AVERTISSEMENT : Cette histoire parle de zoophilie, ceux a qui ça ne plaît pas n’ont qu’à l’ignorer. Un soir en arrivant au cinéma pour une nouvelle " séance " Linda fut surprise. Un énorme videur noir qui tient un chien malinois en laisse lui ouvre la porte. Elle est accueillie par plusieurs jeunes qui après l’avoir déshabillée la conduisent sur la scène. Le rideau s’ouvre sur un décor très sobre, un immense sofa bleu flanqué de deux tables de chevet sur lesquelles des lampes distillent une lumière orangée.Elle remarque qu’une caméra a été installée dans un coin. Une jeune femme vêtue d’un pantalon, d’une veste et d’une casquette en cuir la rejoint. L’écran géant s’allume et une musique indienne crée un climat d’intimité. Elle ôte sa casquette et secoue sa chevelure blonde. Elle ouvre sa veste de cuir. Un soutien-gorge clouté munie de deux larges ouvertures dans les bonnets laisse sortir la moitié de ses deux seins magnifiques. Elle enlace Linda et l’entraîne dans un slow langoureux. L’écran vidéo projette leurs visages en gros plans, la lumière orangée donne à cette scène un air surréaliste. La jeune femme blonde sert Linda de près. Ses mains se promènent sur les fesses et les seins de Linda. Tout en dansant, une main s’insère entre les jambes de Linda. Son visage est sur l’écran, sa tête est enfouie dans les cheveux blonds, les yeux fermés, elle se laisse aller à la caresse.Les images vidéo s’attardent sur la chute de ses reins, sur l’ovale de son visage. Elle ne semble nullement troublée. Elle ne voit rien dans la salle plongée dans le noir.La femme invite Linda à prendre place sur le divan. Elle s’assoit à ses côtés et la prend par les épaules. Elle lui dépose un baiser sur les lèvres. Elle retire son soutien-gorge, ses seins n’ont rien à envier en beauté à ceux de Linda. Dos au public et face à Linda elle fait glisser à présent son pantalon de cuir. Le visage de Linda sur l’écran retient l’attention de tous car une expression d’étonnement et de confusion y transparaîtLa jeune femme est à présent absolument nue de dos, ses fesses rebondies et la courbe de ses reins parfaite laisse la salle silencieuse. Elle se retourne d’un bloc et une immense clameur soulève le public. En pleine lumière crue d’un projecteur et en gros plan sur la vidéo, un sexe masculin à moitié bandé apparaît. Elle (il) est en réalité un travesti. C’est un homme avec deux seins et le corps complètement rasé. Il prend Linda par la main qui se lève du sofa. Elle est à la fois surprise et resplendissante à ses côtés. Ils font un salut à la salle, la lumière et l’écran s’éteignent et le rideau tombe. Le colosse noir de l’entrée s’adresse au public à la foule et avertit que la seconde partie du spectacle va recommencer dans quelques minutes.La lumière de la salle s’éteint à nouveau, le rideau se lève une nouvelle fois.Apparemment le même décor sur la scène mais la lumière orangée est très faible et l’on distingue mal, si une ou deux silhouettes sont couchées sur le canapé.L’écran s’allume et la lumière reprend de l’intensité. Linda couchée sur le divan, la tête tournée vers le public, prodigue au travesti qui est debout une caresse vieille comme le monde. En gros plan, la bite transsexuelle va-et-vient dans sa bouche, d’une main elle lui masse les testicules. L’homme en profite pour se coucher sur elle en position 69. Des deux mains il lui écarte la chatte finement ourlée, en gros plan le clitoris bandé, les petites lèvres, l’intérieur rose et trempé du réceptacle. Linda reprend la bite dans sa bouche. Ne pouvant se retenir plus longtemps, l’homme hurle et expulse sa semence. Puis il lui prend le menton, la forçant à le regarder dans les yeux, il discute un instant avec elle, mais nul ne pouvait entendre leur conversation. Linda comme une enfant baisse la tête et acquiesce. Il l’embrasse sur les lèvres, la serre contre lui, leurs seins se frottent, leurs langues se mêlent et leur baiser devint passionné, provoquant. Alors, se tournant face au public, l’homme signifie que sa partenaire, dont le désir n’a pas été comblé, désire faire l’amour avec un mâle, " un vrai " dit-il en souriant. Des huées montent de la salle, quelques phrases vicelardes fusent mais personne ne se fait connaître. L’homme insiste et pour mieux inciter un éventuel amateur, l’écran vidéo retransmet quelques images de Linda sagement assise sur le divan, les jambes repliées sous elle. Lorsqu’elle voit ses seins sur l’écran, elle a un large sourire. Elle est désarmante de beauté et de tendresse. Je suis un peu déçu par votre manque de coopération, Mademoiselle est pourtant jolie, douce et très agréable. Je vais devoir faire appel à Léo qui reste le seul mâle. Si toutefois Mademoiselle l’accepte. Alors apparaît dans la lumière tamisée de la scène, en peignoir vert, le colosse noir qui gardait l’entrée. Il est immense, plus de deux mètres, des mains et des lèvres énormes, un monstre de muscles.Il ouvre son peignoir, de la salle monte un murmure de stupéfaction, ce n’est pas la beauté de son corps musclé, mais l’ampleur du désir qu’a suscité en lui le spectacle de Linda lors de ses ébats. Prenant Linda dans ses bras, comme un fétu de paille, il se couche sur le divan, Linda à califourchon sur lui. L’écran vidéo retransmet en gros plan son sexe érigé, les petites fesses et l’entrée humide de la chatte de Linda. Avec une adresse de satyre, l’acteur s’empare du corps gracile et se l’approprie d’une longue poussée jusqu’à se souder à lui, à l’énorme surprise de tout le monde. La grosse bite entreprend son mouvement de va et vient et il prouve généreusement sans hâte à Linda que celle-ci lui plaît infiniment.Quelques minutes de pistonnage passent et un éclat de rire général secoue la salle, assit dans la pénombre, à côté de son maître, le berger malinois attend sagement que celui-ci ait conclu. Tout en continuant de limer la petite chatte rose, le colosse fait signe à son chien.Le public retient son souffle. Les deux grosses mains du colosse, chacune couvrant largement une fesse, les écartent sans ménagement. La langue rose du chien lèche de haut en bas la raie culière et s’attarde quelquefois sur le gros mandrin noir qui va-et-vient dans le trou du dessous. Linda est aux anges, égarée, le cerveau vide, enfin comblée par des ardeurs masculines aux moyens redoutables. Elle cède aux caprices de ses amants sans plus réaliser où elle se trouve.Sa grotte ruisselante est pour le chien comme une invitation car d’un bond des deux pattes avant, il s’accroche aux hanches satinées.Le sexe canin est devenu long d’environ une quinzaine de cm et d’un diamètre de quatre cm. Linda sent le sexe bestial. Le grand noir le prend en main et le guide vers sa chatte. Le canidé trouve rapidement l’entrée. Dans un cri de bonheur Linda est prise en sandwich par le noir et son chien.Sur l’écran, les images de ces trois corps imbriqués sont d’une intensité sexuelle folle. Linda, le cul bien en l’air, se fait limer à qui mieux-mieux par le chien et le noir qui pistonnent sa chatte avec avidité. Les griffes du chien commencent à marquer la peau ambrée de son dos de striures rouges.Linda crie de plus en plus fort. Elle est en transe et répond aux coups de butoir de ses " violeurs " par des mouvements de bassin incontrôlés. La bouche ouverte, elle profite du plaisir intense que lui procure cette étreinte bestiale. L’animal commence à s’épancher. Sa semence coule dans la chatte. Le chien couché sur son dos, la tête posée sur son épaule, accélère encore l’allure tout en poussant de petits aboiements. Malgré le contrôle qu’il exerce sur ses sens, le noir s’avise qu’il va être emporté prématurément par son plaisir. Il ne s’attendait pas à trouver une fille aussi chaude et aussi salope. Alors d’un coup, le noir agrippe les hanches de Linda. Son visage a un rictus, son corps s’arc-boute. Le chien de son côté s’enfonce plus encore dans les entrailles et pousse sur ses pattes arrière. Linda, les seins gonflés par la jouissance, pousse un cri rauque. Le noir et le chien se vident d’un même élan dans son corps magnifique. Son sexe en gros plan sur l’écran déborde de semence blanchâtre. La foule jusqu’alors silencieuse s’agite. On entend dans la pénombre des gémissements, des spectateurs trop excités n’ont pu résister au spectacle et se branlent. Aussi vite qu’il est monté sur le canapé, le chien retire dans un bruit spongieux son sexe violacé de la chatte de Linda et saute à terre en se secouant. Le noir sort du réceptacle sa bite débandée qui pourtant reste de belle taille. Linda repue de plaisir se laisse tomber sur le côté, impudiquement les jambes ouvertes. On voit s’échapper de son trou béant les deux spermes mélangés. Quatre hommes trop excités sautent sur la scène et rapidement sortent leurs sexes gonflés de désir. Mais l’idée de clouer de leurs bites raidies le corps de Linda après y avoir vu s’introduire la bite canine les arrêtent. D’une main ferme ils se branlent rapidement. Linda tente de se lever, mais le gorille noir la retient. Dans un accord parfait les quatre membres éjaculent. Linda le visage, les yeux, les seins, la bouche envahie de sperme, finalement vaincue, se laisse maculer. Le rideau de scène tombe, l’écran vidéo s’éteint. Linda se retrouve à nouveau à la rue, nue et couverte de sperme qui dégouline sur tout son corps. Elle n’essaye même pas de se rhabiller. Elle recouvre le siège de la voiture de ses vêtements pour ne pas le tâcher et c’est entièrement nue qu’elle rentre chez elle. Elle se rend compte qu’elle a franchi un nouveau pas. Elle se trouvait dans une situation où elle pouvait difficilement refuser cette relation avec le chien. Elle ne s’y est pas opposée et a pris du plaisir. Est-elle prête à poursuivre dans sa quête du plaisir ?
