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La découverte de ce que j'aime

Chapitre 1

un anniversaire surprenant

Gay
Tout ce qui va suivre est vrai. Je suis aujourd’hui un homme bi approchant de la quarantaine, totalement soumis et heureux de l’être. 
Quand j’étais encore un adolescent, je n’étais déja pas attiré que par les filles, mais la pression sociale m’empêchait de me l’avouer. Tout à basculer le soir de mes 18 ans...
Pour fêter dignement cet événement, mes parents avaient louer un gîte et invité de la famille et des amis pour le week-end. Après une soirée très agréable, la plus part des "vieux" étaient partis se coucher ou finir la soirée chez des amis habitants non loin de là.
L’alcool avait alors coulé un peu plus vite et la nuit était assez chaude. malheureusement pour moi, j’étais à l’époque célibataire, et les filles présentes étaient toutes en couple avec mes amis.
Je passais un long moment à discuter avec un ami de mes parents que je ne connaissais pas beaucoup. Je l’avais seulement vu à de rares occasions pendant des vacances en bords de mer. Je me rappelais de lui uniquement parce qu’il faisait du naturisme et m’avais emmené un jour avec lui alors que je devais avoir 12 ou 13 ans. Je me rappel de mon trouble à l’époque devant tous ces gens nus et parfaitement à l’aise. J’étais autant troublé et attiré par toutes ces poitrines et ces sexes de femme, que par toutes ces queues à l’air libre, et je dois avouer que mes yeux se portaient plus sur les hommes. Cet ami, Alain, étais particulièrement à l’aise nu, et j’avais pu longuement admirer son sexe alors qu’il dormait sur la plage, les jambes écartées. Dans mes souvenir, son sexe était plus petit que celui de nombreux autres hommes sur la plage, mais ses bourses étaient énormes et pendantes. Même si je refusais de me l’avouer, nombre de mes masturbations étaient motivées par l’image de ces boules de la taille de balles de ping-pong. Mais au-delà de ces images, j’avais peu de souvenirs d’Alain avec qui je n’avais que peu discuté lors des vacances.
Ce fut donc une agréable surprise de voir que cet homme ayant la cinquantaine bien tassée était un super compagnon de picole, très drole, avec un stock de blagues salaces inépuisable. au but d’un moment, la discussion aborda nos souvenir de vacances, et je lui dit que je n’avais jamais refait de naturisme, alors que j’avais trouvé ca très sympa ( je ne pouvais pas dire excitant!). Il me répondit qu’il faudra que je passe quelques jours avec lui cet été, et qu’il me fera découvrir le ’vrai’ naturisme. Interloqué, je lui demandais ce qu’il voulait dire par là, et il me répondit avec un petit sourire étrange et un regard taquin " c’est ce qui se passe le soir sur la plage qui est le plus intéressant, une fois que les touristes et les enfants sont partis. Je te montrerais, tu es assez grand maintenant".
Sur ces mots, il se leva en prenant appui sur ma cuisse et parti vers le bar. J’avais trouvé que sa main se posait bien haut sur ma cuisse et y restait longtemps. une vague de chaud traversa mon bas-ventre, mais je me dis que je devais me faire des idées. Je me levais aussi et rejoignis un groupe d’amis. Je ne revis pas Alain de la soirée, et je me dis qu’il devait être allé se coucher.
Vers 3 heures du matin, je pris moi aussi la direction de mon lit. J’occupais une petite chambre à l’écart des autres chambres. Pour y acceder, il fallait traverser le grenier puis suivre un long couloir qui donnait sur diverses pieces inoccupées et réserves. Une fois arrivé, je me déshabillai rapidement, ne gardant que mon caleçon et m’effondrai dans le lit.
Je ne sais pas si je dormais depuis 10 minutes ou 2 heures quand j’entendis le plancher du couloir grincer. J’ouvri un oeil et vi Alain entrer dans la chambre.— Mince, je t’ai réveillé ! il n’y a plus un lit de libre, ca fait une demi heure que je cherche une chambre libre, ce gîte est un vrai labyrinthe.— ha merde, t’as trop bu, tu ne te rappels pas où es ta chambre ?
il eclata de rire— c’est certainement ca, le rhume était plutôt fort. J’abandonne, je trouverais jamais mon lit... ca te derange si je dors ici ?
Un peu surpris, et encore bien saoul, je ne su pas quoi répondre.— Allez, fait moi un peu de place, le lit est assez grand pour 2 ! sans attendre ma réponse, il commenca à se déshabiller. Je le fixais et du faire une tête étrange quand il enleva son slip. Comme sur la plage, je fut impressionné par ce sexe rasé et ces bourses lourdes et pendantes
— Quoi ? tu m’as déja vu nu non? je dors toujours nu, tu devrais essayer, on se sens plus à l’aise.
Je ne répondais toujours pas, hyptnotisé par cette énorme paire de couilles qui pendait à moins d’un metre de mes yeux. je senti mon sexe durcir malgré moi.
— Comme tu veux, allez, au dodo !
il se glissa sous les draps et éteignit la lumière. j’étais très troublé et mon esprit tournai à 100 à l’heure. J’avais une trique de dingue, presque douloureuse. Je n’osais plus bougé, et je restais étendu sur le dos, incapable de me rendormir. Au bout d’un moment qui me sembla duré des heures, j’entendi un léger ronflement. Je commencais à me détendre un peu, avec une étrange sensation de frustration. L’alcool aidant, je fini par sombrer dans un sommeil peu profond.
Je fus réveillé par une sensation étrange : je senti une main posée sur ma cuisse. Ma queue se raidit instantanément, mais les ronflements provenants de mon voisin me firent comprendre que le geste était involontaire. Malgré ca, je senti le tissu de mon caleçon se tendre comme rarement et je devais lutter contre l’envie de me branler. Je restais à nouveau figé, le temps semblant figé.
Au bout d’un moment, je senti la main d’Alain bouger et remonter légèrement. Ses doigts étaient maintenant à ras de mon caleçon et la légère pression qu’il fis sur l’intérieur de ma cuisse me fis pousser un petit cris involontaire. Sa min s’immobilisa, mais très vite, je la sentie reprendre son mouvement lent. Quand je sentis un de ses doigts effleurer mes couilles, je poussa de nouveau un petit cris, et mon bassin fit un mouvement incontrôlé. Alain, qui même s’il ronflait encore ne dormais pas plus que moi, pris cela comme un signal, et glissa doucement sa main dans mon caleçon, et saisie mes couilles qu’il commença à malaxer.
je ne pouvais m’empêcher de gémir, et même si mon bassin faisait des vas et viens incontrôlable, je n’osais toujours pas bouger. Ses mains me massaient les couilles et je sentais un de ses doigts commencer à me caresser de plus en plus pret de mon petit trou. Un peu affolé, je bougea enfin et pris son poignet pour tenter de le repousser. Sa main se ressera sur mes couilles, à la limite de la douleur— laisse toi faire, tu vas aimer. tu ne trouves pas ca agréable ?
Paniqué, je ne savais pas quoi répondre. je senti son emprise se resserrer, cette fois la douleur était bien présente.
— alors, tu n’aimes pas ?— si si, j’aimes...— tu aimes quoi ? que je te serres les couilles ou que je continue mes caresses ?
je sentis l’emprise se refermé encore, et la douleur monter. A ma grande surprise, cela m’excitait et je m’entendis répondre d’une toute petite vois:— que tu me serres les couilles
Alain sembla surpris, et je distingua dan sla pénombre un petit sourire. Sans relâcher son emprise, il me dit— oh, vraiment ? je suis tombé sur une petite chienne, on va bien s’amuser... tu vas m’obéir, tu vas être à moi.
Ces quelques mots m’électrisèrent , je sentis ma petite queue durcir encore et je répondis, toujours d’une voix très faible— oui, je ferais ce que tu voudras
Alain ne répondit pas, mais je sentis son malaxage reprendre, plus ferme qu’au début, et un de ses doigts me caressait maintenant mon petit trou. Je ne pu m’empêcher d’écarter les jambes pour lui faciliter l’acces.— Oh oui, une vrai chienne! mais pas si vite, c’est pas toi qui décide ici, je m’occuperai de ton cul quand je le voudrais.
Ces mots crus m’éxcitèrent encore un peu plus, et j’avais l’impression que j’allais jouir sans qu’on me touche.
— Tu as deja été avec un homme ?— non, jamais— on ne dirais pas, ma petite chienne. je vais bien te dresser, tu vas être mon jouet.
ne répondant pas, je sentis mes couilles écrasées par une poigne de fer, je poussais un cris de douleur et de plaisir.
— répond quand je te parle ! tu vas etre mon jouet ?— oui
la poigne se rafermi
— oui qui ?— oui.... maitre?c’était sorti tout seul, et cela sembla satisfaire Alain qui dessera un peu sa prise.
— c’est bien, tu apprends vitesentant la prise se ressérer, je répondis rapidement— merci maitre
— Très bien, je t’ai vu me reluquer à la plage, mais tu étais encore un gamin. tu t’es branlé en pensant à moi— oui maitre. la honte de l’avouer était largement dépassée par l’excitation que je ressentais, j’avais l’impression que mon cerveau était éteins.— tu es assez veiux maintenant, je vais faire ton éducation. Tu as aimé mater ma bite tout à l’heure ?— oui maitre-alors maintenant tu vas la gouter !
je degluti, saisi à nouveau par un début de panique. Ne répondant pas, je senti mes couilles me lancer sous la pression et m’empressa de dire "oui maitre" tout en tendant la main pour toucher son sexe. La douleur fut fulgurante.— je ne t’ai pas dis de me branler, je t’ai dis de me sucer ! tout en disant ca, il se mis à genoux à coté de moi, à la hauteur de mon visage— commence par te servir de ta langue
la légère lumière qui arrivait par la fenetre me permettais de bien voir, à quelques centimètres de mes yeux, les couilles enormes d’Alain, et sa bite bien dur, luisante.Sans réfléchir , j’ouvris la bouche et commenca à lecher doucement sa verge. C’etait chaud, brulant meme, l’odeur forte mais envoutante. je continuai de lecher sa hampe, remontant vers le gland qui me semblait énorme. Le gout y était plus fort, et sa mouille gluante me recouvri la langue. j’adorais.— c’est bien ma petite chienne, tu es douée, j’en étais sur. il posa une main sur ma tete te me caressa les cheveux.— continu
j’obéi et continua à le lecher de haut en bas. Ses couilles rasées étaient délicieuses. 
— Suce moi
sans répondre, j’ouvris la bouche et pris ce gland énorme . J’avais du mal à le faire entrer et je sentis Alain appuyer sur ma tête pour m’y aider.
Je sentis d’un coup une douleur très agréable : Alain venait de me pincer un téton.
— Attention à tes dents, que tes lèvres et ta langue
je m’appliquais à suivre ses conseilles et bientot j’avais tout son sexe en bouche. A chaque vas et viens, il appuyait un peu plus fort sur ma tete et je sentis bientot mon nez toucher son pubis lisse et doux. Cela dura un bon moment , j’alternais les allez retour profond avec de graznds coups de langues. Alain soufflait et gémissait, et je m’en sentais étrangement fier et excité. Je n’avais pas débandé. Alain continuai de jouer avec mon téton ce qui me faisais pousser de petits cris.
il fini par sortir de ma bouche et se mis à califourchon au dessus de moi, pret pour un 69. on ne m’avais jamais sucé, et j’étais préssé de connaitres ca. Mais Alain me dit:— tu as bien travaillé, mais tu ne merites pas encore ta récompense. Je m’occuperais de ta petite bite quand je l’aurais décidé.
Un peu vexé par cette critique de mon membre (je ne suis pas tres bien monté, je le sais) je fus néamoins exité par cette humiliation et par la vision de ces enormes couilles lisses pendantes au dessus de moi.
Alain me fit une pichenette sur le gland, ce qui me fit très mal, car je bandais à fond depuis plus d’une heure.— Reponds moi chienne ! as tu mérité que je te fasses plaisir— non maitre— Tu vas faire quoi pour me faire plaisir ?ne sachant que répondre je dis : — Ce que vous voudrez maitre— C’est très bien, alors reprend où tu en étais !
j’ouvris donc la bouche et goba une des couilles, l’aspira, la lecha, puis je passa à l’autre. Elles étaient trop grosses pour entrées toutes les deux dans ma bouche. Alain changeait regulierement de position au dessus de moi, pour que je puisse alterner mon jeu avec ses couilles avec de profondes fellations. Il appuyait son bassin de plus en plus quand je le suçais, et je sentais maintenant son gland au fond de ma gorge, m’etouffant par moment. Alain décidait quand il se reculait pour que je puisse respirer.
Pendant ce temps, je sentais ses doigts me carresser l’anus et y pénétrer, d’abord un, puis deux— tu es bien serrée ma chienne, j’adore les pucelles
ces mots me firent un peu peur, surtout en sentant la largeur de sa queue que j’avais à ce moment bien au fond de ma bouche.
Alain se retira d’un coup, et me dis d’un ton sec:— a quatre pattes ma chienne !— oui maitre
je m’executais et me tourna dos à lui— bien cambré, les épaules sur le lit !
une fois encore j’obéis, et je me sentis à la fois humilié et excité d’être ainsi exposé. Mais je n’eu pas le temps d’y penser, je sentis sa langue sur ma rosette et je ne pu me retenir de crier à nouveau. Je la sentais me lecher, et petit à petit forcer l’entrée. N’y tenant plus, je pris mon sexe en main pour me branler.la sanction fu immédiate. Une claque bien sèche claqua sur mon fessier alors tendu bien en l’air— Pas touche !!! je ne t’ai pas autorisé— pardon maitre
une autre claque partie et m’arracha un petit cri— tu aimes ca hein ?— oui maitreet c’était vrai. Alain continua sa fessée, m’arrachant des petits gloussements de plaisir. Il saisi mes couilles qui pendaient devant lui et repris son petit jeux de malaxage/serrage tout en me fessant. Quand il se lassa, il repris son travail de langue sur mon petit trou. Je devenais fou, la queue douloureuse, les hanches s’agitant dans tous les sens. Il alternait maintenant la langue et les doigts dans mon trou.— Je ne vais pas te prendre se soir, tu restera encore pucelle un moment— pourquoi maitreClaque ! une fessée— Tu ne poses pas de question !— bien maitre, pardon.Je senti une caresse douce sur ma fesse— Je n’ai pas de capotes, ni de gel. Il faut toujours etre prudent, et sans gel, je vais te dechirer. mais ce n’est que partie remise, ton cul est fait pour prendre des bites !tout en disant ca, je sentais un doigts me fouiller et de l’autre main il m’effleurait le sexe. La torture etait atroce tant je voulais jouir— mais on n’a pas fini, il te reste un teste à passer pour savoir si tu es digne de recevoir mon éducationil sorti son doigt et je senti sa main saisir mon sexe et me branler tout doucement mais en etirant la peau au maximum. Je ne pu tenir que 2 aller-retours ainsi et joui une quantité de sperme qui me sembla inhumaine. Mes couilles me firent mal tellement elles etaient pleines.
— c’est très bien, maintenant tourne toi j’obéis et le vis me tendre la main, paume vers le haut. Je ne compris pas jusqu’à ce qu’il me dise — Leche !sa main avait recueilli toute ma jute. Sans reflechir, je me pencha et sorti ma langue pour gouter. C’étais salé et gluant.— Boit toutj’obéis et lecha sa main jusqu’à ce quelle soit propre
— C’est très bien, je suis fier de toi. tu as aimé ?— oui maitre
et c’était vrai, je commençais deja à rebander rien qu’a l’idée de ce que je venais de faire
— C’est encore meilleur à la source...
en disant cela, il posa la main sur ma tête et la dirigea vers son sexe qui n’etait plus qu’à moitié bandé.
sans hésité, je le pris en bouche. Très vite je le senti grossir entre me levres, et je senti sa main caresser doucement mon sexe à nouveau dur, et de l’autre, il jouait avec mon teton
— attention, je ne veux pas une goute par terre, ou tu sera puni 
l’idée me traversa l’esprit de faire exprès d’en laisser tomber, juste pour la punition, mais le ton me laisser penser que ce serait assez sévère.
je senti son sexe durcir encore, sa respiration accélérée, et d’un coup, il appuya sur ma tête plus fort que les autres fois, me maintenant en place alors que je sentais ma bouche se remplir d’un liquide au gout différent du mien : plus chaud, plus salé. j’adorais. j’avalais aussi vite que je pouvais, mais je senti des goutes glisser le long de mon menton. Alain fini par relacher ma tete, se retira et s’allongea sur le dos
— c’est tres bien ma chienne, c’est un très bon début. je suis fier de toi.— merci maitre.— je vais m’occuper de ton dressage, tu vas adorer— oui maitre.il avait dit ses mot en caressant mon sexe toujours dur
— dors maintenant, il faut être en forme demain, tu ne voudrais pas que tout le monde voit que tu as baisé toute la nuit !
à cette pensée, je débandais d’un coups, ce qui fit rire Alain— c’est bien, la discretion est la première chose à apprendre.
il s’endormis sur le dos, et épuisé, je ne tardais pas à faire de meme.
Je me reveilla le premier, et vis Alain en plein jour, couché à coté de mois. Pas très grand, pas très beau, assez gros, il m’excita instantanément, et je le reveilla en lui faisiant une pipe comme j’avais appris à le faire quelques heures avant. Visiblement mis de bonne humeur par ce reveil, il m’attira pret de lui et commença aussi à me sucer. Cette sensation nouvelle pour moi était délicieuse. C’était chaud et doux. Il me semblait très doué, même si je n’avais pas de point de comparaison. Lorsqu’il introduit un doigt dans mon cul, je ne pu me retenir de jouir dans sa bouche. Je pensait être puni pour ca, mais il se mis au dessus de mon visage, et appuyant sur mes joues, il me fit ouvrir la bouche, puis laissa couler mon sperme mélangé à sa salive dans ma bouche. J’avalais tout, puis recommença à le sucer. Il fut long à venir, malgré tous mes efforts. Il me doigtais doucement pendant que je le sucais. Il fini par jouir, et une fois encore, j’avalais tout.
— C’est très bien, tu n’en n’as pas perdu une goute. Il me roula alors une pelle, sa langue me fouillant, jouant avec ma langue. Surpris par ce geste, je reste sans voix.
— Tu l’as mérité, maintenant, file à la douche, on doit t’attendre pour le petit déjeuner.
je couru sous la douche, persuadé qu’il allait m’y rejoindre, mais non. Quand j’en ressorti, je trouva un mot sur le lit:"Sois chez moi samedi à 14h00"

...... à suivre
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