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Découverte du sauna avec mon maitre

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Hier, onze heures trente, belle journée de juin, message sur Skype :
« Je suis arrivé, je t’attends. »
Mon cœur s’accélère dès que je le lis. Cela fait des semaines qu’IL veut que j’aille seule au sauna. «IL», c’est mon Maître depuis maintenant bientôt deux ans. Moi, je suis son soumis ou plutôt sa soumise : je suis sa travestie à chaque rencontre ou cam virtuelle et ... j’adore ça. Nous nous voyons de temps en temps, dans un hôtel, mais cela fait plusieurs mois que je ne l’ai pas vu. Pas assez souvent. Frustré, il veut que j’aille entraîner ma chatte dans un sauna gay bien connu de Paris. Mais je n’ai pas osé franchir le pas. Plus que de croiser d’autres personnes dans ce lieu de débauche, c’est surtout de me retrouver devant d’autres hommes sans mes habits de petite cochonne délurée qui me freine. Mais, si je veux le revoir, je sais que je dois le retrouver avant douze heures trente dans ce sauna. Pas d’autres solutions que de m’y rendre, la peur de le perdre fait place à la raison. Je me décide à y aller.
Je passe deux fois rapidement devant l’entrée, hésite encore, mais ose franchir la porte. Je ne rougis presque pas en demandant une entrée. On me donne une serviette et m’indique où me changer. Dans le vestiaire je me retrouve à poil devant un mec qui se change aussi ; premier moment de gêne. Je visite les lieux, hammam, sauna, salons, en essayant de trouver mon Maître mais IL n’est pas là. M’aurait-il menti afin de me forcer la main ? Non ce n’est pas dans son style. Je décide de m’allonger sur un transat au bord de la piscine, et d’attendre. La population est plutôt âgée et je dois être une des plus jeunes. Certains hommes sont clairement en chasse, ils me regardent, me dévisagent et je ne me sens pas très à l’aise à côté de ces habitués. Je me sens la seule débutante.
IL arrive, enfin. Un grand ouf de soulagement et d’envie. Dès que je le vois, la soumise en moi prend instantanément le relais. Je ne vois plus que lui, lui et lui seul, pour mon plaisir, je m’abandonne à ses ordres.Il me fait visiter le hammam, le ciné, les salons. Il me rassure ou plutôt sa présence me rassure. Il décide de m’emmener au hammam. Nous nous installons face à une ou deux personnes, la vue brouillée par la vapeur parfumée ; j’ai encore ma serviette autour des hanches. Mon Maître, voyant ma gêne, me demande avec sa voix autoritaire :
« Enlève-la, écarte bien tes jambes. »
Il tombe alors sa serviette :
« Branle-moi. »
Je ne réfléchis pas trop et m’exécute immédiatement. Sous l’effet de mes caresses, sa queue prend du volume et il bande fortement. J’aime sa forme, sa longueur, son épaisseur, je suis surtout fière de l’effet que je produis sur lui.Il me demande à voix haute :
« Ma queue t’a manqué ? » « Oui Maître, beaucoup. »
J’oublie que nous ne sommes pas seuls, je commence à être dans ma bulle. Dans le hammam, la douce chaleur monte et, ajoutée à celle de nos jeux érotiques, elle devient insupportable. Maître n’en peut plus :
« On sort, suis moi, prends des capotes et du gel en quantité au passage. »
Il l’a dit si fortement que plusieurs personnes ont dû entendre, ce n’est pas grand-chose, mais ça me met mal à l’aise. Il me fait entrer dans un salon privé, referme la porte, à mon grand soulagement. Personne ne pourra entrer et je pourrai profiter seule de Maître. Il m’inspecte afin de vérifier que ma chatte et mon clito soient bien lisses, comme il me l’a ordonné. C’est la première fois que je suis nue devant lui, sans habits de travestie, sans lingerie, sans accessoire de soumise. Les vêtements me manquent. Que va-t-il penser de moi sans mes colifichets, va-t-il apprécier mon corps, mon épilation ?
En réponse à mes questions muettes, il me tend une capote :
« Mets-toi à genoux et suce-moi. »
C’est le déclic, je rebascule en mode salope en manque de queue. L’appréhension s’est magiquement volatilisée, les habits sont oubliés, je vais pouvoir profiter et déguster mon maître. Je n’ai pas sucé sa grosse et belle queue depuis longtemps, trop longtemps. Affamée, je me jette dessus, avec la bouche, j’enfile la capote, tout en le regardant. Enfin... je LE suce. Longuement. A genoux, en le regardant, comme une bonne soumise. Il m’ordonne de lui lécher les boules, de le prendre le plus profondément possible, de lui sucer le gland. Pour mon plus grand bonheur je m’exécute avec délectation. Sa queue, après le hammam, est pleine de sueur, de transpiration. Il me biffle, m’écrase sa bite sur la figure, il s’essuie littéralement sur mon visage, me marque de son odeur ; je lui appartiens et j’aime ça. Dans le miroir, je me vois le sucer, il appuie fortement sur ma tête pour que j’essaye de l’avaler entièrement. A chaque fois je suis à deux doigts de vomir. Avec son membre enfoncé dans ma gorge, j’étouffe mais je tiens bon. Excité, il repart à l’assaut, il en veut plus.
« Allonge-toi, tête renversée, je vais te baiser la bouche. »
A ses ordres, je m’allonge, ses deux mains sur la tête, il prend mon visage, me baise la bouche comme promis, essayant d’aller plus loin à chaque coup de butoir. Il va très loin, très vite. J’ai de nombreux haut-le-cœur. La gorge profonde ce n’est pas encore mon truc, malgré mon entraînement avec mes différents godes de différentes tailles. Mais aucun n’a la puissance de la queue de mon Maître.
« Assez, je vais te fesser pour te récompenser. »
IL sait que j’adore avoir le cul rougi par ses mains. La fessée est forte, très forte. Chaque claque résonne. Clac, clac, clac ... cela doit s’entendre du couloir. Mes fesses et ses mains sont écarlates, mais là pas de honte, que du plaisir. Pour moi, pour mon Maître, à l’heure où j’écris ces lignes je ressens encore la douleur quand je m’assois...Mais Maître a envie de moi.
« Mets-toi à quatre pattes face au sol, cambre-toi, relève ta croupe, je vais dilater ta petite chatte, doucement. »
Il me met un doigt puis deux, les fait tourner doucement, de plus en plus loin. Le lubrifiant manque, il me montre le paquet vide et me dit :
« Va en chercher. »« Non je garde ta serviette. »
L’ordre claque, je sors, nue, un peu honteuse malgré l’excitation. Je croise deux ou trois personnes qui ont dû entendre les claques sur mon cul et qui me regardent avec gourmandise, dommage pour eux, je ne suis là que pour mon maître.Je trouve le lubrifiant et reviens dans la cabine, de suite, je reprends ma position. Maître me remet deux puis trois doigts plus facilement ; le plaisir augmente.
« Tu es chaude, tu aimes ça, empale-toi sur mes doigts. »
Je m’empresse d’obéir. Quel plaisir que ses doigts qui me servent de gode. Dans le miroir, l’image est troublante, déstabilisante: je ne me reconnais pas. Suis-je autant chienne que ça ? Sûrement, car le plaisir augmente, je chauffe, mon clito coule tout seul. Maître m’emmène près de la jouissance.
« Tu couines comme une bonne petite femelle, ta chatte est prête à me recevoir, reste comme ça, je vais te prendre en levrette face à la glace. »
Obéissante, je ne bouge pas. Il passe derrière moi. Enfin, je sens sa queue près de mon petit trou, depuis le temps que j’attendais ce moment. Sans trop d’effort sa queue me pénètre doucement, que du plaisir, sa préparation fait que je suis déjà bien ouverte. Régulièrement il augmente le rythme. Je le vois s’activer derrière moi, en moi, les petits coups du départ deviennent de grands coups de boutoir. C’est puissant, violent, mais qu’est-ce que j’aime ça ! Quel plaisir de le sentir de nouveau en moi. Que j’aime sa queue, que j’aime sa possession. On change de position plusieurs fois. Le rythme, la puissance et le plaisir restent les mêmes.
« Choisis la prochaine position. » « L’amazone Maître. »
L’amazone, lui couché, moi accroupie dessus, m’empalant sur sa queue. Une de mes positions préférées. Je peux décider de la profondeur et du rythme. C’est cette position qui me fait jouir avec mes godes. Mais aujourd’hui, seul le plaisir de mon Maître importe. Après de longues minutes d’empalement et d’extase commune, Maître reprend les choses en main :
« Mets-toi debout les mains contre la porte, cambre bien ton petit cul, je vais te reprendre. »
Quel plaisir de cette situation, mon clito coule encore et encore tout seul.
《 Allonge-toi sur le dos, remonte tes jambes. »
Je m’exécute, il se met à genoux, prends mes jambes et les repose sur ses épaules. IL est au plus profond de moi, sa puissance est grande, son rythme augmente. Il me pilonne, encore et encore ; c’est bon. Je perds la notion du temps, je me sens minuscule devant lui. Il prend son pied ainsi, quel plaisir de sentir ses contractions juste avant qu’il ne jouisse en moi. Savoir que je lui fais tant d’effet me fait frémir, quel moment intense... Il est maintenant temps d’aller sous la douche après ce pur plaisir.Maître me demande de le laver, pendant ma lente inspection de son corps, il me doigte le cul. Un homme qui se douche nous regarde avec envie, mais rien pour lui, Maître veut montrer sa domination, et ma soumission.
Séchage, vestiaire, devant lui, je mets la petite culotte que j’ai portée pour lui le reste de la journée, on se dit au revoir. Avant de partir, il me demande d’écrire un compte rendu de cette expérience. Le voilà.
Vivement la prochaine fois, que ce soit hôtel ou sauna, peu importe, je sais que je prendrai mon pied, que mon Maître aussi et qu’il pourra être une fois de plus fier de moi... Mon plaisir mais son plaisir avant tout... comme une bonne soumise.
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