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Je me découvre et début de ma vie de petite coquine

Chapitre 1

Hétéro
C’est bon j’ai mon bac, un peu à l’arrache, mais l’essentiel est de le décrocher. Ma note d’oral d’anglais a fait la différence. J’ai eu une très bonne note bien au dessus de mon niveau qui est quand même très correct. 
Je m’en suis bien sortie, le plus, ma tenue sobre et sexy. Une petite jupe style tailleur achetée pour l’occasion et que j’ai beaucoup raccourcie. Un chemisier blanc juste moulant pour laisser entrevoir ma belle poitrine (90D pour les connaisseurs) et des nu-pieds avec un petit talon.
Bien sûr mon maquillage est bien soigné, rouge sur tous les ongles, j’ai une queue de cheval (je vous laisse imaginer la brunette que je suis, 1m66, 53kg).
Depuis 1 mois et mes 18 ans sobrement fêtés, révisions obligent, je ne sais pas pourquoi, j’ai des envies coquines. Je me suis moi même offerte avec l’argent donné par mamie un épilateur et je suis toute lisse, plus aucun poil nul part.
Je poursuis avec mon oral de bac. Pour que le récit soit plus vivant la suite est racontée au présent, il débute lorsque mon père m’appelle, il va me conduire à mon examen en voiture.
«Anne, ma chérie c’est l’heure on y va !»«Je suis prête !»
Mon père me regarde septique.«C’est pas trop court ?»«Non, t’inquiète...»
En voiture, assise devant la jupe dévoile toutes mes cuisses, il ne reste plus de 2 cm de tissus au grand maximum avant ma petite culotte. J’ai mis de la crème, mes jambes sont belles. Je suis confiante, mon père stresse de son côté.
Il jette des petits coups d’œil vers mes cuisses.«C’est trop court, tu ne veux vraiment pas te changer ?»«Non.»«Tu as bien ta convocation ?»«Oui.»«Et ta carte d’identité ?»
«Oui.»«C’est trop sexy à mon avis.»«t’inquiète.»
Une chaleur monte de mon bas ventre et mes tétons se durcissent alors que mon père profite d’un feu rouge pour admirer mes cuisses. Vérification dans la petite glace, mes yeux sont magnifiques, mon maquillage est top, et deux petites pointes tendent mon chemisier. Je meure d’envie de me mettre 2 doigts, je sens que je suis trempée.
Mon père manque de renverser une petite mamie qui traverse sur un passage piéton. La voiture pile alors que mon père louche sur mes cuisses. Il finit quand même par arriver à me conduire à destination.
Mon père me dépose avec 30 minutes d’avance. Je me précipite aux toilettes. Ma culotte me colle et entre dans ma fente. Retirée, elle est mouillée et devenue transparente.
Mes doigts glissent et m’écartent, je dégouline. L’index et le majeur de l’autre main tripotent mon clito. Je vacille sur mes talons, je jouis, laisse échapper un cri malgré moi. Appuyée au mur, haletante, tout mon corps réclame du sexe.
La culotte est trop humide, elle me gêne, elle termine au fond du sac. Le miroir me renvoie l’image d’une fille canon, mes yeux noisettes avec des longs cils, sublimes paraît il :) trahissent mon envie. Les boutons du chemisier résistent courageusement aux tétons qui veulent transpercer les tissus.
C’est mon tour, le prof me détaille de la tête au pied, avec un petit arrêt au niveau des seins et un autre sur les jambes.
Nous prenons place sur 2 chaises face à face. Je croise vite les jambes devant lui. La direction de son regard m’indique qu’il sait que je ne porte pas de culotte. Sous l’excitation, une chaleur se propage dans mon corps.
Je m’en sors bien, mais le prof, un brun à lunettes, la quarantaine, n’est pas exactement de mon avis. Il trouve que mes bases sont bonnes, mais il me demande si j’ai l’intention de travailler mon anglais pendant les vacances.
Je m’empresse de répondre,«Oui j’ai prévu de travailler mon anglais !»«Bien ! Et comment comptes tu faire ?»«Heu...je vais réviser....»«Et l’importance de pratiquer !»«Oui...»«Bon, je donne moi même des leçons pratiques, il me semble que cela te serait profitable !»«Heu...Bien sûr...»
«Bien ! Les 3 premières leçons sont gratuites, et, allez, je vais en tenir compte dans la note de bac !»«Merci monsieur...»«Parfait. Voici mon adresse et mon numéro. Nous commençons demain 10h. Donne moi également ton téléphone !»«Oui, merci...monsieur j’ai 3 séances gratuites, mais ensuite ?»«Ah motivée n’est ce pas ! Nous verrons, on s’arrangera, pas de soucis !»
Mon père a pris sa journée pour moi, je subie un interrogatoire sur la route du retour. Je passe sous silence les leçons avec le prof, je ne veux pas lui en parler.
Mon passage avec le prof m’a mise en feu et j’ai hâte de rentrer. Grâce à la bonne situation professionnelle de mes parents nous habitons une superbe villa avec piscine. Rentrée je me précipite dans ma chambre alors que mon père va se baigner.
Deux godes réalistes sont cachés dans un tiroir. Je me dépêche, me débarrasse de mes vêtements. Toute nue, à genoux sur mon lit jambes écartées, je fais rapidement aller et venir le premier dans mon vagin.
Je me déchaîne avec ma bouche sur le second fixé par sa ventouse sur la tête de lit. Je vous laisse imaginer la scène :), mes gémissements sont étouffés par le membre qui pénètre mes lèvres jusqu’à passer au fond ma gorge.
Après deux orgasmes, je m’écroule, essoufflée comme après une course de 100 mètres. En récupérant, je suce le gode retiré gluant de mon entrejambe.
Calmée, le désir revient doucement, je me caresse. Frustrée, je balance un gode qui rebondit sur le mur. Qu’est ce qui m’arrive ? L’eau de la piscine me fera du bien.
J’enfile un petit deux pièces, mes tétons font deux petites bosses sur le haut du maillot. Chaude bouillante, je rejoins mon père dans la piscine.
J’entre vite dans l’eau. Je suis une pile électrique, mon père n’arrive plus à nager avec moi, je suis sur son passage, je prends ses pieds en riant.
Mon père joue avec moi. Il me bloque contre lui, me tient les jambes. Je lui tire poils.
Je suis soulevée dans ses bras et balancée dans l’eau. Je coule, sous l’eau je vois que son caleçon de bain et tendu. Cette vision déclenche l’incendie.
De retour en surface, je me colle à lui, mes bras serrés autour de son torse. Mon père essaye de se dégager, il me pousse, me balance, ses mains glissent sur moi, sur mes seins.
Un de mes tétons est sorti du haut. Je fais celle qui n’a rien vu. Je viens en riant juste devant lui, ma poitrine sous son nez.
Je me fais surprendre, mon père me prends dans ses bras, à plat ventre, une ses mains serre ma cuisse gauche, son autre main englobe mon seins gauche.
Il me tient à 20 cm au dessus de la surface. Mon sein est écrasé dans la paume de sa main, il doit sentir mon téton. Ses doigts impriment une pression.
Je reste un moment dans ses bras à crier et rire en même temps. Sans prévenir il me balance 1 m plus loin. Lorsque j’émerge je le vois sortir. Je proteste en vain, alors je m’installe sur le transat à côté de lui.
Mon père se déplace à l’ombre et s’installe en position fauteuil a quelques mètres juste devant moi. Je suis certaine qu’il l’a fait exprès pour me mater.
Sur le ventre, je dégrafe le haut, toutes les filles le font, à cause de la marque des bretelles ...
Il regarde, j’en suis certaine maintenant. Je fais celle qui est absorbée sur son portable. Le cœur battant, je me mets sur les coudes, lui dégageant la vue sur mes seins.
En tapotant, je vérifie dernière mes lunettes de soleil, et il n’en perd pas une miette. Je suis une cocotte minute prête à exploser, j’ai envie.
Je passe carrément en position assise bien face de lui comme si j’avais oublié sa présence. Toujours en faisant mine d’être absorbée par mon portable.
J’active le miroir et le téléphone me renvoie mon image. Ma taille fine, mon ventre plat, mes seins fièrement dressés, hyper mignonne avec mes lunettes de soleil et les cheveux mouillés.
18 ans, je suis sublime et je le sais. Je mets un doigt dans la bouche et je le suce l’air de rien, mais intérieurement, c’est le feu. Ma poitrine est belle. Les seins tiennent bien et bougent avec mes mouvements.
Je lève la tête du portable vers mon père avec un sourire coquin.«Tu me regardes ?»«Heu… Non pas spécialement»«Tu me trouves sexy ?»«Je ne sais pas, sûrement...»«Regarde moi bien alors et dit moi !»«Oui tu es sexy ma chérie.»
Je me lève de mon transat et je vais vers lui les seins à l’air. «Je reste comme ça alors ! Viens on va se baigner !»Je le tire par le bras. Il se lève d’un bon me soulève sur son épaule, court vers la piscine...et me balance dedans.
Mon père reste sur le bord et me regarde remonter à la surface.«Vient dans l’eau avec moi !»«Non, tu es trop sexy !»«Allez ! S’il te plaît !»«Je ne peux pas, tu es trop coquine !»
Je crève, je me fiche que ce soit mon père, je veux qu’un male s’occupe de moi.«Je suis bandante ?»«Mais tu es une peste ! Oui et c’est pour ça que tu va rester toute seule dans l’eau !»Il me laisse plantée là.
Toute seule dans l’eau, je me caresse ma main dans le maillot. Finalement je l’enlève et le jette de rage le plus loin possible. C’est la première fois que je nage toute nue, les caresses de l’eau loin de me calmer, activent mes sens. Je regrette de ne pas avoir un gode.
Puisque avec le seul male sous la main je galère, les idées défilent dans ma tête pour attraper un homme.
J’ai un petit copain, mais cet idiot a décidé de faire son stage d’école d’ingénieurs en Norvège. Il m’a proposé de le rejoindre mais je ne vais pas passer mes vacances dans un pays où on se gèle.
Je tiens plus, je sors me sécher un peu et toute nue, en ignorant mon père sur son transat. Je file dans ma chambre en passant devant lui.
Je passe le reste de la journée à me masturber et jouer avec mes godes. Je reçois un SMS du prof d’anglais qui me rappelle la leçon de demain. Je confirme.
J’ai une nuit agitée. Je rêve que mon père invite le prof d’anglais chez nous. Dans mon rêve je suis sauvagement baisée par les deux hommes. Je me réveille en nage, deux doigts dans la chatte en pleine nuit.
Je suis obligée de me soulager, je me défonce avec un gode. Il me faut jouir pour trouver un semblant de sommeil et des rêves érotiques.
Le lendemain je me lève à 8h. Normalement c’est impossible pendant les vacances, pourtant je suis bien réveillée. En sortant de la douche j’hésite devant la penderie.
Tout est très court, ce n’est pas ma faute si la mode est comme ça et qu’on se tape la canicule l’été. J’hésite entre les tenues plutôt vacances ou stylées.
Je me décide pour un short en jean et un petit top blanc. Un ensemble string et soutien gorge en dentelle. Baskets aux pieds.
Je me rends chez lui en bus et métro. Je sonne à l’interphone de l’immeuble avec 5 minutes d’avance.«Bonjour, je viens pour la leçon d’anglais»«Bonjour, oui très bien ! 4ème, à droite en sortant de l’ascenseur !»
Je n’ai pas refroidi depuis 2 jours, me présenter au prof m’excite énormément. Dans le miroir, je vois une fille chaude qui réclame du sexe, je suis en manque et cela se voit.
La porte de son appartement est entrouverte et il apparaît lorsque j’arrive. Il me dévisage comme pour la dernière fois avec deux arrêts au seins et aux jambes. «Entre ! Tu es à l’heure c’est bien !»Il me pousse par le bas de la taille et j’entre chez lui, l’entrée donne sur le salon.
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