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Ma découverte du sexe entre hommes

Chapitre 1

Dépucelé par un homme mûr

Gay
Bonjour, je suis nouveau sur ce site et j’ai aimé découvrir les histoires de chacun, si bien qu’aujourd’hui je tente à mon tour. Même si j’aime les lire, écrire une histoire qui ne m’est pas arrivée ne m’intéresse pas plus que ça c’est pourquoi je ne vous présenterai que des faits réels, des choses qui me sont arrivées et dont j’ai toujours voulu parler. Je dois avouer trouver un côté excitant à conter un récit publiquement, et anonymement, sans retenue aucune, décrire mes expériences les plus intimes et les plus secrètes et savoir qu’elles sont lues. En recevoir des retours, des commentaires et en discuter par la suite avec vous, lecteurs, est une idée qui m’intéresse aussi beaucoup. Voici donc le récit des expériences qui ont forgé ma sexualité et qui m’ont ouvert au monde du sexe entre hommes.
Je vais commencer et vous situer le contexte, mais sans trop en dire sur ma personne, j’aime me savoir dans l’anonymat le plus complet, et apprécie pouvoir vous laisser libres de vous imaginer dans ma peau, à ma place. Je suis un jeune étudiant, et j’ai aujourd’hui 21 ans, mais l’aventure que je m’apprête à vous décrire se déroule en 2017, lorsque je n’en avais encore que 18. J’ai les cheveux mi-longs, blonds et bouclés et mesure 1m75 pour environ 65kg, relativement sec donc, mais bien bâti et plutôt mignon.
Tout juste sorti de ma première année d’IUT, je suis comme beaucoup d’étudiants, plutôt fêtard. Je fréquente plusieurs femmes, toutes plus ou moins de ma tranche d’âge, entre 18 et 22 ans. Rien de bien sérieux, mais en tout cas je m’éclate, et je découvre les joies du sexe avec des femmes qui par chance sont assez libérées. Je suis très ouvert d’esprit, et suis gentil et respectueux, donc j’ai la capacité de mettre les gens à l’aise rapidement, ce qui me permet inconsciemment d’attirer à moi des femmes ouvertes et envieuse de tenter de nouvelles expériences et donne lieu donc, à des expériences passionnées. Je n’ai jamais aimé d’homme et n’en aimerai probablement jamais aucun car mes sentiments depuis toujours ne vont qu’aux femmes, mais aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours été pris de chaleurs incontrôlées à la vue d’un pénis. La particularité chez moi, c’est que jamais ne m’est venu l’envie de coucher avec un jeune homme de mon âge, jamais ils ne m’ont attiré. En revanche, les hommes mûrs, eux, ont le don de m’émoustiller depuis le début de ma puberté. L’idée qu’un homme viril, comme mon oncle, un enseignant ou un inconnu puisse se servir de moi pour assouvir ses désirs les plus inavoués m’excite profondément, et me hante régulièrement. Ces envies surviennent dans ma vie par période, la plupart du temps je n’y pense pas, mais parfois, il arrive que je sois pris de fortes pulsions de désirs envers les hommes, incontrôlables.
Seulement voilà, j’ai atteint la majorité, on est en plein mois d’août c’est les vacances et je commence à me lasser de ma copine du moment, qui dans les faits, est plutôt un plan cul régulier. 
Un après-midi seul chez mon paternel, me voilà brûlant de l’intérieur. La veille, l’idée de sucer une bite me traversait l’esprit, mais aussitôt là elle reparti et je n’y pensait plus, mais aujourd’hui me voilà brûlant de l’intérieur à l’idée de me faire chevaucher par un homme. Mon gigantesque voisin noir, mon oncle, un inconnu, peu importe qui mais mon corps me le demande, plus que jamais il l’exige. Cependant trop soucieux de ma réputation je me dis que jamais ça n’arrivera, ici tout le monde me connaît, que se passerait-il si quelqu’un apprenait mon penchant pour les mecs ? 
Soudain, l’idée me vient de m’inscrire sur un site de rencontre, je me dis qu’en anonyme personne ne fera le lien vers moi donc pas de risque, et puis ce sera plus excitant que de me toucher sur des pornos. À ce moment-là je pense qu’il est impossible pour un ado comme moi de coucher avec un adulte plus âgé, que les hommes qui depuis tant de temps m’attirent et nourrissent mes fantasmes, les hommes mûrs et virils ne s’intéressent pas aux minets comme moi. Mais je finis par m’inscrire “juste pour voir”.
Je crée mon compte, j’indique mon âge, rédige une description standard décrivant ma bisexualité et l’envie pour moi d’assouvir des fantasmes trop longtemps refoulés. Je ne montre pas mon visage, n’indique que ma localisation approximative et comme je suis torse nu, j’en profite pour prendre une photo de mon corps et l’ajouter à mon profil.
En visitant un peu le site internet, je suis pris d’une excitation que jamais je n’avais connue avant. Des hommes bien plus âgés que moi, et par dizaines qui décrivent leurs plus grands fantasmes sous leur profil et… déjà 2 notifications qui s’affichent à l’écran. Autant vous dire que j’ai passé ma journée à chatter en ligne, c’était pour moi impensable auparavant mais je reçois des messages d’hommes mûrs par dizaine, tous intéressés par mon profil, excités par ma photo.
L’un d’eux travaille non loin de chez moi et me propose un rendez-vous une fois la nuit tombée. Il n’est pas particulièrement beau, mais de loin pas repoussant et c’est un homme et il me propose un rendez-vous alors ça suffit à me chambouler. L’excitation monte encore mais aussi et surtout la peur, jamais en me connectant ce jour-là je n’avais considéré la possibilité que l’on me propose un rendez-vous, je suis totalement pris de court. Fasciné tout de même et monstrueusement désireux de goûter enfin à cela, j’accepte sa requête par peur qu’il ne change d’avis et qu’il décline. Je lui envoie une photo de mon visage pour être sûr de lui plaire et je constate qu’il aime beaucoup. J’insiste sur mon envie de discrétion, il m’exprime son entière compréhension et me rassure, “on se voit” dit-il, “on parle, et si tu veux tenter l’expérience on le fera mais sinon aucun souci on repart chacun de notre côté et nos vies continuent”. Puis il me demande ce qui m’attire, se renseigne sur mes désirs, mes fantasmes. Je lui explique que l’idée de sucer un homme me démange depuis bien longtemps, celle de me faire prendre aussi. Pas de problème pour lui, il semble très impatient et enfin, nous fixons une heure et un lieu de rendez-vous.“À tout à l’heure mon mignon”, il se déconnecte.

À ce moment-là, immédiatement, l’excitation redescend chez moi, non pas que je n’en ai pas envie, bien sûr que si, mais j’ai peur. Je viens tout juste de donner rendez-vous à un homme de 46 ans, il pourrait être mon père et c’est un total inconnu. En parlant de mon père, il est tout juste rentré. Je lui explique tout de même que je vais “voir une copine ce soir”, s’il savait. Je doute, et hésite à annuler, je suis tellement effrayé par tout cela que je décline le repas que mon père prépare. Après une bonne douche pour me détendre, une bière, je me dis que l’occasion est trop belle. Alors une fois la nuit tombée, je prends mon courage à deux mains et avec mon vélo je me dirige vers le point de rendez-vous. 
On se rejoint sur le parking d’un Leclerc, non loin d’un chemin discret, au bout de ce chemin, une forêt. Je porte un short de foot noir, un gilet blanc, il me reconnaît tout de suite et me fait signe de la main. Sans trop oser le regarder, je cadenasse mon vélo et grimpe dans sa voiture côté passager. Il me salue gentiment, lui même semble timide et étonnement ça me met à l’aise, cette situation est incongrue autant pour lui que pour moi. Il est vêtu d’un jogging basique, d’un t-shirt tout autant basique et sens plutôt bon. On démarre, et on emprunte le chemin, on avance sous les arbres et l’endroit devient de plus en plus sombre. Il me demande si on a vraiment le droit de venir ici, je dois dire que je n’en suis pas sûr, mais si proche du but je rétorque que oui, “sûrement qu’on a le droit”. Très vite, on aperçoit l’orée de la forêt, on s’arrête, on est assez loin de la ville pour n’être à la vue de personne. 
Il éteint les phares et me propose d’aller à l’arrière, à ce moment-là bizarrement je ne ressens plus aucune peur et ouvre la portière pour aller sur la banquette arrière. Je m’en souviens comme si c’était hier, en fermant la portière derrière moi j’ai abandonné toute timidité, immédiatement j’ai senti mes joues rougir, mais pas par gêne, je brûlais littéralement de désir pour cet homme. Il éteint les phares, le moteur et me rejoint. Silencieux, il s’assoit à côté de moi. Sa voiture est petite mais il avance les sièges, nous laissant l’espace nécessaire pour nous mettre à l’aise. 
Peu bavard durant le trajet, il me demande si j’ai déjà eu des expériences homosexuelles, à quel moment j’ai compris mon désir pour les hommes ou encore pourquoi les hommes de mon âge ne m’intéressent pas. Plus ses questions deviennent intimes, plus je me métamorphose, je sens me gagner des pulsions de plus en plus prononcées, et sans m’en rendre compte, j’observe son entrejambe avec insistance. 
Sa question suivante finit de me bouleverser : “tu veux que j’enlève mon pantalon ?”. Sans répondre un mot, je pose ma main sur sa cuisse. Me regardant droit dans les yeux il ôte son jogging et son caleçon, laissant apparaître un sexe moyen, pas particulièrement grand mais pas petit non plus, il est gonflé et rebondit sur son ventre lorsqu’il se déshabille. Il garde son t-shirt. Son regard est plongé dans le mien, mais le mien va à sa verge et je sens sa main qui, sans prévenir, vient appuyer derrière ma nuque pour me ramener entre ses jambes.  
Me voilà pour la première fois face à un pénis, celui d’un inconnu, un véritable feu brûle en moi. J’en renifle d’abord les odeurs, et en observe les courbes. Malgré l’obscurité j’arrive à percevoir la forme des veines qui le parcourent, le violet de son gland et le nuage de poils qui repose sur son pubis. Tout ça dégage une douce odeur, la plus agréable que j’ai jamais respirée, et me voilà l’embrassant de bout en bout. J’embrasse son gland et soudain sens la main de l’homme plus insistante, alors j’entrouvre les lèvres et accueille son sexe brûlant au sein de ma bouche, le long de ma langue, que je laisse se balader tout autour. À peine ai-je commencé que je sens sa main pénétrer mon short, je gémis de plaisir lorsqu’il vient appuyer sur ma rondelle rose. Je baisse mon short d’une main et l’entends faire couler sur ses doigts un peu de lubrifiant. Il s’y remet pendant que je couine, sa verge butant contre le fond de ma gorge, et me pénètre avec un doigt long et épais. J’ai un peu mal mais les sensations sont incroyables et je le sens buter contre ma prostate, la tapotant en courbant son doigt, je n’ose l’arrêter. Son gland est doux, et je l’entoure de ma langue pour en savourer l’humidité. Je l’entends râler de plaisir et très vite il est pris de spasmes, je me retire par peur qu’il finisse trop vite. 
“On dirait que t’as fais ça toute ta vie” me dit-il en chuchotant, “tu veux que je te prenne ?”. Pas sûr d’être prêt pour ça, mais je lui répond que oui, j’en ai très envie, j’en rêve depuis si longtemps, ce n’est pas le moment de me défiler.
Il enfile un préservatif et m’invite à m’asseoir sur sa bite. Je m’exécute, et m’empale doucement dessus mais très vite j’ai mal et décide de m’arrêter là. Ça ne lui pose pas de problème et il me demande si je veux encore le sucer. J’acquiesce et me penche encore sur son engin. Cette fois bien déterminé à faire jouir cet inconnu, je gobe son membre et le suce en rythme, de plus en plus vite, je m’essaye de temps à autres à lécher ses couilles et les prends en bouche, joue avec, il adore. Je l’entends gémir, respirer fort, et de plus en plus vite. 
Il me chuchote “je sens que ça vient”, et, inarrêtable tant j’aime sentir ma bouche investie par son engin, je continue mon exercice et le suce toujours plus intensément, soudain, ses respirations deviennent plus irrégulières, plus fortes et je sens ses mains appuyer ma tête, je suis entre ses jambes, mon visage contre la toison de son pubis et je sens une giclée chaude et épaisse couler au fond de ma gorge. Chacun de ses sursauts est accompagné d’une giclée supplémentaire et bien vite le goût amer de sa semence parcourt ma bouche toute entière. Je me surprends à aimer ça, à adorer sentir cet inconnu me souiller de l’intérieur, se défouler en moi et décharger son sperme contre ma langue. 
Son orgasme passé, je savoure cette sensation et joue avec cette substance odorante qui comble ma bouche, déborde le long de ma lèvre et coule le long de son pénis. La bouche pleine, je continue mes va-et-vient, il gémit “c’est si bon, continue c’est trop bon”. Je continue jusqu’à ce qu’il débande complètement. J’avale tout pour son plus grand plaisir. Il est aux anges, et pose une main sur ma bite pendant qu’il reprend ses esprits. L’idée de me faire sucer par un homme ne me plait pas plus que ça, mais je bande comme un fou et ses mains chaudes me font tant d’effet, étrangement bien plus que celles d’une femme alors j’accepte lorsqu’il me propose. Je le laisse faire et sa bouche chaude et humide gagne sans attendre le bout de mon gland, puis mon pénis tout entier qu’elle recouvre presque entièrement. C’est si bon, moi qui pensait ne pas aimer ça je me retrouve gémissant de plus belles sous les assauts de la bouche d’un homme. Après quelques secondes à peine, je suis pris d’un spasme et me vide au fond de sa bouche pendant plusieurs secondes.  
Je n’ai jamais revu cet homme, mais mon désir à mon retour chez moi était encore plus grand qu’auparavant. Quelques jours plus tard je m’apprête à vivre l’expérience la plus folle de ma vie, celle-ci je la réserve pour un autre récit, si bien-sûr il vous intéresse de savoir.
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