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Je découvre ma jumelle

Chapitre 7

Inceste
Nous sommes sur le point de démarrer de notre garage…Nous avons juste terminé de nous rajuster, la porte métallique claque à nouveau, et deux résidents passent devant nous pour rejoindre leur box. Nous démarrons et prenons la route de Toulon. Le trajet se passe bien, il y a un peu de circulation et quelques ralentissements. Nous arrivons à la maison vers onze heures passées. Nos parents nous attendent devant la porte, nous rentrons les motos dans le grand garage. Nous prenons les bagages. Nous embrassons les parents, et nous rentrons, arrivés au salon… surprise, grand-père est là, on l’embrasse longuement, il y a longtemps qu’on ne l’a pas vu, il vit cloitré ou presque depuis qu’il est veuf. Une fois les bagages défaits et nos affaires rangés, nous retournons au salon après s’être habillés plus "léger", Marie a mis une robe boutonnée avec ceinture, le bouton du bas arrive en haut des cuisses, et un gilet fin avec fermeture, ouvert jusqu’à mi ventre. J’ai mis un bermuda et un pull mi-saison, le temps est assez clément pour cette fin d’octobre.Maman prépare le déjeuner, on vous attendait impatiemment dit papa. Vu la clémence de la météo nous mettons la table sur la terrasse. Pendant le repas, nous prenons des nouvelles de du moral de grand-père qui se remet à peine et toujours difficilement, nous lui parlons de nos études de notre installation à Aix, etc. Le déjeuner terminé, maman commence à débarrasser la table, Marie et moi la stoppons. On va s’en occuper maman, vous avez dit que vous devez aller chez un ami pour l’après-midi et peut-être la soirée, on s’occupe de tout. Et sortir en amoureux leur fera du bien. Après leur départ nous débarrassons, grand-père nous aide, la cuisine est enfin rangée, nous prenons place sur la terrasse. Marie sur la balancelle avec moi, grand-père en face de nous. La discussion vient sur la pandémie, la vie sociale de grand-père en particulier. Nous sommes tristes d’apprendre qu’il commence seulement à sortir un peu faire les magasins, ou allez se promener en voiture. Pendant que nous bavardons, Marie se love contre moi :-      Vous êtes moins chien et chat que lorsque vous étiez ado a ce que je vois, ça fait plaisir.-      Ohh ouiiii grand-père.Marie pose machinalement sa main sur ma cuisse, j’en fait autant sur la sienne, sans même penser que grand-père est là, c’est si naturel. Nos mains commencent à caresser nos cuisses, je passe sous la robe, j’arrive au premier bouton qui est à la hauteur du minou de Marie. Elle pose sa main sur ma braguette. Soudain je réalise que grand-père a les yeux fixés sur nous et qu’il se frotte la braguette. Je donne un petit coup de coude à Marie pour lui faire comprendre d’arrêter. Ce que nous faisons :-      Mais ne vous dérangez pas pour moi, je ne dirai rien à vos parents.-      Heu excuse-nous grand-père mais depuis le printemps nous nous sommes beaucoup rapprochés et certains gestes sont devenus naturels quand nous sommes dans notre environnement Nous l’aimons bien, notre grand-père. Quand nous étions petits il nous emmenait dans plein d’endroits, et il aimait jouer avec nous, et à la maison il aimait bien les câlins car il n’en a pas eu dans sa jeunesse.-     Tu veux boire un thé ? un digestif ? Grand-père.-      Je prendrai bien un rhum avec du jus d’orange, je ne vais pas conduire cet après-midi. Dit-il en souriant.-       Et moi aussi tient ! J’ajoute.Marie en bonne femme d’intérieur, se lève pour aller chercher les boissons :-      Eh bien moi je prendrai un thé. Dit-elle. Alors qu’elle se dirige vers la cuisine et le salon, Marie revient et demande :-      Grand-père tu fumais bien quand j’étais petite, il me semble m’en souvenir.-      Oui c’est vrai, j’ai fumé pas mal d’années et je me suis arrêté quand tu avais 7 ou 8 ans. Pourquoi ?-      Ben sans être fana pour réellement fumer j’aimerai essayer, j’ai vu un paquet dans le bureau de papa, qui en gille une de temps en temps.Steve demande :-      Ben marie, tu ne vas pas fumer, tout de même !-      Mais non je veux juste essayer, même quelques bouffées.Marie s’en va, au bout d’une moment, elle revient avec les boissons, elle a une cigarette, un briquet. Elle pose le plateau avec les boissons sur une table près de grand-père, elle se place près de lui :-      Bon je l’allume.Marie allume le briquet et la cigarette, elle tire quelques bouffées rapidement, prend le verre pour donner à grand-père… elle se mets à tousser avec des sursauts, presque à s’étouffer. Le verre tombe sur la chemise coté poche et le pantalon tergal de grand-père, la cigarette sur sa cuisse droite pas très loin de l’aine. Le temps de réagir le trou de la braise est assez conséquent et elle est tombée sur la cuisse de grand père qui se lève d’un bon, tape sur la cuisse pour éteindre la braise, il enlève vite le pantalon afin de stopper la brulure. Marie se remet de sa quinte de toux, elle présente ses excuses, elle est vraiment perturbée. Grand-père regarde sa cuisse une cloque se forme de la taille d’une pièce de dix centimes. Marie lui demande de la suivre à la salle de bain. Elle l’aide à enlever sa chemise poisseuse et regarde la brulure. Elle dit à grand-père :-      Je vais te mettre du tulle gras, et une compresse, c’est ce qu’on met en cas de brulure !Elle est a la base de la jambe du boxer de grand-père. Marie remonte la jambe du boxer de grand-père, elle roule la jambe vers l’aine coté brulure, le contact de la main de Marie ne se fait pas attendre. Elle coupe un tulle gras qu’elle pose sur la brulure, sa main touche un peu plus la cuisse. Marie découpe une compresse, la pose en tenant bien le rebord de la jambe du boxer. Elle sent un durcissement dans le boxer, elle va couper le sparadrap, le pose puis sa main dévie, elle touche le sexe de grand-père qui est devenu bien raide. Elle le caresse par-dessus le tissu :
-      Grand-père je suis vraiment désolé, je n’aurais pas dû essayer de fumer cette cigarette, je ne sais comment m’excuser.-      Ce n’est pas grave ma chérie, cela peut arriver.-      Non je ne me pardonne pas ma stupidité !J’arrive à ce moment et demande :-      Tout va bien ? je ne vous voyais pas revenir alors je me demandais si c’était grave.-      Mais non, mais je regrette cette bêtise d’avoir voulu fumer.-      Je me tue à dire à ta sœur que ce n’est rien, cela peut arriver.Et là je vois la main de Marie qui caresse le sexe de grand-père par-dessus le tissu du boxer. Je vois le pansement qui touche le bord roulé de ce vêtement et suggère d’enlever le boxer pour ne pas que son frottement défasse le pansement. Sur le coup grand-père hésite, nous insistons, donc il se met debout et nous enlevons le boxer en faisant attention qu’il n’arrache pas le pansement. Son sexe est toujours dur :-      Ben pour quelqu’un qui a du mal à tenir une érection du te débrouille bien !-      C’est vrai, mais depuis que je suis là, enfin depuis cet après-midi ça va mieux.J’attrape la bite bandée et je fais signe à Marie. Elle sourit. Je fais quelques mouvements le long de cette hampe de chair, je joue avec mon pouce sur le frein. Marie demande à grand-père de venir dans le salon, il s’assoit sur le canapé, Marie s’assoit a coté de lui, elle prend sa bite en main et commence une lente masturbation. Grand-père est aux anges, il gémit, soupire :-      Ohhh ça fait si longtemps ! mmm c’est bon, je ne m’en souvenais même plus ! mmm continue Marie s’il te plait !Je m’assois a coté de Marie, à l’opposé de grand-père. J’enlève mon short. Je commence à caresser ses cuisses, l’une après l’autre, je déboutonne sa robe, je défais sa ceinture, la robe est grand ouvert et le corps de Marie apparait nu. Elle se penche vers le sexe de grand-père, lèche le gland comme si c’était une glace, elle le lèche tout autour, puis elle pose ses lèvres dessus et avance la tête. Grand-père lui caresse la nuque, puis le dos, il passe une main sur le côté et caresse un sein, titille le téton, le roule entre ses doigts. Marie gémit de plus en plus, ma main est sur sa chatte, elle est trempée. Elle suce la bite a grand-père, le branle avec la bouche, il n’en revient pas :-      Ohhh putain que c’est bon, suce moi… suce moi la bite… avale, lèche… c’est si bon. Sa main revient sur le dos de Marie, et reprend ses caresses, elle descend vers les fesses, les malaxe, puis un doigt passe dans sa raie culière jusqu’au petit œillet, Marie soulève une fesse et écarte les cuisses pour faciliter la caresse. Elle gémit et râle. Elle sort la bite de sa bouche :-      Ohhh ouiii grand-père j’aime beaucoup, j’aime qu’on me titille le petit trou et plus même.-      Ta grand-mère c’était pareil !Ma main est sur la chatte, j’écarte les lèvres trempées, je passe deux doigts le long de leur bord, puis je pénètre ma sœur avec deux doigts, avec le pouce frotte son clito :-      Prenez-moi tous les deux, baisez-moi en sandwich, niquez-moi dans tous les trous … s’il vous plait, baisez-moi ensemble !Je me lève je m’assois sur le canapé les fesses sur le rebord, je demande à Marie de s’empaler sur ma bite en me tournant le dos, elle passe ses jambes de chaque coté des miennes, elle descend le bassin je guide ma queue vers son anneau ridé, elle s’empale. Je demande à grand-père de lui baiser la chatte. Il n’en peut plus d’attendre mais… :-      Vous êtes surs ?-      Ouiii grand-père j’en peux plus, je veux ta bite dans ma chatte, baise-moi s’il te plait ! Grand-père présente sa bite devant la chatte de Marie, frotte son gland plusieurs fois sur les lèvres, puis lentement il pénètre sa petite fille. Marie, gémit, crie, sa tête dodeline, elle s’accroche au cou de grand-père. La porte d’entrée s’ouvre, trop tard pour s’arrêter. Marie ne s’en même pas compte, elle gémit, râle, soupire, a du mal à trouver sa respiration, elle a les yeux fermés se concentre sur son plaisir :-      Je veux des bites, je veux être prise de partout, par tous les trous… mmmm ohhh ouiii encore.Papa qui vient d’arriver avec maman, enlève son pantalon, descend son boxer, vient se mettre a genoux sur le canapé, sa bite juste à côté du visage da sa fille. Je pousse la joue de Marie pour qu’elle se tourne, elle sent la bite de papa sur ses lèvres, elle soupire, elle gémit :-      Ahhh ouiiii encore une bite, elle ouvre la bouche engloutit la bite paternelle, la suce, le tète, grand-père et moi limons en cadence, je sens sa bite frotter contre la mienne séparée pat cette peau fine… je sens que la jouissance vient, mes jambes picotent, grand-père pousse un râle et crache son foutre dans la chatte de sa petite-fille. Peu après c’est à mon tour de remplir les entrailles de ma sœur. Elle est prise de tremblements, de spasmes violents, elle crie, je sens les contractions de sa gaine anale, elle s’affaisse inerte. Papa arrête de baiser la bouche de sa fille qui ne bouge plus, j’ouvre la bouche, j’engloutis la bite qui m’a donné la vie, je suce, je pompe, je tète, j’aspire, puis je sens les contractions de la bite, puis les giclées qui m’inondent, j’avale le foutre de mon père.Tout doucement, nous aidons Marie a s’allonger sur le canapé. Elle reprend lentement ses esprits. Nous nous retournons, maman est assise dans le fauteuil sa robe remontée jusqu’au ventre, chaque jambe sur un accoudoir, elle se frotte le clito et se doigte avec frénésie. Grand-père regarde papa et dit :-      Je peux ?Papa fait un signe d’acquiescement de la tête, grand-père se met à genoux entre les cuisses de maman, elle a les yeux fermés. Il tête son clito, l’aspire, le branle en serrant les lèvres et en les desserrant, il met deux, puis trois doigts dans la chatte de sa fille, il la pistonne, maman, crie, gémit, son corps a des soubresauts, elle jouit et gicle une grosse quantité de cyprine dans la bouche de grand-père, sur son menton et son t-shirt. Elle ouvre les yeux et voit son père :-      Mais heuu papa… heuuu-      Ton père en avait envie et toit aussi, je lui ai donné mon accord, il n’osait pas.Nous reprenons nos esprits, puis on s’assoit dans les fauteuils et sur les chaises, car Marie est toujours allongée, elle reprend force et nous regarde en souriant :-      Tout ça à cause d’une cigarette.Dit-elle. Nos parents sont interrogatifs, nous expliquons donc les évènements de ce soir.
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