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A la découverte du plaisir

Chapitre 7

Hétéro
Deux jours plus tard, c’est-à-dire le dimanche, je croise Martine dans le jardin. Nous discutons cinq minutes. Je prends des nouvelles de sa mère. Elle me remercie de mon travail et me demande si son mari n’a pas été trop pénible. Je lui rassure que non sans rien lui avouer des jeux auxquels on s’est adonné. Jacques a peut-être dit plus de choses puisqu’elle finit par me dire que Jacques a vraiment bien apprécié ma compagnie en me faisant un clin d’œil qui me met très mal à l’aise. Que sait-elle exactement ? Jacques n’a pas pu lui raconter tout ce que nous avons fait ou alors ce couple est encore plus coquin que ce que j’imaginais.
Finalement, je reste sur ma faim alors qu’elle me dit de passer un prochain jour de la semaine pour me faire payer.Le lundi, je reçois un texto de Jacques me demandant de passer à l’improviste mardi en début d’après-midi. Sous le prétexte de me faire payer, Bernard pourra ainsi voir à quoi je ressemble. Il me demande par contre d’être très ponctuelle en arrivant à 14h15 précises. Je lui demande si je dois mettre une tenue particulière, il me répond que oui, une tenue féminine mais pas sexy pour que Martine ne se rende compte de rien.
Je me présente donc mardi au domicile de Jacques et Martine à 14h10. J’ai choisi de mettre une robe beige qui m’arrive au-dessus du genou avec une paire de ballerines assorties et une paire de bas chair effet brillant. Cette tenue fait estivale et féminine sans être particulièrement sexy comme on me l’a demandé. Lorsque je sonne, c’est Jacques qui m’ouvre et m’accueille dans le salon en premier. Il m’invite à boire un café ce que j’accepte volontiers. Alors que Jacques est en train de me servir Martine arrive et est toute étonnée de me voir ici. L’étonnement est partagé tant la tenue de Martine est sexy voire choquante. En effet, elle porte une robe rouge très courte avec un décolleté mettant trop en valeur son abondante poitrine. Ses cuisses épaisses sont habillées de fine résille, sans doute des bas. Un rouge à lèvre vif accompagne le rouge de sa robe. Martine a voulu se faire belle pour son amant mais elle fait en réalité très vulgaire. Elle se rend compte que je la dévisage et est alors toute gênée de se montrer dans une telle tenue devant moi. C’est finalement Jacques qui détend l’atmosphère en me servant mon café et en ramenant la conversation à ma paye pour les jours précédents.
Alors que nous sommes d’accord sur le nombre d’heures travaillées, le carillon de la porte sonne à nouveau. Nous savons tous les 3 qui c’est mais je suis certainement la plus impatiente de découvrir Bernard. L’homme que je découvre n’est pas aussi beau que je l’espérais. Il n’est pas très grand (plus petit que moi quand je suis en talons). Les cheveux gris clair, il a un début de calvitie et est assez rondouillard notamment au niveau du ventre. Il reste bien habillé avec un jean et une chemise blanche mais c’est loin d’être l’apollon que j’avais imaginé.
Jacques me présente comme leur voisine et nous nous faisons la bise. Il me complimente en disant à Jacques qu’il a la chance d’avoir une aussi jolie voisine. Bernard s’assoit avec nous pour rendre également un café. Au cours des dix minutes qui suivirent son regard ne cesse de se porter sur mon décolleté et mes jambes et je sens dans le regard de Martine une pointe de jalousie. Finalement, je décide de prendre congé de mes hôtes et de rentrer chez moi. L’après-midi a dû bien se passer pour ma voisine puisque la voiture de Bernard n’est partie que vers 17h.
Jacques m’envoie un texto dès le lendemain matin me demandant de me préparer pour le jeudi pour rendre visite à Bernard, les choses n’ont pas trainé ! J’ai malheureusement un rendez-vous ce jeudi-là et je dois donc attendre le jeudi suivant pour accepter un rendez-vous.Nous nous donnons rendez-vous à 13h30 sur le parking d’un centre commercial à quelques kilomètres de chez nous pour effectuer les 30kms restants dans sa voiture. Forcément, j’ai respecté ses consignes en termes d’habillement : robe noire moulante arrivant à mi-cuisse, escarpins à talons hauts, soutien-gorge et string rose clair avec de la dentelle noir, bas dim-up noir. Tenue sexy mais qui pourrait encore être améliorée pour les rencontres futures. J’ai par contre pris de soin de bien me maquiller en faisant un maquillage type soirée.
Au cours du trajet, nous parlons peu car je suis assez stressée. Jacques me caresse de temps en temps le genou mais de manière assez légère et sans abuser de la situation. Nous arrivons finalement un peu après 14h chez notre hôte Bernard. Celui-ci nous attend impatiemment dans la même tenue que je l’avais vu la première fois.« -Bonjour Jacques, bonjour chère Emilie c’est ça ?— Oui c’est ça.— Très bien, entrez. En tout cas, vous êtes ravissante et très désirable dans cette tenue. »
Après cette entrée en matière, Bernard nous invite au salon où il me demande de m’assoir sur un grand canapé aux côtés de Jacques. Bernard nous sert un café accompagné de petits gâteaux avant de choisir un fauteuil situé en face de moi. Je suis très stressée et complètement bloquée par la situation. Jacques et Bernard tentent de faire une conversation sur des choses banales mais je n’arrive pas à discuter avec eux. Voyant mon malaise et après une bonne dizaine de minutes, Bernard décidât de reprendre la main.
« - Alors Jacques, tu m’as tant parlé de la jolie Emilie et c’est vrai qu’elle est belle mais tu me l’avais présentée moins timide.— C’est vrai mais c’est parce que tu l’impressionnes mais ne t’inquiètes pas, elle va nous montrer ce dont elle est capable, n’est-ce pas Emilie ?— Euh oui ! qu’est-ce que vous voulez ?— (Bernard) Tu vas commencer par te lever. (Je m’exécute) Tourne sur toi-même. Hmmm jolie ! Enlève ta robe s’il te plait. (là-aussi j’obéis). Ouh là, jolie ensemble de lingerie, tu as bon goût.— Merci.— Enlève ton soutien-gorge (une nouvelle fois, je le fais). Jolis seins, approche toi »Je fais quelques pas jusqu’au fauteuil et Bernard qui met rapidement une main sur l’un puis l’autre de mes seins me les malaxant sans ménagement.Il se lève ensuite pour venir m‘embrasser tout en gardant une main sur mon sein. J’accepte ce long baiser qui a pour effet de me déstresser et de me mettre dans mon rôle de femme salope.Bernard s’éloigne ensuite pour se déshabiller. Jacques profite de ce moment pour se lever et m’embrasser à son tour. Sa main vient un court moment sur mon sein mais s’aventure rapidement sur le devant de mon string. Il me caresse tendrement sur le tissu avec ses doigts s’infiltrent sur le côté pour me caresser. Tandis que ces caresses commencent à faire leur effet, Bernard se rapproche nous nu. Sa main vient à côté de celle de Jacques et ce sont plusieurs doigts qui s’insinuent sous la dentelle de mon string. L’un de ces doigts s’insère rapidement dans mon vagin lubrifié. Alors que je suis toujours occupée à embrasser Jacques, Bernard me prend une main pour la guider vers son sexe déjà bien tendu. Je commence quelques va et vients ce qui excite rapidement Bernard qui nous fait changer d’action.
Il s’assoit dans le canapé et je comprends toute seule que je dois me mettre à quatre pattes devant lui pour le sucer ce que je m’empresse de faire ce qui fait dire à Bernard :« -putain, tu l’as bien dressée Jacques, il y a même pas besoin de lui demander pour qu’elle vienne sucer— Je te l’avais bien dit que c’était une bonne chienne. Elle a vite perdue sa timidité »Je n’essaye même pas de leur répondre car je m’applique dans ce début de fellation. J’ai par contre bien retenue le mot chienne. C’est la première fois que l’on me qualifie de ce surnom mais j’avoue que ce n’est pas pour me déplaire. Tout en m’appliquant avec ma langue et mes lèvres, je me rends compte que Bernard a un joli sexe mais pas énorme : une quinzaine de centimètres pas très épaisse. Je suis un peu déçue car inconsciemment j’avais imaginé un amant extraordinaire avec un sexe énorme mais la réalité est moins belle. Je repense aussi aux anciennes paroles de Jacques qui disait que sa femme se faisait sodomiser toutes les semaines par Bernard et je me dis que Bernard a un sexe fait pour cela même si je ne pratique pas la sodomie. Je suis dans ces pensées lorsque je sens les doigts de Jacques se poser sur mes hanches pour baisser délicatement mon string sur mes cuisses. Il profite de cette position pour me mettre un puis deux doigts dans le vagin. Je suis trempée mais il continue avant d’ajouter sa langue qui se promène sur mon anus comme il aime. J’apprécie aussi et je m’active de plus en plus sur le sexe de Bernard en l’avalant en gorge profonde de temps en temps.Alors que Bernard est au bord de la jouissance, il nous fait arrêter afin que chacun reprenne ses esprits. Il m’emmène ensuite vêtue de mes seuls bas et escarpins vers la grande table du salon et me fait allonger dessus.
Bernard mène à nouveau les ébats mais avec une certaine vulgarité :« Jacques vient lui bouffer la chatte et elle va continuer à me sucer » Aussitôt, autant Jacques que moi nous exécutons. Jacques va même plus loin puisqu’après sa langue, ce sont ses doigts de plus en plus nombreux qui s’aventurent dans mon sexe. Il finit par mettre quatre doigts qui me poussent des cris étouffés par le sexe de Bernard qui profite de la position pour effectuer des vas et viens dans ma bouche.
Une fois que je suis bien prête selon les dires de Bernard, celui-ci vient prendre la place de Jacques et se positionne pour me prendre. Je me rends compte qu’il n’a pas pris la peine de mettre un préservatif. Je lui fais la remarque tout en serrant les jambes pour l’empêcher de venir me prendre. Il me répond sur un ton directif qu’il fait des tests régulièrement et qu’il est clean. Son ton suffit pour me convaincre et écarter les cuisses en signe d’approbation. Bernard ne se prive pas et me pénètre rapidement de manière énergique. Nous prenons tous les deux un grand plaisir que j’exprime de plus en plus par des cris difficilement contrôlables. Bernard finit par jouir mais après un dernier coup de rein, il sort son sexe au dernier moment pour m’éjaculer dessus. Surprise, je ne peux que constater son acte. Une giclée m’a atteint sous le menton mais la majorité de sa semence se retrouve autour de mon nombril. Je n’avais jamais été salie ainsi et je suis un peu énervée par son acte mais je n’ose pas lui dire. Lui est de plus en plus dominant. Il me fait descendre de la table sans délicatesse, me fait mettre à genoux et me demande de le nettoyer avec ma bouche. Toujours intimidée, j’obéis avant de reprendre mes esprits sur le canapé. Bernard part chercher un jus de fruit tandis que Jacques m’observe :« - C’est bien Emilie, tu es vraiment une magnifique salope avec tout ce sperme sur toi ».Je ne luis réponds rien et cherche quelques chose pour m’essuyer mais il n’y a rien et je sens les gouttes de sperme couler le long de mon ventre.
J’ai à peine le temps de boire un verre de jus de fruit que Bernard est d’attaque pour recommencer. Il me fait mettre à quatre pattes sur le canapé pour me prendre en levrette. Là, je prends conscience de l’endurance de Bernard que Jacques m’avait tant vanté. Il me baise avec vigueur pendant un temps indéfini. Je lui demande une pause à plusieurs reprises mais il refuse et continue sans cesse. Lorsqu’il fait une légère pause, il demande que ce soit moi qui fasse les vas et viens me mettant une petite fessée lorsque je ne suis pas assez énergique. Finalement, à une énième demande, il accepte une pause mais celle-ci me permet juste de changer de position pour m’allonger sur le canapé alors qu’il revient tout de suite à la charge. Dans cette position, je peux voir Jacques qui, assis dans le fauteuil, ne perd aucun miette du spectacle. Là, Bernard continue de longues minutes. Nos visages proches l’un de l’autre nous permet de nous embrasser régulièrement mais permet aussi à Bernard de me dire des mots cochons que je dois le plus souvent répéter ou répondre par l’affirmative.
A la fin, Bernard me demande si j’ai eu ma dose et lorsque je lui réponds que oui, il accélère une dernière fois puis sort de mon vagin pour venir se branler au-dessus de mon visage sur lequel il éjacule heureusement une quantité plus faible que la première fois. Je dois à nouveau nettoyer son sexe avant de pouvoir me rassoir. Là, je rebois un coup et en discutant, je me rends compte qu’il est déjà 16h10 alors que j’avais prévue de partir de chez Bernard à 16h pour être à l’heure à la sortie de l’école des enfants. Sur les conseils de Bernard, je vais dans la salle de bains mais je n’ai pas le temps de me doucher. Je prends juste un gant pour enlever les traces que m’a laissé Bernard. Je galère un peu au niveau de mon maquillage mais j’aurais le temps de le refaire dans la voiture. Je reviens dans le salon pour me rhabiller vite fait avant de repartir en coup de vent avec Jacques. Bernard me fait promettre de revenir et Jacques n’arrête pas de me complimenter dans le retour. Il n’y a donc pas que moi à qui ces deux heures ont plu. Finalement je n’arrive qu’avec 10 minutes de retard à l’école et je pars sous la douche dès mon retour à la maison pendant que les garçons comment leur devoirs.
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