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Je découvre de mon cul

Chapitre 6

Gay
La prairie des filtres Michel et Henri, m’ont donné les photos, j’ai une splendide collection d’une douzaine de photos d’un cul bien ouvert dégoulinant de sperme ou défoncé par une grosse bite affichées sur un mur de mon bureau. Ceux qui y viennent et les voit sont étonnés de savoir que c’est mon cul. Certains veulent y goûter eux aussi, je ne me fais pas prier pour accéder à leur demande, surtout s’ils ont une grosse bite. On se revoit souvent tous les trois, à chaque fois, ils viennent accompagnés d’au moins deux mecs qui me défoncent le cul et la bouche avec enthousiasme. Je me fait défoncer le cul pendant trois à quatre heures d’affilée, je sorts de ces séances épuisé et dégoulinant de sperme, mais heureux et détendu. C’est à chaque fois l’occasion d’une séance photo, j’en ai des centaines, je renouvelle régulièrement l’exposition. Un vendredi soir, ils me téléphonent à vingt-deux heures trente, ils me disent aller à la prairie des filtres. Je suis étonné, mais ils me disent de me préparer, que ça va me plaire. Je me fais un lavement complet, j’arrive une demi-heure plus tard, je n’habite pas loin. Nous sommes fin juillet, il fait encore assez chaud à cette heure, je n’ai mis que mon short de sport avachi et un tee-shirt court. Je les retrouve au bout du pont neuf, ils m’entraînent sur la prairie. A ma grande surprise il y a beaucoup de monde, je vois des mecs et des femmes qui déambulent à moitié à poil ou en train de se faire plaisir. Michel se penche sur mon oreille. –C’est un endroit très connu des initiés, il y a de tout, hétéros, gays, lesbiennes, si tu veux te faire défoncer le cul, c’est l’endroit idéal.  Il a à peine terminé sa phrase qu’il me fait passer le tee-shirt par-dessus la tête pendant qu’Henri descend mon short. Je me retrouve complètement à poil au milieu d’inconnus. Michel me fait mettre à plat ventre sur une table ronde, c’est décidément une habitude pour lui, il m’enduit le cul de graisse anale. Ses doigts s’enfoncent dans mon cul pour le lubrifier. –Reste sans bouger, ça ne va pas être long. Après une dernière caresse sur mon cul, ils s’éloignent. Je ne bouge pas, au bout de deux minutes, je sens des mains se poser sur mon dos et descendre sur mes fesses. Je commence à bander comme un âne. Je sens un gland venir frotter entre mes fesses. Il s’enfonce lentement entre elles pour atteindre ma rondelle. Je ne dis toujours rien, je laisse faire. Le gland force un peu et s’enfonce complètement dans mon cul. Une bite, assez grosse, glisse en le suivant jusqu’à ce que je sente des poils pubiens contre mes fesses.  –C’est la première fois que je te vois, tu es nouveau toi.–Oui.–Tu aime te faire enculer ?–Oui.–Alors, tu vas être servi ici. L’homme commence ses va et vient en accélérant petit à petit, c’est un spécialiste. Une main s’empare de ma bite bien raide et la masturbe. Je sens la bite palpiter dans mon cul, il ne va pas tarder à jouir, j’en suis un peu déçu, je ne suis pas prêt. Un jet de sperme m’inonde le fion, quelques secondes plus tard, la bite me quitte, la main aussi et me donne deux petits coups sur mes feses, il me remercie, mais je n’ai pas joui. Je suis dans ma réflexion quand une nouvelle bite se glisse entre mes fesses pour venir m’enculer. Cette fois, l’homme n’y va pas en douceur, il se déchaîne dans mon cul, il me secoue comme un prunier, mais j’aime aussi me faire bousculer quand je me fais enculer. Une bouche me gobe la bite, trente secondes plus tard, je me vide dedans, je suis trop excité, mais je ne suis pas le seul, la bite se vide en moi. Elle me quitte très vite, je reste en position, j’espère d’autres visites. Deux mains se posent sur mon cul, elles le caressent en titillant ma rondelle. –Mets toi sur le dos. Je me retourne en levant mes jambes à la verticale pour voir un couple assez jeune. Lui, assez grand, style Robert Redford à vingt-cinq ans, le pantalon déjà à mi-cuisses exhibant une superbe bite bien raide. Elle, très jolie, la robe complètement ouverte me montrant de très beaux seins hauts et fermes et un très joli pubis glabre, le tout bien bronzé. Le mec me prend les jambes et les écarte, La femme dirige sa bite sur ma rondelle et ne la lâche que quand elle s’enfonce dans mon cul. Elle vient derrière moi, passe ses jambes de chaque côté de ma tête et me pose sa vulve sur la bouche.
 –Fais moi jouir si tu en es capable. Je la saisie par les hanches et plaque son sexe sur ma bouche. Je lui titille les lèvres, le périnée, enfonce ma langue dans son vagin. Je sens qu’elle réagit à mes caresses. Moi, je réagis à cette bite qui me lime le cul à une cadence pas trop rapide et qui fait monter dans mon corps tous les prémices d’une jouissance extrême. La femme ondule du ventre, je sens qu’elle se crispe de plus en plus, elle finit par jouir en me barbouillant de sa cyprine. Quand je la sens un peu plus maîtresse d’elle-même, je lâche ses fesses, elle se soulève à peine et reste au dessus de ma bouche. –J’ai une envie pressante et je ne vois pas de toilettes.–Vas-y, pisse moi sur la gueule, tu en crève d’envie.–A la tienne. Elle se décontracte, redescend sur ma bouche et m’inonde de son urine chaude juste au moment où le mec me rempli le fion de son sperme. Mon corps est ébloui par un super feu d’artifice, ce qui me déconcentre. J’ai un peu de mal à tout avaler, je suis au bord de l’asphyxie, ça déborde un peu mais je finis par y arriver. Quand elle a terminé de pisser, elle se dégage, se penche sur moi pour nettoyer mon visage avec sa langue et poser ses lèvres sur les miennes juste quelques secondes. Je sens mon cul vide, l’homme est parti, la femme le suit. Je reste un petit moment seul, j’apprécie, je me remets de mes émotions et surtout, mon cul se repose un peu. Je me suis remis sur le ventre, c’est plus confortable.  Des mains caressent mes fesses, je les bouge pour faire comprendre que j’apprécie. Un doigt vient me titiller la rondelle, l’ongle est assez long, c’est une femme. Mon cul est toujours enduit de graisse, mais surtout, il déborde de sperme. Le doigt est vite accompagné d’un autre, ils s’amusent à me gratter et à s’enfoncer légèrement. D’autres doigts m’enduisent d’une matière grasse, ils testent la souplesse de mon cul en y pénétrant de quelques centimètres. –Tu peux y aller franco, ça va rentrer comme dans du beurre.–C’est justement ce que je t’ai mis entre les fesses, je vais t’en foutre plein le cul. Des doigts en pointe touche mon anus, ils forcent et l’ouvre sans aucune difficulté. Mon sphincter se referme sur le poignet, le bras s’enfonce au maximum, jusqu’au coude. Elle ferme son poing et commence des allers-retours amples et assez lents. Elle accélère le mouvement, je commence à perdre les pédales, mon cerveau disjoncte, je commence à planer, je suis bien. Son bras me quitte, je sens mon cul grand ouvert, un flash. –Qu’est ce que tu fais ?–Je prends ton cul bien ouvert pour ma collection.–Et il ne te viendrait pas à l’idée de me demander si je suis d’accord ?–Ici, tout est permis, surtout qu’on ne voit que ton cul, mais si tu ne veux pas que je garde cette photo, je la détruirai, promis.–Non, je préfère que tu m’en donne une copie, je collectionne les photos de mon cul quand il se fait défoncer et quand il est bien ouvert.–J’aimerais bien la voir ta collection.–C’est quand tu veux.–Tout à l’heure c’est possible ?  Je reste encore une heure ici avec mes chéries.–Tes chéries ?–Des copines, j’aime aussi beaucoup faire l’amour avec des femmes.–Si je suis encore là dans une heure, tu viens me chercher. D’un seul coup, son poing s’enfonce dans mon cul assez violemment. Elle sort son bras à chaque aller-retour, je suis de mieux en mieux, mon cul est complètement ouvert, je vois des flashes, quelqu’un d’autre prend des photos. Une bouche gobe ma bite tellement raide qu’elle me fait mal. Je me vide dedans trente secondes plus tard. Le poing quitte définitivement mon cul, mais je sens des doigts se glisser dedans, je réalise tout à coup que ce ne peut pas n’être qu’une main. –Putain, regardez les filles, j’arrive à lui enfoncer mes deux mains jointes dans le cul, regardez, j’arrive presque en haut des doigts, c’est incroyable, je vais pouvoir les introduire dans son cul. Je sens ma rondelle à la limite du déchirement, je commence à paniquer, je veux bien recevoir plein de truc dans le cul, mais ce n’est tout de même pas une bouche de métro.  –Arrête, tu es à la limite.–Ok, je me retire. Les mains me quittent, je sens une bouche venir embrasser mon anus encore grand ouvert. D’autre bouches suivent en me donnant des coups de langue jusqu’à ce que je sente mon cul totalement refermé, je reprend mon souffle, j’ai besoin d’un peu de calme. –A tout à l’heure, dans une heure.–Ok, dans une heure si tu es encore là. Je suis sur la table, trois autres bites se succèdent dans mon cul, plus un bras et deux bites qui se vide dans ma bouche. Sans compter les trois mecs qui sont venus me pisser dessus. Je suis complètement rempli de sperme, ça dégouline, une main me caresse les fesses, c’est la femme de tout à l’heure.  –Ça y est, tu as eu ton compte de bite pour ce soir, tu ne rentrerais pas chez toi par hasard ?–Ok, tu as raison, aide moi à me lever, je suis complètement HS. Elle m’aide à me lever, je peux mieux la voir, elle est très jolie, dans les vingt ans, assez grande le corsage ouvert dévoilant deux magnifiques seins bien hauts avec deux triangles blancs sur les aréoles faisant ressortir son bronzage. Je ne peux en voir plus, elle porte une jupe plissée courte boutonnée devant, je devine à peine un beau cul bien haut et bien rond. Une fois debout, je veux remettre mon short et mon tee-shirt mais je ne les trouve pas. Je commence à paniquer, je cherche du regard Michel et Henri, ils ne sont plus là, ils sont partis. Je me retrouve à poil à un quart d’heure de marche de mon appartement. La fille se rend compte que je panique. –Quelque chose qui ne va pas ?–Je ne retrouve plus mes fringues, elles étaient sous la table.–Je crois que tu peux en faire ton deuil, moi aussi, je me suis fait piquer un corsage ici, il doit y avoir des collectionneurs de fringues souillées qui passent de temps en temps. Depuis, je me contente d’ouvrir mon corsage et je n’enlève jamais ma jupe.–Pas sympa pour les autres, ils ne peuvent pas voir ton cul que je devine magnifique. Elle déboutonne les deux boutons de sa jupe, remonte le bas qu’elle fixe sur des pressions sur son corsage, elle est pratiquement nue. Je peux admirer son pubis glabre avec la trace blanche laissée par le petit triangle de tissu qui lui sert de slip de bain et ses fesses d’enfer magnifiquement bronzées quand elle tourne sur elle-même. –Alors, tu en vois assez ?–Oui, mais comment tu fixes ta jupe sur ton corsage ?–Ce sont les fringues que je porte que quand je viens ici. J’ai fixé des pressions sur mon corsage et sur le bas de ma jupe comme ça, je peux montrer mes seins, mon cul et ma chatte sans être obligé de tout enlever et donc de risquer de me les faire voler. Chatte échaudée craint l’eau froide.–Très ingénieux, mais je fais comment moi pour rentrer chez moi ?–J’ai peut être ce qu’il te faut. Elle sort un foulard de son sac, elle vient m’entourer la taille avec et le noue sur le côté. Il descend juste sous mes fesses et cache à peine mon sexe. Elle se recule pour voir ce que ça donne. –C’est bon, je pense que tu peux rentrer comme ça, il est quand même deux heure du mat, il faut juste espérer ne pas rencontrer de flics.–Allons-y. Nous quittons la prairie des filtre, j’apprends qu’elle s’appelle Karine, qu’elle n’a que vingt ans et qu’elle est informaticienne, dans une boîte sous traitante du CNES. Elle est stupéfaite de savoir que je travaille dans une société concurrente de la sienne, ça nous fait bien rire. Elle vient de prendre quatre semaines de vacances comme moi, (mais moi sans solde). Nous traversons le Pont neuf, prenons la rue de Metz pour rejoindre la rue Peyrolières. Arrivés à dix mètres de l’angle de la rue, elle tire sur le nœud du foulard qui glisse de mes fesses et le récupère. Je me retrouve complètement nu dans la rue de Metz et il faut encore aller rue Clémence Isaure où j’habite. Je la regarde, elle a ouvert son corsage et fixé sa jupe aux pressions, elle aussi est pratiquement à poil dans la rue.  –Ça va être excitant, j’espère que tu sauras me calmer, je commence à ruisseler. Je ne dis rien et viens à côté d’elle pour lui enlacer la taille. Ma main tombe sur une peau extrêmement douce, j’en profite pour lui caresser un peu le flan. Nous nous engageons dans la rue, je fais glisser ma main sur une de ses fesses, elle est très douce elle aussi et bien ferme, je la sens vivre sous ma main. Elle en fait autant avec une de mes fesses. Arrivés à l’entré de la rue Clémence Isaure, elle enlève carrément toutes ses fringues et les met dans son sac. –Comme ça, nous sommes vraiment à égalité.  Je peux admirer son corps entièrement nu, une vraie merveille, elle marche à poil dans une rue avec un naturel déconcertant. Nous arrivons en bas de l’escalier de mon immeuble, je n’habite qu’au second et dernier étage, mais il faut monter soixante douze marches, c’est un immeuble du dix-huitième avec des niveaux très hauts et il n’y a pas d’ascenseur. Je la laisse passer devant moi histoire d’admirer ses fesses quand elle monte les marches. Arrivés au premier palier, je l’immobilise pour poser mes lèvres sur elles et leur donner un petit coup de langue, elle me sourit en tortillant du cul. Une fois dans le salon, elle s’installe sur le divan, ses jambes ne sont pas serrées, je peux voir son sexe rose bien brillant. Elle me regarde et s’allonge de tout son long, elle passe une jambe sur le dossier ouvrant très largement son sexe. –Viens me boire, je sais que tu as soif et j’ai envie que tu me calme. Je me jette entre ses jambes, je tombe sur un sexe inondé de cyprine. Je me délecte de ses lèvres souples et crémeuse, j’explore cet antichambre du paradis en évitant de trop insister sur son clitoris. Je ne veux pas qu’elle jouisse trop vite, je veux rester le plus longtemps possible dans ce merveilleux nid d’amour. Je batifole dans son sexe, du périnée au pubis, ma langue effleure même son anus, ce qu’elle semble apprécier. Mais ses mains s’emparent de ma tête et la propulsent sur son clitoris. Je le titille, le mordille, le suce, le branle avec mes lèvres, elle finit par se tendre dans un fabuleux orgasme, secouée de spasmes de plaisir. J’insiste sur son clitoris tant que je sens qu’elle jouit. Quand elle redevient calme, elle me fait glisser sur son corps ruisselant de sueur. Nos bouches se soudent dans un baiser passionné. Je finis par me relever, je la regarde, elle semble très heureuse de ce qui vient de se passer. –Putain, quel pied, tu es fais pour moi, je veux te garder un peu, j’aime ta bouche, j’espère qu’il en sera de même avec ton sexe.–Ça, c’est pour plus tard, tu n’es pas ici pour voir mes photos ?–Ok, allons-y. Je l’amène dans le bureau, elle regarde les photos affichées, elle semble déçue. –Tu n’as qu’une douzaine de photos à me montrer ?–Non, rassure toi. Je sort deux boîtes de chaussures, elles sont remplies de photos, il y en a au moins trois cents par boîte, elle se jette dessus. –Je te laisse regarder, tu bois quelque chose ?–Oui, un whisky glace si tu as.–Bien sûr, à tout de suite. Je vais prendre une douche et reviens avec deux whiskies glace. Elle regarde toujours les photos, elle en a mise quelques unes de côté, toutes de mon cul grand ouvert.  –J’ai sélectionné quelques photos que j’aimerais bien garder, elles sont plus belles que celles que j’ai pu faire, tu es d’accord ?–Pourquoi pas, mais pourquoi ?–Parce qu’un portrait, c’est trop classique, je préfère regarder une photo de ton cul, c’est plus personnel.–Ok. Je lui donne son verre, on trinque, mais elle est assise sur un fauteuil les jambes légèrement ouvertes. Je m’agenouille devant elle et plonge sur son sexe. Elle continue de regarder les photos, mais ouvre au maximum ses jambes. Je me délecte de sa cyprine qu’elle me donne en abondance, je me gave. Elle finit par arrêter de regarder les photos pour avancer son ventre m’offrant son sexe encore plus ouvert. Elle jouit en s’exprimant, heureusement que mes voisins d’à côté dorment, l’étage en dessous n’est qu’un lieu de stockage des fringues du magasin du rez-de-chaussée. Quand elle est de nouveau calme, elle se lève, me prend la main et se dirige vers une pièce qu’elle pense être ma chambre. Je l’oriente vers ma chambre. Une fois devant le lit, elle me pousse pour se jeter sur moi. Je bande comme un âne, elle s’empale sur mon sexe et nous fait pivoter pour se retrouver sous moi. –Vas-y, fais moi l’amour comme avec la femme que tu aimes, en douceur, avec tendresse, je veux faire l’amour, pas baiser.–Ok princesse, je vais t’aimer comme une femme que j’aime. Je commence des va et vient dans son sexe, doucement, très amples, elle pose ses mains sur mon dos et me serre de toutes ses forces. Je n’ai que mon bas ventre de mobile mais je m’en sers bien, elle semble apprécier ce que je lui fais. Elle a les yeux fermés, un merveilleux sourire sur ses lèvres, elle semble heureuse de faire l’amour avec moi. Lentement je sens son corps se réveiller, elle se donne de plus en plus, elle desserre l’étreinte de ses bras, ses mains glissent sur mon dos et mes fesses. –Oui chéri, oui, tu vas me faire jouir, je sens ton gros sexe me labourer, j’aime te sentir en moi, viens avec moi, joui chéri, joui, j’arrive. Je sens son corps vibrer et se contracter, ses fesses se soulèvent me faisant monter de quelques centimètres. Elle s’exprime une nouvelle fois assez fort, je ne peux aller plus loin, je me vide dans son sexe secoué de spasmes de plaisir, elle crie encore plus fort. Quand nous sommes de nouveau lucides, elle me fait basculer sur le dos et se couche sur moi. Ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue vient discuter avec la mienne, elles ont beaucoup de chose à se dire. Au bout d’un bon moment, elle se redresse pour s’allonger à côté de moi. –Je suis bien, comme rarement je l’ai été, tu sais que j’aime les femmes, mais j’aimerais rester un peu avec toi.–Si tu veux princesse, il y a de la place ici.–Pour l’instant, j’ai une folle envie de dormir, prend moi dans tes bras.–A tes ordres princesse. Je la prends dans mes bras, elle se love contre moi et s’endort assez rapidement, je la suis peu de temps après.
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