Comme vous avez pu le lire dans mes premiers textes, cela fait maintenant environ 10 ans que je vis avec Valérie et sa fille. Avant de rencontrer Valérie j’ai été marié jusqu’à quarante ans et malheureusement, nous n’avons pas réussi à avoir d’enfant. La vie avec mon ex-femme était particulièrement confortable, elle médecin, moi dirigeant d’une petite entreprise industrielle que je développais progressivement. Tout allait bien. Sauf l’absence d’enfant et une sexualité d’une banalité sans nom ! Nous nous étions connus au lycée et n’avions jamais eu d’autre expérience. En tout cas moi. Finalement, d’un commun accord, nous avons décidé de nous séparer et divorcer. Je démarrais donc, la quarantaine venue, une nouvelle vie. Cette série va raconter de la manière la plus précise possible quelques-unes de mes expériences et des découvertes qu’elles ont amenées. Par respect pour ces charmantes personnes, j’ai évidemment changé les prénoms. Cela faisait quelques semaines que j’étais séparé. J’avais trouvé un bel appartement à deux pas de mon usine. C’était pratique, facile à entretenir (Et oui, je suis loin d’être un homme d’intérieur). Et je décidais donc que, comme vivre en célibataire ne me tentait pas, il me fallait essayer de bouger, sortir, rencontrer…. Je fis quelques rencontres, parfois se concrétisant par un simple repas sans rien de plus, parfois par quelques soirées ou nuits. Mais en fait rien qui ne mérite d’être racontée. Cela jusqu’à Lisa. Rencontrée sur un site internet, nous avions discuté quelques soirs par messages et convenu d’un diner un vendredi soir dans un bon restaurant de la région Lilloise. Récemment séparée, Lisa est un petit bout de femme (1.55 m environ) rousse aux cheveux courts, avec quelques rondeurs parfaitement bien placées et beaucoup de charme. De magnifiques yeux bleus, une petite bouche ronde toujours souriante et un dynamisme extraordinaire. Elle est habillée d’une jolie robe légère qui laisse voir ses belles jambes et un décolleté particulièrement attrayant. Je n’ai jamais été très fort pour deviner les mensurations d’une femme, mais sans avoir une grosse poitrine, la sienne me plait beaucoup. Le diner se passe à merveille et le repas terminé, elle me propose de passer boire un verre chez elle. Bien évidemment, vous vous doutez que j’ai accepté. Nous nous retrouvons à boire un verre de blanc sur son canapé et nous parlons tranquillement. Finalement, après quelques minutes, ma main se pose sur la sienne, je m’approche et dépose un baiser sur ses lèvres. Un second, et la voici qui les entrouvre. Nos langues se cherchent, se trouvent et entament un ballet de plus en plus sensuel. De la main je commence à caresser doucement son corps. Ses jambes, puis son ventre en évitant son entrejambe. Je touche doucement un sein et immédiatement Lisa émet un petit gémissement. Sensible la dame ! Encouragé, je passe la main dans son décolleté et deviens plus entreprenant sur ses seins. Le petit gémissement émis plus tôt se transforme en gémissement quasi continu et de plus en plus sonore malgré ma bouche qui passe le plus clair de son temps à explorer la sienne. Je profite que la robe soit boutonnée sur le devant pour enlever quelques boutons et ainsi mieux accéder à sa poitrine. Je sors un premier sein, puis le second et finalement des deux mains que ma bouche vient vite aider, je découvre sa poitrine. Je la caresse, la palpe, prend un téton entre ses lèvres que je fais rouler doucement.
Je l’entends alors - Ouiii, continu, plus fort, encore.... Elle m’encourage d’une voix chaude, pleine de d’envie. Le "plus fort" n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Je palpe donc plus fort, malaxe presque, mordille le téton au lieu de le faire rouler, prend l’autre entre deux doigts et l’étire doucement. Ouiiiiii, putain, c’est bon, plus fort encore ! Bon garçon, j’obéis donc ! Je mords plus fort, serre entre mes doigts, tire, maltraite, bref, fait ce que je n’avais jamais fait à une femme de ma vie. La réaction ne se fait pas attendre. La voix devient plus aigüe, plus forte et finalement je l’entends : Ouiiiiiiii, putain c’est bon - et là elle se met à crier pour de bon. Je relâche la pression, la caresse avec douceur sentant qu’il fallait la laisser redescendre en douceur. C’est la première femme que je vois (et fait) jouir par les seins ! Finalement, nous nous embrassons et elle se lève, me prend par la main et m’emmène à l’étage dans sa chambre. En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire elle fait tomber sa robe, vire son soutien-gorge et son tanga. Elle s’approche de moi qui la regarde et sur la pointe des pieds m’embrasse (et oui trente centimètres de différence), puis se laisse glisser à genoux devant moi, dégrafe mon pantalon, le baisse, emmène le boxer en-même temps et se saisissant de mon sexe, le lèche doucement, puis le fait entrer dans sa bouche. Très excité par ce que j’avais vécue avec elle en bas, ma queue est déjà bien raide et je comprends vite qu’avec la gourmandise de sa bouche je ne tiendrais pas longtemps. Je lui dis donc, ne sachant pas si elle aime recevoir le sperme en bouche. Elle continue, une main posée à la base de mon sexe enfonçant le reste au plus profond qu’elle le peut dansa sa bouche. Comprenant que je vais jouir, elle sort ma queue et la masturbe devant son visage que j’asperge de plusieurs jets. C’est la soirée des nouvelles expériences pour moi. Première fois de ma vie que je jouis ainsi sur le visage d’une femme qui visiblement le souhaitais en plus. Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons nus, allongés sur le lit à nous caresser doucement en parlant. Elle me demande si j’ai aimé. Je lui réponds que je n’ai pas aimé, mais adoré. Déjà la faire jouir uniquement avec les seins, de manière un peu brutale, et avec ses paroles. Puis la merveilleuse pipe dont elle m’a gratifié. Et je précise que pour moi, les deux sont une première. A ma grande surprise, elle me répond que pour elle aussi. Jamais elle n’avait joui ainsi. Et que c’est quand a un moment elle a senti mes dents sur son téton que l’excitation et les mots sont venus naturellement. Et pour la pipe et surtout le fait que je jouisse sur son visage, c’était une envie qu’elle avait. Notre discussion et cette découverte commune nous font rire et nous redonnent envie. Elle sent ma queue redevenue bien raide contre sa cuisse et me dit : Prend moi s’il te plait. Je viens sur elle et sans autre préliminaire, je place ma queue contre sa chatte que je sens ouverte et mouillée et je m’enfonce doucement en elle. Nous faisons alors longuement l’amour, tout en douceur, ma première jouissance faisant que je peux prendre le temps de la posséder sans crainte de jouir trop vite. Nos corps sont en parfaite harmonie et je la sens une première fois se contracter et jouir avec le même cri que la première fois. Nous continuons, passant du missionnaire à l’amazone ou à nouveau elle jouit ! Je profite de cette position pour prendre ses seins en main et après sa nouvelle jouissance, je commence à prendre ses tétons et à les tirer, les tordre, les pincer. Doucement pour commencer puis quand je vois son excitation remonter de plus en plus fort. Ses paroles douces du début se transforme en propos de plus en plus hard. Putain c’est bon ! Baise oui ! Baise-moi comme une salope ! Je suis ta salope, ta putain ! Elle m’excite de plus en plus et finalement, je la fais basculer et la prend en levrette. J’attrape ses fesses, les serre, les claque avec mon bassin de plus en plus fort, essayant de la défoncer comme jamais je n’ai possédé une femme. Je l’entends m’encourager : Défonce ta salope, défonce ta putain…. Je n’en peux plus, la jouissance est proche, moi aussi je commence à parler : Je te défonce la chatte, tu mouilles comme une salope…. Je jouis à long trait en elle et je l’entends jouir à nouveau. Je m’effondre presque sur elle. Vidée et nous nous retrouvons elle en dessous et moi, aux trois quarts sur elle. Nouvelle expérience pour moi. Jamais je n’avais fait l’amour avec une femme qui tenait ce genre de propos, qui jouissait d’affilée plusieurs fois et aimait qu’on la traite comme une salope ! Par contre, je me rends compte, un peu tard, que nous n’avons pas utilisé de préservatif. Je m’en excuse auprès d’elle. Elle me dit que ce n’est pas grave. Qu’elle a adoré sentir mon sperme en moi et qu’elle est saine. Moi aussi à priori…. Et en gros c’est un peu tard. Finalement nous nous endormons. Quelques heures plus tard, je me réveille. Il fait noir, je suis collé à son dos, en cuillère. J’ai un bras sous son cou avec la main contre un de ses seins et l’autre au-dessus d’elle, sur l’autre sein. Et je bande. Pas une petite bandaison molle. Non ! Un véritable barreau d’acier ! Ma queue est logée entre ses deux fesses, bien au chaud. Des deux mains, doucement, je caresse ses tétons et j’avance la bouche pour faire de petits baisers dans son cou. Elle réagit doucement en se réveillant et je sens son bassin qui ondule légèrement. Visiblement mon envie semble partagée. Me souvenant du plaisir qu’elle a pris avec ses seins, j’accentue mes caresses et alors qu’une main saisie un sein pour le malaxer plus fortement, l’autre accentue la pression sur le téton qu’elle tient. Je le fais rouler, puis je le tords, puis l’étire. Son bassin bouge de plus en plus, venant chercher le contact de ma queue qui se loge encore mieux entre ses fesses. Sentant cela ma bouche qui jusqu’ici se contentait de la bécoter dans le cou, se fait plus dure. Mes dents saisissent la peau douce et la mordille, puis la morde réellement. Loin de refuser ma morsure elle gémit, geint, puis me dit : baise-moi. Encule- moi fort. De la main elle attrape ma queue, elle se caresse la chatte avec puis après m’avoir décalotté, me positionne contre son anus et alors que je maltraite ses seins et son cou de plus en plus fort elle donne des coups de bassin vers ma queue pour s’enculer sur moi. Elle s’ouvre et plus elle s’ouvre plus elle m’excite et me pousse à brutaliser ses seins et son cou. Et plus je la maltraite, plus elle fait avancer ma queue entre ses fesses et m’encourage de la parole. Je me mets aussi à donner des coups de bassin pour aller au fond d’elle. La posséder, l’enculer comme elle me dit. Ses gémissements, ou plaisir et douleur se mélangent, m’excitent. Mes coups de bassin deviennent de plus en plus brutaux. Je l’emmanche entièrement sur ma queue. Je la bascule sur le ventre. Je me démène, relève le bassin pour le laisser tomber et m’enfoncer au plus profond de son cul. Cela la fait crier. Elle continue à m’encourager : Défonce mon cul ! Je n’en peux plus. Je sens la jouissance monter ! Dans un dernier mouvement, je mets toute mon énergie à une dernière fois m’enfoncer dans ses entrailles et je jouis, je me vide, je crie mon plaisir et je l’entends alors hurler ! Le terme est le bon. Elle me déchire presque le tympan de l’oreille proche de sa bouche. Son corps se convulse quasiment elle me fait basculer sur le côté ! Quatrième découverte de la soirée grâce à Lisa. La sodomie ! Et pas en douceur ! La nuit s’est terminée plus calmement et nous nous sommes revus de nombreuses fois pendant environ 4 mois. Puis, elle a retrouvé un vieil ami et nous avons stoppé par respect pour lui. J’ai découvert bien d’autres choses avec elle. L’utilisation de godes, plugs, pinces pour ses seins ou ses lèvres, badines et autres cravaches.... Assez bizarrement, nous avons découvert les choses en même temps. La seule chose qu’elle avait déjà expérimenté était la sodomie mais plus doucement. A deux nous osions et adorions ces jeux. Il nous arrive encore de nous voir simplement pour manger ensemble, parfois pour jouer un peu. Tout en sachant que cela n’ira pas au-delà. Merci Lisa.
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