Vendredi matin : j’ai assez mal dormie rêvant toute la nuit de coquineries. J’ai sans doute voulu deviner ce que Jacques allait me réserver. Mon imagination fonctionne miraculeusement bien depuis deux semaines dans ce domaine. Ayant beaucoup de travail pour nettoyer la maison et faire du repassage notamment, Jacques m’a invité chez lui à 9h. Tôt le matin, un texto de sa part m’a demandé de m’habiller normal avec jean, haut traditionnel et seulement mes nouveaux talons hauts. Je respecte donc son choix qui m’étonne un peu. Je mets donc un jean slim, un boxer dentelle blanc, un soutien-gorge blanc et un haut manches-longues écru légèrement transparent. J’arrive légèrement en retard chez lui et Jacques ne se prive pas de me le faire remarquer. Nous nous mettons à la table de la cuisine pour boire le café. Là, il décide de m’expliquer un peu plus pourquoi il ne peut plus bander et comment fonctionne sa vie sexuelle de couple actuellement. Ce que j’apprends m’étonne alors beaucoup. En effet, ne pouvant plus satisfaire sa femme Martine depuis 4 ans, il a décidé, avec son accord, que son absence de libido ne devait pas empêcher Martine de continuer à en avoir une. Aussi, ont-ils décidé tous les deux de passer une annonce par internet pour trouver un amant à Martine. Après quelques hommes différents, Martine a désormais un amant attitré : Bernard. Celui-ci vient tous les mardis après-midi pour passer du bon temps avec Martine alors que Jacques est à la maison. Maintenant qu’il m’en parle, je me rappelle qu’en effet tous les mardis, je vois la même voiture garée devant chez eux. Après plusieurs questions, il m’explique que Bernard et Martine vont dans la chambre pour faire l’amour tout en laissant la porte ouverte pour que Jacques puisse les entendre. Ils font quelques pauses pour revenir avec Jacques dans le salon mais Martine a généralement droit à 2 ou 3 reprises aux assauts de son amant. Cette situation est surprenante et j’avoue que je suis un peu choquée de cela. Jacques me propose alors clairement de demander à Bernard de me faire l’amour également. Apparemment, Bernard est un homme divorcé et libertin qui pourrait me recevoir en compagnie de Jacques et qui pourrait être intéressé par moi. Bernard a 58 ans, pas très grand mais plutôt bel homme selon Jacques. Je ne sais pas trop quoi en penser. Jacques me demande mon accord alors que je ne connais rien de cet homme. Il m’assure que Martine est très satisfaite des services de Bernard qui est un amant hors-pair. Le seul défaut de Bernard serait d’adorer sodomiser ses compagnes. J’imagine quelques secondes Martine en train de se faire sodomiser par son amant et je me dis que mon amie cache vraiment bien son jeu car je ne l’aurais jamais vu embarquée dans une telle situation. Ne m’étant jamais faite sodomiser et ne désirant pas du tout essayer cette pratique, j’accepte l’invitation à la seule et unique condition que Bernard ne tente pas de passer par derrière. Jacques est ravi et appelle immédiatement Bernard pour lui proposer mes services. Pendant ce temps, il me demande d’aller dans la salle de bains, de me déshabiller et de revenir uniquement avec les tenues qui sont dans la salle de bains et mes talons. Je m’attends à voir une tenue sexy avec robe courte et jolie lingerie mais ce qui est là l’est encore plus. En effet, il n’y a qu’un ensemble de lingerie noire composée d’un soutien-gorge redresse-seins, d’un porte-jarretelles assez épais couvrant toute ma taille et une vraie paire de bas noir avec une couture à l’arrière de la jambe. Je mets quelques minutes à mettre ma tenue et surtout à comprendre comment attacher les bas au porte-jarretelles. Je mets aussi quelque temps à comprendre qu’il n’y a pas de string. Je me regarde une dernière fois dans la glace et trouve que je suis littéralement habillée comme une pute. Un peu honteuse de la situation, je rejoins Jacques dans le salon. Ses yeux pétillent lorsqu’il me voit. Il me demande alors de commencer mon travail en faisant le rangement et la poussière du salon. Je m’exécute et travaille ainsi en petite tenue alors que lui reste tranquillement dans le canapé à me regarder. Pour me récompenser de mes efforts une fois que j’ai fini le salon, il vient derrière moi, m’embrasse dans le cou et me caresse les cuisses et les fesses. Ses caresses me font de l’effet mais il ne va pas plus loin. Je vais ensuite laver les toilettes et la salle de bains. Je suis obligée de me mettre à plusieurs reprises à 4 pattes pour frotter les toilettes et la douche et Jacques me regarde toujours travailler en profitant d’une vue imprenable sur mon intimité.Vers midi, il me fait mettre un tablier afin que je cuisine le repas mais c’est toujours avec ma seule lingerie et mes talons qui commencent à être trop hauts pour mes pieds que je partage son repas. Le repas se passe bien et nous parlons de choses et d’autres en dehors du sexe. Je me rends compte alors que mon voisin est un type bien dans la vie derrière son air bourru.Au moment du dessert, je n’ai rien préparé mais cela ne semble pas déranger Jacques qui me demande de me lever pour venir vers lui. Je lui obéis comme j’en ai pris l’habitude et vient à califourchon sur lui non sans avoir failli tomber avec mes talons hauts. Là, il se met à me caresser les seins puis à me les sucer pour remplacer le dessert. Sa langue, toujours aussi efficace, commence à m’exciter et sans réellement m’en rendre compte, je porte ma main droite à mon sexe afin de me caresser. Après une bonne minute, il s’interrompt :« -C’est bien, tu deviens une vraie salope !-pardon ?— J’ai dit que tu devenais une vraie salope. Tu n’as même plus besoin que je te le demande pour te caresser, coquine ! » Jacques prend alors le relais et son index s’insère facilement dans mon vagin lubrifié tandis que sa langue s’affaire toujours sur l’un ou l’autre de me seins. Mes soupirs de plaisir l’encouragent à continuer et ce sont maintenant deux doigts qui coulissent dans mon sexe avant qu’il me demande de monter et descendre sur ses deux doigts dressées. Le plaisir me désinhibe complètement et je chevauche sauvagement ses doigts trempés. Jacques est aux anges. N’y tenant plus, il me fait descendre de ses genoux et c’est allongée sur le carrelage qu’il me fait jouir avec un cunnilingus dont il a le secret. Je reprends doucement mes esprits puis range la vaisselle et toute la cuisine. Alors que Jacques fait la sieste, je repasse le linge en retard suite aux après-midis endiablés que j’ai pu connaitre. Je commence à avoir des crampes aux mollets et profite que mon hôte soit endormie pour enlever mes sandales. Toujours en petite lingerie, je repasse puis vais ranger le linge dans sa chambre. A mon retour, il me voit pieds nus et se met en colère. Je lui explique que j’avais vraiment trop mal aux pieds et aux mollets avec ses 12cms de talons mais il ne veut rien savoir et s’énerve encore plus en me disant qu’une vraie salope devrait savoir marcher avec ses chaussures toute la journée. Du coup, il décide de me punir ! Je ne veux pas qu’il me fasse mal et lui précise mais il me rassure en disant qu’il n’est pas un sado-maso et qu’il veut juste que je comprenne que je suis sa soumise et que c’est lui qui décide de tout. J’accepte donc comme j’ai déjà tout accepté avec cet homme qui a une influence sur moi comme aucun autre.Je finis de ranger la maison une petite demi-heure, cette fois-ci en talons et alors que je suis prête à aller me changer dans la salle de bains, Jacques me donne enfin mon gage. Je dois garder ma lingerie que je porte actuellement sous mon jean et mon haut écru. Je remets donc mon jean sans culotte dessous et mon haut écru légèrement transparent. On distingue nettement dessous mes tétons qui pointent et le soutien-gorge redresse-seins noir. On peut même apercevoir mon porte-jarretelles qui remonte jusqu’à mon nombril. En remettant mes sandales, je vois aussi qu’on distingue le talon de mes bas qui est plus foncé que le reste du nylon. Bref, malgré mon jean et mon haut sage, quelqu’un d’observateur verrait vite ce qui se cache dessous. Et c’est bien là le gage de Jacques : m’exhiber auprès de personnes normales. Il m’impose de garder cette tenue pour aller chercher mes enfants à l’école et de rester aussi comme ça jusqu’à ce que mon mari rentre à la maison.Sans broncher, j’accepte et lui remet en main propre mon boxer blanc et mon soutien-gorge afin qu’il les garde. Depuis le temps, il va commencer à avoir une sacrée collection de ma lingerie. Je pars donc de chez Jacques avec un dernier baiser puis part vite chercher mes enfants en voiture. J’arrive 5 minutes en avance et reste dans ma voiture pour ne pas voir trop de monde que je connais. Une fois que la sortie des enfants a commencé, je décide enfin de sortir de ma voiture. Je fais comme si j’étais habillée normale. La maîtresse de mon ainé remarque tout de même ma poitrine et bloque une ou deux secondes dessus sans rien dire. Lorsque je récupère le plus jeune, celui-ci a défait son lacet et je m’accroupis donc pour lui refaire. En me relevant et me retournant, je remarque un père de famille que je ne connais pas qui a nettement dû voir le haut de mon porte-jarretelle au vu de la couleur rouge de son visage. Je rougis moi-aussi et m’en vais avec mes enfants sans lui adresser la parole. Malgré la honte que j’ai, je dois bien avouer que cela me plait de me montrer à d’autres hommes sous ce modèle de femme coquine voire salope. Pour le retour de mon chéri, je me fais moins de souci. Je sais qu’il va facilement remarquer mes tenues mais je peux lui faire passer cela comme une nouvelle surprise après une semaine d’absence. Effectivement, Nicolas remarque tout de suite mes tétons pointer puis le fait que je porte un soutien-gorge spécial. En passant sa main au creux du mon dos, il remarque également le porte-jarretelles. Son regard me montre sa surprise et sa joie, la soirée va être agréable ! Ainsi, après avoir fait nos devoirs de parents, nous allons rapidement dans le lit conjugal. Je laisse Nicolas se déshabiller puis il vient vers moi pour me déshabiller. Il apprécie énormément mon choix de tenue et me demande pourquoi je ne porte pas ce genre de tenues tous les jours. Je lui promets de faire un effort tout en sachant que c’est déjà ce que je fais dans son dos depuis deux semaines. Nous partons finalement dans un moment de sexe endiablé. C’est fou comme j’aime mon mari depuis ces derniers jours.
