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Découvertes et expériences

Chapitre 2

Samia

Hétéro
Alors que ma relation avec Lisa commençait à s’étioler, le travail m’amène à une conférence sur les problématiques fiscales des entreprises à Lille.
Sujet sexy s’il en est vous l’imaginez bien. Le public était masculin en très grande majorité et en plus quasiment tout le monde était habillé en costume / cravate ! 
En bref, je m’étais trompé, le thème n’avait pas de gros intérêt pour moi. C’était trop pointu. Heureusement, étant installé en fond de salle, au bout d’une trentaine de minutes je m’éclipse et en sortant je constate que je suis suivie d’une femme. Visiblement le sujet ne la passionne pas plus. Dans l’escalier qui permet de sortir de la chambre de commerce, je lui dis.
Complexe comme sujet, mais barbant.
Oui, surtout quand c’est votre patron qui parle et que vous faites cela à longueur de journée.
Je comprends donc qu’elle travaille pour le fisc. Je vois qu’il tombe des cordes à l’extérieur (ce qui n’arrive jamais à Lille) et apercevant une brasserie en face je lui propose de boire un verre. Ne croyez surtout pas que je la drague. Elle n’est pas particulièrement jolie suivant mes critères. Petite, très ronde et avec un visage assez quelconque. Par contre, je me dis que cela peut toujours être intéressant d’avoir une connaissance dans le service ou elle bosse....
Elle accepte et nous nous retrouvons assis dans la brasserie et commandons un verre chacun. Une longue conversation commence. J’apprends qu’elle est mariée mais je comprends ou suppose qu’elle n’est pas follement heureuse dans son couple et surtout, plus le temps passe, au-delà d’un physique peut-être pas très à mon gout, je la trouve drôle, dynamique, intelligente... Bref, elle commence à m’intéresser. Finalement comme il est presque vingt heures, je lui propose de manger ensemble ce qu’elle accepte après l’envoi d’un rapide sms à son mari.
Je ne vous l’ai donc pas encore présentée. Elle s’appelle Samia, elle a 45 ans, d’origine Algérienne et donc très brune aux yeux noirs. Un beau sourire sur de belles dents. Habillée de manière très féminine avec une jolie robe assez courte, ce qui me semble être des bas (mais encore sans certitude), une poitrine forte, parfaitement mise en valeur par sa tenue.
Au fur et à mesure du repas, je commence à la trouver de plus en plus charmante et il me semble qu’elle n’est pas insensible à mes avances discrètes. Ma main qui effleure la sienne, mon genou qui vient toucher le sien....
Notre table est dans un angle tranquille et donc nous sommes chacun sur un coté de table, finalement bien proche.
Je prends sa main et dépose un baiser dessus et je m’approche d’elle pour l’embrasser. Elle me tend les lèvres et nous nous embrassons doucement. En même temps, je sens sa main se poser sur mon sexe et me caresser. Immédiatement je me mets à bander comme un âne.
Nos bouches s’écartent et elle me dit : J’ai envie de toi, vite.
Nous avons à peine fini nos plats, mais nous nous levons, prenons nos manteaux et je me dépêche de payer. Elle me demande ou je suis garé car elle est à pied. Je l’emmène à ma voiture, garée quelques rues plus loin Nous courrons presque dans l’urgence de nous retrouver au calme et aussi à cause de la pluie forte. Nous montons et immédiatement elle se jette sur moi, m’embrasse, que dis-je, me dévore la bouche. Je lui caresse les jambes, les seins, passe ma main sous sa robe (ce sont bien des bas qu’elle porte), caresse sa chatte à travers sa culotte dont je sens qu’elle est déjà très humide. Elle dégrafe mon pantalon, sors ma queue bien raide et se penche pour la prendre en bouche.

Nous sommes en plein centre de Lille, dans une rue relativement passante, elle me bouffant la queue et moi la pelotant comme je peux. Heureusement avec la pluie, le froid, les vitres de la voiture sont pleines de buée.
Elle me pompe la queue ! C’est réellement le mot. Une affamée. Elle l’enfonce dans sa bouche, la sort, me branle, l’enfonce à nouveau. Le plus loin possible. Moi, je malaxe ses deux mamelles, les serre dans ma main, attrape un téton le tire. Cela l’excite. Elle pousse ma queue encore plus au fond de sa bouche. Je n’en peux plus de ce traitement, je pousse ma queue en avant, j’essaie de l’enfoncer sans sa gorge, j’ai des mouvements de bassin que je ne contrôle pas. Cela ne la gêne pas ! Elle me pompe toujours plus.
Au bout de quelques minutes, je n’en peux plus et me vide dans sa bouche. Une, deux, trois, quatre jets de sperme fussent dans sa bouche. Malgré la position, aucun problème pour elle. Tout est avalé.
Elle se redresse. Les yeux brillants, complètement décoiffée.
Démarre, vite, je veux que tu me baises chez toi.
Je me rajuste comme je peux, mets le contact et roule. Pendant les dix minutes de route, nous n’échangeons pas un mot, mais elle a sorti un de ses seins qu’elle triture et de l’autre main caresse sa chatte. La main glissée dans sa culotte, la robe relevée. Heureusement la voiture est haute et les vitres teintées car il n’y a plus de buée. La voir ainsi me redonne une folle envie et ma queue est à nouveau bandée dans mon pantalon mal fermé.
Arrivé chez moi, nous montons dans ma chambre sans un mot de plus. Nous nous déshabillons fiévreusement. Je m’approche d’elle, me place contre elle et je continue à avancer. Pour ne pas tomber, elle recule. J’avance. Elle recule. Jusqu’à ce qu’elle bute contre le lit et est obligée de s’allonger sur le dos, les jambes pendantes à l’extérieur du lit.
Je m’agenouille et j’écarte ses cuisses. Elle lève les jambes, les écarte le plus possible et avec ses avant-bras les crochète pour les maintenir ouvertes. Je vois sa chatte, déjà ouverte et qui a coulé des caresses qu’elle s’est donnée dans la voiture. Ses grandes lèvres sont très grandes, comme les babines d’une chienne. Presque noire. Cela fait ressortir le rouge de son vagin que je distingue. Son étoile quelques centimètres plus bas est lui-aussi entre ouvert. La vue est magnifique, excitante. Bandante.
J’approche mon visage. Souffle sur sa chatte. Elle frémit. Je pose la bouche sur sa chatte et sans attendre je me mets à la lécher. De haut en bas, sans oublier son anus. Je ne la lèche plus, je la mange, puis je la bouffe. Me souvenant de la manière dont elle traitait ses seins, je me dis que la douceur n’est pas son truc. Je mets donc les dents. Mordille ses lèvres, son clitoris. Immédiatement elle réagit. Elle gémit. M’encourage.
Je en mordille plus, je mords. Réellement. J’attrape sn clitoris et progressivement, je le serre entre mes dents.
Les gémissements deviennent de petits cris. Son vocabulaire de plus en plus ordurier, mélangeant des mots de français et d’arabe que je ne comprends pas.
Cela m’encourage. Je continue et finalement, je la sens jouir, dans un long gémissement. Je sens des contractions de son ventre et je desserre les dents et la regarde prendre son pied. Au bout de quelques secondes, elle est la devant moi, la chatte bien ouverte, sa respiration qui s’apaise.
J’approche un doigt de sa chatte. L’introduit. Il entre sans aucune résistance. J’en mets un second. C’est presque pareil. Je réunis trois doigts de la main gauche, les glisse en elle. L’ensemble rentre, mais enfin, je sens bien les parois de sa chatte. Je fais bouger mes doigts. D’abord doucement, puis de plus en plus fort, je la lime avec les doigts. Plus je vais fort, plus elle gémit. Mais je sens aussi sa chatte qui continue à s’ouvrir. J’ajoute un quatrième doigt. Je pousse. Elle me dit
Vas-y salopard ! Fout moi la main ! Défonce ma chatte
Je n’en peux plus. Elle m’excite ! Je continue à la prendre avec mes quatre doigts. Je pousse, force. Puis j’ajoute le pouce. Sur des vidéos, j’ai vu que pour entrer la main, il fallait glisser le pouce à l’intérieur. Je fais pareil. J’essaie d’arrondir ma main pour qu’elle passe.
Je pousse, elle gémit, crie, visiblement pas que de plaisir. Mais pas un mot ! Sauf pour m’encourager. Et elle mouille. Pardon, elle coule, elle lubrifie ma main. Je pousse, et finalement ma main passe. Je suis dans sa chatte. Entièrement. Et je commence à bouger. Les doigts, Je les ouvre et les ferme, je fais tourner mon poignet, j’avance je recule. J’essaie de combiner ces mouvements.
Elle ne gémit plus, elle ne crie plus…. Elle beugle ! Et sa chatte ne mouille plus. Elle gicle. Je prends un premier jet dans la figue. Le second sur mon torse. Elle m’inonde. Sa chatte se contracte sur mon poignet.
Et moi qui continue à bouger, et elle qui continue à beugler et m’inonder ! Cela dure ! Et pourtant, sans expérience, je me dis qu’il faut que j’arrête. Que je risque de lui faire mal. Je Fais donc sortir ma main de sa chatte et la laisse ainsi ! La chatte béante quelques secondes, elle essayant de revenir sur terre.
Je me redresse et vient m’allonger à côté d’elle sur le lit. Je la câline. J’ai la queue raide ! Qui me fait mal tant je bande.
Quelques minutes plus tard, elle me voit me branler doucement. Elle se redresse, s’agenouille, remonte les fesses qu’elle écarte et me dit !
Encule-moi ! Ma chatte n’en peut plus.
Je me suis placé derrière elle et sans attendre, sans douceur, sans préparation autre que la mouille qui inondait son cul je me suis enfoncé en elle. Visiblement, elle n’attendait que cela et son anus m’a laissé passer facilement, preuve d’une longue pratique.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour me vider dans son cul accueillant !
Dix minutes plus tard, nous étions habillés. Elle voulait ne pas rentrer trop tard chez elle et visiblement pas besoin de prendre une douche. Son cocu avait l’habitude.
 Notre relation a duré environ 3 mois. Nous nous voyons entre une et deux fois par semaine. Rarement plus d’une soirée. Parfois la nuit complète. Et toujours, je la redéposais chez elle, remplie de mon foutre et puant le sexe.
Trois jours après, nous nous retrouvons chez moi en début de soirée. Elle me dit ne pas avoir beaucoup de temps. Nous montons dans ma chambre. Nous nous déshabillons. Pas de tendresse. Simplement une folle envie commune de sexe. Elle s’allonge sur le lit, la tête à l’extérieur. Elle me fait signe et je comprends qu’elle veut me sucer ainsi. Elle prend ma queue en bouche et j’avance le bassin. Je vois vite que si je continue à avancer, elle va s’étouffer. De moi même, je contrôle donc mon bassin. Mais je sens ses mains sur mes fesses. Elle m’attire vers elle. Elle veut que j’avance plus. Bon garçon, j’obéis et donc je pousse ma queue plus loin en elle. Elle régule cela en appuyant ou pas sur mes fesses. 
Evidemment, j’en profite aussi pour lui malaxer les seins. Tirer ses tétons. Leur donner de petites claques. 
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je vois ma queue s’enfoncer de plus en plus. Je vois que ce n’est plus uniquement sa ouche que je prend, mais sa gorge. Je la vois se gonfler quand mon membre s’enfonce. Voir cela m’excite énormément. J’ai du mal à me contrôler et je pousse mon bassin plus loin. J’accélère aussi mes mouvements. Elle se met à baver de plus en plus. Ce qui lubrifie ma queue et me permet de l’enfoncer encore plus facilement. 
Je n’en peux plus tant elle m’excite et sans me poser de question je jouis au fond de sa gorge et vide mes couilles en elle. 
Dix minutes après, elle était repartie, heureuse de m’avoir vidé ! 
Je l’ai baisé dehors contre un arbre, elle m’a sucé dans l’embrasure d’une porte cochère, mais surtout elle m’a fait découvrir le fist, la gorge profonde et m’a offert ses orgasmes démentiels !

Pendant plusieurs années, nous ne nous sommes pas vus et depuis cinq ans, nous nous voyons une à deux fois par an.
Merci Samia. 
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