons, maman face à moi, les garçons de chaque côté de nous. Le velours du siège caresse mes fesses nues.
La serveuse nous propose un apéritif ; Jean-Mi demande du champagne. Le temps que la serveuse revienne, maman sort de son sac un paquet, se lève et vient me le donner, accompagné des traditionnels « Bon anniversaire ! », bisous et tout. Manu et Jean-Mi font de même. Je déballe mes cadeaux.
Dans la boîte de maman, un magnifique piercing nombril en forme de papillon ; de petites pierres comme des diamants prolongent une chaînette en or. Je suis ravie : je piaffais d’impatience à l’idée dans avoir un. Dans le petit coffret de Manu, un pendentif en or en forme de cœur sécable et deux chaînes. Sur une partie, un « J » ; au dos : « Toujours ». Sur l’autre partie, un « M », et au dos « Amour ». Je tremble de bonheur à tel point que je n’arrive pas à extraire le bijou de l’écrin. Manu vole à mon secours, prend le pendentif, le sépare en deux, me passe autour du cou celui avec le « M » et « Amour ». J’arrive à me maîtriser pour lui passer l’autre, et nous nous embrassons avec passion, les yeux humides, avec des « Je t’aime, je t’aime… »
Maman et Jean-Mi me paraissent aussi émus. Ils s’embrassent tendrement en se tenant par la main comme deux ados ; enfin, comme Manu et moi. La serveuse nous sert le champagne.
— Bon anniversaire, Mademoiselle ; vous êtes splendide ! me dit-elle avec un large sourire qui me paraît plus commercial que sincère.
Je lui retourne un « Merci beaucoup » courtois.Jean-Mi m’a offert un très beau téléphone (j’avais cassé le mien). Je fais le tour de la table et les remercie les uns après les autres, tout le temps à fleur de peau ; une petite larme apparaît au coin de mon œil. Maman commente :
— Très joli, le pendentif. Avec la robe, l’ensemble est parfait. Très bon choix, Manu.
Puis, touchant le pendentif et me regardant dans les yeux :
— Je pense que le message est clair, ma chérie…

Mes yeux humides sont la seule réponse que je peux lui fournir. Je prends la main de Manu par-dessus la table, puis celle de Jean-Mi, et m’adresse à eux :
— Je t’aime, Manu. Merci, Jean-Mi, d’être parmi nous et pour le resto.— Moi aussi, je t’aime. Tu vois, Julie, on dirait presque une famille.— Non, Manu, pas « presque » : dis plutôt « une famille », je préfère. Enfin, quand Jean-Mi viendra habiter chez nous… Pas vrai, maman ?— Oui Julie, on y pense. Bon, on… Santé !
Maman est gênée quand on parle de Jean-Mi, je ne sais pas pourquoi. Après ce moment d’émotion, nous trinquons et la discussion s’anime autour de moi ; je suis un peu la vedette de la soirée.Nous dégustons un repas d’une exceptionnelle qualité ; nous remercions Jean-Mi pour son très bon choix. Au dessert, un magnifique fraisier et le traditionnel « Happy birthday to you » avec bougies et compliments de la maison. Le repas terminé, nous partons à pied en direction de la boîte de nuit. Manu et moi nous tenons par la taille. Le souffle du vent me caresse le dos et les fesses ; la main de Manu aussi. Cette robe tellement légère me donne l’impression d’être toute nue.
— Julie, tu es certaine de vouloir aller dans une boîte un peu chaude ?— Oui, oui, maman ; ce soir c’est mon anniversaire, je me lâche.— Tu sais ce qu’il risque de se passer ?— Oui, je sais : de me retrouver à poil et de me faire peloter. De toute façon, si cela ne me plaît pas, je me réfugierai dans un coin et j’attendrai. — Et toi, Manu, tu en penses quoi ?— Elle fait comme elle veut ; et un strip-tease, je ne suis pas contre ! Hein, ma chérie ?— Hé, dis donc, toi : c’est mon anniv’, donc c’est plutôt à toi de le faire ; n’est-ce pas, maman ? — Ce n’est pas faux… Tu vas voir ; tu ne vas pas le regretter, je te le dis. Pas vrai, Jean-Mi ?— Certainement !
J’ai le sentiment qu’il y a anguille sous roche : quand maman prononce ce genre de phrase, il faut s’attendre à tout. Je suppose qu’elle a l’intention de se lâcher elle aussi ; je verrai bien. Mais sûr que ce soir je me lâche.
Nous arrivons devant l’entée de la boîte ; il y a la queue. De jolies filles attendent comme nous. Certaines ont des robes – enfin, si on peut appeler ça des robes, car elles sont plus à poil qu’habillées – et moi qui me sentais nue tout à l’heure, je suis rassurée : je suis plus habillée qu’elles. Nous approchons de l’entrée ; deux colosses nous accueillent. Avec notre tête d’ados, Manu et moi n’échappons pas au « Bonsoir, carte d’identité, s’il vous plaît ». Nous présentons nos papiers. Jean-Mi leur indique que nous sommes accompagnés, et les deux monstres, une fois rassurés, nous laissent pénétrer.
— Manu, tu as vu les deux vigiles ? Ils ne doivent pas rigoler tous les jours. — Oui… Quels monstres !
Je découvre la salle. La music de rock métal ou je ne sais quoi est forte ; mon ventre vibre au rythme des basses. Les projecteurs, les stroboscopes et les rayons des boules à facettes balayent la piste de danse en éclairant par saccades les corps qui gesticulent dans tous les sens. Mes yeux s’habituent à cette semi-obscurité. Je distingue des couples, mais surtout des filles court vêtues qui dansent, certaines torse nu, en string, et même complètement nues. Jean-Mi avait expliqué le sens de « boîte chaude » ; pour le coup, c’est chaud ! Moi aussi je commence à chauffer. Je m’imprègne de l’ambiance, commence à gesticuler, entraînant Manu sur la piste de danse. Nous nous déhanchons comme des pantins, puis arrive une série de slows. C’est la musique « collé-serré, je te tripote, bisous ». Donc bisous.
Serrés l’un coutre l’autre, nous dégustons nos langues imprégnées du goût de fraise et de champagne ; de doux frissons me parcourent le dos, puis les fesses. Une main indiscrète tente de s’infiltrer dans l’encolure de ma robe, mais la taille trop serrée l’en empêche et je dois me contenter de caresses à travers le tissu. Mes deux mains malaxent généreusement les fesses de Manu. Nos bouches se séparent. Ma tête repose sur son épaule ; son parfum m’enivre. Je lui susurre à l’oreille :
— Caresse-moi encore les fesses…— Je ne peux pas, ma main ne passe pas.
Je sens la bosse dans son pantalon : ce n’est visiblement pas l’envie qui lui manque, à moins qu’elle ne soit due aux nanas à poil à côté de nous.
— C’est moi ou les nanas qui t’excitent comme ça ?— Je crois que c’est les deux, me répond-il franchement.— Passe ta main sous ma robe et caresse-moi… lui dis-je en me frottant encore plus fort à lui.— Mais on va voir tes fesses ! Tu ne veux quand même pas finir à poil ?— Les fesses, je m’en fous. Et à poil, pourquoi pas ?— C’est de l’appel au viol ça !— Venant de toi, je prends le risque.
Je le plaque contre moi le plus fort possible, je veux sentir son sexe. Nos bouches se retrouvent ; une main me bloque la tête et l’autre est passée sous ma robe. Je ferme les yeux très fort et savoure ce moment de plaisir qui envahit le ventre ; ces gens autour de moi enlacés, ces filles nues me transportent dans un autre monde, le monde du plaisir. Je m’abandonne dans les bras de mon Manu. Je suis bien : ses caresses, son parfum, son souffle dans mon cou me remplissent de bonheur. Je suis de plus en plus excitée. Mon subconscient m’interpelle : « Tu es en train de devenir exhibitionniste et nympho, ma petite… » Je lui réponds sèchement : « Fous-moi la paix, je veux m’éclater ! »J’ai soif et j’ai chaud, aussi je propose à Manu de faire une pause ; nous rejoignons maman et Jean-Mi. Confortablement installés à une table, ils n’ont pas l’air de s’ennuyer…
— Ça va ? nous demande Jean-Mi.— Impec ! nous répondons, le pouce levé.
Il nous demande si l’on veut boire et, à l’affirmative, il va chercher une bouteille de champagne. Maman et moi assises côte à côte, Manu se charge d’explorer largement le dessous de ma robe et mon dos, ce que j’apprécie au plus haut point. Nous échangeons quelques mots. Savoir si cela me plaît ? Réponse : beaucoup, si Manu s’occupe bien de moi. Vu son regard, je ne fais pas de commentaires.
Une jeune et jolie jeune femme, en shorty extrêmement moulant, un bandeau masquant à peine sa poitrine généreuse s’approche de nous ; elle nous crie presque dans les oreilles pour nous expliquer qu’un concours de pole dance va avoir lieu, qu’elle est coach et qu’elle nous a remarquées ; avec notre belle gueule et notre allure sportive, nous avons de fortes chance de gagner. Je lui réponds qu’on n’a jamais fait ça. Elle nous explique alors qu’il y a une salle d’entraînement, et qu’elle peut nous montrer en dix minutes. OK, j’avale mon verre, nous expliquons aux garçons qui ont l’air ravi de la nouvelle et suivons la fille au déhanchement à faire bander un mort.Elle nous entraîne dans une salle où le silence est roi. Je vois des barres de pole dance.Elle se présente :
— Moi, c’est Nina ; c’est mon nom de scène. Je suis coach de pole dance.— Moi, c’est Julie ; et maman, Alice.
Elle nous explique le concours, les figures à faire, les lots à gagner, puis elle termine par :
— Vous êtes quasiment certaines de gagner si vous finissez en string, et mieux encore, nues. Je vous montre les figures et vous me dites.
Elle nous fait la démo et nous demande si nous voulons participer. Moi, je suis d’accord ; maman, moins, mais elle signale gentiment qu’aujourd’hui c’est mon anniversaire.
— Bon anniversaire, Julie ; et tu veux quoi pour ton anniversaire ?
Je lui réponds sans même réfléchir :
— M’éclater !— D’acc… d’accord. Tu vas t’éclater, je te le garantis ! Tu n’es pas trop pudique ?— Non, je fais du naturisme.— Ça, c’est cool. On essaie les figures ?— Oui, comme ça ? je réponds en désignant ma tenue.— Écoute : si tu veux gagner, à poil c’est mieux.
Pour me motiver, elle donne l’exemple en se déshabillant entièrement – ce que je fais moi aussi – puis nous faisons quelques figures ensemble. Je me régale : j’aime m’enrouler autour de la barre, prendre des postures sexy. On essaie des figures plus difficiles ; après m’être retrouvée par terre deux ou trois fois, j’ai compris et ça me plaît.
Nina me félicite ; maman aussi. Nous nous rhabillons. Tout en m’expliquant le déroulement de la prestation, elle me donne un bandeau en guise de soutien-gorge et un shorty que je mets par-dessus mon string, puis ma robe, et nous retournons dans la salle. La musique m’explose les tympans ! Nous rejoignons les garçons.
La musique baisse de volume, et une voix suave annonce le début du concours. Je suis la troisième – et dernière – à passer. La voix indique qu’il n’y a pas suffisamment de filles courageuses ce soir, et que pour cette raison l’une des trois prestations tirées au hasard sera volontairement plus longue.
Le spectacle commence. Les filles, accompagnées des danseuses de la boîte, se trémoussent langoureusement sur la petite scène autour des barres, aidées par les danseuses. Elles se déshabillent, mais au grand dam des spectateurs, elles s’arrêtent au string.Morte de trouille (ou de trac, comme disent les artistes), je crie presque dans l’oreille de Manu :
— Je vais gagner, Manu, je vais gagner !— Tu es sûre ? Tu ne vas pas finir à poil ?— Oui, pour toi, pour ça !
Je prends les deux demi-cœurs entre deux doigts et l’embrasse avec tendresse.La voix nous tire de notre étreinte. Je donne ma chaîne à Manu : ce serait dommage de la casser ou de la perdre.
— Pour terminer ce concours, nous accueillons comme il se doit Julie, qui fête son anniversaire aujourd’hui avec nous. Alors, pour Julie : « Happy birthday to you… »
Et vas-y : ça crie, siffle, chante. Nous nous dirigeons vers la scène. Jean-Mi m’attrape le bras ; mon téléphone à la main, il me fait le signe du « clic-clac » : j’acquiesce, le pouce levé.
Je monte sur scène ; Nina est là pour m’accueillir. La musique redouble de volume. Je tremble comme une feuille. Elle me prend la main ; un regard, un clin d’œil, une pression de la main : je suis rassurée.
Les flashs crépitent. Nina me guide ; je la suis des yeux et reproduis ses mouvements en m’enroulant autour de la barre, grimpant, me retournant tête en bas. Je ne vois plus que Nina. Concentrée sur ma prestation avec l’envie de gagner, je reproduis toutes ses figures avec application. Je suis grisée. Je me prends pour danseuse pro ! Les danseuses m’effleurent de leurs mains et de leur corps, puis me touchent. « Elle m’avait dit qu’elles faisaient semblant ; je crois qu’elles ont oubliées le semblant ! » Une phrase me revient en mémoire : « Tu ne vas pas le regretter ! » m’a dit maman tout à l’heure…
Encore quelques figures, et me voilà encerclée par les trois filles. Le tissu de ma robe glisse à mes pieds et nous continuons notre spectacle. Ventre à l’air, nous refaisons des figures dont j’ai oublié le nom. À nouveau debout sur scène, les filles entament une danse langoureuse autour de moi, faisant presque semblant de me caresser. Mon shorty disparaît, suivi du bandeau, alors que je suis toujours caressée avec douceur.
Je suis plaquée dos à la barre verticale. On me prend les mains ; elles sont montées à la verticale et attachées à la barre. Là, on est en dehors du programme prévu ; je suis à leur merci. Des mains courent partout sur moi, des langues me lèchent tout le corps. J’entends des voix qui crient « Le string, le string ! » J’agrippe la barre, mon esprit vacille. La musique est sourde. Une voix me souffle à l’oreille :
— Je t’enlève ton string ?— Oui.
J’ouvre les yeux ; éblouie par les projecteurs, je ne vois rien. Je n’entends plus la musique. Des mains glissent sur mon corps, emportant au passage le petit morceau de tissu, dernier rempart qui masquait mon intimité. J’ai très chaud. Des mains et des bouches jouent avec tout mon corps ; on m’embrasse. Mon vagin me pique ; une envie de me faire pénétrer m’envahit. Des dents me mordillent les tétons, d’autres mon clitoris ; ma respiration s’accélère. Une bouche prend la mienne, une langue chaude et humide force le passage ; je laisse entrer l’intruse qui me fouille.
Pendant que des dents me mordillent un téton, des doigts me pincent, écrasent l’autre. On me suce le clito, on lape mes lèvres, on m’embrasse le pubis. Des doigts s’infiltrent à l’intérieur de moi, bougent, tournent, entrent et sortent… Je me cramponne à la barre tandis que l’orgasme me secoue. Je crie dans cette bouche dont la langue envahissante s’active encore plus ; des mains me broient les fesses, mes tétons me font mal, mon vagin me brûle ! Je suis secouée par les spasmes du bonheur. Je suis bien, détendue, aux anges.
J’ouvre les yeux ; il y a un peu de lumière. Je jette un coup d’œil rapide : Manu est allongé, nu, à côté de moi. Je me touche la poitrine : le médaillon est là. Sur la table de nuit, mon téléphone. « Mais j’étais en boîte ! »Manu me dépose de doux baisers partout sur le visage ; j’aime bien quand il fait ça.
— Bien dormi, ma chérie ?— Oui ; et toi ?— Bien, sauf que tu étais un peu agitée cette nuit.— Ah bon ?
Le doute s’installe dans ma tête… « Mais la boîte, alors ? »
— Et la boîte ? C’était bien, ma prestation ? Raconte-moi, parce que moi, avec les projos, je ne voyais rien. Allez, Manu, raconte-moi tout.
Excellent subterfuge pour connaître la réalité sans passer pour une gourde, parce que là, j’ai un sérieux doute. Il me raconte tout en me caressant tendrement. Le resto : bon, ça, je sais. La boîte : on a dansé en me pelotant le dos et les fesses. Après, il y a eu le concours de pole danse.
— Et après ? Allez, raconte !
Je trépigne d’impatience…
— Bah, après tu as gagné un magnum de champagne. On l’a bu. La boîte a fermé et on est rentré. Jean-Mi a conduit doucement. Je crois que tu étais un peu bourrée ; on s’est couché, tu as gesticulé, et voilà.— Mais le concours ? C’était comment ?— Tu as fait une belle prestation : Nina nous a dit que tu devrais prendre des cours, que tu as des aptitudes pour ça.— Mais je l’ai finie comment, la prestation ?— Oui, c’est ce que tu voulais, non ?— Et les photos ?— Jean-Mi en a prises au resto de nous deux, et un peu en boîte ; il fait de très belles photos, ton téléphone.
J’ai de plus en plus de doutes ; j’attrape le téléphone et fais défiler rapidement les photos. Sur la dernière, je suis en string.
— Il n’y en pas d’autres ?— Non, c’était la fin. Tu as remis ta robe, je t’ai bien peloté ; tu étais déchaînée !
La déception me gagne. Pour ne pas la montrer, je me tourne, déçue.
— Tu te tournes, après tout le mal que je me suis donné pour te réveiller ?
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