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WE découverte à la montagne...

Chapitre 1

Lesbienne
Cette histoire se déroule lors d’un séjour dans un gîte dans les Alpes, malheureusement fermé maintenant.
Après une première soirée en compagnie d’autres couples, nous nous sommes retrouvés avec un seul couple le lendemain, avec lequel nous sommes partis pour une petite randonnée, où nous avons pu faire plus ample connaissance, et où monsieur était très courtois, mais réservé et madame très extravertie... Ainsi, après deux heures de balade, nous nous sommes arrêtés pour souffler un peu et admirer le panorama près d’un abreuvoir. Le monsieur était d’assez grande taille, plutôt mince, mais assez musclé, cheveux noirs coupés courts, de petits yeux sombres qui semblaient toujours vous observer ; la dame était blonde, de grande taille, les cheveux noués au-dessus de la tête, de grands yeux bleus, une poitrine «spectaculaire» qui paraissait naturelle, et qui on le verra plus tard l’était, et une chute de reins qui vous laisse sans voix...
Les deux femmes commencèrent à se rafraîchir à l’eau glacée d’un abreuvoir, et l’autre femme, en deux temps trois mouvements, se débarrassa de son débardeur et son short, nous révélant des seins de rêve, des seins pleins, lourds, soyeux, un bon 95d. Elle se passa l’eau fraîche sur le visage et le cou puis mouillant son foulard, l’essora sur sa poitrine, caressant de manière suggestive, faisant dresser les tétons ; et se rapprochant de mon épouse et sans crier gare, passa le foulard mouillé sur la nuque de ma femme, qui surprise se redressa devant l’autre femme qui l’attira vers elle en déposant un baiser chaste sur les lèvres de ma femme qui lui sourit. Prenant cela pour un acquiescement, elle passa les mains sous le T-shirt de mon épouse pour lui passer le linge frais, et remontant ses bras, le lui enleva tout en continuant à l’embrasser. Avant que ma douce ne réalise, l’autre lui avait aussi dégrafé son soutif, la laissant poitrine à l’air devant nous. Me voyant sourire, ma femme, qui n’avait jamais touché une autre femme, se lâcha et répondit au baiser.
Les deux femmes, maintenant se roulaient un patin vorace, je voyais leurs bouches jouer l’une avec l’autre, leurs dents se mordiller les lèvres, leurs langues s’agiter et se chercher avec avidité. Notre nouvelle amie abandonna les lèvres de sa toute fraîche amante, porta ses lèvres sur les nichons et allant de l’un à l’autre, goba, lécha, mordilla, mâchouilla les nichons. Ma femme gémissait, caressait les cheveux et laissait ses mains aller, pour la première fois sur la peau d’une autre femme, à ma grande surprise et à ma grande joie de la voir caresser à pleines mains les magnifiques nichons de sa compagne de jeu.
Reposant ses lèvres sur la bouche de ma femme, la belle posa, par-dessus le short, sa main sur le sexe de ma douce qui sursauta et s’agrippa au cou de celle qui maintenant glissait son bras dans le short à la recherche de la chatte juteuse que j’imaginais trempée.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elle avait descendu short et string de mon épouse, qui s’était assise sur le rebord de l’abreuvoir, ouvrant large ses cuisses, laissant paraître un con dégoulinant de mouille où notre amie plongea une bouche vorace qui commença par laper à grands coups de langue le trop-plein de mouille qui inondait le sexe de ma tendre, puis pointant le clitoris qui trônait, saillant comme un ergot au-dessus d’un vagin désormais béant. Ce jeu de langue sur le berlingot, fit vaciller ma femme qui appuya sur la tête de sa belle, tout en geignant et prononçant des mots incompréhensibles ; la belle tout en suçant le bouton, enfonça un, deux puis trois doigts dans la vulve qui coulait.
S’en suivit un va-et-vient qui fit crier ma femme, lent puis de plus en plus rapide, un doigt de l’autre main vint titiller la rondelle obscure un peu plus bas, elle aussi noyée de mouille, puis après quelques caresses sur la corolle, s’enfonça ou plutôt glissa dans le cul, tant elle était trempée en faisant tournoyer son doigt dans le cul, et elle imprima un va-et-vient frénétique dans le vagin, maintenant béant et qui inondait la main de la branleuse qui s’activait toujours plus fort, finissant par déclencher un orgasme dantesque de ma femme qui tremblait et hurlait.
Pour une première saphique ce fut plus qu’une réussite...Ma femme était dans un état second, elle haletait et cherchait à reprendre son souffle, pendant que la blonde lui couvrait le visage, le cou, les nichons de baisers, de léchouilles, de suçons, tout en continuant à lui caresser la chatte. J’étais tellement pris par cette scène que je ne vis pas le compagnon de la blonde se lever, enlever son short, sous lequel il était nu, et exhiber une belle bite au garde-à-vous. Il se dirigea derrière sa femme, lui prit les seins qu’il malaxa avec force, lui fit relever les fesses et l’embrocha sans préliminaires, s’enfonçant jusqu’aux couilles dans le sexe offert. Ma femme se releva, embrassa encore une fois celle qui l’avait fait aussi bien jouir, la contourna, passa une main sur les fesses, s’arrêtant à l’entrée de la grotte où s’agitait la queue du mari, à qui elle caressa les couilles puis le torse avant de venir se lover contre moi et m’embrasser tendrement.
La blonde remuait son cul à la rencontre de la verge qui prenait plaisir à la pénétrer avec lenteur, sortant presque entièrement du fourreau, pour s’y glisser avec douceur, puis plus vite, puis avec force, même une certaine brutalité ; la belle hurlait en néerlandais, semblait lui dire d’y aller encore plus...
J’avais sorti ma queue et me tripotais doucement, quant à ma douce, elle était subjuguée par le spectacle, elle se passait les doigts sur la chatte, toujours à l’air, et tout en gardant les yeux fixés sur les amants, elle me branla gentiment, puis me prit en bouche suivant le rythme des deux baiseurs. La bite du noiraud allait de plus en plus vite dans la chatte de sa compagne, ressortant luisante de mouille, pour replonger de plus en plus brutalement ; la puissance de la pénétration était telle que la femme décollait sous les coups de bites. Heureusement qu’elle se tenait à l’abreuvoir...
Le sexe de l’homme entrait et sortait luisant de la crème blanchâtre qui sortait de la chatte, accéléra à une vitesse folle puis s’immobilisa pour jouir silencieusement et inondant d’abondance la chatte, au vu de ce qui débordait et coulait le long de cuisses de madame qui venait de le suivre dans la jouissance en haletant des mots incompréhensibles. Ma femme était la bouche ouverte devant le tableau, je la ramenai à la réalité en appuyant sur sa tête pour qu’elle finisse le travail... Elle se remit à me pomper, m’amenant rapidement au seuil de la jouissance, et la sentant approcher, elle se dégagea, prit mon braquemart entre ses merveilleux globes et m’administra la plus belle des branlettes espagnoles, déclenchant une puissante éjaculation qui arrosa non seulement ses nibards, mais aussi ses yeux, son front et ses cheveux. Le spectacle du foutre qui coulait sur le visage de ma belle, était magique, jamais je ne l’avais vue si belle.
Rien ni personne ne bougea, jusqu’à ce que l’homme sortit sa bite de la chatte de sa femme, qui nous regardait, libérant un filet de sperme du sexe de sa femme, et alla se laver la queue ; mon épouse et moi le rejoignîmes pour nous rincer, ce dont profita l’insatiable blonde, pour rincer le visage de ma chère et tendre, léchant les reliquats de semence sur ses yeux !
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