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Je découvre les joies de l'homosexualité avec ma jumelle

Chapitre 1

Inceste
Bonjour, je m’appelle Lola, j’ai 21 ans, je suis en CAP fleuriste au lycée agricole de Belfort et je suis en colocation avec ma sœur jumelle Éléonore qui est en apprentissage pour restaurer des voitures anciennes. Je vais vous raconter comment j’ai entamé une relation incestueuse avec elle. Mais avant, un peu de contexte. Ma sœur et moi sommes de "fausses" jumelles, on ne se ressemble pas du tout. Je suis blonde et elle brune, j’ai les yeux bleus alors que les siens sont marron, nos visages ne se ressemblent pas, etc. Par contre, nous avons les mêmes corps : même taille, mêmes seins, même tour de hanche, etc. Nos styles vestimentaires sont quant à eux radicalement opposés : j’ai un style plutôt bohème, petite robe à fleurs, couleurs printanières/estivales, cheveux détachés, pas de soutif, etc. Éléonore, elle, a un style plus rock’n’roll : du noir, du rouge, du cuir, du jean déchiré et des accessoires en métal. Il lui manque juste une Harley Davidson et une Ford Mustang dans son garage pour compléter le cliché de la jeune rockeuse ultra-sexy.
Voilà, les présentations sont faites, passons à ce beau jour de juillet où ma relation avec Éléonore a pris un virage pour le moins inattendu. Il fait beau, je porte une jupe blanche à fleurs et un petit bustier blanc et elle un short en jean noir et un t-shirt Led Zeppelin que je lui avais offert pour ses 20 ans. Nous nous sommes allongées, les pieds en éventail sur la pelouse du parc à côté de chez nous, sur une grande nappe avec notre panier de pique-nique et nos sandales à côté de nous. On discute de choses et d’autres. À un moment donné, son amie Justine arrive dans la conversation et je lui demande pourquoi elles se sont battues le mois dernier alors qu’avant elles étaient les meilleures amies du monde. Sa réponse est très claire :
— Je suis lesbienne et elle une sale petite salope réac qui jugent les gens qui ne sont pas "comme tout le monde !".
Un petit moment de silence s’installe avant qu’elle ne se mette à pleurer. Je la prends dans mes bras et elle se met à pleurer encore plus fort et là je comprends une chose : non seulement Éléonore est lesbienne, mais en plus elle est folle amoureuse de cette Justine. Cette impression se confirme lorsque, entre deux larmes, elle me dit :
— le pire c’est que je l’aime de cette salope !
Je la serre alors encore plus fort dans mes bras jusqu’à ce qu’elle se calme puis je lui propose de rentrer à notre appartement, ce qu’elle accepte. Nous remettons nos sandales, je plie la nappe et la range dans le panier et nous rentrons. Sur le chemin, elle me parle de son homosexualité, de sa peur que je la rejette, de sa peur de la réaction de nos parents, de ses amis, de sa première relation avec une fille au lycée avec une certaine Margaux dont je n’ai que de vagues souvenirs. Une fois rentrées chez nous, on s’installe sur le canapé du salon, je la prends dans mes bras et lui pose plein de questions sur cette Margaux, sur sa relation avec elle, sur ce que ça fait d’être en couple avec une fille et je finis par lui avouer une chose que j’ai sur le cœur depuis longtemps :
— J’aimerais bien essayer de faire l’amour avec une fille, juste pour voir.— Il suffit de trouver une fille avec qui le faire et de se lancer ! me répond-elle.— Tu es mignonne, c’est pas simple de trouver une fille qui accepte de faire l’amour avec une autre fille.— Je suis sûr qu’il y en a plusieurs dans tes amies qui adoreraient le faire avec toi !— La seule fille que je connais avec qui c’est possible c’est… toi".
Un léger silence s’installe. Elle se tourne vers moi et me dit :
— Dans ce cas, allons-y ma chérie !
Elle s’est remise sur moi, a posé mes mains sur ses seins et m’a murmuré d’une voix sensuelle :
— Caresse-moi les seins ma belle.

Je commence à les lui caresser et je remarque qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je regarde ses magnifiques jambes nues, son short en jean les met parfaitement en valeur, ça m’excite ! Je passe mes mains sous son t-shirt, elle l’enlève et laisse sa magnifique poitrine à l’air libre. Qu’est-ce qu’elle est canon cette fille ! J’étends mes jambes et elle commence à les caresser. Ça m’excite encore plus ! Au bout d’un moment, elle se lève, commence à m’embrasser puis à me toucher les seins. Elle passe ses mains sous mon bustier que je ne tarde pas à enlever. Elle s’allonge alors et me fait signe de m’allonger sur elle. Je m’exécute et elle commence à me masser les seins. Je lui caresse les jambes, elle défait sa queue-de-cheval puis recommence les caresses sur les seins, les bras, les cheveux.
C’est bon, mon cœur s’emballe, je suis amoureuse, j’ai envie d’elle. Je me lève, l’embrasse et lui prends la main pour l’emmener dans notre lit. On s’embrasse, je la pousse sur le lit, j’enlève ma jupe et ma culotte et elle fait de même avec son short. Nous voilà entièrement nues, je me pose sur elle et commence à l’embrasser. Elle passe ses jambes sur moi et je colle mon clitoris en feu sur le sien. On gémit en même temps.
— C’est trop bon ! lui dis-je dans un soupir de désir.
On continue de s’embrasser, nos seins se collent les uns contre les autres, ce qui ne manque pas de nous exciter encore plus. Là elle me jette sur le côté et se met sur moi. Elle me regarde avec ses yeux plein de braise et me dit d’une voix coquine :
— C’est moi qui suis censée te montrer comment on fait l’amour à une fille !— Bah montre-moi alors…" lui dis-je d’une voix provocante.
Elle se met à me lécher les seins puis descend me faire un cunni. Elle me lèche, me doigte, je mouille, je gémis. Mon clitoris est de plus en plus bouillant, mon corps se tord dans tous les avant qu’un immense orgasme l’enflamme ! Éléonore s’allonge à côté de moi :
— C’est l’heure des travaux pratiques ma douce ! me dit-elle d’une voix coquine.

Je reprends mon souffle avant de m’occuper de ses seins. Je descends ensuite m’occuper de son entrejambe. Je la lèche, je la doigte, je joue avec son clitoris, je fais monter le désir avant de faire une petite pause puis je reprends de plus belle. Je m’amuse à faire du yoyo avec son désir :
— Arrête, c’est de la torture ! me crie-t-elle.— Mais tu aimes ça, non ?— Oui mais je suis au bord de l’orgasme !

Je m’arrête, caresse un peu ses jambes avant de la doigter fort jusqu’à la faire jouir. Un immense jet de liquide sort de sa vulve et m’arrose copieusement la tronche. Étonnée, je lui dit :
— T’aurais pu me prévenir que tu étais femme fontaine !— C’est la première fois que ça m’arrive, tu te débrouilles vachement bien pour une débutante !— J’aurai le droit à une récompense ?— Oh que oui ma jolie ! Et pas une petite ! Va te chercher une serviette et je vais te récompenser comme tu le mérites !
Je me lève, pars dans la salle de bain pour me sécher le visage et les cheveux puis reviens m’allonger près d’elle. On s’embrasse, on se caresse, on se regarde et le désir remonte. Ma sœur se met alors sur moi et me dit :
— Maintenant, c’est le meilleur moment ! C’est ta récompense pour m’avoir fait jouir aussi fort !
Elle pose son clitoris contre le mien et commence à le frotter sensuellement. Chaque mouvement provoque chez moi une sensation exquise indescriptible. Elle pose ses mains sur mes seins, m’embrasse et je passe mes jambes sur elle. On frotte nos clitoris l’un contre l’autre, on gémit de plus en plus fort avant de jouir très fort. On éjacule toutes les deux. On se regarde puis elle me dit :
— Toi aussi tu es femme fontaine !— Oui, c’est trop bon ! J’en veux encore !
Je passe alors sur elle et refais la même chose. Je frotte mon clitoris contre le sien avant qu’on jouisse en éjaculant encore. Puis elle repasse sur moi pour un troisième orgasme… Au bout du sixième, je m’effondre sur elle. Elle me caresse le dos et je lui dit :
— Wow, quelle après-midi ! Je vais m’en souvenir longtemps ! Merci ma chérie, tu m’as fait beaucoup de bien !— Mais de rien ma Lola, tu as été exquise ! Met-toi sur le côté, j’ai envie de te serrer contre moi.
Je me tourne dos à elle, elle passe ses bras autour de moi et me caresse les seins. Nous nous endormons comme deux petits chats.
À suivre…
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