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découverte de ma passion

Chapitre 2

Travesti / Trans
Durant toute la semaine, j’ai fantasmé sur ce moment où, je vais me montrer en fille à ma femme, je ne sais pas comment elle va réagir. Ce sera pour moi comme une sorte de coming out, en moindre quand même.
Dimanche, mon ex-femme part danser avec des copines, elle rentrera vers 21H 30, je suis seul à la maison, je flâne, je gamberge.Je vais mettre les bas plutôt que les collants, ce sera plus sexy. Une douce sensation commence à envahir mon esprit, je suis bien. Il est 19H30, je me rase de très près, me douche, mon parfum habituel, je mets les bas noirs autofixants, c’est beau, je passe une pièce noire ! Je suis bien. Je place mon sexe entre mes cuisses, réduisant au maximum la bosse ! Une grande excitation cérébrale m’envahit.
Est-ce qu’elle va me railler ? Se moquer sûrement ?Je verrai cela dans peu de temps ! Je mets des mocassins, ce sont mes chaussures les moins masculines. Je vais et viens dans la maison, en essayant de faire rouler mes fesses.21 heures L’excitation monte encore d’un grand, l’adrénaline aussi je tremble ; ces sensations sont inconnues, j’adore.Le portail s’ouvre, la voilà. Je me pose sur la deuxième marche de l’escalier, menant aux chambres, face à la porte d’entrée. Essayant de prendre la pose la plus féminine possible. J’entends le claquement des talons dans la cour, ma poitrine va exploser, boum boum mon cœur s’affole. Il est trop tard pour faire machine arrière. La porte s’ouvre, ma femme me regarde, le temps semble s’arrêter, je ne sais plus ce que je ressens, la peur la honte, l’excitation ?
— C’est quoi cette tenue ? questionne-t-elle d’un ton sévère.— Heu, heu. Je bafouille.— Tu es mignonne.— Ah oui tu trouves ? Ouf quel soulagement, c’est gagné, c’était pas évident. — C’est quoi ce maillot ? C’est à qui ?— Tu ne le reconnais pas ? C’est celui que ta sœur t’a donné il y a un moment.— Bien sûr que je le reconnais, il te va mieux qu’à moi, et des bas ! Tu es sexy, tourne-toi voir que je vois tes fesses !
J’exécute, je suis rassuré, mais je n’en mène pas large.
— Oh le beau cul, on croirait une nana, j’adore ! Il y a longtemps que tu t’habilles en femme, sans me le montrer ?— Quelques semaines, le vendredi quand tu es au yoga, il y a une quinzaine après ma douche, j’ai vu le maillot sur ta pile, comme je sais qu’il ne te va pas, j’ai voulu l’essayer.— C’est drôle, j’aime bien te voir comme cela en fille. — Quand je me suis glissé dedans, j’ai ressenti un bien-être et de l’excitation. Des sensations totalement inconnues, l’effet d’être femme, le doux contact du nylon sur mon sexe, cela m’a excité. Depuis je le fais chaque vendredi soir. J’ai même acheté des bas pour être plus sexy.

Elle m’écoute, me sourit. Elle porte une robe de danse à frou frou couleur rose saumon, à mi-genoux. Ses dessous, je les connais, elle me les a montrés avant de monter en voiture, petite culotte nylon transparente chair et soutien-gorge assorti. Couleur chair pour qu’on croie qu’elle n’a pas de culotte, m’a-t-elle dit ; les commères vont pouvoir jaser.Elle s’approche, monte les deux marches, se colle à moi, prend mon visage à deux mains, pose sa bouche sur la mienne, et me roule une pelle d’enfer. Nos langues se mêlent, s’emmêlent, on se suce, nos salives se mélangent. C’est bon. Je suis heureux ou (heureuse). Quelle bonne surprise, comme quoi la franchise est toujours récompensée.
— Je vais te gouiner, comme je gouine avec mes copines de lit.
Elle se colle à moi, nos ventres se frottent, mais sa robe diminue le contact de nos sexes. Elle se recule, déboutonne sa robe qui glisse à ses pieds, elle descend les deux marches. Elle est en culotte et soutif devant moi, je descends aussi, car notre équilibre sur la marche est précaire.Elle retire son soutien pour se coller de nouveau à moi, on se mange de nouveau nos bouches, elle frotte ses seins contre le nylon du maillot.
— Tu m’excites ma chérie et non mon chéri, tu peux pas savoir à quel point je mouille pour toi.
Je suis aussi très excité, mais ma queue dans le maillot ne bande pas, à peine une demi-molle, mais que c’est bon. Je comprends pourquoi les travestis appellent leur sexe : mon clito. Nous continuons à nous frotter clito contre clito, vous ne pouvez pas savoir comme cette façon de s’exciter est délicieuse. Subtile, excitante.Elle s’agrippe à mes fesses comme pour pouvoir s’enfiler ma tige molle, elle donne des coups de reins, pour me baiser.J’ai envie de lui manger son minou, je lui dis.
— Va dans la chambre, je vais vite prendre une douche, je ne suis plus très fraîche, elle rit... Surtout, reste dans cette tenue. On va gouiner comme des folles.
Je monte dans notre chambre, je m’allonge sur le lit et je caresse mon clito durci, mais pas trop.Elle revient vite me retrouver toute nue toute fraîche et parfumée, elle a juste passé des bas dim up noir comme les miens.
— Viens ma chérie frotter tes cuisses gainées contre les miennes, faisons crisser le nylon, j’aime me frotter comme cela avec mes amantes pour bien nous exciter.
Je me lève, me colle à ma coquine. Elle place sa cuisse entre les miennes, la remonte, le haut de sa cuisse nue se plaque contre mon sexe, le nylon de son bas glisse entre mes cuisses, c’est bon, une bien agréable sensation de douceur et de chaleur glisse entre mes cuisses, elle frotte fort sa cuisse sur ma bite qui réagit, je frissonne, de nouveau on se mange la bouche comme des ados. Ma cuisse gauche remonte vers sa mounette nue et lisse. Je frotte le nylon sur son clito et ses lèvres, elle roucoule. Je l’excite, elle ronronne comme une chatte.
Nous nous frottons les sexes avec nos cuisses gainées de nylon. C’est nouveau, c’est génial comme sensation. Son abricot mouille le nylon noir sur ma cuisse.Je vous recommande d’essayer avec votre partenaire. Ma gouineuse me pousse sur le lit, je bascule, je recule, elle m’enjambe, se place sur moi, offrant son cul, tête-bêche, en 69, elle écarte le maillot, m’embrasse le clito, se penchant pour s’amuser de mon sexe, elle m’offre le sien lisse, ses lèvres bien ouvertes et mouillées,
Je commence à laper ses lèvres, elle lèche mon gland à petits coups de langue comme si c’était un clicli. Je fais comme elle sur son clito qui se décapuchonne. Elle suce mes coucougnettes comme elle sucerait des nymphes de filles. Je ne quitte pas son clitoris, à petits coups de langue comme un chaton. C’est trop bon, ah elle vient de gober mon gland, cette fois ma tige durcit, faut dire que je l’appelle la reine de la pipe. Elle mouille mon visage, je bande dur dans sa bouche. Ce moment est sublime, des tas de choses défilent dans ma tête, je l’imagine gouinant une de ses amantes. Je repense à mes craintes de la voir en colère, me voyant en femme pour la première fois. J’aime lui manger sa chatte, boire sa jute de fille. Je suis folle, elle me pompe merveilleusement, je suis toute raide ! Je glisse ma langue entre ses lèvres pour boire à la source, la pénétrer légèrement, léchant l’intérieur de son vagin bouillant. Elle m’aspire. Je la pénètre de la langue.
Elle aspire bien, va-et-vient sur ma tige. C’est trop bon, je sens la sève qui monte. Faut dire que je suis éjaculateur précoce. Elle le comprend, aspire plus fort encore, je n’en peux plus, je me laisse aller.Je pousse un râle, je jouis en lui donnant ma semence. Aussitôt mon orgasme, je reprends sa chounette dans ma bouche. Je l’aspire pour qu’elle jouisse aussi. Elle se redresse, elle a dû prendre ses seins à deux mains pour les malaxer, s’excitant davantage, ma langue revient dans les contours de ses nymphes. Je lèche, je lèche tout, partout. Elle se cambre, elle va partir, j’accélère ma léchouille. Elle se cambre fort, elle crie.
— Oh ouii ouiiiii JE JOUIS.
D’un seul coup, un jet d’eau inonde mon visage ! Oh ! Surprise !J’en ai partout dans les yeux, dans le nez, dans la bouche, je bois c’est trop bon. Quelle surprise ! Ma femme vient de jouir et m’inonder.
Une fois remise de cette jouissance puissante pour nous deux. Elle m’avoue être femme fontaine souvent, en faisant l’amour avec ses copines, jamais avec un homme. Nous en déduisons que je suis devenu une drôle de femme.Et elle qui était bi est donc devenue tri (je sais ce mot n’existe pas).
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