Je m’appelle Vladimir. J’ai 23 ans, et ce que je vais vous raconter s’est passé lorsque j’avais 19 ou 20 ans. J’ai toujours eu des fantasmes d’inceste. L’élément déclencheur fut lorsqu’il m’arrivait apercevoir le corps nu des membres de ma famille. Lorsque je voyais mon père ou ma mère nue, même très brièvement, lorsque la porte de la salle de bain était mal fermée par exemple, je gardais l’image en tête, et elle me servait le soir dans mon lit. C’est à partir de ce moment que j’ai découvert que j’étais bisexuel d’ailleurs. Il m’arrivait aussi de fouiller un peu le téléphone de mon père, pour y trouver des photos de ma mère nue, allongée sur le lit cuisses écartées, ou un gode dans le cul à quatre pattes. Ou même, le Saint-Graal, ma mère portant un gode et prenant mon père. Qu’est-ce que ces photos ont pu m’exciter… Je me masturbais le soir en m’imaginant caresser les seins de ma mère, ou le sexe de mon père. En m’imaginant faire l’amour à ma mère pendant que mon père regardait, se masturbant. En m’imaginant me faire sodomiser par mon père, pendant que je léchais le clitoris maternel. J’ai vite développé un fantasme très frustrant d’orgie familiale. Mais tout ceci ne restait que des fantasmes que je ressassais dans ma tête. Jusqu’au jour où… Un après-midi d’été où je m’adonnais à mes plaisirs coupables, sans prévenir ma mère entra dans ma chambre. Je n’ai pas eu le temps de me cacher, étant nu sur mon lit – et pris par la surprise, j’ai mis quelques secondes à réagir. J’ai rapidement remarqué que le regard de ma mère s’est posé, très brièvement, sur mon pénis. Et sa réaction ne se fit pas attendre : « Eh bien, je vois que tu n’as rien à envier à ton père… me dit-elle— Maman je…— Ne t’en fais pas, c’est normal à ton âge. Le contraire m’inquiéterais d’ailleurs » A ce moment-là, elle s’approcha de mon lit et se mise assise à côté de moi, moi toujours nu et le sexe toujours dressé. Elle ne semblait pas gênée le moins du monde, ce qui n’était pas mon cas, loin de là. « Ça fait un moment que j’ai remarqué tes petits coups d’œil sur ton père, moi, ton frère ou ta sœur lorsque nous somme nus, déclara-t-elle, avec une assurance certaine— Maman, ce n’est pas ce que tu crois, je suis désolé…— Ne le soit pas mon chéri. Je ne t’en veux pas. C’est même l’inverse. Nous sommes une famille très libre sur le sujet. Comme tu as pu le remarquer, parler de sexe entre nous ne nous gêne pas. Et ça va même un peu plus loin que ça… » Elle marque une pause de quelques secondes, détournant le regard. J’imagine qu’elle ne savait pas trop si elle pouvait me le dire ou non, et comment j’allais réagir. Mais moi, j’étais déjà surexcité. Je savais ce qu’elle allait me dire. Et je l’attendais avec impatience. « Un peu plus loin ? C’est-à-dire ? Demandais-je avec une fausse innocence— Eh bien, vois-tu, avec ta sœur, voilà déjà quelques temps qu’elle participe à nos ébats. Et nous attendions le bon moment pour t’en parler et t’inviter à ton tour. » Elle posa une main sur mon torse, ce qui me fit tressaillir, trembler d’excitation. Je n’arrivais pas à y croire. Ma mère était en train de me parler d’inceste, de VRAI inceste, de vrais rapports incestueux, au sein de ma propre famille. Je devais être en train de rêver. « Tu veux parler… d’inceste ? Tu sais, ça fait longtemps que je fantasme sur toi et papa… Dis-je avec une fausse assurance, redoutant tout de même la réaction de ma mère.— Nous l’avions remarqué, lui et moi. Et c’est pour cette raison que je suis là en ce moment. Je voulais m’en assurer.Sa main descendit lentement le long de mon ventre, s’approchant dangereusement de mon sexe, bandant toujours, et même plus fort qu’il y a quelques minutes.
— Que dirais-tu d’un petit avant-goût tout de suite ? Tu sembles avoir besoin d’aide… Elle ne me laissa pas le temps de répondre et m’embrassa directement. Elle insinua sa langue dans ma bouche, se frayant un chemin entre mes lèvres. Sentir la langue maternelle dans ma bouche, pendant que cette main s’approchait de mon sexe, c’était trop. J’étais à deux doigts de jouir. Je n’arrivais pas à croire ce qui se passait. C’était trop beau. J’étais en train d’embrasser ma propre mère, de jouer avec sa langue pendant que sa main caresser mon bas ventre. J’étais aux anges.Soudainement, elle se retira, se leva au milieu de la chambre, et enleva son chemisier, dévoilant une poitrine généreuse, très bien conserver pour une femme proche de la cinquantaine ayant eu 3 enfants. Son corps en général était très harmonieux. Elle était la femme mature que je rêvais de prendre. Elle continua à se déshabiller en enlevant son jean, montrant une culotte en dentelle très sexy. « J’avais prévu d’en arriver là avec toi cet après-midi, lâcha-t-elle dans la confidence— Maman, tu es magnifique… » Elle rougit un peu à mon compliment, puis retira également sa culotte, mettant à jour ses fesses et son vagin, épilé façon ticket de métro. Elle était là, nue, au milieu de ma chambre, devant moi, parfaitement sûre d’elle. Elle s’approcha à nouveau de moi, et cette fois-ci, plutôt que de poser ses lèvres sur les miennes, elle les déposa sur mon gland. Sensation qui me fit sursauter d’excitation. Avant qu’elle aille plus loin, je lui demandai de monter sur moi, et de venir positionner son vagin au-dessus de mon visage. Ce qu’elle fit sans poser de question. Nous étions donc en 69. Ma mère me suçait, pendant que je léchais son clitoris, enfonçant par moment ma langue dans son intimité. Ma chambre s’emplit rapidement de gémissement, autant d’elle que de moi. « Han maman… Tu fais ça tellement bien…— Merci mon chéri… Ta langue fait des merveilles aussi… » Puis, dans le feu de l’action, par instinct, je posai mes mains sur ses fesses et décida de glisser un doigt dans son cul. Elle se retira, et, me regardant entre ses seins pendants, elle me dit : « Chaque chose en son temps mon lapin. Gardons ça pour plus tard. » Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’elle se débrouilla pour se retrouver assise sur moi, me chevauchant, mon sexe à l’entrée du sien. Elle me regarda droit dans les yeux, puis se laissa glisser, s’empalant sur le pénis de son propre fils, lâchant un long gémissement. Une fois complètement enfilée sur moi, elle prit mes mains et les posa sur sa poitrine, m’invitant à malaxer ses seins. Encore une chose que je rêvais de faire, et je ne me fis pas prier. Pendant que ma mère montait et descendait, s’enfonçant mon sexe toujours plus profondément en elle, je caressais, pinçais, jouais avec sa poitrine. J’étais en train de pénétrer la femme qui m’avait donné la vie, en jouant avec ses seins. Je ne pouvais pas imaginer que ça arriverai un jour. Je sentais l’orgasme monter. J’étais à deux doigts d’exploser. « Jouis en moi, jouis en maman mon fils. Laisses toi aller, ne t’inquiètes pas. Remplis-moi ! » Chose qui arriva rapidement. Ses paroles furent le déclencheur. Je lâchai tout en elle, dans l’orgasme qui, à ce moment, était le meilleur que je n’ai jamais eu. Elle resta un moment au-dessus de moi, allongé sur moi. On s’embrassa plusieurs minutes, sa langue jouant avec la mienne, mes mains sur ses fesses, puis elle dit : « Bon, il est temps d’aller prendre une douche. J’espère que ça t’as plus.— Maman, tu viens de réaliser un de mes fantasmes… L’inceste est ce qui m’excite le plus.— Tu ne seras pas déçu avec ce que nous te réservons alors… Elle ne me laissa pas le temps de répondre, se releva, et quitta la pièce pour aller prendre sa douche.Je restai là un long moment, du sperme autour du sexe, à visionner en boucle ce qui venait de se passer, et à imaginer ce qu’elle voulait dire par « ce que nous te réservons »…
