Nos parents… au fait je ne les ai pas présentés. Maman, Hélène, une belle femme de 43 ans, un corps magnifique (que je n’ai qu’entre aperçu, en maillot de bain) un peu empâté par les années et la grossesse, papa, Bernard, un peu plus grand que moi, 48 ans, un léger embonpoint au niveau du ventre. Ils nous ont eu assez jeunes.Nos parents, donc, entrent dans le salon, nos nous rajustons rapidement et nous nous attendons à un déferlement de colère, donc nous quittons le canapé pour vite rejoindre nos chambres. Alors que nous passons devant les fauteuils une place, papa dit d’un ton calme :- Assoyez-vous. Depuis deux ou trois semaines après notre retour du printemps dernier, je me doutais qu’il y avait eu un rapprochement entre vous, je vous ai observés, et il émanait de vous plus qu’un amour fraternel. Ce n’était qu’une impression, mais aujourd’hui il me semble déceler un amour Fraternel… PLUS un amour tout court et TRES fort ! je ne vous en blâme pas. La nature ne connait pas les lois, et puis vous êtes adultes consentants. Soyez juste prudents et ne faites pas un enfant.Notre mère abonde dans le même sens. Puis nos parents se lèvent pour rejoindre leur chambre, en disant que nous parlerons plus longuement de tout ça demain.Marie aime me sucer et me boire et moi aussi, j’aimerai que nous restions des heures avec le sexe de l’autre sur/dans nos bouches. Je demande à Marie de s’assoir dans le fauteuil et de mettre ses jambes sur chaque accoudoir. Je me mets à genoux et j’embrasse alternativement l’intérieur des cuisses en partant du niveau des genoux, en même temps je caresse, puis malaxe avec délicatesse ses seins, je roule les tétons entre mes doigts, Marie écarte les lèvres de sa chatte avec ses doigts, ma langue fouille l’intérieur au plus profond, Marie soupire, je lui demande d’être discrète les parents sont au bout du couloir, assez loin certes, mais… et je reprends mon cunnilingus. J’enserre son clito qui ressemble à une toute petite bite avec les lèvres, en même temps je le titille avec la langue, je pénètre sa chatte avec le pouce et je pose mon majeur sur son petit trou, Marie met une main devant la bouche pour étouffer ses gémissements et le bruit de sa respiration. Je pénètre la chatte et l’œillet a la même cadence tout en tétant son clito. Marie a les yeux fermés.- Steve j’aimerai avoir une bite dans la bouche en même temps… mmmmm ohhhh putain que c’est bon… j’ai envie d’une autre bite.Je sens une présence, je lève les yeux, papa est là derrière le dossier du fauteuil, nu la bite à la main.- Tu es sûre de vouloir une autre bite ?- Ouiii certaine, je veux sucer pendant que tu es dans mes deux trous !- Eh bien tourne à tête a droite !Elle ouvre les yeux, tourne la tête, elle marque un temps d’arrêt :- Maisss heuuu, papa, tu sais…- Ma fille tu n’es obligée en rien, je vais retourner dans ma chambre, je comprends très bien !- Nooonnn papa ! ce n’est pas ce que je veux dire, il y a longtemps je t’ai aperçu quelques fois, nu dans la salle de bain et il m’est arrivé de fantasmer sur toi, ton sexe… heuuu approche je veux te sucer !Bernard approche en tenant sa queue, il caresse la joue de Marie, la passe sur les lèvres, qu’elle entrouvre et sort un peu la langue, papa caresse le cou avec sa bite et la remet sur les lèvres de Marie, il la fait coulisser quelques fois sur les lèvres et la langue de ma sœur, puis il presse doucement vers le bas, Marie ouvre la bouche en se tournant vers papa, elle tète le gland, la rentre en bouche, la ressort, la lèche. Elle ressort la bite.- Tu veux arrêter ma fille ?- Non papa, tiens-moi la tête et baise moi la bouche.Bernard prend délicatement la tête de Marie, pénètre sa bouche et commence des mouvements du bassin. Sa queue entre est sort de la bouche dont les lèvres roulent au rythme des va et vient. Je lime les deux trous et tète le clito… Marie a des gestes incontrôlés, la bite de Bernard entre et sort ruisselante de salive, Marie gémit très fort. Notre mère arrive elle se met a gauche de Marie se penche et lèche, puis tète les seins de sa fille.- Ohhh putain... ohhhh je vais mourir de plaisir, mmmm ouiii encore, maman, papa, Steve, ouiiiiJe fais signe à papa, nous nous levons :- Pourquoi vous arrêtez ? j’allais jouir, j’ai envie de vos deux bites, remplissez moi… vite... s’il vous plait.- Attends tu vas jouir comme jamais.Papa se couche sur le tapis, Marie enjambe son corps et s’empale sur sa bite. Elle pousse un ahhh… ouiiii de satisfaction quand la bite la pénètre au plus profond.Je me place derrière elle, je presse doucement son dos pour qu’elle se mettre à plat contre papa, je lubrifie mon gland avec sa cyprine, j’en mets sur son petit anneau ridé… j’y pose mon gland, Marie gémit, râle de plaisir. Je pousse tout doucement, mon gland est passé, un petit cri vite étouffé, je reste immobile deux ou trois minutes pour qu’elle s’habitue à ma bite, je la pénètre en entier… Marie crie, râle, se tortille, a des propos peu cohérents, papa lui baise la chatte et moi le cul… son corps tremble, tressaute, elle a du mal à respirer elle suffoque presque, elle cherche l’air, elle contracte sa chatte et son cul, je sens la bite de papa frotter contre la mienne, séparées par la petite peau… Marie pousse un cri, se cambre, elle tremble de tout son corps et s’affale sur papa, comme évanouie. L’instant d’après je remplis son fondement et papa remplit sa chatte. Nous restons ainsi sans bouger. Puis lentement Marie reprend ses esprits.- Ohh lala quel orgasme, vous m’avez fait jouir à un point ou j’ai cru mourir.
Maman est là sur le fauteuil elle se caresse les nichons d’une main et elle se branle de l’autre, le pouce sur son clito et deux doigts dans la chatte. Maman a un clito assez gros, plus gros que celui de Marie, qui est déjà de bonne petite taille. Une envie subite, je me mets entre les jambes de maman et remplace son pouce par ma bouche, je suce ce clito, comme si je faisait une pipe, maman très excitée par ce qu’elle a vu, elle lâche ses seins met ses mains derrière ma tête et appuie pour que je sois tout contre sa chatte, je tète, je suce, je branle cette petite bite en serrant et desserrant les lèvres, maman se cambre, elle resserre les cuisses presque au point de m’étouffer, son bassin fait quelques mouvements d’avant en arrière, elle pousse un râle et jouit, des giclées de cyprine coulent dans ma bouche, j’avale et levant les yeux et en la regardant droit dans les siens ! Maman reste assise dans le fauteuil, papa s’assoit dans l’autre et Marie et moi dans le canapé.- Maman, tu gicles comme ça ?- Ouiiiii Steve je suis en quelque sorte une femme fontaine. Certes il n’y a pas autant de cyprine que chez certaines femmes mais quand je jouis bien il y a des giclées.- Si je comprends bien je t’ai fait bien jouir, mmmmmm- Ouiii Steve et ce qui a accentué ma jouissance c’est que tu me léchais et me suçais, toi mon fils ! - Bon je connais bien votre mère, pour qu’elle soit satisfaite il faut la prendre !- Ahhhh et ou ça papa ?- Ben peu importe, la chatte ou le cul !- Prends-lui le cul si tu veux papa, moi je lui prends la chatte et Marie revivra quand elle était bébé, elle tètera maman.Nous attendons un moment, prenons un verre tout en discutant. Puis Marie se lève, va vers maman, elle lui caresse les seins, un peu lourd mais toujours fermes, en forme de poire, ils sont assez imposants, les aréoles sont brun clair, assez grandes et ses tétons sont toujours raides.Marie soupèse chaque seins, l’embrasse, le lèche et contournant les aréoles, puis elle commence à les téter. Je vais à la salle de bain chercher du lubrifiant. Papa est couché sur le tapis, je mets du lubrifiant sur son gland, ça me fait tout drôle de tenir une autre bite que la mienne, et il semble que pour papa ce soit pareil. Il bandait moyennement et d’avoir sa bite dans ma main l’a fait bander dur !Maman se lève, enjambe le corps je lui lubrifie son œillet elle se baisse lentement papa tient sa bite, maman pose son œillet sur le gland et continue a s’accroupir, la bite entre dans son cul, elle gémit, sa respiration s’accélère :- Ohhhh ouiii c’est bon, mmmmElle se couche le dos sur le buste de papa, je présente ma bite sur les lèvres de sa chatte, je pousse, ça rentre facilement tellement c’est lubrifié; je me tiens à bout de bras, les mains au sol. Papa et moi commençons à baiser les deux trous, nous trouvons la bonne synchronisation… Maman gémit, sa respiration est saccadée, Marie se met sur le côté et caresse, lèche, tète, alternativement les nichons de sa mère qui arrive à murmurer dans un souffle :- Ohhh oui mon bébé tète maman, tire ses tétons, pince les… mmmm c’est bon bébé suce, tète-moi !Je lime la chatte de maman, papa lui baise le cul, Marie tète, caresse, puis elle glisse une main entre mon pubis et celui de maman et lui frotte le clito… maman se cambre, elle se contracte, je sens la bite de papa frotter contre la mienne, la chatte de maman et son cul se contractent elle attrape la tête de Marie et la presse très fort sur ses nichons, elle râle, elle crie, elle explose :- Ouiii oh putain... ouii encore, je suis remplie par mon chéri et par mon fils, mmmm oui giclez… donnez-moi votre foutre… mmm mon bébé me tète les nichons… encore, je jouiiiiisss ! - Maman je te remplis la chatte d’où je suis sorti, mmm c’est bon de baiser la chatte qui m’a mis au monde.Je me contracte, je serre les hanches de maman et je lui remplis la chatte, je sens la bite de mon père se contracter… il jouit aussi !Quelques instants sans bouger. Le temps de réaliser ce qui vient de se passer, impensable il y a encore un jour.Puis on s’installe à nouveau dans les fauteuils et sur le canapé.Nous convenons que cette soirée a été un révélateur, celui de l’amour filial, fraternel, mais aussi de l’amour et du désire sexuel entre nous quatre.Papa est à demi bandé, je me rappelle le plaisir d’avoir tenu sa bite en main, je me lève :- Papa, quand j’ai lubrifié ta queue j’ai ressenti comme un plaisir, tu veux bien que j’essaie quelque chose ?- Pour tout te dire moi aussi j’ai eu cette sensation de plaisir.- Je peux te branler ? tu as déjà branlé un autre ?- Quand j’étais pré-ado et ado, il est arrivé qu’on se branle mutuellement et deux ou trois fois qu’on se suce, mais pas plus et toi ?- Moi quand j’étais au collège j’avais un bon copain, on se branlait de temps en temps, quand il venait à la maison, ou quand on allait se balader. - Ah oui, je cois me souvenir, c’était ton copain qui était eurasien, heuu je ne me rappelle plus de son prénom !- MorganAjoute maman !- Ouiii je me souviens.Dit papa.Je me lève, m’approche de lui, je prends son sexe en main, il durcit lentement, je commence des mouvements de haut en bas, papa se cale dans le fauteuil avance le bassin écarte les jambes, et soupire. Je continue à le branler. De me voir faire, maman et Marie se touchent mutuellement la chatte et se branle aussi. Je me mets à genoux entre les jambes de Bernard, une envie qui me provoque une boule dans le ventre me pousse, j’hésite, je ne sais pas, quelle réaction il va avoir ! Je regarde papa dans les yeux en avançant légèrement la tête, il acquiesce de manière à peine perceptible. Je me penche, j’embrasse son gland, papa pose ses mains de chaque côté de ma tête, et accompagne les mouvements. Je lèche le gland comme une glace, je le mets en bouche en léchant tout autour, papa gémit, il soupire et murmure :- Mmmm ouiiii… tu suces bien, c’st bon, suce papa, suce la bite qui t’a créée, mmm suce, pompe-moi !J’imprime des mouvements de haut en bas… je le pompe, j’aspire cette bite qui me fait tant envie, je la ressors, la lèche de bas en haut, je suce chaque couille de papa, je reprends la bite en bouche, je la ressors et la passe sur mes lèvres comme si c’était un bâton de rouge à lèvres. Je fais mes lèvres rondes, les pose sur le gland, là papa tire délicatement ma tête vers lui :- Ohh putain Steve, que c’est bon on dirait une petite chatte, mmmm, je te baise la bouche, je t’aime mon fils… je vais jouir…J’accélère les mouvements de haut en bas, je lèche la queue a chaque mouvement, je sors la bite, je serre mes lèvres et je force en avançant la tête, je sens la bite de papa se contacter, elle a de petites secousses, les giclées frappent mon palais et atteignent ma gorge. Je serre les lèvres en sortant la bite de ma bouche pour ne rien perdre, je regarde papa dans les yeux, je souris et j’avale.Les filles gémissent, se cambrent, soupirent, respirent bruyamment et par saccades, Papa et moi les regardons sans avoir changer de position… elles poussent un cri, ont des soubresauts, se cambrent et jouissent à leur tour !Après avoir repris nos places sur les sièges et avoir repris nos esprits, nous allons nous coucher, épuisés mais heureux.
