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Découvertes et inconnus

Chapitre 3

Erotique
Le lendemain, nous sommes samedi. Je me lève de bonne heure et décide d’aller courir plus que d’habitude. Je m’habille, mange quelques gâteaux et chausse mes baskets pour aller me changer les idées. 
Je cours une bonne heure, soit environ 10 km. Alors que je retourne vers mon appartement par un chemin que je ne connais pas, je passe à côté d’un bar où une affiche attire immédiatement mon attention. Le soir même, une association propose des tests VIH gratuits avec réponse instantanée. Sauf qu’il y a un hic : c’est une soirée blanche. Le principe, c’est de venir tout en blanc. Et que du blanc, moi, je n’en ai pas. Je note l’adresse du bar et rentre chez moi. 

Je ne mets pas longtemps à me décider. Je préfère largement aller faire un test VIH dans ce bar plutôt qu’à l’hôpital. Mais se posent deux soucis. D’abord, la tenue. Il faut que j’investisse. Mes finances me le permettent donc tant mieux. Ensuite, le bar est à 4 km de chez moi et aucun bus ne le dessert directement. Je me rabats donc sur l’option vélo. Je consulte un célèbre site de petites annonces et après quelques contacts, je réussis à me dégoter une bicyclette en bon état pour un prix modique, antivol compris. Je conviens avec le propriétaire de venir le récupérer juste avant d’aller au bar, vers 19h. 

Je déjeune rapidement et c’est en début d’après midi que je me décide à aller acheter ma tenue. Je visite de nombreuses boutiques sans réussir à trouver mon bonheur. Et surtout, je ne sais pas quoi me mettre. Je commence à réfléchir tout haut. — Un pantalon ? Bof bof, il fait chaud et ce n’est pas garanti que je le remette. — Un short ? J’en mets souvent et j’avoue que ce n’est pas ce que j’ai envie de porter ce soir. Ce que je peux être difficile !

Puis mon regard s’arrête sur la vitrine d’un magasin. J’y vois la tenue idéale. Potentiel de remise très élevé. Prix correct. Je fonce dans ladite boutique et achète l’ensemble avant que quelqu’un ne le prenne. Je me remets à réfléchir, et je constate que j’ai ce qu’il me faut. La tenue, c’est ok. Les chaussures, je ne souhaite pas investir car je ne veux pas acheter du blanc, c’est trop salissant. Mais j’ai ce qu’il me faut chez moi. 

Je regarde l’heure. 15h45. J’ai tout fait en moins de 2h ! La vache ! Je rentre donc chez moi avec mes sacs et me couche pour une petite sieste. Grosse erreur. 

Lorsque je rouvre les yeux, je crois rêver. 18h30. — Oh merde !!!! J’ai rendez vous à 19h pour le vélo !Je prends une douche express, m’habille et sors en vitesse. Il me faut près de 30 minutes pour rejoindre le domicile du vendeur. Je sonne à sa porte et je constate être en retard de 30 minutes. Zut !

Un homme vient m’ouvrir. — Bonjour, je suis Doris. Je viens pour le vélo. — Bonjour. Vous êtes en retard. — Veuillez m’excuser. J’ai eu un petit imprévu. — Je vous fais entrer par le garage. Patientez quelques secondes. 

Je ne manque pas de constater son regard se baladant sur tout mon corps. Je lui plais. Mais je plais à beaucoup de monde depuis que je suis là. Cela me change de ma Bretagne natale. Je me dis qu’il y a peut être moyen de négocier un peu, un petit rabais ne serait pas de refus. J’entends la porte du garage s’ouvrir. Je m’engouffre dans l’ouverture, et il la referme immédiatement.— Et voilà le vélo.Je m’émerveille devant en en faisant des caisses. — Woua !! Il est dans un super état ! J’en fais le tour, l’observe, regarde l’état, en faisant mine de m’y connaitre plus que le commun des mortels. Je sais qu’il me reluque depuis que nous sommes dans le garage. J’attend qu’il reprenne la parole, mais je le sens presque hypnotisé. Il ne m’en faudrait pas beaucoup, je pense, pour faire baisser le prix de 50%. — Votre tenue, c’est étrange. Pourquoi être tout en blanc ?

Bingo ! Je me retourne pour lui faire face. — En fait, je vais à une soirée dans un bar après. Et le principe est de venir avec que du blanc. — Ah d’accord, c’est original ! Nous discutons quelques minutes. Je sens que je lui plais, rien qu’à voir ses yeux se balader de mes pieds à ma tête. Lui aussi est plutôt bel homme : grand, typé, costaud, environ 35 ans, des cheveux noirs mi longs et des yeux bleus, bleus, bleus !!! Il porte un short rose pâle et une chemisette blanche en lin, ce qui lui va très bien. 

Nous continuons à discuter de longues minutes. Je ne vois pas le temps passer. Gabriel, c’est son prénom, est très agréable. Mais il va falloir que je le quitte. D’autres obligations m’attendent. — Pour revenir au vélo, le prix était de 50€ c’est cela ?— Oui, c’est ce qui était convenu. — C’est négociable ? Lui demandai je— Peut être, me répond il. — Une pipe ? Dis je le plus naturellement du monde 

Je le vois écarquiller grand les yeux. Il ne s’attendait pas à ce que je dise cela. Moi non plus d’ailleurs. Je prends son silence pour un accord et vient dégrafer son short, puis le baisse en même temps que je m’agenouille devant lui. Je me retrouve nez à nez avec ses attributs. Et quelle bite ! D’une taille impressionnante au repos. Franck peut aller se rhabiller ! Je n’imagine même pas me faire prendre par un engin de ce calibre... Tout cela me mets en appétit ! Je lui saisis délicatement le sexe de la main droite et commence à le branler. Mes lèvres se posent doucement sur son gland, et, tout en le fixant dans le yeux, je le gobe. Pour l’expulser sans jamais que mes lèvres ne s’en détachent. Je renouvelle cela plusieurs fois. Il a les yeux clos depuis quelques minutes déjà. Et son sexe commence à grossir, à s’élever vers le ciel. Sans prévenir, je le gobe presque entièrement. Et je continue ma fellation, le plus doucement possible. Ma langue tourne sur son gland quand je fais sortir sa bite de ma bouche. Il adore cela. Ses jambes tremblent. Il ne va pas tarder à venir. Je repositionne mes lèvres sur son gland et le suce doucement, jouant encore avec ma langue. Et je gagne. Il jouit abondamment, je n’en laisse pas une goutte. 

Il finit par s’assoir, repu. Je me lève et me permet de boire un peu d’eau a un robinet. — Alors ? Combien pour ce vélo ? lui demandé je— Mais vous m’avez déjà payé voyons, me dit il avec un clin d’œil. 

Je le quitte en lui serrant la main. C’est très ambiguë sachant que 2 minutes plus tôt, j’avais son sexe dans ma bouche... Il me regarde m’éloigner et je le sais. 

Je pédale tranquillement et arrive au bar à 20h30. Je me stationne à proximité, met l’antivol et rentre dedans. Il y a déjà un peu de monde. Et j’attire les regards masculins, mais aussi féminins. 

Quelle satisfaction ! Face à une glace située dans l’entrée, je ne peux que constater une évidence : cette robe me va à ravir... 
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