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Je découvre de mon cul

Chapitre 23

Gay
Ziguinchor Les filles ont investies l’ancien appartement de Romy et Jean, elles ont une grande chambre avec sa propre salle de bain avec WC privé et trois pièces qui leurs servent de bureaux, plus une salle de bain commune et WC. Le salon est commun, aux deux appartements, qui comporte lui aussi une grande chambre avec salle de bain intégrée et WC privé. Il y a aussi quatre chambres avec salle d’eau et WC privés, c’était l’appartement du tout premier propriétaire, il faisait à lui seul plus de trois cent quatre-vingts mètres carrés répartis en six pièces plus salle de bain, cuisine et couloir d’entrée. L’ancien de Jean ne faisant ‘que’ deux cent trente mètres carrés. Elles font tout pour nous être agréable, tous les matins, le petit déjeuner est prêt avant leur départ en cours avec pain frai et croissants, et le soir, c’est elles qui font la cuisine sous notre surveillance, elles commencent à être assez au point. Mais il faut aussi les satisfaire, elles adorent la chatte de Marie ainsi que ma bite. Birgit et Julia dans le sexe, l’anus et la bouche, Alice et Louise seulement dans le sexe et la bouche. Elles adorent le sperme, seulement, elles ont décidé de supprimer les hommes et de ne faire l’amour qu’avec Michel et moi, aucun autre homme, même quand nous allons à la prairie des filtres. Or, nous ne voyons Michel et Charlotte que le week-end chez eux, ce sont nos deux journées plus calmes, Michel et Charlotte prennent le relais. J’ai été obligé de faire un tour de rôle, je ne peux pas éjaculer dix fois par jour, chaque fille a son jour, une par jour et pas plus de deux actes par jour, je veux aussi vivre ma vie de couple avec Marie. Par contre, le week-end, Michel est obligé d’assurer, elles se déchaînent sur lui, heureusement qu’il a des facultés de régénération hors du commun.  Le premier trimestre se passe bien, les filles ont pris leurs marques, Birgit et Julia sont plus à l’aise dans la ville qu’elles commencent à bien connaître, elles sont restées pratiquement toute leur enfance et leur adolescence à Ramonville. Nous profitons des vacances de Toussaint pour aller voir Romy et Jean à Ziguinchor en laissant les filles seules dans l’appartement.  À notre arrivée à Dakar, Romy enlace Marie et lui colle ses lèvres sur la bouche pour échanger un court baiser, elle ne semble pas être gênée par le monde autour de nous. –Tu ne peux pas savoir combien tu m’as manqué ma chérie, tu va prendre cher.–A moi aussi tu as manqué, ne t’en fais pas, nous allons nous rattraper pendant cette semaine.–Il n’est pas question que je te lâche une seconde, depuis que tu as posé ton pied au Sénégal, tu es ma chose, mon esclave sexuel.–Avec joie ma chérie. Nous prenons un autre avion pour Ziguinchor, les filles sont côte à côte, elles ne se gênent pas pour passer la main sous la jupe de l’autre, je redoute le moment où l’une d’elle va jouir. Elles ne vont pas jusqu’au bout, heureusement. A notre arrivée, il fait encore plus de trente degrés à seize heures trente. A la sortie de l’aéroport, nous tombons sur deux beaux blacks d’à peu près vingt ans qui nous attendent devant un minibus Volkswagen.  –Tu peux me dire qui sont ces beaux gosses ?–Oui, ce sont mes deux neveux, les fils de ma sœur, ils passent leurs vacances avec nous, nous aimons bien baiser avec eux, ils sont endurants.–Quel âge ?–Vingt deux ans Malick et vingt trois Moussa, ils sont musulmans, comme leurs père mais absolument pas pratiquants, comme toute la famille d’ailleurs quelle que soit la religion.–C’est pour ça que ça se passe bien je pense.–Je le pense aussi.–Ils savent que Marie ne veut plus avoir de rapports sexuels avec un homme en dehors de moi ?–Oui, nous leur avons dit qu’elle était réservée à Romy et toi, mais ils sont surtout là pour ton cul.–Tu commence à m’intéresser mon ami.  Après vingt minutes de route dans le minibus, nous arrivons dans leur maison un peu à l’extérieur de la ville, elle est au milieu de la nature, personne n’habite à moins de cinq cents mètres. Il y a une piscine, il fait tout de même relativement chaud par rapport à la France, Marie a envie de ses baigner. Romy la précède, elle se déshabille et plonge dans l’eau, Marie l’imite. Jean et ses neveux font pareil, je les suis. Marie et Romy sont déjà bouche à bouche dans un long baiser tout en se caressant, elles redécouvrent leurs corps. Nous nous retrouvons six dans la piscine plus petite que la notre, mais on peut quand même bouger. Je sens une main venir se promener sur mes fesses, une autre caresse ma bite, je passe une main derrière moi pour tomber sur un énorme morceau de viande bien dure. En remontant au bout, je tombe sur un gland encore plus gros que celui de Jean. Il se colle à moi, sa bite se colle entre mes fesses, son gland arrive sur mes reins. Je sens que cette bite va me faire monter au septième ciel, je bouge un peu les fesses, mais elle reste immobile. Malick plonge devant moi, je sens sa bouche me gober la bite déjà bien droite, il remonte après deux aller-retours, prend sa respiration et replonge. J’espère qu’il ne veut pas me faire jouir, il en a pour un moment. Moussa se dégage et se dirige vers les marches de la piscine, il me regarde. Je comprends et le suis, il y a huit transats comme ceux qu’avait Jean à Toulouse, c’est du solide. Moussa me fait allonger sur l’un d’eux, je sens qu’il m’enduit du gel anal entre les fesses. Jean sort de l’eau et vient à côté de son neveu. 
–Tu as déjà envie du cul d’Alain.–Oui, très envie même.  Je vois le monstre de Moussa au dessus de ma tête, je me dis que ça ne va pas être aussi facile que ça, mais je ne veux pas qu’ils aient peur de me faire mal, je veux avoir cette bite dans le cul. –Vas-y tout de même cool Moussa, ne m’abîmes pas mon ami, moi aussi je veux lui défoncer le cul. –Ne t’en fais pas, je serais le plus doux possible, et Alain a toujours le moyen de m’arrêter en disant stop.–Vas-y Moussa, défonce moi la rondelle, j’ai envie de sentir ton engin dans mon cul, ne fais pas semblant, encules moi profond. Je sens qu’il s’allonge sur moi, son gland touche mes fesses, je vois Romy debout à côté de moi, tout le monde est là, même Marie. –Ne t’en fais pas mon amour, je vais moi-même diriger cet énorme braquemard dans ton cul, laisse toi faire et profites en bien. Deux mains m’écartent les fesses, le gland se glisse entre elles et vient toucher ma rondelle, je n’ai jamais eu un gland aussi gros qui veuille me défoncer la couenne. Il force un peu, ma rondelle s’ouvre lentement, je ne ressens qu’une légère gène. Il insiste, je sens que mon sphincter commence à protester un peu, la douleur devient un peu forte. –Arrête un instant, mon cul doit accepter ton engin, ça va le faire. Moussa s’arrête jusqu’à ce que je lui dise de reprendre sa progression. Il avance doucement, mon sphincter suit et finit par se refermer sur sa hampe. Il s’enfonce en moi jusqu’à ce que je sente son pubis lisse toucher mes fesses. S’en suit une défonce de mon cul en règle, ce mec est increvable, je fais tout pour me retenir de jouir le plus possible, je veux voir jusqu’où il peut aller, mais c’est moi qui cède et explose dans un superbe feu d’artifice. En sentant que je jouis, il se libère dans mon cul me remplissant le rectum de sperme. Il reste une ou deux minutes sans bouger, je sens sa bite se dégonfler, il se retire doucement, mais au moment où je veux me lever, Malick se couche sur moi, des mains écartent mes fesses et mon cul reçoit un énorme gland qui le transperce sans hésitation. –Maintenant que ton cul est formaté, c’est plus facile de t’enculer, je vais te faire monter aux arbres.–Vas-y, je n’attends que ça. Lui est moins délicat, il me défonce le cul comme une bête, je sens sa bite aller et venir à un rythme fou dans mon fion, je ne vais pas jouir, trop tôt, mais je fais comme si. Au bout de quelques minutes, je sens son sexe commencer à palpiter, je monte les fesses et les serrent sur sa bite entraînant sa jouissance. Je reste quelques minutes sur le ventre, Jean ne vient pas m’enculer, il a compris que ça aurait été de trop. Je tourne la tête sur ma droite pour voir Romy et Marie qui se donnent du plaisir, je suis prêt à parier qu’elles ne vont pas se quitter de la semaine, c’est un peu pour ça que nous sommes venus. Après le dîner, Moussa, Malick et Jean se sont occupés de mon cul, un vrai plaisir, Romy et Marie sont allées directement dans la chambre pour faire l’amour, nous les entendons jouir toutes les dix minutes. Moussa et Malick sont allés se coucher dans leur chambre, nous nous sommes couchés dans le grand lit de Jean et Romy. Je n’ai pas touché à ma femme, elle était la propriété exclusive de Romy et Romy sa propriété. Nous sommes restés à les regarder s’aimer de chaque côté d’elles. Elles ont fini par s’endormir vers trois heures du matin dans les bras l’une de l’autre.  Le lendemain, réveil à huit heures, Romy et Marie sont déjà l’une sur l’autre à se bouffer la moule. Je vais vers le salon à poil, comme Jean, mais je vois dans la cuisine une femme d’une quarantaine d’années qui prépare le petit déjeuner, Moussa et Malick sont dans la piscine. Jean va vers elle, il l’enlace et lui pose ses lèvres sur son cou. –Bonjour Madeleine chérie, viens que je te présente mon ami.  Ils viennent vers moi, c’est une assez belle femme dans un boubou traditionnel, mince, un visage régulier, une poitrine qui a l’air de bien se tenir, des belles fesses de black évidement mais je ne vois pas ses jambes.  –Alain, je te présente ma sœur Madeleine, c’est la mère de Moussa et Malick, leur père est décédé il y a trois ans, elle vit ici, elle partage notre vie. –Et leur lit. Elle vient vers moi pour m’embrasser en posant deux bises sur mes joues. Elle n’a pas l’air de trouver bizarre que je sois nu, elle retourne vers la machine à café. –Je te fais un expresso Alain ?–Volontiers. Elle me tutoie, au moins la barrière et brisée. Jean m’amène sur la terrasse de la piscine, nous nous installons sur la table au moment où les femmes arrivent. Marie vient poser ses lèvres sur les miennes deux secondes avant que Romy ne l’entraîne dans la piscine, les garçons en sortent pour aller prendre une douche. Madeleine amène le café, il n’y a que cinq tasses sur le plateau et elle est nue. C’est en fait une très belle femme, avec un pubis bien rebondi et glabre sur un sexe aux lèvres très fines d’où pointe un clitoris déjà bien gonflé. Elle a une peau qui reflète bien le soleil, elle brille, je pense qu’elle doit être aussi douce que celle de Romy, j’ai envie d’y faire glisser ma main. Mais le plus extraordinaire, ce sont ses fesses rondes et hautes qui attirent la main, elle pose le plateau sur la table et vient s’assoir à côté de moi. Elle rapproche un peu sa chaise je la regarde.  –On ne t’a pas vu hier.–Non, je suis arrivée ce matin, hier, j’étais avec ma copine, je vais la voir une fois par semaine. Comme tu vas le découvrir, j’aime les femmes, mais aussi les hommes, et toi, tu me plais, beaucoup même, j’espère que ta femme est prêteuse.–Ne t’en fais pas, elle n’est pas possessive, et je suis sûr que toi aussi tu vas passer à la casserole avec elle.–Mais je l’espère bien, à moins que Romy n’en fasse sa chasse gardée, ce qui a l’air de se passer.–Ne t’en fais pas, Marie saura lui faire entendre raison le cas échéant. Les femmes sortent de l’eau pour venir déjeuner avec nous, Madeleine a fait du pain dans la machine qu’ont ramenée Romy et Jean de France. Marie vient vers elle, elle pose ses lèvres sur les siennes, Madeleine en profite pour lui caresser les fesses, quand elle se redresse, elle la saisie par les hanches, l’attire à elle et pose pendant deux secondes ses lèvres sur le bas de son pubis. –J’espère que je pourrais aller plus loin, ton corps me plait, ton odeur me plait, j’ai envie de te bouffer.–Pas de problème, je suis là pour toutes celles qui veulent bien s’occuper de moi.  –Je saurais m’en souvenir. Marie s’assoie en face de moi entre Romy et Madeleine, j’ai du mal à voir ses seins, il y a toujours des mains qui glissent dessus, les deux femmes ne la laisse pas une minute sans la papouiller. A la fin du petit déjeuner, nous décidons d’aller faire une petite promenade à pied dans les environs. Tout le monde s’habille assez léger, il commence déjà à faire chaud. Nous arrivons vers une sorte de cahute au toit rond tombant pratiquement au sol, Jean s’y dirige. Quand nous entrons dedans, nous sommes accueillis par une femme et trois hommes tous les quatre très jeunes et nus. Ils viennent vers nous, la femme déshabille Marie, les hommes s’occupent de moi pendant que Romy, Madeleine, Jean, Malick et Moussa se déshabillent. Ils m’allongent sur une table, Jean sort un pot du sac de Romy, c’est du gel anal. Il m’en badigeonne la rondelle. –Je te présente les amis de mes neveux, je leur ai raconté ce que l’on faisait à Toulouse, ils ont bien aimé et sont prêt à participer.–Je suis ton homme.–Ça va te rappeler la prairie des filtres, nous allons te remplir le cul de sperme à nous six, ça va être ta fête. Les femmes vont s’occuper de Marie, je crois qu’on va souvent l’entendre hurler son plaisir. Il n’a pas finit sa phrase que je sens un énorme gland se glisser entre mes fesses, il ouvre mon cul sans difficultés, mon sphincter est assez souple pour lui. Une bite vient se présenter devant ma bouche, elle ne bande pas complètement. Je la gobe pour la faire grossir et lui en extraire sa substantifique moelle. Je sens du sperme gicler dans mon cul, la bite me quitte immédiatement remplacée par une autre. Celle que j’ai dans la bouche se vide assez rapidement, ces hommes sont très jeunes, ils n’ont pas encore assez d’expérience et de résistance. Je vois Marie sur le dos sur une autre table, la femme est entre ses cuisses tandis que Madeleine à posé sa vulve sur ses lèvres, Romy s’occupe de ses seins. Elle se tortille dans tous les sens, je sens qu’elle ne va pas tarder à nous faire savoir qu’elle jouit.  Effectivement, deux minutes plus tard, elle hurle son plaisir avec Madeleine en écho au moment où je reçois ma deuxième dose de sperme dans le cul et ma première dans la bouche. Pour ma troisième bite dans le cul, les hommes me font mettre sur le dos, Malick me met les jambes sur ses épaules et me plante sa bite d’un seul coup dans le fion. Maintenant, ils peuvent y aller franco, mon cul est ouvert et il accepte toutes les bites. Il me pistonne à toute vitesse, il veut se vider en moi le plus vite possible. Je sens son sperme assez vite. Quand il se retire, c’est Jean qui prend sa place, lui y va plus cool, il veut me faire jouir. Je tourne la tête vers Marie, cette fois, c’est Romy qui est entre ses cuisses et la femme sur sa bouche, je ne vois pas Madeleine. J’attends qu’une bite vienne entrer dans la bouche quand je vois apparaître une vulve rose au milieu d’une peau noire au dessus de ma tête. C’est Madeleine qui pose son sexe sur ma bouche. Je l’agrippe pour me délecter de son jus d’amour abondant et au goût puissant. Une bouche s’empare de ma bite, une langue me titille le gland, des dents me le mordillent, je ne suis pas loin de jouir, comme Jean dont je sens la bite palpiter dans mon cul. C’est Madeleine qui donne le signal du départ, elle cri sa joie au moment où je me vide dans la bouche qui m’accueille et que Jean me rempli le cul. Madeleine se lève un peu, je sens un liquide me couler sur le visage, elle me pisse dessus. –Jean m’a dit que tu aimais qu’on te pisse dessus, vas-y, bois moi. Je la plaque contre ma bouche pour récupérer son urine, elle a un débit puissant, ça déborde de partout, j’avale ce que je peux. Deux heures plus tard, je suis anéanti, je me suis fait enculer plusieurs fois par chacun d’eux, j’ai bouffé les chattes de Romy, Madeleine et de la femme, elles m’ont toutes pissé dessus, j’ai bu le sperme de huit bites, je ne suis plus opérationnel. J’ai entendu Marie jouir au moins une douzaine de fois, souvent accompagnée par Romy, Madeleine ou la femme. Je suis allongé sur la table quand je vois apparaître deux autres femmes qui viennent avec des bassines. Elles les posent de chaque côté et commence à me passer un linge sur tout le corps, elles me lavent. L’une d’elle s’occupe de mon torse, elle se penche un peu dévoilant ses seins libres sous son boubou. Je pose ma main sur sa jambe, elle ne bouge pas, je tire un peu, elle se rapproche de moi. Je la positionne devant ma tête, soulève son boubou pour voir une magnifique chatte lisse d’où s’échappe une odeur forte. Je lui saisie les fesses pour l’amener sur ma bouche. Je lui titille les lèvres, le périnée, l’anus, elle semble adorer jusqu’à ce qu’elle me serre la tête entre ses jambes et exprime son bonheur de jouir sous ma langue. Une fois apaisée, elle se dégage et vient poser ses lèvres sur les miennes. Un court baiser les unissent. Quand elle me quitte, je vois arriver l’autre femme qui a retroussé son boubou et qui me pose son sexe sur la bouche. Elle jouit moins vite que la première, je joue le jeu et évite au maximum de l’exciter, elle donne des coups de rein, mais ma langue reste sur ses lèvres, son périnée et son anus. Elle finit par jouir assez fort quand je lui pompe le clitoris, j’ai l’impression qu’elle veut me faire exploser la tête entre ses cuisses. Elle libère ma bouche pour y poser la sienne, j’en profite pour lui caresser ses fesses d’une extrême douceur. Elles nous quittent, je reste sur la table, je ne peux pas encore me lever, je regarde Marie qui semble être comme moi, complètement stone.  Les femmes reviennent avec de la nourriture, nous sommes invités à manger, elle pose le plat sur une troisième table et nous invitent à nous y assoir. Nous ne sommes que sept à table servis par les hommes et les femmes. L’une d’entre elle vient systématiquement à côté de moi, à chaque fois, je glisse ma main sous son boubou pour lui caresser les fesses, ce qu’elle semble bien apprécier. Les deux autres se mettent à côté de Malick et Moussa qui leur font la même chose. A un moment, elle ouvre un peu plus ses cuisses, je glisse un doigt entre elles pour tomber sur une rivière de cyprine, elle se penche à mon oreille et me murmure. –Faites moi jouir monsieur s’il vous plait, je vais mourir si vous me laissez dans cet état. J’enfonce deux doigts dans son vagin, mais ce n’est pas ce qu’elle veut, elle veut jouir tout de suite. Je lui pince le clitoris avec mon pouce et mon index et le fait rouler entre mes doigts. C’est pratiquement instantané, elle pose ses mains sur la table et jouit en silence secouée de spasmes de plaisir. Quand elle a récupéré, elle me regarde en souriant. –Merci monsieur, merci. Elle quitte la table, elle et ne revient plus. Malick et Moussa ont eux aussi fait jouir les deux autres femmes, seuls les hommes sont restés jusqu’à notre départ.  Je me suis fait enculer par tous les trois au moins deux fois chacun par jour, Marie et Romy n’apparaissaient que pour manger, souvent avec Madeleine, ça a duré une semaine. Le samedi matin, au moment du départ à Dakar, Romy vient m’embrasser, elle semble triste de nous voir partir. –Au revoir Alain, excuse moi, J’ai accaparé Marie toute la semaine, mais j’étais trop en manque du merveilleux corps de ta femme. Toutefois, je peux te promettre que la prochaine fois que vous venez, je ferai la même chose. Elle me sourit et va embrasser Marie. Arrivés à Paris, c’est Joyce et Doriane qui nous tombent dessus, les filles les ont prévenues. Elles nous emmènent chez elles où nous arrivons vers dix-sept heures, à peine arrivés, elles se jettent sur Marie pour la déshabiller. Je vois une autre femme venir vers moi. Elle déboutonne ma chemise et défait la ceinture de mon pantalon. Je suis à poil devant elle, elle se recule en me souriant, elle déboutonne sa robe qui atterrit à ses pieds. Elle est nue devant moi, me prend la main et se dirige vers une porte au fond du couloir. Une fois dans une chambre, elle me pousse sur le lit.  –Je suis une amie de Doriane et Joyce, mais moi, j’aime aussi beaucoup les hommes. Elles m’ont parlé de ta bite, et je vois qu’elles ne m’ont pas menti, j’aime les grosse bites et je veux la recevoir dans ma chatte. Tu es d’accord ?–Comment ne pas l’être, tu es magnifique, je suis ton homme. Je pense que je ne verrai pas Marie avant demain, fais de moi ce que tu veux. Elle s’allonge sur moi, je ne bande pas encore à fond, mais ma bite grossi lentement entre ses jambes pour venir frapper à la porte humide de sa chatte. Elle lève un peu ses fesses, ouvre ses cuisses et se laisse empaler par mon vit. Je sens qu’elle adore ce qu’elle fait. –Oh oui, une si belle bite ne peut que me faire monter aux rideaux, mais je veux que tu me fasses l’amour à la pépère, en missionnaire, je te sentirais plus. Je la fais passer sous moi, je commence à lui faire l’amour doucement, elle m’enlace, elle me serre contre sa poitrine ferme. Je fais des allers-retours lent et amples, je parcoure son vagin sur toute sa longueur mais en douceur, lentement, elle semble beaucoup apprécier. J’entends Marie jouir, mais ma partenaire se tend lentement sous moi. Je garde mon rythme, elle me serre contre elle de plus en plus fort, moi aussi je suis au bord de jouir jusqu’à ce que je sente son corps se raidir. Je me lâche ce qui décuple son orgasme, elle me serre à m’étouffer jusqu’à ce qu’elle se détende, je me redresse un peu, elle me sourit. –Je suis jalouse de Marie, pourquoi elle et pas moi ?
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