Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 84 J'aime
  • 0 Commentaire

Je découvre de mon cul

Chapitre 24

Orgie / Partouze
Les grandes baises –Parce que je la connais depuis vingt trois ans, tu ne les a même pas à priori.–Vingt-deux exactement, en réalité, je suis la nièce de Joyce, je m’appelle Abigaelle dite Abby ce que je préfère. Je suis née à Lyon, ma mère y était restée au retour de mes grands-parents aux US, elle s’est fait naturaliser française. Quand elle a divorcé de mon père elle s’est fait muter à Paris, elle travaillait dans une banque nationale, ça n’a pas été trop dur.  –Elle n’est plus à Paris ?–Non, elle est décédée dans un accident de voiture il y a quatre ans.–Et tu es restée ici ?–Oui, j’étais en première année de fac.–Et tu as vécu comment ?–J’avais dix-huit ans, je pouvais rester seule à Paris, c’est Joyce qui finance mes études, je suis en cinquième année de médecine.–Je comprend mieux pourquoi Joyce est venue s’installer ici.–Oui, mais je crois que c’est surtout le retour de Doriane et l’atmosphère délétère de son quartier qui ont accéléré les événements.–C’est fort probable.–Elle ne supportais plus de ne plus être avec elle.–Et tu vis ici ?–Oui, j’ai ma chambre.–Et tu l’utilise souvent ?–Je dois dire qu’il m’arrive souvent de passer la nuit avec Joyce et Doriane, je suis bi, j’aime beaucoup les femmes autant que les hommes. En plus, elles sont de merveilleuses amantes, elles aiment le sexe–Et cette nuit ?–Je ne pense pas être invitée à la fête, elles vont vouloir s’accaparer ta femme.–A voir la manière dont Marie t’a regardé, je pense qu’elle ne va pas repartir sans t’avoir goûté.–Je l’espère bien, elle est canon.–Et c’est une bombe sexuelle.–Ça, je le savais, elles en ont parlé, et si tu m’honorais aussi la rondelle ?–Le temps de me régénérer.
–Ok, allons boire quelque chose de frais. Je la suis dans le salon, je vois danser ses fesses devant moi, un vrai régal, j’ai envie de lui sauter dessus, mais ma bite ne suivrait pas, un peu de patience. Nous sommes assis dans un grand divan, je bois un ice-tea bien frais, je sens que je vais être bientôt opérationnel quand les femmes sortent de leur chambre. Marie vient droit sur Abby, elle lui prend la main et la fait se lever. –Je te l’emprunte mon amour, juste pour y goûter, j’ai envie d’explorer ces superbes courbes et ce jeune minou rose.  Abby se laisse entraîner vers la chambre de Doriane et Joyce avec un grand sourire aux lèvres. En rentrant dans la chambre, elle me fait un bisou des lèvres avec un clin d’œil. Je reste avec Joyce et Doriane, je n’entreprends rien, je sais que Doriane aimait de temps en temps une petite bite dans le con, mais elle semble avoir complètement basculé lesbienne. Elles se caressent devant moi, je vois que Doriane me regarde de temps en temps, mais je n’ose bouger, je ne veux pas créer un problème, j’ai le temps.  Nous entendons Marie et Abby pousser des soupirs de plaisir, elles semblent se donner beaucoup de plaisir. Doriane se couche sur Joyce, elle plonge entre ses cuisses pour lui brouter le minou, celle-ci lui positionne le bas ventre de manière à pouvoir lui faire la même chose. Ne pouvant participer à la fête, je retourne dans la chambre d’Abby pour m’allonger en l’attendant. En passant devant la chambre de Doriane, je vois Marie sous Abby qui s’active sur sa chatte, elle me voit. –Vient nous rejoindre mon amour, vient lui planter ton braquemard dans le cul, je veux voir ça, il y a longtemps que je ne t’ai pas vu enculer une fille de si près. Je rentre dans la chambre, je pose une main sur les fesses d’Abby, elle redresse le tête une seconde. –Vas-y, plante moi ton dard dans le cul, j’en ai envie depuis tout à l’heure. Je n’ai pas besoin de me préparer, après le spectacle de Dorian et Joyce, je bande déjà assez. Je monte sur le lit, je vois que l’anus d’Abby est très brillant, certainement sa cyprine lors d’ébats précédents. Marie écarte un peu ses fesses, je glisse mon gland jusqu’à sa rondelle, je pousse, ça rentre sans aucun problème, je suis à la garde instantanément. Je commence des allers-retours, mais comme elle n’est pas tellement lubrifiée, ça glisse moins facilement, je sens plus ma bite aller et venir en elle, ça doit être la même chose pour elle.  –Oui mon amour, je vois sa rondelle bouger, quel spectacle, la bite de mon homme qui défonce un si beau cul. J’accélère un peu, je sens qu’Abby me suis, elle bouge son bassin pour que je la pénètre le plus possible. Je sens son cul se contracter, elle se raidi pour jouir en buvant la cyprine que lui donne Marie terrassée par un orgasme puissant. Je les accompagne quelques secondes plus tard, elles avaient pris un peu d’avance. Quand tout le monde s’est remis, je me lève, je vais dans la salle de bain prendre une douche, je suis rejoint par Abby qui s’est fait éjecter par Doriane et Joyce. Une fois douchée, Abby va préparer le repas, il commence à se faire tard. Vers vingt et une heures, les femmes nous rejoignent, le repas est prêt, nous mangeons assez rapidement, on sent qu’elles veulent y retourner. Une petite heure plus tard, elles sont de nouveau dans la chambre. Abby me prend la main et m’amène dans sa chambre. –Viens avec moi, je te promets que je ne te demanderai rien d’extraordinaire, juste me faire une fois l’amour et dormir avec moi, ça fait des siècles que je n’ai pas passé une nuit dans les bras d’un homme. –Je suis là pour te servir Abby. Nous avons fait deux fois l’amour, c’est moi qui ai réclamé un bonus, elle aime l’amour doux, je me sentais bien dans son corps. Elle s’est blottie dans mes bras et s’est endormi en quelques minutes, je l’ai suivi assez vite en entendant Marie jouir dans la chambre d’à côté.  Le lendemain, nous avons rejoint Toulouse, Alice nous attendait à Blagnac. La vie a repris, les filles sont de moins en moins demandeuses, elles semblent se suffire à elles même à l’exception de Birgit qui veut toujours que je l’honore deux fois par jour. Ce sont surtout Marie et Charlotte qui sont sollicitées, leur tendance lesbienne prend le dessus. Arrive le mois de mai, c’est l’anniversaire de Birgit et Julia le vingt, leurs parents sont en Allemagne pour l’enterrement d’une de leur tante, elles n’y sont pas allées ne la connaissant que très peu. Nous organisons une fête chez Charlotte et Michel, il fait beau et chaud pour la saison, nous serons plus à l’aise. Elles ont invitées cinq copines, toutes de leur fac à l’exception d’une fille de trente et un ans, sœur d’une de leurs condisciples. Une fois arrivées, Birgit leur explique la règle, elles se déshabillent toutes avant d’aller plonger dans la piscine. J’ai sous les yeux une ribambelle de seins, fesses, pubis tous plus beaux les uns que les autres. J’ai beaucoup de mal à rester présentable, je sais qu’elles ne sont pas pour moi, toutes lesbiennes, mais il me restera toujours Marie, Charlotte et Birgit, ce qui devrait me suffire. Les filles batifolent dans la piscine, se caressent, s’embrassent, je me mets en retrait dans le salon. La fille plus vielle vient vers moi. Je la vois arriver, elle est grande, très jolie, avec des cheveux blonds qui lui tombent en cascade jusqu’à son pubis lisse cachant en partie ses deux beaux seins hauts et fermes, un ventre plat, un pubis rebondi, des fesses rondes sur des jambes à la Karembeu, un beau petit canon, à croire que les filles ont sélectionné leurs copines invitées, elles sont toutes du même gabarit.  –Bonjour, je sais que vous êtes Alain, moi c’est Catherine, vous avez l’air de vous ennuyer.–Vu ce qui se passe dans la piscine, je ne vois pas ce que je peux faire, je préfère me retirer dans mon coin.–Et vous avez de la place pour moi dans votre coin, j’aime beaucoup les femmes qui sont ici, mais pas trop les gamines. Je préférerais m’occuper de Marie et de Charlotte, elles me plaisent énormément. J’aime bien faire l’amour avec des copines, mais j’aime aussi beaucoup les hommes, surtout ceux qui ont un beau sexe comme le votre, et j’aimerais bien le goûter.–Tu me propose la botte en me vouvoyant, voilà qui est spécial. Pour toute réponse, elle me fait allonger sur le divan, elle se penche sur ma bite pour la gober et la faire bander. Une fois bien raide, elle s’allonge sur moi les bras tendus, me regarde dans les yeux et s’empale sur mon sexe. Je sens ma bite entrer dans une grotte chaude qui la serre. –Enfin une bonne bite, tu permets que je me fasse l’amour sur toi ?–Bien sûr. Ses fesses montent et descendent, elle se fait l’amour sur moi, elle ferme les yeux, elle profite au maximum de ce moment. Je sens qu’elle est de plus en plus tendue, elle ne va pas tarder à jouir, je ne suis pas encore prêt, elle a été très rapide. Elle se tend d’un seul coup, elle se serre contre moi. –Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Elle se détend lentement, elle couvre mon visage de baisers, elle finit sur ma bouche pour un long baiser. Sa vulve quitte mon sexe, je n’ai pas joui, je la laisse se donner du plaisir, je jouirai plus tard, peut être avec quelqu’un d’autre. Elle se redresse, me regarde en me souriant. –Dis donc, tu n’as pas joui, tu peux encore me faire l’amour et moi j’ai encore envie de jouir avec une bite bien raide, laisse toi faire. Elle se laisse glisser sur le côté, me fait basculer et se glisse sous moi. Je bande toujours fort, ma bite vient au contact de sa vulve bien luisante, elle appuie sur mes fesses pour que je la pénètre en douceur. –Vas-y, fait moi l’amour, je suis au bord de l’orgasme, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas senti une bite dans mon sexe, vas-y, fais moi l’amour comme à celle que tu aimes. Je commence des va et vient lents et très profonds, elle semble adorer ça, elle me sourit, je vois du bonheur dans ses yeux.  –Oui, je vais jouir, mais cette fois avec toi, viens, je veux te sentir jouir. Je suis stupéfait, elle se tend et jouit à peine une minute après avoir déjà joui, mais cette fois, je suis prêt et me vide en elle. –Oui, joui, joui en moi, je te sens, j’aime. Elle m’enlace à m’en étouffer, mes lèvres atterrissent sur les siennes, nos langues s’amusent ensemble, se titillent, s’aiment. Michel arrive, il vient vers nous, elle se retourne et le regarde. –Quelle chance, deux pour le prix d’un, c’est le paradis ici. Je me redresse, elle s’assoie à côté de moi, je regarde Michel. –Catherine, je te présente Michel, mon gendre, viens t’assoir à côté de Catherine, je crois quelle a une idée derrière la tête. Michel s’assoie à sa droite, elle reste bien droite les mains sur les genoux. Je la regarde un peu étonné. –Tu vas rester longtemps comme ça ?–Voilà ce que j’attendais. Elle se jette sur la bite encore molle de Michel. Elle lui fait une fellation d’enfer, je vois qu’il se raidi lentement, il jouit au bout de seulement deux minutes, c’est une spécialiste, elle se redresse. –Maintenant que j’ai pris les hors d’œuvres, je vais m’attaquer au plat de résistance.–Et c’est quoi le plat de résistance ?–Les deux en même temps bien sûr, Michel devant et toi derrière, ça vous va les hommes ?–Farpaitement une fois régénérés.–Allons dans la piscine, ça nous rafraîchira. Je regarde la piscine, personne dedans, toutes les filles sont soit sur l’îlot, soit sur des transat en train de se bouffer la moule. Nous nous précipitons dans l’eau. Catherine est rayonnante, elle a deux hommes qui se disputent amicalement son corps. Je dois dire que promener mes mains sur ce corps ferme et doux me procure un plaisir infini. Nous entendons Charlotte et Marie jouir dans leur chambre, elles aussi profitent de l’anniversaire des filles. Au bout d’une demi-heure dans l’eau, Catherine sort de la piscine. –Attendez moi s’il vous plait. Elle va dans la salle de bain des filles et en revient cinq minutes plus tard, elle plonge dans la piscine. Elle nous caresse la bite et réussi à nous faire bander, elle me prend la bite et la dirige entre ses fesses. Je sens qu’elle s’est lubrifié l’anus, ma bite entre sans problème, ce n’est pas la première fois qu’une bite emprunte ce passage. Michel se colle à elle devant, je sens sa bite s’enfoncer dans son vagin. Nous commençons à avoir une excellente expérience de ce genre de manœuvre pour l’avoir fait de multiple fois. Catherine se donne à fond, elle enlace Michel pour l’embrasser goulûment, je passe mes mains entre eux pour les faire glisser sur ses seins et faire rouler ses tétons entre mes doigts. Nous sentons son corps prendre du plaisir et se tendre lentement, nous accélérons notre rythme de conserve, elle se laisse aller, son corps ferme finit par se raidir, elle explose dans un sublime orgasme. Il lui faut un certain temps pour récupérer, nous en profitons pour la caresser sur tout le corps ce qu’elle a l’air de beaucoup aimer. Nos bites l’abandonnent, elle se retourne pour m’embrasser longuement. Quand nos bouches se séparent, elle nous regarde en souriant. –Il y a longtemps que je n’ai pas joui comme ça, j’espère que nous pourrons remettre ça, j’ai trop aimé vos deux bites en même temps dans mon corps, surtout que c’est la première fois.–Pas dans ton cul ?–Non, deux en même temps. Elle sort de l’eau, je vois Birgit assise sur le bord de la margelle. –Dis donc vous deux, vous me faites des infidélités avec la sœur d’une copine ?–On peut le dire.–Alors, je vous laisse une heure, je reviendrai pour que vous me fassiez la même chose, vous avez intérêt à être en forme.–Nous t’attendrons petite despote !! Elle retourne vers les filles en souriant. Nous quittons la piscine immédiatement investie par la horde de filles. Je m’allonge sur le divan, Michel va prendre une douche, Catherine vient à côté de moi. –J’aimerais bien qu’on se revoit tous les deux, j’ai beaucoup aimé ce qui vient de se passer, je ne veux pas m’imposer, mais ce serait génial.–Tu habites où ?–A Balma, je travaille au crédit agricole place Jeanne d’Arc.–Tu viens bosser comment ?–En voiture, je dois la laisser au parking du terminal du métro pour le prendre, heureusement que c’est gratuit.–C’est pratique ce parking, mais long pour toi. On peut organiser des week-end. Echangeons nos numéros de téléphone, tu as un portable j’espère.–Bien sûr. Nous échangeons nos numéros, mais je ne veux pas que ça devienne une contrainte, Michel n’étant en ville que le week-end. Je lui explique la situation, elle me dit vouloir me voir au maximum cinq ou six fois par an, ce que je trouve très raisonnable. Elle s’allonge à côté de moi en mettant une jambe sur le dossier du divan. Elle m’offre son sexe liquéfié en me souriant. –Tu en as envie ? Pour toute réponse, je me jette dessus, je me goinfre de sa cyprine, ses lèvres sont douces et ruisselantes, son vagin est étroit, j’y glisse ma langue d’un ou deux centimètres maximum, je lui titille le périnée et l’anus, elle se tortille dans tous les sens. Elle finit par jouir en me serrant la tête avec ses cuisses. Quand elle se détend, elle se redresse, me sourit et vient lécher mes lèvres. Une fois ma bouche nettoyée, elle se lève. –J’adore goûter ma cyprine sur les lèvres de mes amants, je vais prendre une douche, tu viens me frotter le dos ?–J’arrive. Nous allons dans la salle de bain des filles, évidemment je m’accroupie devant elle pour lui bouffer le minou, mais quand elle veut me rendre la politesse, je refuse, je dois me préserver pour Birgit. Elle ne m’en veut pas et nous nous frottons le dos en rigolant, je dois dire que je privilégie la propreté de ses fesses et de ses seins que je caresse avec plaisir. Nous rejoignons Michel dans le salon pour boire quelque chose de frais. Dix minutes plus tard, Birgit arrive vers nous bien décidée à nous faire tenir notre promesses.  –Allez mon chéri, il est temps d’honorer ta promesse, et toi aussi mon poupou, mets moi du gel s’il te plait. Elle se plante devant lui en tendant un tube de gel anal, c’est Catherine qui s’en empare pour lui badigeonner le cul. Elle lui enfonce deux doigts et fait de rapides allers-retours. –Tu aime enculer les filles avec tes doigts hein ?–Je tiens simplement à te préparer pour que tu prennes un maximum de plaisir.–Tu es trop gentille, je me sens prête. Mais maintenant, c’est les braquemards de ces deux beaux mecs que je veux dans le cul et le con.–Ok, en position. Catherine prend la bite de Michel, qui bande déjà fort, et la dirige entre les fesses de Birgit. Elle pousse sur ses fesses, juste pour le plaisir, ce n’est absolument pas nécessaire. Elle se tourne vers moi pour prendre ma bite et la diriger sur sa vulve. Je m’enfonce lentement dans cette grotte chaude et très humide, je sens la bite de Michel de l’autre côté de la paroi vaginale de Birgit. Une main pousse sur mes fesses, encore une fois, juste pour son plaisir. Nous faisons l’amour à Birgit debout au milieu du salon, ses copines viennent voir le spectacle, je ne vois des yeux envieux que chez Julia, mais elle sait que ce ne sera pas pour aujourd’hui puisque je m’occupe de sa sœur. Birgit se tend lentement, nous commençons à bien la connaître tous les deux, nous savons comment l’amener lentement à l’orgasme, surtout que c’est celle qui manifeste le plus sa joie de jouir. Elle m’enlace, je sens son corps contre le mien, ses seins s’écrasent sur mon thorax, elle est de plus en plus fébrile, elle va jouir, elle me regarde. –Oui, vous êtes mes dieux, je vais jouir, encore, encore. Elle pose ses lèvres sur les miennes au moment où elle explose dans un magnifique orgasme. Nous accélérons notre rythme pour augmenter au maximum son plaisir. Une fois Birgit remise de ses émotions, les filles se retirent dans leur chambre. Dix minutes plus tard, elles nous demandent de renouveler ces week-end une fois par mois. Nous acceptons mais que d’avril à septembre, pendant la saison chaude, il n’est pas question de se réunir tous dans la maison fermée en hiver, elles baptisent ces week-end « Les Grandes Baises ».
Diffuse en direct !
Regarder son live