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Je découvre ma jumelle

Chapitre 2

Inceste
Marie et moi sommes lovés l’un contre l’autre, ce moment très intime a exacerbé nos sentiments tus depuis des années.Après un repas préparé par ma sœur, nous regardons la télé puis vers 10 heures nous allons nous coucher. Je suis sur le dos a droite du lit, je sens le corps de Marie contre mon coté gauche, je mets ma main sur son ventre, elle la prend et la remonte vers ses seins, ferme doux, je sens les tétons en érection, je les frotte tour a tour, je les tires délicatement, Marie soupire de plaisir, elle pose sa main sur mon bas ventre, puis entoure mon sexe qui est déjà gonflé par le désir, elle fait des mouvements de haut en bas, je délaisse ses seins et caresse son mont de vénus, son bassin avance vers ma main, je trouve ton bouton d’amour et fait des petits cercles dessus, compte tenu des plâtres je suis entravé dans mes mouvements.
Pour faciliter les choses Marie se met tête bèche sur le coté et prends ma bite, la lèche, met le gland dans sa bouche tourne autour avec sa langue, elle ressorts ma queue, tète le gland, le suce, puis prend toute ma bite en bouche, elle suce, me pompe,, me branle avec la bouche, je ne peux que caresser sa chatte, je la pénètre avec 2 doigts et avec le pouce je touche son anneau brun, son corps s’agite, elle gémit de plus ne plus fort, sa bouche est douce et humide, je sens la jouissance irradier mon corps je donne deux coups de reins et je décharge dans la bouche de ma sœur.
Je continue les va et vient avec mes doigts dans sa chatte trempée, ils glissent tellement sa grotte d’amour est lubrifiée. La cyprine coule sur son petit œillet, le pouce entre facilement, a la même cadence je lime sa chatte et son cul… son bassin s’agite, elle respire fort et de manière saccadée, ses cuisses se serrent, coincent ma main, son corps a des soubresauts, puis elle s’affale sur le matelas, épuisée par la jouissance.
Quelques minutes pour reprendre nos esprits, puis elle se remet en position normale, nos lèvres se rencontrent, nos langues se lient……Puis nous nous enlaçons :
— Tu sais Marie avec mes plâtres il va être difficile de te donner du plaisir autre.— Ce n’est pas grave, du moment que je peux te sucer, ça me plait.— Mais je veux que tu aies autant de plaisir que moi.— On va attendre que tout soit "ressouder" on verra après, de toute façon les parents reviennent dans deux jours, il faudra faire attention.— On devrait trouver un job d’été et demander aux parents de nous louer un grand studio ou un T1 pour la rentrée, prétextions "des économies de trajets, gain de sommeil puisque qu’on se lèvera moins tôt, et économie de fatigue".

Les deux jours suivants semblent longs, lors de ma douche, sac plastique protégeant jambe et bras, la douche est minimale, Marie profite de se mettre a genou et me sucer, je m’assois sur un tabouret et réussi a la faire jouir en titillant ses nichons, en les tétant, en pinçant les tétons avec les lèvres et en même temps, je pénètre sa chatte avec les doigts, je branle son clito qui est assez grand, je serre et desserre les lèvres son clito est dur… elle gémit, hoquette l’orgasme arrive à l’irradier….
Le retour des parents se passe bien, nous ne sommes pas allés à la FAC depuis trois jours, moi j’en ai pour trois semaines minimum, Marie reprend les cours demain.Le lendemain alors que nous sommes à table, le soir, Marie et moi demandons aux parents de prendre un studio a la rentrée a AIX, nous serons en co-location tous les deux, nous exposons nos arguments, et ajoutons que nous allons trouver un job d’été pour diminuer les frais de l’année.
— Nous allons réfléchir maman et moi, on ne reparle d’ici deux ou trois jours, après avoir fait le point, sur tous les sujets de la situation a venir.

Cela fait quinze jours que j’ai eu l’aident et mes deux visites a l’hôpital, mon rendu heureux, surtout la deuxième, avant-hier, car la consolidation est plus rapide que prévue et le docteur pense que mes plâtres seront enlevés d’ici deux a trois jours. Je devais faire de la rééducation un moment, tout de même.A mon retour de l’hôpital, le soir au repas, mon père nous dit :
— Après mure réflexion avec maman, nous sommes d’accord pour que vous soyez co-locataires dans un studio à Aix, pour toutes les raisons que vous avez évoquées plus une autre.— Ah oui laquelle papa ?— Ehh bien heuuuu vous serez plus tranquilles pour vous rapprocher, depuis quelques années vous étiez plutôt comme, chien et chat" ajoute notre père en souriant.
Nous n’insistons pas mais nous nous posons des questions, car nous avons été très prudents, et avons eu très peu de rapports intimes depuis le retour des parents.
La fin de l’année se déroule normalement, nous sommes inscrits à la FAC d’Aix, il nous tarde que la rentrée arrive.Nous profitons des quelques rares absences de nos parents, pour nous caresser, nous sucer, nous lécher, faire l’amour.Nous sommes début septembre, et l’emménagement dans notre petit appartement commence. Ma rééducation est terminée depuis quelques semaines. Notre père nous aide pour faire quelques aménagements. L’ameublement est composé entre autres d’un lit, notre père commande un clic-clac afin que nous ayons chacun notre lit.Le jouir de la rentrée est hyper chargé, tant administrativement que courses de dernières minutes.
En milieu d’après midi nous rentrons à l’appartement, nous posons les courses, et nous décidons de prendre une douche et de nous reposer.Marie entre la première, je la suis, l’eau ruisselle sur son corps, je la savonne, j’insiste sur son cou, ses épaules, son dos, le bas du dos…puis elle se retourne, je savonne ou plutôt je caresse ses seins, son ventre, je remonte entre les seins, Marie gémit doucement, son corps ondule. Je savonne son mont de vénus, elle écarte les cuisses, je savonne son minou, son entre jambe, puis je reviens sur ses fesses, elle se cambre et écarte les cuisses, je savonne, heuuuu, je caresse sa raie culière, quand je frotte son petit œillet les gémissements s’intensifient.
Marie me savonne à son tour, elle commence par le cou, les épaules, le dos, mes fesses, puis je me retourne, elle me savonne le sexe, les bourses, l’entre jambe. Je soupire de plaisir.Nous nous rinçons… je me mets à genoux, je passe une de ses jambes sur une épaule, je lèche sa chatte, j’embrasse sa chatte, je la fouille avec la langue au plus profond. En même temps je passe un pouce sur ses lèvres, elle écarte un peu les cuisses, ma langue remonte vers son clito qui est sorti du capuchon, je le tète, je le suce, je le branle en serrant et desserrant mes lèvres, mon pouce pénètre sa chatte et mon majeur frotte son petit anneau ridé.
Marie s’ouvre au maximum, elle gémit très fort, elle me tient la tête et la presse contre son bas ventre, je lime de plus en plus fort sa chatte, mon majeur pénètre son cul et le lime… Marie abaisse son bassin pour que je la pénètre au plus profond, son bassin ondule, elle respire fort et de manière saccadée, j’aspire son clito tout en limant sa chatte et son cul avec les doigts… son corps a des soubresauts, une onde part de ses jambes et irradie son ventre, elle crie, se cambre puis elle serre les cuisses emprisonnant ma main… puis elle se relâche et se penche en m’enlaçant.
Marie s’agenouille en me disant de me relever. Elle prend ma queue, la lèche de bas en haut, elle prend la gland en bouche, tourne autour avec sa langue, puis lèche la hampe de chair a nouveau, elle lèche mes bourses, les suçote délicatement a tour de rôle… je gémis et lui je lui dis que suis près de la jouissance, mes mains enserre sa tête, Marie me suce la bite, elle me pompe, aspire comme elle le ferait avec une paille, je donne des coups de reins, je veux jouir je veux remplir la douce bouche de ma sœur… elle met ses mains sur mes fesses et me maintient pour ne pas que je recule… je me contracte et poussant un gémissement de plénitude, je jouis, je remplis la bouche de Marie, qui me regarde droit dans les yeux et avale.
Nous nous séchons puis allons sur le canapé, lovés l’un contre l’autre.Nous préparons le diner, nus, c’est l’occasion d’attouchements, de caresses, de bisous.Après manger nous regardons la télé puis, assez tôt nous allons au lit.Marie se met sur le coté en cuillère, moi aussi, tout contre son corps. Mon torse contre son dos, mon bas ventre contre ses fesses, mes genoux contre ses creux poplités. Elle tourne la tête vers moi, je m’avance et nos lèvres s’unissent, nos langues se cherchent. Je passe une main sous son torse et caresse son sein, l’autre main caresse son ventre, je m’attarde sur le nombril, son ventre commence à vibrer. Ma bite se place contre sa raie culière, elle trouve sa place… que c’est bon !
Je descends vers son mont de vénus, puis son clito. Marie gémit et commence à respirer bruyamment. Je fais des mouvements avec mon bassin, ma queue frotte dans sa raie culière et a chaque mouvement frotte son petit œillet. Marie recule le bassin, ma accentue le frottement.
Marie arrête de bouger, elle se lève en s’appuyant sur le coude :
— Tu veux arrêter ma chérie ?— Ohhh que non, je vais lubrifier ma raie, je profiterai mieux.
Elle met du lubrifiant dans sa raie, puis se recouche sur le côté.Je reprends mes caresses du sein en passant sous le buste, je caresse le coté, puis avec un doigt je frotte le téton, de l’autre main je caresse le clito et les lèvres de sa chatte… a chaque mouvement de mon bassin ma bite frotte son petit anneau ridé. Elle se cambre et recule le bassin. Marie gémit, semble comme essoufflée… de temps en temps lors d’un mouvement de bassin mon gland bute sur son œillet… Marie se cambre, mon gland pénètre de quelques millimètres, puis je reprends les mouvements de bassin, mon gland bute de plus ne plus souvent sur l’œillet. Marie gémit un peu plus à chaque fois, a un moment mon gland pénètre presque son cul. Marie arrête de bouger et dit :
— Mmmm Ouiii Steve, vas-y, ne t’arrêtes pas… prends moi le cul !
Je la fais mettre à quatre pattes, la tête sur le lit le bassin assez haut, je lubrifie son cul et ma bite. Je tiens Marie par les hanches et je pénètre la moitié de mon gland, j’arrête de bouger un instant puis je pousse et mon gland pénètre Marie déflorant son cul. Elle crie et ajoute
— Continues… ouiiii.
J’arrête de bouger pour que Marie s’habitue à la présence de ma queue. Au bout de quelques instants je commence à la pénétrer plus profond, la douleur s’estompe, ma sœur me demande de lui baiser le cul… mes va et vient accélèrent, je tiens les hanches de Marie, je lui demande de se frotter le clito, sa main s’active de plus en plus vite, tout comme mes mouvements, je lime de plus en plus vite, Marie dodeline de la tête, elle gémit, soupire de plus en plus, son souffle s’accélère, son corps tremble, elle bouge son bassin d’avant en arrière pour prendre ma bite au plus profond… je lui lime le cul, elle a un râle, et l’orgasme l’irradie. Je sors ma bite le trou est béant :
— Ohhh remets ta bite, il y a un grand vide en moi !
Je la reprends, l’anneau plissé roule autours de ma queue a chaque mouvement de ma bite.Je sens l’orgasme arriver, je jouis dans les entrailles de Marie. Puis nous restons ainsi un moment, jusqu’à ce que ma bite soit expulsée.On se remet en cuillère dans le lit, on se câline, puis la fatigue aidant, on s’endort.
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