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Ma découverte pour la domination

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Un soir de printemps, avec mon épouse Valérie, nous revenions du restaurant. La soirée avait été assez chaude entre nous, en effet nous nous étions mutuellement chauffés les sens.Valérie était, nous sommes divorcés, une jolie rousse à la peau blanche, avec des seins menus mais très mignons qui ne nécessitent aucun soutien. Ce soir là elle avait revêtu un jupe en daim, des bas blancs et un chemisier blanc qui laissait deviner ses jolis petits globes...Dans la voiture, elle n’avait eu de cesse de se caresser l’entre-jambes. A cette époque on ne s’épilait pas, et elle avait une jolie toison rousse. Puis elle passa au renflement de mon pantalon, le caressa en me murmurant des mots à faire rougir un charretier. Elle sortit mon sexe tendu, et le lapa doucement à petits coups de langue.Nous habitions la campagne, et le premier voisin se trouvait à plusieurs centaines de mètres. Arrivés chez nous, l’excitation était telle que nous baisâmes dans la voiture. je la pris en levrette sur le siège en branlant son cul avec mes doigts. Je pouvais sentir ma queue à travers la fine membrane. Elle jouit assez férocement, mais pas moi...Elle sortit de la voiture, se déshabilla entièrement, et me demanda de l’attacher contre un arbre. Il y avait une haie de pommiers, j’allai chercher une corde et lui liai les poignets de chaque côté du tronc face à l’arbre.
Elle commença à se caler contre le tronc. Sous mes yeux héberlués, je la vis frotter ses seins à l’écorce râpeuse. Elle écorchait ses bouts en poussant des râles que je ne lui connaissais pas. De mon côté, je bandais comme un forcené devant ce spectacle éclairé par la pleine lune. Elle continua encore et je lui palpai les fesses, je malaxai ses chairs blanches en lui disant "Tu aimes te frotter, hein salope, tu aimes ça", et en entre deux râles elle poussa un " Ouiiii" strident. " oui, j’aime être en chaleur comme ça, j’aime me frotter contre la nature".En passant une main dans sa fente trempée, je la fis hoqueter de plaisir. Puis elle me dit, "Regarde moi sans me toucher".Elle encercla le tronc de l’arbre avec ses jambes, et je voyais sa fente luire de son jus. Elle commença à haleter en frottant son ventre, buste reculé et fesses cambrées, contre le tronc. Elle entama une danse rythmée par ses halètements ... Puis elle y colla son sexe en mimant l’acte sexuel avec le pommier.Elle frottait sa chatte avec frénésie avec des " Haaaa", des " Hummm" des " Euuuuuffff", puis elle s’écroula à genoux, ses bras enlaçant l’arbre. Puis elle me dit : " Je suis une sorcière de l’amour. Punis la sorcière."
J’allai chercher une lanière de cuir et je commençai à claquer son dos sous ses encouragements, "Ouiiiiii, puuuuniiiis mooooaaaa"...Je redoublai sur son cul et elle gémissait à chaque claquement. Comme un ballet rythmé, chaque claquement du cuir sur sa peau la faisait se frotter contre l’arbre en gémissant.Je n’en pouvais plus...Toujours attachée par les poignets, je la fis s’accroupir en m’offrant son cul.Je pris du jus de sa chatte sur mes doigts, lui frottai la rosette qui s’ouvrit aisément. Je l’enculai d’un coup. Son trou était doux et accueillant et je la besognai comme un sauvage.A chaque coup dans son cul elle poussait un petit feulement et quand je me vidai au fond d’elle, elle hurla.
  Puis une une idée me vint : " Tu vas rester là. la fraîcheur de la nuit te fera du bien". Je la laissai nue te attachée pendant une heure au cours de laquelle je ne fis que la contempler dans le silence nocturne.Puis, je la soulevai, et lui passant un doigt dans l’entre-jambes, je le sentis trempé. A mon grand étonnement...Je la détachai et lui passai la corde autour du cou : " Puisque tu te comportes en chienne,tu vas marcher comme une chienne".A quatre pattes, au bout de la corde, elle fit la dizaine de mètres qui nous séparaient de la maison. Je la guidai jusqu’à une petite remise à l’abri des regards : " Pas de chienne dans la maison" et j’attachai la corde de son cou ainsi que ses poignets à un anneau dans le mur.
  Elle passa toute la nuit dehors, nue et attachée, et au petit matin je la trouvai recroquevillée et les yeux larmoyants, mais elle ne dit pas un mot. Moi non plus.Je me mis à lui caresser les seins. Ses bouts se tendirent et elle se mit à gémir doucement.   Mes mains flattaient son cul, et son sexe coulait encore. Je me mis à la branler avec vigueur jusqu’à ce qu’elle soit au bord de l’orgasme. Je frottai ma queue contre son sexe mouillé, et je la pris encore une fois par le cul. Elle se mit aussitôt à grogner de plaisir. Chaque coup de butoir dans son cul lui arrachait un cri, et son corps ne fut plus que tremblement lorsque j’explosai en elle.
C’est ainsi que j’ai découvert mon penchant pour la domination.
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