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Je découvre le côté salope de ma cousine

Chapitre 4

Pas le choix...

Inceste
... Le retour se déroula sans incident, on rangea les vélos et nous allions bien profiter de cette soirée sans la grand-mère régulièrement absente.Marie me dit :
— Il faut aller faire les courses !

Nous allions donc chercher le nécessaire à une épicerie qui était à dix minutes à pieds. Sur place alors qu’elle prenait des pâtes, je déclenchai le gode vibrant, ce qui lui fit lâcher ce qu’elle avait dans les mains. Elle me fit un regard noir. Je l’embêtai durant toutes les courses puis de retour à la maison, on alla dans la salle de bain. Elle me fit un lavage de l’anus qui n’était pas désagréable, puis une fois nettoyé, elle me dit d’aller dans sa chambre tandis qu’elle s’équipait. Elle rentra armée de son gode, et me dit :
— Je commence par t’enculer, mets-toi en levrette.

Je me sentis soumis, chose que je n’aimais pas, mais je me mis à quatre pattes sur le lit. Elle vint me lubrifier l’anus puis fit coulisser un doigt dans mon anus. La sensation était bizarre et inhabituelle, elle rajouta deux autres doigts puis rapprocha son gode de mon cul. Elle mit le faux gode à l’entrée de mon cul et appliqua une légère pression sur mon anus, elle força au fur à mesure jusqu’à ce que le gode rentre en moi d’un coup, ce qui me fit pousser un léger cri. Elle caressa mes fesses puis entama de légers va-et-vient en allant de plus en plus profond dans mon trou. Le gode finit par être moins serré dans mon anus et elle se mit à accélérer et me dit :
— Je vais bien te défoncer cousin !

Elle commença à me défoncer le cul à un bon rythme ; elle me dit :
— Uhm, je vais te défoncer comme une salope, comme une pute !
Et elle me tira par les cheveux tandis qu’elle accélérait ses coups de gode.
— Alors tu la fermes ta gueule maintenant hein ! Et elle me claqua le cul. Je commençai à apprécier cette bite en moi. Elle ramonait maintenant à fond en me claquant régulièrement le cul puis elle s’arrêta essoufflée et je lui dis :— Maintenant, je vais m’occuper de toi !
Elle retira le gode de mon anus et se délesta de son gode-ceinture. Je la mis comme moi en levrette et lubrifiai un coup son anus puis j’approchai mon gland de son petit trou et la pénétrai doucement. Elle poussa quelques gémissements puis je lui dis :
— Je vais te donner une raison de gémir cousine !
Je la bourrai à un bon rythme directement, elle laissait s’échapper de petits cris qui m’excitaient fortement. Je la mis en missionnaire et la baisai à fond en pétrissant ses seins puis j’éjaculai complètement dans son cul et me retirai. Mon sperme coulait le long de son cul et on s’embrassa de façon torride. On s’effondra sur le lit et tomba dans les bras de Morphée.

Le lendemain, elle me dit :
— Tu vois finalement, t’aimes bien prendre des queues !— C’est pas désagréable, mais je préfère te dominer.— Tu finiras par en redemander tu verras.
C’était mon dernier jour avec elle, je rentrais chez moi dans la soirée ; je comptais profiter de cette journée comme il le fallait !Ma cousine me dit :
— Aujourd’hui, on va faire une rando, j’ai préparé le pique-nique, habille-toi, on y va.
Je m’habillai rapidement et on partit à un rythme soutenu. Marie avait enfilé un legging moulant et une brassière, ce qui la rendait très sexy. J’accélérais le pas et je mis mes mains sur ses fesses toutes rebondies. Elle me dit :
— Arrête, on baisera en rentrant.— Tu peux me faire une faveur s’il te plaît ?— Oui ?— Enlève ton pantalon et continue la rando en culotte et brassière.
Elle retira son pantalon, elle avait mis un string ficelle qui laissait apercevoir complètement son cul sauf son anus et de devant on voyait légèrement son minou à travers le tissu noir presque transparent. Elle mit son legging dans son sac et reprit la marche sans rien ajouter. Son fessier me fascina et la montée me parut très rapide. Une fois arrivé en haut d’une colline, on s’installa dans la forêt au bord d’un ruisseau. Marie se posa sur un rocher et sortit le pique-nique, on déjeuna tranquillement puis une fois repus, je vins dégrafer sa brassière. Je me mis à caresser et malaxer ses seins tandis qu’elle sortait ma bite bandante de mon slip étroit. Elle se mit ensuite en levrette et je vins écarter son string dégoulinant de sa mouille. Je me mis derrière elle et rentrai ma verge dans son minou d’un coup sec. Elle poussa un cri de surprise tandis que je me mis à la prendre sans vergogne.
Je rentrai mon pouce dans son anus alors que je la défonçai puis je sortis mon pénis de sa chatte et l’engouffrai doucement dans son anus. Elle gémit assez fortement puis je la pris à fond. Elle criait :
— Ooh oui oui oui, continue !
Ou encore :
— Vas-y défonce-moi le cul avec ta grosse biiite, aahhh !

Je ne tardai pas à éjaculer dans son cul. Elle s’allongea épuisée du plaisir qu’elle venait d’avoir. On ne se rhabilla pas, et on rentra nu jusqu’à la moitié du chemin ou j’eus une idée. Je la soulevai du sol facilement et la pénétrai debout, elle, assise sur ma bite suspendue à mon cou et moi debout. Je repris la marche avec elle posée sur ma bite. A chaque pas, j’avais la sensation de la pénétrer, elle rebondissait sur mon membre. On s’habilla juste avant la fin du sentier et on arriva chez sa grand-mère. Une fois à l’intérieur, je lui dis :
— Monte dans la chambre que je te défonce encore un peu !

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