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Découverte de Pauline

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Chapitre 1 : rencontre virtuelle Tout a débuté lors de ma rupture avec ma précédente copine. Cela faisait 5 ans que nous étions ensemble, lorsque celle-ci m’a annoncé vouloir rompre. J’ai pris cette rupture comme un réel coup de massue. J’ai mis de longs mois à m’en remettre et me suis renfermé sur moi-même.
Etant un jeune homme plutôt réservé, je n’avais jamais envisagé de m’inscrire sur un site de rencontre. Mais la solitude me pesant, j’ai franchi le pas et me suis donc lancé sur la plus populaire d’entre toutes les applications : Tinder. Médiocre en ce qui concerne l’utilisation des nouvelles technologies, je remplis mon profil rapidement, et me hâta sur la plateforme à la recherche de potentiels matchs. Comme bon nombre d’hommes, je ne prenais pas le temps de lire les descriptions et faisais défiler les profils. Puis je tombai sur celui de Pauline qui attira mon regard. Cette jeune femme de 22 ans possédait un petit quelque chose en plus. Par je ne sais quel miracle, nous avons matché et entamé une discussion très banale. Les choses se déroulaient simplement et naturellement, puis petit à petit, la discussion dévia vers un côté beaucoup plus coquin.
Cela n’était pas pour me déplaire, au contraire. J’avais un net regain de libido depuis quelque temps, et j’avais délaissé la masturbation depuis bien longtemps. Autant dire qu’il ne m’a pas fallu beaucoup pour me décomplexer. Quelques questions osées fusaient, pendant que nous en découvrions l’un sur l’autre. Jusqu’à la fameuse question posée par Pauline :
— Dis-moi, quel est ton plus gros fantasme ?
Je reçus cette question comme une baffe au visage. Je savais qu’en lui avouant mon fétichisme pour les pieds et les collants, je prenais le risque de la faire fuir. Mais en lui cachant, je prenais aussi le risque de ne jamais assouvir ce désir plus que présent. Je décidai de jouer franc jeu :
— Eh bien tu vas trouver ça bizarre, mais ce sont les pieds en collants. J’ai toujours eu une grosse attirance pour les bas et collants sur de beaux pieds... Et toi ?— Oh, surprenant ! Mais intéressant... Je retiens ! Me concernant, être prise tout habillée dans un lieu public me fait rêver...
J’étais surpris de l’ouverture d’esprit de Pauline, et sa réponse m’avait libéré d’un poids. Je lui parlai maintenant ouvertement de mon attirance pour les collants. Nous évoquions divers sujets, mais la complicité s’était installée et nous avions échangé quelques photos. L’une d’elles me mit dans un état second... Je reçus une photo où l’on pouvait voir ses jambes galbées de bas de couleur chair, rendant sa peau lisse et brillante. Je ne pus résister, et lui dis l’effet qu’elle me faisait avec ce genre de photo :
— Pauline ! Ta photo m’a excité comme rarement, je ne vais pas te résister longtemps...— C’était bien le but ! Je crois que tu devrais laisser ta main dériver sur ton ventre, ton caleçon semble être trop étroit pour ce qu’il y a dedans...
La belle voyait juste ! J’avais une érection des plus dures et je comptai bien me satisfaire. Je me mis nu, et elle me proposa un appel pour m’aider à venir. Je n’avais jamais fait ça, mais l’idée me plut et j’acceptai :
— Alors comme ça tu souhaites te masturber sur ma photo ? Imagine plutôt ton sexe bien tendu glisser sur mes jambes... Effleurer le nylon de mes bas et me voir trempée de désir... Tu pourrais retirer mes escarpins et caresser mes pieds, sensible je gémirai de plaisir... puis ton sexe grossissant, je commencerai à te caresser avec mes pieds... Tu les prendrais et te branlerais avec... Je suis sûre que ton gros sexe adorerait être caressé comme ça ! Puis ton excitation à son comble, tu te rueras sur moi, m’embrassant à pleine bouche, écartant mes cuisses dans un excès de folie, surpris de constater que je ne porte pas de sous-vêtements... Tu n’auras qu’à glisser tes doigts en moi pour me préparer à ta bite... Mmh, ta bite, qui se frotte délicatement sur mon clitoris, qui écarte mes lèvres pour se frayer un chemin en moi... Ce sexe qui me pénètre me plaît. Je sens mes chairs s’écarter sous le passage de ton gland, gonflé, rouge de désir, me pénétrant... Puis bien en moi, tu entameras de lents va-et-vient, m’arrachant de longs gémissements.
Mes ongles dans ton dos se crispent et expriment mon bien-être. Tu accélères et je t’entoure avec mes jambes. La sensation de nylon sur ton corps te plaît, tu me pénètres fort, profondément, sauvagement en m’embrassant. Je sens ton sexe se raidir de plus en plus en moi, l’orgasme approche... Tu sais de ton côté que je vais jouir d’une minute à l’autre. Cette décharge foudroyante me prend dans tout le corps et je sens tes jets de semence se déverser en moi. Ta semence chaude remplit mon vagin...
C’est sur ces derniers mots que je m’empressai de raccrocher afin de profiter pleinement de mon orgasme : une éjaculation abondante. De grandes giclées de sperme partirent sur mon ventre. Je n’avais jamais joui autant, et la quantité de sperme me fit halluciner. Pauline avait décidément un certain pouvoir sur moi, et ce, seulement à distance, pour le moment...
Chapitre 2 : et si c’était vrai ?Depuis ce moment de plaisir que Pauline m’avait donné, je ne faisais plus que penser à elle. Régulièrement, je recevais des photos d’elle, habillée avec des beaux collants ou bas. Elle avait accepté mon fétichisme et savait comment me satisfaire. Un jour, alors qu’elle rentrait de sa journée de travail, Pauline me proposa un arrêt au centre-ville pour que nous puissions aller boire un verre ensemble. La demande m’effrayait. Je n’avais pas prévu de passer le test grandeur nature si rapidement. Effrayé à l’idée de laisser passer cette occasion, j’acceptai sa proposition.
17h30 venue, je me dirigeai en direction du café indiqué par Pauline dans son SMS. Celui-ci se trouvait dans une rue peu fréquentée, un peu à l’écart du tumulte de la ville. En arrivant, j’étais ravi de constater que peu de gens se trouvaient ici. Je m’installai en terrasse et consultai mon smartphone. Pauline m’avait prévenu qu’elle aurait cinq minutes de retard. Ce qui me laissait le temps de réfléchir à mon comportement et déstresser. Elle arriva par la rue face à la terrasse, et je pus l’observer de loin. Sa démarche était assurée, et son attitude élégante. Pour mon plus grand plaisir, sa jupe laissait apparaître un collant noir des plus excitant, et ses longues jambes étaient elles perchées sur des escarpins assez haut. Cette tenue lui affinait la silhouette et la rendait très gracieuse. Elle me rejoignit avec un grand sourire et semblait très décontractée, ce qui me mit à l’aise rapidement. Une fois assise face à moi, la discussion glissa aussi naturellement que par message :
— Tu as passé une bonne journée ? — Très bonne, un peu longue, mais intéressante. Par contre, je n’ai pas pu m’assoir de la journée, j’en ai les pieds endoloris dans ces talons ! fit-elle, en me regardant avec un grand sourire.— Oh je vois ! Tu ne penses pas qu’il te faudrait un massage relaxant ?
Et avant même que j’eus fini de poser ma question, je sentis son pied remonter le long de ma jambe... Elle avait retiré son talon et s’amusait à caresser ma jambe du bout de son pied, en me fixant avec un regard beaucoup plus sensuel. Je commençais à être très excité, et une légère bosse faisait son apparition dans mon pantalon. Le serveur arriva, et prit notre commande :
— Bonjour les amoureux ! Que souhaitez-vous ?— Je vais prendre un mojito s’il vous plaît !— Une bière pour moi ! Merci.
Le petit jeu de Pauline ne s’était pas arrêté malgré la présence du serveur. Elle n’avait visiblement pas été troublée, puisque je sentais son pied remonté de plus en plus haut sur ma jambe. Lorsqu’il fut au niveau de ma cuisse, le serveur nous déposa nos boissons sur la table. Moment choisi par la belle pour déposer son pied au niveau de mon sexe. Mes yeux, grands ouverts devaient forcément exprimer une surprise. Une fois partie, elle me regarda, et me dit avec délicatesse :
— Je crois en effet avoir besoin que l’on s’occupe de moi...
Dans l’instant suivant, son second pied rejoignit l’autre sur mes genoux, et elle m’invita à les caresser. Je ne me fis pas prier et commençais à toucher ses pieds, lissés de sublimes bas. L’excitation montait au fur et à mesure, d’autant plus que la chaleur et l’alcool me débridaient eux aussi. Je sentais une douce odeur de collant mêlé à la transpiration de Pauline. Celle-ci m’excitait encore plus, et Pauline semblait elle aussi être excitée. Lorsque nous eûmes fini nos consos, nous continuions à parler devant le bar. Lorsque je prévins Pauline que j’allais rentrer à pied, celle-ci me proposa de me déposer. Elle avait garé sa voiture dans un parking souterrain et passait devant chez moi. Je la suivis, et le chemin fut des plus long, bien que très court.
Pauline ne cessait de m’aguicher, et faisait des allusions au sexe très souvent. Je commençai de plus en plus à avoir envie d’elle, et elle semblait l’avoir remarqué. Lorsque nous poussions la porte du parking, je la suivis dans l’ascenseur, direction le quatrième sous-sol. Cela me semblait bizarre vu le nombre de places au premier. Je compris lorsqu’elle se retourna, se colla à moi et m’embrassa à pleine bouche. Je n’eus aucun réflexe, sauf celui de lui rendre ce baiser enflammé. Je sentais sa langue en feu, contre la mienne, en même temps que sa main me palpait le sexe, déjà bien durci. L’ascenseur s’ouvrit au -4, et elle m’attrapa par la main pour que je la suive. Je vis sa voiture au bout du parking, isolée de tout. Arrivés devant, c’est là que je compris. Pauline voulait assouvir son fantasme :
— Prends-moi, ici, maintenant ! J’ai envie de toi Cédric !— Es-tu vraiment sûr qu’il n’y a personne ? On risque de nous surprendre ! T’es folle ma parole !— T’as pas le choix ! Soit, tu me prends ici, soit, c’est moi qui te saute dessus !
Son regard était enflammé. Je voyais l’envie dans ses yeux, et pour ne rien cacher, j’avais aussi très envie d’elle. Je jetai un bref coup d’œil derrière moi, personne. Je ne vis qu’une caméra de surveillance qui ne filmerait pas du bon angle. Rassuré, je me jetai sur elle !
— Tu veux réaliser ton fantasme c’est ça ?— Comment as-tu deviné ? C’est la caméra qui te fait dire ça ? – répondit-elle avec un sourire malicieux.— Exactement ! J’espère que t’es discrète, sinon tout le monde va nous entendre !
Sans que je n’aie eu le temps de finir, Pauline déboutonnait ma braguette avec la ferme intention de trouver mon sexe déjà bien dur. Lorsqu’elle mit la main dans mon caleçon, sa tête se leva brusquement, et j’eus peur d’avoir fait quelque chose de mal :
— Mais dis-moi, c’est plus gros que ce que je pensais tout ça !
Rassuré, je repris confiance et la vis sortir mon sexe de son caleçon. J’arborai fièrement un bon 20 centimètres de long pour 5 centimètres de diamètre. Je la vis alors commencer à me branler de sa main tout en me fixant dans les yeux. Elle était adroite et jouait avec moi. Faisant sortir mon gland, et se rapprocha pour sentir mon odeur masculine. Adossé à la voiture, je l’observai alors me jeter quelques coups de langue sur la verge. Lorsque sa bouche se referma sur mon sexe, je sentis que je ne tiendrai pas longtemps. Sa bouche allait et venait autour de ma bite, et sa main continuait à me branler. Elle me suçait comme une vraie chienne. Je n’avais jamais autant pris de plaisir, et elle savait que j’allais venir. Je lui fis signe de ralentir si elle ne voulait pas que j’éjacule en elle, mais visiblement, ce n’était pas à son goût. Au contraire, sa bouche enveloppait mon sexe de plus en plus loin, jusqu’à prendre ma bite entièrement dans sa bouche.
C’est à ce moment que j’inondai sa gorge de mon sperme. De grands jets se déversaient dans sa gorge.
Elle continuait de me sucer, et je continuais d’éjaculer puissamment. Une fois vidé, elle sortit mon sexe de sa bouche, et me montra la quantité incroyable de sperme qu’elle avait dans sa gorge. Je la vis alors avaler la totalité du sperme d’une seule traite. Elle était divine, et une fois debout, je compris que les rôles allaient alors s’inverser.
— Mmh c’était plutôt bon ce petit avant-goût ! Mais je crois que j’ai la chatte en feu, peux-tu me satisfaire à ton tour ?
Je l’ai alors entraînée sur le devant de la voiture, et la plaqua contre le capot de celle-ci. Elle se laissa faire et je me mis à genoux. Mon visage arrivait à la hauteur parfaite. Je sentais sa chatte, bien chaude et déjà trempée. Je me rapprochai en embrassant ses jambes, puis je me jetais tel un mort de faim sur son minou. Ma langue parcourait ses lèvres, et remontait sur son clitoris. Je sentais sa mouille envahir abondement ma bouche. Ses gémissements m’encourageaient et j’introduis un premier doigt en elle. Cela lui arracha un long râle de plaisir. Je continuai de jouer avec son clitoris en introduisant un second doigt en elle. Nous étions totalement décomplexés et à la merci de l’autre :
— Prends-moi ! Je te veux en moi !— Tu as des préservatifs ? Je te veux aussi !
Mon sexe avait redurci très rapidement et j’avais une envie furieuse de baiser Pauline. Elle me tendit un préservatif, et je me relevai pour l’enfiler. Au moment où je me relevai, elle en profita alors pour une autre idée :
— Attends avant d’enfiler ça ! Fais-toi plaisir !
Je vis alors ses escarpins tomber au sol, et ses pieds rejoindre mon sexe bien tendu. Je compris qu’elle voulait me branler avec ses pieds. Sans hésiter, je pris ses pieds et commençais une masturbation divine. Le nylon de ses bas glissait sur ma bite, et j’avais une vue parfaite sur sa chatte trempée. Elle se doigtait pendant que je me branlais avec ses pieds.Après quelques minutes, je déchirai l’enveloppe du préservatif et le sortis. J’enfilai alors mon sexe dedans, quelque peu serré par cette taille normale. Je lubrifiais le tout avec ma salive et me penchai à nouveau sur elle.
— Baise-moi ! Bien fort !
Je n’attendis pas et introduisis mon gland à l’entrée de son vagin, chaud et humide. Je n’eus aucun mal à pénétrer tant sa mouille était abondante.
— Mmh t’es chaude ! Tu en veux plus ? Plus profond ?— Baise-moi sauvagement Cédric ! Je te veux au plus profond de moi !
Cette demande me fit tourner la tête, et j’introduisis mon sexe bien en elle. Elle poussait maintenant des gémissements plus puissants et audibles. Je commençais alors à la pilonner. Je ne voulais pas de tendresse, je pilonnais son vagin et elle aimait ça. Cette sensation lui plaisait.
— Remplis-moi bien ! Je veux que tu me défonces ! Vas-y bébé !
Sur ces mots, j’accélérai encore le rythme et je voyais que l’orgasme arrivait, pour elle comme pour moi. Je sentis son vagin se resserrer, et Pauline hurla de plaisir dans un ultime râle. Une fois remise de ses émotions, je me retirai sur ses ordres, et elle se mit alors à genoux devant moi. Elle s’empressa de retirer le préservatif et je compris qu’elle souhaitait encore profiter de ma semence. Or, cette fois-ci, elle me demanda de la prévenir avant. Elle s’activait en me suçant comme une reine. Et comme souhaité, je la prévins. Je la vis alors saisir ses escarpins, restés au sol, et les approcher de mon gland. Je fus surpris, mais ne pouvant retenir mon orgasme, je déversais encore une fois de grosses giclées de sperme dans ses escarpins. Elle me regardait avec un sourire sensuel, et s’assit sur le capot de la voiture. Je la vis alors remettre ses escarpins, inondés de sperme. Elle se mit debout et visiblement était satisfaite. Quoique !
Elle se remit quelques secondes sur le capot de la voiture, enleva tour à tour ses escarpins, et frotta ses pieds l’un contre l’autre pour étaler le sperme sur ses bas.
Elle remit alors ses chaussures, et d’un regard malicieux me dit :— C’était divin, merci !
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