Voyant que je ne réagissais pas, elle s’approcha de moi et me dit : Bon, je vais m’occuper de toi. A ma grande stupéfaction, elle attrapa mon membre et le mit dans sa bouche...
Elle me suçait comme une déesse, je savourai cet instant tandis que je sentais que j’allais venir. Je lui dis : Je vais jouir ! Elle arrêta de me sucer et me branla, je me vidai sur ses seins. Elle me dit : Bon allez, habille-toi, les paddles nous attendent. On sortit de la cabine tandis que Marie venait juste de finir d’étaler mon sperme sur son corps afin qu’il ne soit pas visible. On prit les paddles et on quitta le bord tranquillement. Après s’être éloigné de la rive, on commença à s’arroser puis je descendis de mon paddle et retourna celui de ma cousine. On chahuta un bon moment puis alors que je l’attrapai, je passai ma main sous son maillot de bain et je commençai à masser son clito, doucement, elle se retira et remonta sur son paddle, s’allongea et enleva son bas ; elle me dit : Fais-moi jouir ! Je me rapprochai et commençai à lécher doucement son abricot, elle écarta davantage ses cuisses et poussa un léger soupir. Tout en lui titillant son clito avec ma langue, je lui rentrai un doigt qui glissa facilement, puis j’en rentrai un deuxième puis je commençai un va-et-vient de plus en plus rapide avec ma main. Sa respiration s’accéléra jusqu’à ce qu’elle pousse de légers gémissements. Puis, elle eut un petit cri et elle me dit : Merci cousin, c’était génial, maintenant plus de doute sur nos envies, est-ce que ça te va qu’on soit des cousins sexfriend ? Avec plaisir. Par contre, tout cela reste entre nous et il faut pas qu’on se fasse cramer ; à part ça, cette semaine va être animée. J’y compte bien, bon on va rendre les paddles, on est en retard !
Nous retournâmes sur la plage, on rendit le matos et on rejoignit sa grand-mère afin de rentrer. Au retour, nous étions tous les deux à l’arrière et tandis que l’on discutait tranquillement avec sa grand-mère, Marie vint poser sa main sur ma cuisse et glissa sa main sous mon slip. Sa grand-mère nous annonça : Je ne serai pas là ce soir ni demain, je vais chez des amis. On se regarda avec Marie avec un sourire. On arriva chez nous où sa grand-mère nous posa et on rentra dans la maison. Ma cousine me dit : Viens dans ma chambre dans cinq minutes. En me faisant un clin d’il. Lorsque je pénétrai dans sa chambre, elle était en sous-vêtement sexy rouge, assise sur le lit. Elle sortit ma bite et se mit à la lécher tandis que j’enlevai mon t-shirt et le reste de mes vêtements. Je malaxai ses seins à travers son soutif tandis qu’elle me pompait vigoureusement. Puis je l’attrapai, la mis sur le dos et je retirai son string. Je lui humidifiai rapidement son vagin puis elle me dit : Prends-moi sans capote, je prends la pilule. Je lui écartai les jambes et la rapprochai du bord du lit puis je caressai son vagin avec ma bite ; elle me dit : Prends-moi ! Je caressai encore une fois son vagin puis je la pénétrai doucement et lui demandai : Ça va ? Ouii. Je me mis à faire des va-et-vient de plus en plus rapides, puis je la baisai à fond. Elle cria : Oh ouiii, prends-moi, défonce-moi !! Tu veux être défoncée, tu vas voir salope !! Je la bourrai en lui mettant des claques régulières puis je me retirai et la mis sur le dos et la repénétrai d’un coup sec. J’enfonçai ensuite un doigt dans son anus, ce qui la fit gémir plus fort, puis elle eut un fort orgasme, ce qui ne m’empêcha pas de continuer à la prendre, puis j’éjaculai sur son cul tout rouge. Elle vint me lécher le gland puis je lui proposai d’aller prendre la douche. On alla tous les deux dans la douche, puis elle, je pris le pommeau de douche et je nettoyai son cul plein de sperme puis je lui passai du gel douche sur tout le corps en lui malaxant les seins et son cul, puis je lui passai le pommeau et elle me nettoya en lavant surtout mon pénis qu’elle branla lentement. On sortit puis on s’embrassa. Elle rompit ce baiser en disant : Allez on va manger. On mangea nus puis à la fin du repas, on alla se poser dans le canapé. Elle vint branler un peu ma bite puis s’assit dessus, elle commença à me chevaucher à un bon rythme, je pris ses seins en main et titillai ses tétons durs de plaisir. Elle poussait de petits gémissements puis elle s’enleva et me proposa : Ça te dit un strip-poker, mais au lieu d’enlever des vêtements, on fait ce qu’on veut avec l’autre ? OK, vas-y ! On distribua les cartes, et je gagnai la première manche, la chance était de mon côté. Je lui attrapai son cul et je la biflai doucement pour commencer. Je regagnai la manche suivante et je lui fis faire une gorge profonde. Elle gagna la suivante et vint m’attraper les couilles et me pincer les tétons. Je gagnai à nouveau, je pris le manche d’une brosse à dents et je l’enfonçai dans son anus, ce qui l’empêchait maintenant de s’asseoir à cause de l’autre partie de la brosse qui dépassait à mon grand amusement. Elle gagna la suivante et vint me claquer le cul. Puis je lui demandai : Ça te dit de baiser ? OK, on va dans ma chambre ? OK. Lorsqu’elle monta l’escalier pour accéder aux chambres, je m’amusai à pousser la brosse à dents dans son cul, ce qui la fit me dire : Ça fait du bien, tu devrais essayer. Non merci, je suis pas bi. Une fois dans sa chambre, on se fit un 69 rapide puis je la pris en levrette. Et je lui dis : T’aimes bien quand je te déchire la chatte hein, tu aimes la bite salope va !! Ouiii, vas-y défonce-moii. Je la terminai en missionnaire et j’éjaculai entièrement dans sa chatte. Je lui demandai : Je peux te prendre par le cul ? Oui, mais à une condition. Laquelle ? Tu verras demain...
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