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La découverte de la vie virile

Chapitre 1

Le pneu crevé

Trash
Je me prénomme Cédric, je viens d’avoir vingt ans, célibataire, fils d’une famille un peu bourgeoise, sans être très riche, nous habitons une belle maison à Colombes, je peux, avec ma sœur cadette, profiter de l’argent de mes parents et me la couler douce. Hélas, mon père trouve mon oisiveté décevante, il voudrait me voir travailler et quitter le domicile pour vivre ma « vraie » vie comme il dit.
Je roule sur l’autoroute de Normandie quand un voyant au tableau de bord de l’Audi m’avertit qu’un pneu se dégonfle.Hé merde, il fait nuit, un panneau m’indique que la prochaine station est à vingt kilomètres, c’est trop loin, je n’ai pas envie de prendre le risque, ou pire, de me retrouver à pieds à chercher une borne pour appeler une dépanneuse, je m’arrête à la première aire de repos.
J’appelle mon père, c’est sa voiture, il me l’a prêté pour un week-end entre copains, ils sont restés sur place et je rentre seul à Paris, j’ai rendez-vous lundi pour un job avec le DRH dans la boîte de mon père, il cherche un commercial pour vendre des voitures, ça devrait bien se passer, enfin on verra.
Je sors de la voiture et constate que j’ai effectivement le pneu avant gauche quasi à plat.
— Papa, j’ai crevé avec la voiture.— Ha zut, t’es où ?— A cent cinquante bornes de Paris.— Tu vas devoir lire le manuel et te débrouiller tout seul, t’es trop loin pour que je vienne. Et puis quand tu parleras voiture avec des clients, tu sauras changer une roue.— Mouias, fait chier... OK je te rappelle si j’ai besoin.— OK, allez courage...
Je regarde autour de moi, personne. Il fait nuit, je suis plutôt gringalet comme garçon, pas baraqué du tout, si des cons viennent me faire chier, je suis dans la merde.Je m’enferme dans la voiture et commence à lire le manuel, c’est du chinois pour moi. Soudain, un bruit sourd derrière ma voiture, un camion arrive et se gare devant moi, un gars d’une cinquantaine d’années avec quelques kilos en trop en descend et semble vérifier son chargement.Je suis plutôt hétéro, mais ouvert d’esprit, pas farouche au sexe avec garçons ou filles, il faut vivre les expériences au gré de ses envies et aventures, non ?En plus, j’ai toujours voulu sucer une queue juteuse et l’idée de négocier un échange de service commence à se former dans ma caboche vicieuse.Allez, de toute façon, il ne va pas me manger, au pire, il m’enverra chier, j’y vais...
— Bonsoir, excusez-moi de vous déranger.
Le gars se retourne et... merde, il n’est pas beau, voire un peu crade, ce n’était pas mon fantasme ça... Mais quand faut y aller, faut y aller...

— Salut mon bonhomme, t’as besoin d’aide ?— Oui monsieur, s’il vous plaît, j’ai crevé et je ne sais pas trop comment réparer.— Désolé, mais je suis déjà en retard et il faut que je reparte, appelle une dépanneuse !— Je ne peux pas, ça va durer des heures avant qu’elle n‘arrive. S’il vous plaît m’sieur, en échange, je pourrais...— Tu pourrais quoi ? Faire la vidange de mon camion ?— La vidange sûrement, mais pas du camion, je peux être très sympa vous savez !
Je lui fais un beau sourire et regarde en direction de sa braguette. Si avec ça, il ne comprend pas ?Je vois son regard changer et devenir malicieux, voire vicieux, je tremble un peu...
— Sympa, comment tu vas être ?— Très très sympa.— J’en ai déjà croisé des comme toi, des bourges, on change la roue et après, ils se barrent en te faisant un doigt d’honneur, et on se retrouve seul la queue à la main !
Bon, on était bien sur la même longueur d’onde. Échange de service entre personnes de bonne compagnie. Il fallait juste bien négocier. L’idée de sucer la queue d’un mec, plutôt d’un vrai homme, comme lui me tentait bien en fait.
— Je comprends, et si je suis gentil avec vous avant de changer la roue, qui me dit que vous n’allez pas vous barrer vous aussi ?— T’as ma parole.
C’était léger, mais je n’avais pas le choix et il avait l’air rustre, mais honnête.
— OK m’sieur, je suis gentil avec vous et vous me changez la roue après.— Mouais, attention, mais t’as intérêt à être gentille, super gentille avec moi.
Elle me parle comme à une fille, c’est con, mais j’aime bien...
— Tout ce que vous voulez.— Viens dans les chiottes, on va vérifier ça.
Sa grosse main calleuse prend la mienne et m’entraîne dans le lieu où je vais, sûrement, prendre ma virginité buccale, ce n’est pas ce dont on peut rêver, mais je commence à bander. Je m’assois sur le chiotte et il se place devant moi.
— Je vous préviens, je suce seulement.— Oui oui, on verra...— Je ne veux pas de violence, pas de coups.— C’est pas mon truc, ça tombe bien, je suis plein de tendresse tu verras. Tu sais c’est con la vie en camion, on n’a pas toujours le temps de bien se laver, tu vas commencer par me faire une toilette.
Je regarde autour de nous, il n’y a rien, ni savon, ni serviette et de l’eau froide.
— Pas la peine de chercher, ta langue fera l’affaire.
Il déboucle sa ceinture, baisse sa braguette et baisse son pantalon. Je découvre un slip blanc, mais bien jaunâtre devant et quelques traces plus blanches qui trahissent d’anciennes éjaculations. Le salaud ne doit pas souvent se laver la bite. Mais je suis attiré quand même par la curiosité qui se cache derrière.Il prend ma tête et la colle contre le slibard, l’odeur et très forte, mais enivrante, moi qui n’aime que les filles propres, je me surprends à être excité par cette odeur de pisse et de semence sèche. Je commence, bien malgré moi, à apprécier la situation. Je bande à mort et ma queue commence à couler d’envie.
— Ça sent bon hein ma salope, j’ai pas trop l’occasion d’en changer et il m’arrive même de me branler dedans en conduisant, et parfois, on est tellement pressé qu’on a pas le temps de se secouer la bite après avoir pissé. Ça sèche en roulant.
Je ne dis rien, j’ai honte d’aimer ça, mais je sors quand même ma langue pour le lécher, insistant sur les taches blanches. Je m’arrange pour caresser le chibre qui se cache derrière.Après quelques minutes, il descend lentement son slip, je découvre des poils noirs, j’attendais quoi, une épilation ? Le début de sa queue à la peau brune, il ménage ses effets le pervers, il veut faire durer le plaisir, mais ça ne me déplait pas au contraire.
La bite sort soudain de sa cachette et est à demi molle, mais déjà d’un beau volume, je me mets le nez dans ses poils, la queue contre la joue, je renifle, j’adore cette odeur d’homme sale, je ne regrette pas qu’il n’y ait pas de savon et commence à lécher partout, sa hampe, ses couilles poilues, j’adore ça, je mouille de la bouche.
Je me recule un peu, la queue est devant moi, toujours calottée, je sens l’odeur qui s’échappe du gland, c’est un délice, je respire à fond comme si c’était du poppers bio, j’ai bien envie de le décalotter, mais j’ai peur d’être dégouté par ce qui se cache sous ce long prépuce, je me contente de l’aspirer, le téter, glisser ma langue dedans. J’ai une idée, je vais le faire à l’aveugle, je rentre sa queue dans ma bouche et le décalotte dedans, je sens quand même bien l’odeur qui envahit mon palais et une matière crémeuse et collante sous la langue, mais ça passe, plutôt bien même, je prends plaisir à tourner la langue autour et vu comment il ferme les yeux, il apprécie aussi le père crado. Tu m’étonnes, un p’tit jeunot qui te décrasse la queue gratos et qui aime ça en plus, c’est cadeau.
J’essaie d’enfoncer la queue le plus loin possible, mais elle a pris de volume et c’est compliqué, même garder le champignon en bouche est limite. Je l’astique au maximum, il m’aide en me prenant la tête pour l’enfoncer au maximum, mais il reste doux, quand il sent le haut de cœur arriver, il arrête.
Je ressors la queue de ma bouche et découvre un superbe gland, propre et reluisant, avec une goutte de précum qui sort, signe de plaisir et du jus à venir, je suis fier de moi.
— Humm, tu te débrouilles bien ma petite pute, mais la toilette n’est pas terminée.
Il se retourne, se penche, écarte ses fesses et m’invite à lui bouffer le cul. Là c’est chaud, j’avais l’envie de sucer une queue, mais là, un cul poilu... Je n’ai pas trop le temps de réfléchir, il me colle la tête contre son trou de balle, l’odeur est forte, mais rien de sale à ma vue, je suis un peu rassuré, je sors la langue timidement et commence à laper, il m’écrase la gueule contre son cul. Il trouve que je n’y mets pas le bon cœur qu’il souhaiterait.
— Allonge-toi salope !!
Je m’allonge sur le dos et il s’accroupit au-dessus de ma tête, je la tourne, mais il me la maintient entre les mains, il frotte son cul contre ma bouche et accessoirement ses couilles contre mon front. Je découvre un sentiment de soumission et ça me plaît bien, l’impression d’être offert ou offerte plutôt, je continue à bander dur comme du bois, ma bite coule toujours son précum, j’en profite pour glisser une main dans mon boxer devenu humide et collant et me toucher la queue. Elle n’a jamais été aussi dure.
— Tu vas me laver oui ? sinon je me casse.
Je sors la langue et lui nettoie le trou du cul, je rentre même la langue dedans, il gémit le dégueulasse, il pousse même un peu pour faciliter l’introduction. Il me fait lécher ses couilles, me refourre sa bite et alterne les positions, le cul, les couilles, la bite et moi ma main qui me branle.Mais je me rends compte que tout ça m’excite à mort, j’ai chaud dans le bas du ventre et mon anus commence à s’ouvrir le salaud. Je ne sais pas si les filles ressentent la même chose, l’envie d’être pénétré.
— Tu voudrais pas m’enculer un peu, j’ai jamais fait ?— Mais bien sûr ma princesse.
Toujours par terre, il me retourne sur le ventre, baisse mon futal, je garde les jambes serrées à cause de mon pantalon sur mes genoux, ma queue en contact avec le sol. Il vient aussitôt me lécher l’anneau, c’est encore une fois une première pour moi, il écarte bien mes fesses et me dévore littéralement, il rentre sa longue au plus profond, je me retiens de gémir comme une pucelle, on a sa dignité quand même.Il se redresse, sort une capote et l’enfile sur son engin, revient me lécher un peu, glisse en doigt dedans, et cache pour bien lubrifier... humm.
— Je vais te la mettre ma chérie.
Ha tiens, je deviens sa chérie, à quand le mariage, vais-je inviter tonton Georges et tata Janine ?Je rigole moins quand il fait couler un filet de bave grasse sur mon anus, fait glisser son gland devant et pousse délicatement, je résiste inconsciemment. Il maintient sa poussée.
— Pousse, comme si tu voulais chier, ça va rentrer tout seul.— Pas facile, mais je vais essayer, doucement hein ?
Je me concentre et pousse, effectivement mon anneau s’ouvre et gobe son gland. Le bout est rentré, une bonne partie du chemin est fait, j’accélère ma respiration pour atténuer la douleur et le stress, ce n’est pas super confortable, ça fait bizarre d’avoir le trou détendu. Il pousse délicatement, le puissant membre entre centimètre par centimètre, jusqu’au bout, il est sur ses genoux, jambes écartées, mon petit cul entre ses cuisses, il écarte bien les deux lobes pour voir son dard perforer mon intimité. Sa queue est dure dans mon cul, je suis dilaté, mais pas détendu, pas encore. Il commence ses va-et-vient, lentement, plus rapidement, je commence à sentir mon cul chauffer de l’intérieur, se libérer, s’ouvrir à ce délicieux membre.
— Vas-y c’est bon, encule-moi comme ça, j’suis ta salope, bourre-moi le cul.— Tu vas prendre cher, en plus je n’ai pas encore ma taille maximum.— Quoi ??
Il a raison le dégoutant, plus il lime, plus sa queue grossit et m’envahit, je suis aux anges. Je ne peux plus me toucher la bite, mais ce n’est pas grave, je jouis du cul.Il s’allonge dans mon dos toujours en moi, allonge les jambes et rentre encore plus loin, ha le con, il va me perforer. Il bouge bien, sort presque sa queue à chaque fois pour mieux la replonger dans les entrailles, cognant au passage contre ma prostate qui n’a jamais vécu un tel séisme.Il me prend les cheveux, me fait tourner la tête, me crache dans la bouche et me roule une pelle, il mélange la brutalité de son rachat et la douceur de son baiser. Il me bourre le cul de plus en plus fort, ma queue n’en peut plus, elle râpe contre le sol, mais décide de jouir sans mon aide, j’éjacule sans m’arrêter. Je baigne dans mon sperme.
— Ho putain je jouis, c’est booonnnnn, ça coule partout.— Moi aussi ça vient, je veux ta petite gueule de pute.
Moi qui voulais sucer, ça tombe bien, il sort de mon cul...
— Ha merde, la capote a craqué, ne t’inquiète pas, j’suis clean.
Je me rassois sur la chiotte, il déchire ce qu’il reste de capote et me présente sa queue. Évidemment, je n’avais rien préparé et pas le cul propre, elle a des traces de merde partout.
— Tu vas pas la laisser comme ça ?
Je pense à ma voiture, ferme les yeux et la rentre le plus loin possible, le goût de mes matières n’est pas aussi répugnant que l’odeur, vite, tout avaler pour que ça ne sente plus. Je lèche toute sa bite pour ne rien laisser, il me caresse la joue, me prends la tête entre les mains et commence à me limer la bouche, il sort sa queue de temps en temps pour me cracher dans la bouche et me la remets aussitôt. A ce rythme-là, je sens sa queue gonfler, il respire fort, son gland est dur et prêt à éclater.
— J’vais jouir salope, avale tout mon bon foutre !
Je suis aux anges, j’attends ce moment avec délice, il ralentit, baise juste mes lèvres serrées avec son gland et crache de longs filets gluants et épais en gémissant. Il continue son va-et-vient jusqu’à être vide. J’avale par petites gorgées pour savourer son jus de couilles, quelle quantité il m’a donnée. Je ne sais pas, mais c’était énorme.
— Garde ma queue dans ta bouche, j’aime rester au chaud.
Je la tète au fur et à mesure qu’elle débande, c’est divin une bite molle au goût de sperme, mais soudain, je sens un liquide chaud dans ma gorge, je lève les yeux, il me sourit.
— Ta récompense ma salope, avale ma pisse, ça va te rincer la bouche.
Il pisse doucement dans ma bouche, il veut que j’avale tout, pas m’arroser, ça m’arrange, je ne me vois rentrer couvert de pisse. Ça dure longtemps, c’est très agréable aussi, contre toutes attentes, se sentir remplir de pisse directement à la bite. Tellement surprenant et érotique que je me branle pendant qu’il m’abreuve de son jus doré. Je me jouis sur le ventre. Il finit de se vider, je continue à téter, pour extraire les dernières gouttes et parce que je n’arrive à la libérer tellement j’ai adoré ce final.
— Je ne vais pas te laisser partir comme ça.
Il me fait mettre debout et vient lécher mon sexe et les traces des deux éjaculations avec application et délice, il me nettoie même le trou du cul, il est magnanime le cochon.
— T’as pas envie de pisser ?— Si un peu...— Viens donne-moi ta pisse chaude ma chérie.
C’est plus facile à dire qu’à faire, j’ai ma queue au chaud dans sa bouche et ça n’aide pas, je la sors et quand je sens que ça arrive, je laisse couler dans sa bouche ouverte, il gobe ma bite, qui continue à se vider dans sa gorge, j’adore autant donner que recevoir. On est vide et plein tous les deux.
— Faut que j’y aille ma chérie.— C’était super bon, j’ai tout aimé, on se reverra ?— Je vais parfois à Paris, on pourra s’organiser.— Tu ne te laveras pas ?— Non, à part si tu me demandes ?— Non, reste comme ça.— T’es vraiment une petite salope.— Oui j’avoue, tu m’as révélé...
Après avoir changé ma roue et échangé nos numéros de téléphone et une dernière galoche, il est parti, propre comme un sou neuf, je cherche les clés dans ma poche et je découvre son slip odorant qu’il m’avait laissé un cadeau, je le hume et rebande instantanément.
— Allo Papa, c’est bon, c’est réparé, je rentre.— Tu es champion fils, sois prudent.
Plutôt une championne sur ce coup-là non ?
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