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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Découvertes en Voyage

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Je ne fermais pas encore les yeux quand j’entendis, de plus en plus distinctement, des gémissements semblait-il, ils ne pouvaient venir que de cette villa, lentement, pour ne pas réveiller mon ange blond, je posai les pieds hors du lit et sans me soucier de ma nudité, Sarah et moi avions pris en effet l’habitude de dormir ? nature ?, m’engageai dans le couloir qui menait à la salle de séjour, après avoir soigneusement refermé la porte. Les gémissements provenaient de la chambre d’amis, je reconnus sans peine le timbre de la voix de Marie, je m’approchai délicatement, la porte était restée entrouverte, la lumière allumée, je vis tout le spectacle, j’ assistais, caché dans la pénombre du couloir, à leurs jeux amoureux. Marie était superbe, ils formaient un très beau couple, ils enchaînèrent position sur position, je ne pus m’empêcher de me saisir de mon pénis et de le masturber à la même cadence que celle des pénétrations de Philippe, c’était ma première expérience en tant que voyeur, contempler un couple faire l’ amour devant soi, en direct, me troublait terriblement. Je sentis tout à coup une présence derrière moi, Sarah était là, me lançant un regard courroucé, je craignis un moment qu’elle ne brise le silence, divulguant notre présence à nos invités, heureusement elle prit rapidement conscience de la situation. Alors que les cris étaient plus perçants, Philippe l’avait prise en levrette, Sarah s’étonna tout d’abord de l’état de ma verge que je continuais à masturber, mais le spectacle qui s’offrait à ses yeux ne la laissa pas de glace, je sentais dans mon dos les frottements des doigts qu’ elle s’enfonçait dans le vagin, de plus en plus profondément. Elle poussa dans son excitation un léger soupir, à peine perceptible mais néanmoins suffisant pour susciter l’inquiétude du couple, nous étions repérés, rapidement, sur la pointe des pieds, nous regagnâmes notre chambre, et à peine refermée, Philippe toqua à la porte, il insistait, plus lourdement, je fis semblant d’être tiré en sursaut d’un profond sommeil, prononçant un oui interrogatif, à peine compréhensible, il me demandait s’il n’avait pas cru entendre Sarah pousser un cri. Je le rassurai que non mais j’étais sûr, et Sarah de même, qu’il n’était pas dupe, il savait que quelqu’un les avait espionnés.
Jeudi 9H00, je me levai le premier pour préparer le petit déjeuner, le temps était doux, pas encore trop chaud, je dressai la table sur la terrasse inondée de fraîcheur, Marie et Philippe me rejoignirent les premiers, nous avions semblait-il les mêmes habitudes, tout comme moi, ils avaient revêtu un peignoir de bain, pour cacher leur corps dénudé de la nuit. Le regard que me lançait Marie était clairement différent, elle était moins provocante, comme résignée à me montrer son corps dont elle paraissait convaincue que je le connaissais désormais, mes soupçons se confirmèrent rapidement quand Philippe prit la parole: - ? Etant donné que Sarah n’est pas encore là, j’aimerais te poser une question, qui peut te paraître bizarre mais, dis-moi, que penses-tu des couples échangistes ? ? Avant même de me laisser le temps de lui répondre, il poursuivit: - ? En fait, si je te poses cette question, c’est parce que Marie m’a avoué qu’elle te trouvait terriblement désirable, non pas au point de faire sa vie avec toi, mais pour passer un bon moment de plaisir. Au moment même, j’ étais tout à fait contre cette idée, mais tu es un ami, je sais que tu prends beaucoup soin de Sarah, tu es une personne délicate, ce n’est pas comme si elle se donnait à un vulgaire inconnu...et puis, tu ne me contrediras pas, j’ai clairement remarqué que Marie t’attirait, tu n’a cessé de la dévorer des yeux, hier, durant tout l’après-midi, jusque tard le soir... ? J’en étais sûr, il était bien au courant, je baissai la tête, honteux. - ? Non, ne te voile pas la face, au contraire, tu veux connaître la vérité ?...Eh bien, sache que nous avons délibérément laissé la porte entrouverte, cela faisait partie de notre plan de réveiller ta libido ainsi que celle de Sarah, je suis sûr que vous avez pris du plaisir à nous regarder copuler...pour ma part, je trouve Sarah aussi excitante que Marie, tu sais à quel point je respecte les femmes, d’autant plus celle de mon meilleur ami, je te donne l’assurance de n’être que douceur avec elle... ? Je ne savais que dire, il acheva de me convaincre: - ? Pour être franc, je n’ai jamais vécu une telle expérience, je me disais que le moment était idéal, nous nous connaissons bien, nous pourrions vivre tous les quatre de nouvelles sensations, passer une formidable soirée. Je dis bien tous les quatre car bien sûr, nous ne nous séparerons pas, même si nous mélangeons les couples, de sorte que tu pourras autant que moi, surveiller le bon déroulement de nos échanges. ? Nous étions tous les trois partants, il me restait à convaincre Sarah, je la savais très fidèle, trop puritaine pour faire l’amour avec un autre homme, mais les choses seraient-elles peut-être différentes si je lui donnais mon accord, si elle retirait du plaisir d’une nouvelle relation sexuelle, mais en ma présence. La voilà qui arrivait justement, je savais que cette question lancée devant eux n’obtiendrait qu’une réponse négative, je la pris donc à part, et lui expliquai le plan que Philippe et Marie avaient soigneusement monté de toutes pièces, qui entre autres expliquait la conduite de Marie la journée précédente, et notre souhait à tous les trois qu’elles se joignent à nous pour improviser une soirée échangiste. Je parvins en insistant à peine, à lui soutirer son accord, elle m’aimait trop pour me refuser d’assouvir cette nouvelle pulsion sexuelle, du moins c’est ce qu’elle me disait, car j’étais persuadé que la vue du pénis de Philippe coulissant parfaitement dans le vagin de Marie lui avait aussi, hier soir, donné quelques envies.
Nous passâmes la journée allongés dans des transats, sur la plage ensoleillée, des cocktails à la main, fantasmant secrètement sur la soirée qui tardait à arriver, cherchant des contacts aussi bien visuels que tactiles avec celle qui pour un instant allait devenir mienne. Je m’ imaginais déjà en train de goûter sa peau, de passer la main sur son pubis brun, de pénétrer un vagin inconnu,... La sève ne cessa de monter en nous, tout au long de la journée, de manière encore plus intense au fur et à mesure qu’approchait l’heure fatidique.
Jeudi 20H30, nos invités quittaient la salle de bain que nous occupions à notre tour pour nous débarrasser du sable que la sueur collait sur nos corps. Alors que nous étions tous deux allongés dans la baignoire, elle me fit part de son envie de débuter rapidement cette soirée. J’étais ravi de voir que sa légère appréhension du début de matinée s’était transformée en un désir ardent. Légèrement humides, nous sortions à notre tour de la salle de bain, nos amis nous attendaient dans la salle de séjour, un verre à la main. Après avoir revu la disposition des fauteuils et sofas, nous nous observions, impatients de commencer les débats, mais chacun se demandait qui allait faire le premiers pas.
Notre surprise, à Philippe et à moi, fut totale, lorsque nous vîmes sans y croire Marie et Sarah s’avancer l’une vers l’autre, entamant une série de caresses intimes, elles étaient de connivence, elles avaient vraisemblablement décidé cet après-midi d’improviser un petit show de lesbiennes pour exciter les mâles qui se trouveraient dans la pièce. C’ était réussi, confortablement installés dans les fauteuils, nous regardions, Philippe et moi, nos deux égéries s’exhiber, comme des pucelles avides d’ intenses jouissances. Les poitrines dénudées, elles s’embrassaient fougueusement, leurs langues se tordaient, leurs longs cheveux se mêlaient dans une harmonie de couleurs, leurs seins se pressaient les uns contre les autres, je m’imaginais un instant de sexe opposé, tentant de ressentir ce qu ’elles éprouvaient, l’intensité de la passion monta d’un cran, quand nues, leurs corps divins se mélangeaient, pour rechercher le contact du ventre chaud qui était prêt à accueillir, quand leurs bouches suçaient les mamelons d’une poitrine volumineuse, et que des doigts agiles s’affairaient à stimuler le point G que nul ne peut mieux connaître qu’une autre femme. Tout comme Philippe, j’avais sorti mon pénis de mon short, il enflait sous mes doigts, tandis que nos jeunes compagnes, les clitoris en érection, arrivèrent encore plus rapidement et plus intensément qu’avec leur compagnon aux portes de l’orgasme, qui ne se fit pas attendre.
Le moment était venu pour nous d’entrer en action, je me dirigeai vers Marie qui me souriait en me tendant les mains, je la pris dans mes bras pour l’ installer dans un divan, je crois que Philippe fit de même, à vrai dire, je ne me préoccupais plus que de Marie, comme il ne se préoccupait plus que de Sarah, nous nous faisions entièrement confiance. Je ne devais être que douceur, c’était la principale clause du contrat, je commençai donc à lécher voluptueusement son corps bruni, uniformément, goûtant à sa peau qu’elle avait enduit plus tôt d’un lait de corps, aphrodisiaque.
Marie était apparemment plus impatiente que je ne l’étais et, à mon grand étonnement, commençait à me tailler une pipe. Sa technique était différente de celle de ma tendre moitié mais tout aussi efficace, elle insistait beaucoup plus à me lécher le pénis en surface, tout en le masturbant de sa main, ou encore tapotait mon gland sur ses lèvres. Je sentais déjà le plaisir qui se rapprochait, je mis alors fin à cette fellation, pour me pencher sur des seins moins fermes que ceux de Sarah, ils étaient néanmoins terriblement appétissants, et visiblement, ma langue qui lui faisait durcir les tétons la comblait. Allongé sur son corps, le visage dans sa poitrine, je sentais sur moi son pubis humide, à l’endroit où il entourait sa chatte qui mouillait abondamment.
J’entendis à cet instant Sarah pousser ses premiers soupirs et des gémissements de plaisir, Philippe m’avait devancé, relevant la tête, je l’ aperçus en position de missionnaire qui enfilait son puissant membre en érection dans le vagin de Sarah. Cette vue me choqua un instant, mais je l’ avais acceptée sans condition, et puis, j’allais malgré tout faire de même avec Marie, qui s’impatientait que je la prenne à son tour. Mon long pénis durci se frottait à son clitoris, longeant ses lèvres qu’il écarta pour disparaître, poussé et retiré par des mouvements de hanches qui n’en finissaient plus, je lui faisais l’amour du mieux que je pouvais, assurant une bonne fréquence, croissante, des pénétrations, à son tour ses cris rivalisaient avec ceux de Sarah, la pièce n’était plus remplie que de râles de plaisir, et de chairs qui se frottaient. Les seins de Marie, trop lourds, ne rebondissaient pas aussi souplement que ceux de mon amie, je sursautai au moment où Philippe poussa un soulagement après avoir ralenti les mouvements, la tête penchée en arrière, le gland recouvert de liquide blanc. Je n’allais également pas tarder à éjaculer, Marie gémit un long instant sous le regard de l’autre couple qui nous fixait désormais, au moment où je laissai échapper mon sperme qu’elle sentit s’enfuir dans son corps.
Nous rejoignîmes ensuite notre véritable partenaire, l’expérimentation de l’ échangisme m’avait apporté beaucoup de jouissance, Sarah m’avoua par la suite qu’à elle aussi, mais nous étions heureux que les choses soient maintenant rentrées dans l’ordre, autant frustré de voir couler sur les cuisses de Sarah le sperme de Philippe, que lui dérangé de voir ma semence s ’accrocher au pubis de Marie. En hâte, je lavai Sarah de ce sperme que je méprisais, Philippe en fit tout autant. Nos amis prenaient l’avion tôt le matin, nous décidâmes donc de ne pas prolonger la soirée, et après s’être souhaités bonne nuit, nos corps purifiés se glissèrent sous les draps. Sarah me faisait face, la main posée sur mes fesses, mes jambes entremêlées dans les siennes, je m’inquiétais de savoir si Philippe lui avait fait atteindre l’orgasme. Elle ne me répondit pas clairement, elle se contenta de m’assurer que personne ne pouvait me remplacer, ce qui en soi, me satisfaisait amplement.
Vendredi 9H15, l’avion vers Paris disparaissait au loin, ma main posée autour de sa taille: - ? Que penses-tu de cette semaine de vacances ? ? - ? Je suis ravie, jamais je n’en ai vécues de si surprenantes...bien que, j ’aime la fantaisie mais j’adorerais que tu me fasses à nouveau l’amour dans un lit, redécouvrir les senteurs de ton corps, te faire profiter pleinement du mien...la fantaisie a du bon certes mais depuis le début des vacances, je n’ai pas encore eu l’occasion de sentir ton plaisir se propager en moi... ? Elle avait pleinement raison, j’aspirais moi aussi à redécouvrir la véritable nature de son corps, et de retrouver le romantisme de notre couple. Un dépliant publicitaire, sur un présentoir, ne pouvait pas mieux tomber, après l’avoir parcouru, je lui demandai, sûr de moi: - ? Ca te dirait, une petite croisière en amoureux ? ? J’avais tiré le numéro gagnant, je vis ses yeux qui pétillaient: - ? Nous embarquons demain matin, il est prévu que nous fassions escale à l’ île la plus proche pour y terminer la soirée, et après avoir passé la nuit sur le bateau, nous larguerons les amarres dès les premiers rayons du soleil, pour être de retour dimanche en début de soirée... ? Elle se pendit à mon cou, m’interrompant dans ma lecture. Notre avion ne décollait que lundi matin, nous avions donc assez de temps devant nous. Un taxi nous mena au port pour y acheter nos billets, nous pûmes même monter à bord du bateau en question, qui, même s’il n’était pas flambant neuf, nous offrait tout de même le luxe d’une piscine, avec des cabines spacieuses et bien aménagées. Le départ était fixé à 8H00 précise, le lendemain. De retour à la villa, nous fîmes déjà nos bagages, n’emportant que le nécessaire pour deux jours.
Samedi 7H30, nous finissions de nous préparer, nous nous étions couchés tôt la veille, le taxi à qui nous avions fixé rendez-vous pour nous rendre au port nous attendait déjà dans le sentier.
Nous nous demandions tous deux si nous avions le pied marin, ni l’un ni l’ autre ne s’était jusqu’alors aventuré en haute mer. Le port avait un air de fête, il y avait beaucoup d’animation, nous n’étions pas les seuls romantiques à avoir eu cette idée, loin de là, je me posais même des questions sur la capacité du bateau à accueillir tant de passagers. Tout le monde à bord, le bateau s’éloigna des quais, nous faisions signe aux badauds qui regardaient envieux notre départ. Nous prîmes possession de notre cabine, et après avoir rapidement enfilé un maillot, nous allâmes prendre le soleil, allongés sur des transats, au bord de la piscine où s’étaient d’ ailleurs retrouvées pratiquement toutes les personnes à bord. Caché derrière des lunettes de soleil, je simulais le sommeil pour mieux observer les quelques superbes filles qui faisaient des longueurs ou se prélassaient dans la piscine, même Sarah n’y voyait que du feu. Je pouvais contempler tranquillement les jolies paires de fesses que ne masquaient plus entièrement les maillots, au sortir du bain, ou les filles qui s’appuyaient sur le bord de la piscine, penchant le corps à l’horizontal pour se dégager de l’eau, me donnant ainsi une vue plongeante dans leur poitrine, mieux encore, les provocatrices, qui nageaient seins nus où dont les maillots laissaient tout transparaître. Inutile de dire que tout cela m’avait mis en appétit. Un drap de bain heureusement posé sur mon ventre m’évitait de me trahir moi-même.
Samedi 19H, l’île était en vue, nous y débarquâmes quelques instants plus tard, je remarquai très vite qu’elle n’était en fait qu’un simple prétexte à une croisière d’un jour, il n’y avait presque rien à voir, et à faire, çà et là quelques commerçants, qui vivaient principalement de la clientèle du bateau, bref, je la comparais à un quartier d’une grande ville, bien organisé, indépendant mais triste, morne. Nous nous en souciions guère avec Sarah, plus attirés à regagner rapidement notre cabine qu’à s’éterniser là où nous avions pris un repas. La nuit tombait sur le bateau, elle promettait d’être chaude, nous n’étions semblait-il pas les seuls à déjà avoir déserté l’île.
Je fermai la porte à double tour, pour nous isoler du monde entier, Sarah me disait être en chaleur, dans une forme éblouissante. Elle se suçait les doigts pour m’exciter, je lui caressai les seins à travers ses vêtements, et l’emmenai de suite sur le lit, où notre effeuillage fut sensuel, très lent, entrecoupé de caresses intimes, jusqu’à la découverte de notre nudité. La moindre parcelle de peau nous communiquait le plaisir de sentir sous soi le corps dénudé de l’être aimé, exquise sensation, prisonnier volontaire de douceur, entre les draps et son corps, que je me reconstituais uniquement par le toucher. Le très faible tangage du bateau nous plongeait dans un état second, dans un monde où tout n’est que légèreté et bonheur de vivre, mes baisers se posaient un peu partout sur sa peau parfumée, sur ses seins fermes qui formaient la plus belle poitrine au monde, je redécouvrai enfin le goût bien particulier du liquide vaginal qu’elle sécrétait, que j’ appréciais au plus haut niveau, tel un fin connaisseur.
Sans brusquer les événements, nous en arrivions peu à peu, tous deux couchés sur le flanc, face à face, à ce qu’elle me suce avec la délicatesse que j’ espérais. Comme à chaque fois, mon pénis gonflait sous sa langue et ses doigts habiles, tandis que les miens s’enfouissaient progressivement dans sa chatte humide, frôlant de la paume de la main le clitoris devenu déjà plus volumineux. Elle me disposa selon son bon vouloir à la place que doit occuper l’homme dans les positions du Kama-sutra qu’elle désirait expérimenter. J’adorais qu’elle prenne les initiatives, bien que je me retrouvais le plus souvent dominé, décidant elle-même de la vitesse et de la force à laquelle devait coulisser ma verge enduite de sa salive dans son vagin humide et bien chaud. Mes mains poignaient dans ses fesses, ou ses seins quand la position s’y prêtait mieux, palpant sa chair tendre, légèrement humide par la chaleur que dégageaient nos corps brûlant de passion. Nos gémissements composaient une chanson érotique, harmonieuse, aux notes faussées de temps à autre par un soupir plus profond, conclue d’un cri plus perçant, lorsque je déversai avec tout mon amour mon sperme qu’elle sentit se propager dans son ventre. Elle restait un instant immobile, soutirant les dernières gouttes de la dernière giclée, refermant les cuisses pour mieux conserver en elle mon sexe qui perdait de sa rigidité, jusqu’à sa libération. La nuit ne finit pas de sitôt, nous fîmes l’amour une deuxième fois, suivie d’une troisième puis d’une quatrième fois, jusqu’à l’épuisement total qui nous fit tomber dans les bras l’un de l’autre. La voix sensuelle d’une soubrette qui désirait changer les draps nous réveilla en fin de matinée, en pleine mer. Nous terminâmes la croisière au bord de la piscine, où je n’avais plus d’yeux que pour elle, nous embrassant et nous caressant dans la fraîcheur de l’eau et sous la chaleur du soleil, sans aucune retenue.
Lundi 10H20, les clés de la villa remises à l’agence, débarrassés de nos bagages, nous patientions devant la porte d’embarquement. Ce fut là une bien belle semaine de vacances qui s’achevait.
Dans l’avion qui faisait cap sur Paris, je regardai à nouveau les jambes de Sarah, nettement plus brunes qu’à notre arrivée. Nous avions bien profité du soleil qui m’avait rendu, selon ses dires, beau comme un Apollon, l’ argument était flatteur. Elle regardait s’éloigner la plage et les palmiers, me livrant tristement: - ? Dieu seul sait si nous reverrons un jour ces superbes paysages... ? Je trouvai en cette pensée une splendide occasion de lui demander, de manière originale, de prendre la décision la plus importante de sa vie, pour ma part longuement réfléchie tout au long de cette semaine, au terme de laquelle j’avais la certitude de la connaître parfaitement: - ? Peut-être souhaiterais-tu que nous les revisitions...pendant notre lune de miel... ? Je m’en voulais d’avoir peut-être heurté sa sensibilité à fleur de peau, lorsque de grosses larmes de joie roulèrent sur ses joues, mourant sur ses lèvres sous lesquelles apparut son sourire, tel un arc-en-ciel sous la pluie. La beauté de son visage mouilla mes yeux, elle me susurra sa réponse, qu’elle répéta encore, et encore. Nous ne nous sommes pas lâchés la main durant toute la fin du voyage, avec posée sur mon épaule, la tête de la femme qui deviendrait dans peu de temps, mon épouse.
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